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Maman voulait mon fric, je me suis payé ma mère

Chapitre 3

Inceste
Les vacances scolaires de février sont arrivées, mes frères et sœur sont partis deux semaines, avec une bande de potes pour faire du ski. Mon père, lui, était parti en séminaire avec ses collègues pour la semaine. Notre relation mère/fils prit un nouveau tournant.
Le premier matin qui suivit leurs départs, alors que je me dirigeais vers le garage pour aller au travail, je passais devant la porte ouverte de la chambre de mes parents. Debout face au grand miroir qui recouvre la totalité de son armoire, je vis Jos…
Chaussée de hauts talons rouges, sur ses mollets, ses grosses cuisses, des bas résilles noirs, un ou deux centimètres de la jarretelle rouge étaient visible en haut de sa cuisse, son gros cul à peine recouvert d’une mini-jupe de cuir rouge, ridiculement petite, un énorme bustier noir et de dentelle rouge, recouvrant partiellement son gros ventre et soutenait bien haute et bien en avant sa monumentale poitrine, prête à bondir hors des immenses bonnets (je vous rappelle qu’elle fait du 110D), je me mis à bander comme une âne.
Tournant la tête vers la porte, je vis qu’elle avait un peu plus marqué son maquillage, ses lèvres rouge vif, paupières d’un brun doré soutenu faisait ressortir ses yeux marron pétillants, elle me dit dans un grand sourire :
— Eh, bonjour mon chou !! C’est 50, la pipe ; 75 pour venir dans ma bouche ; 100, la baise avec capote ; 150, la baisse sans et 250, la sodomie, comme tu me l’as fait remarquer la dernière fois !!
Je lui répondis que j’avais un coup de fils à passer à mon boulot, pour me faire porter pâle. Pendant ce temps-là, je la vis se retourner et s’appuyer sur l’armoire, relevant une jambe, appuyer son haut talon à la glace, dans l’attitude d’une pute attendant le client. J’appelais dans la foulée, mon médecin pour prendre rendez-vous ; du fait de sa posture, ayant fait remonter son bourrelet de graisse et apparaître son entrejambe que je regardais avec attention, je le vis sans culotte et complètement dépourvu de poil ; quand le rendez-vous fut pris pour le soir même, je m’avançai vers ma grosse pute de mère, elle me dit prenant sont rôle à cœur :
— Alors jeune homme, c’est la première fois qu’on va aux putes !??— Oui, madame.
Ma mère s’approchait, en dandinant son gros derrière, ses yeux sur mon entrejambe bosselé en me disant tout de go :
— Une petite fellation, mon grand !?? - Abaissant la tirette du pantalon, passant sa main dans mon boxer sur ma queue tendue, passant sa langue sur sa lèvre supérieure dans un balayage à la fois si pervers et si érotique, ses yeux plantés dans les miens me firent tomber en amour de maman, ainsi déguisée en pute. N’étant plus dans un état de vengeance pécuniaire mais dans un état amoureux, je voulus mettre fin à cette mascarade, je lui dis :
— Jos, ma petite maman chérie, on va trop loin, tu n’es pas une pute mais seulement ma petite maman en manque de fric que j’ai forcée à ... - Elle m’interrompit en branlant la queue :
-Laisse-moi, te rendre ce que je te dois, j’en ai envie et ainsi accoutrée, je ne baise pas mon fils chéri mais un client, laisse-moi être ta pute personnelle pour les bonnes baises que tu me donnes.
— Alors mon chou !! Tu la veux cette fellation !?? – Basculant en quelques dixièmes de seconde dans son rôle de pute, je lui dis alors qu’elle s’abaissait, ayant une vue sur cette irréaliste poitrine de cette femme mi ange, ma petite maman chérie, mi démon, ma grosse pute en manque de cul :
— Oh !! Oui, mam… ma grosse pute !! Suce-moi, petite putain !!
Elle s’attaqua au bouton du pantalon, baissa dans un seul mouvement pantalon et boxer, libérant mon phallus fièrement dressé devant sa bouche, que Jos humecte en passant à nouveau sa langue de perverse sur ses lèvres, en déboutonnant quelques boutons de ma chemise. Elle approcha sa bouche de mon gland violacé, passant sa langue sur mon gland d’où une goutte de pré-sperme perlait. Elle l’enroula autour du gland puis la faisant descendre le long de ma hampe, elle s’attaqua à mes couilles pleines de sperme, attrapant de sa main gauche, ma bite. Je retirai ma veste de costume, ma cravate et défis ma chemise, me retrouvant torse nu. Elle reprit mon gland en bouche, en me branlant lentement puis elle accéléra le branle, en salivant de plus en plus sur mon gland. Elle décida de prendre toute la longueur de queue entre ses lèvres, les mains posées sur mes fesses, agissant comme une professionnelle. Quand ma bite arriva au fond de sa gorge, je butai contre la luette, elle eut un haut le cœur. Je me mis à faire des va-et-vient entre ses lèvres. Les traînées de rouge à lèvres sur la longueur gonflée au maximum, la salive de ma putain de mère sur mon sexe, elle retira ses mains de mon cul. Sa main droite qu’elle plaça directement sur son clito et se mit à se branler en gémissant, mais ma queue fichée dans sa bouche empêcha le son de sortir, sa main gauche roulant mes couilles, j’attrapai sa tête entre les miennes. Elle commença à accepter mes coups de butoir au fond de sa gorge, je sentis que nous allions bientôt jouir ensemble. Elle attrapa une bassine neuve de dessous le lit et la plaça sous elle pour me pas marquer de son jus, le lino de sa chambre (elle avait vraiment tout prévu, la salope, pensai-je). Je poussai d’un coup brusque, mon gland passa la luette, fermant les yeux et me déversant en trois, ou quatre … giclées directement dans l’œsophage de ma bonne pute.
— Oooooh !! Ma puuuuute !! T’es booooonne, salope !!
Quand j’ai rouvert les yeux, je la vois, le visage rouge devant moi, le maquillage ayant coulé par la sueur et ses larmes, je me retirai de sa bouche, des filets de bave et de sperme mêlés reliaient mon sexe à ses lèvres, elle put reprendre sa respiration. Mon regard tomba sur la bassine entre les jambes de Jos et je vis qu’elle avait expulsé, dans sa jouissance inaudible, une quantité démentielle de son jus. Je la relevai tant bien que mal, lui enlevai sa mini-jupe, elle poussa la bassine de son pied et quand mon regard rencontra le sien, je l’embrassai en tombants assez lourdement sur le sol, mes pieds encore entravés de mon pantalon et du boxer.
Je retirais souliers et derniers vêtements en me tortillant, couché sur elle, mon gland frottant sur son clito et sa vulve, la fit gémir. Me redressant pour finir de me débattre et me libérer de ma prison vestimentaire, je fis une pression incontrôlée de mon sexe, je m’engouffrais dans celui de Jos qui était chaud bouillant et inondé. Jos sortit, de ses mains, son sein droit au mamelon foncé, du bustier et se mit à sucer, téter son gros téton turgescent. Je sortis ma queue de sa chatte, attrapai la bassine, la plaçai derrière la cul de ma grosse pute de mère. Je lui demandai d’attraper ses chevilles gainées, lui relevant ses jambes par ses hauts talons. Jos attrapa ses chevilles, je suis allé chercher un oreiller et vins le placer son gros postérieur. M’étant réinstallé en ses cuissots, j’introduisis trois doigts dans sa grosse chatte bâillant et branlai le clito de l’autre main. Le jus de Jos coula sur la rosette de ma grosse pute puis dans la bassine, mon auriculaire et mon pouce ne furent pas long pour rejoindre les trois autres doigts dans sa chatte gluante. Entamant mon fist, cette fois bien volontaire, elle commença à onduler du cul qui, maintenant, était bien lubrifié. Retirant mes mains de sa chatte et de son gros clito, gros comme un cornichon tout lisse, un grand jet de cyprine s’éleva dans les airs et retomba à côté de la bassine, quel gâchis, pensai-je. Je lui ordonnai :
— Tourne-toi, grosse pute !! Fous-toi en levrette que je te bourre le cul !!
Jos vint se placer contre la bassine, la bloquant entre ses mollets, se mit à me gueuler :
— Viens me bourrer le cul de pute, mon salaud !! , me présentant son gros cul, écrasant, de tout son poids, sa grosse poitrine, hors du bustier.
— T’inquiètes, tu vas la sentir passer, ma grosse pute !!
Dès mon premier coup de bite, un jet atteignit la bassine, dans le bruit caractéristique du lait qu’on trait d’une vache. Cette image dans mon esprit, je me mis à traire ma grosse vache, en pilonnais le gros cul sous mes mains, mes va-et vient de plus en plus puissants, firent jouir maman qui tout se mélangeait dans sa tête, changea d’elle-même et acceptant même sa condition :
— Vas-y !! Bourre le cul de maman … Oh !! Ouuuui !! Mon salooo de fils !!! … Bouuurre bien le cuuul de maaaaamaaaaan !! …Ta grosse pute de mamaaaan … aime ta grosse biiiite … mon fiiiils !! … Oooh !! … Oui !!! … Ooooh !! … Mon fils !! … - poussant son gros cul, allant contre mon pubis puis retirant presque totalement ma queue de son vagin, lâchant à chaque un jet - Tu vas faire mouuurrir … ta grosse maman de jouisaaaance !! Ooooh !! … Mon filssss … oh, quel baise …
— Oooooh !! Maman !! … Je viiiiiens … dans tooon … booon …cuuul !! …Oooh !! …Oooh !! …Oooh !! … Maman chériiiie… Je t’aiiiime !! … Ooh… ma petite maman ché…rie ……– m’écroulant sur son dos.
Maman se tourna sur son flanc droit, me renversa avec elle, nous tombâmes sur le sol, renversant presque la bassine, étant juste derrière, collé à elle, on s’assoupit.

La suite au prochain épisode.
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