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Mamie Binocles

Chapitre 1

Erotique
— Putain, je suis dègue, dègue, dègue !!! Pourquoi elle ? Merde quoi ! Elle pouvait pas choisir quelqu’un d’autre ?— Vois le bon côté des choses, tu auras peut-être enfin une bonne note. Et t’en as besoin en ce moment.— Vas-y ! Ouais, rigole, fous toi de moi. Salope de prof, me foutre avec Mamie Binocles… J’en reviens toujours pas. Je m’en fous, elle fera tout toute seule, je bosserai pas avec elle. Si je m’approche à moins de cinq mètres d’elle, je vais gerber.— Ho, arrête, elle n’est pas si moche… Enfin, elle doit bien avoir une beauté… cachée.— Ouaip, bien cachée alors, dans une autre dimension. Ha Ha Ha. Sérieux, même ses parents l’ont abandonnée. Elle a dû être élevée par des vieilles de 80 ans pour s’habiller comme ça. Et même chez les grand-mères, c’est plus la mode depuis au moins 300 ans.
Je me suis retourné, elle était là, derrière moi, la bouche pincée.— Ben, moi non plus ça ne me plait pas d’être en binôme avec toi. Mais, je n’ai pas le choix non plus. Ton genre de type, je préfère éviter, gros naze.— Tu te trompes, c’est les types qui t’évitent, et tous, sans exception. Ha ha ha ha.— Même ton rire est débile. Bon, je te laisse dans ta connerie. Ce soir, passe à mon studio, j’aurais préparé le partage des tâches. Et t’inquiète pas, je te donnerai les plus faciles.— C’est ça, compte sur moi !— Tu sais, ça me ferait plaisir de ne plus te voir, que tu redoubles, ou mieux, que tu te fasses virer. Mais je n’ai pas envie de me prendre une sale note à cause de toi. Donc, soit tu passes chez moi ce soir, soit j’expliquerai à la prof que j’ai fait tout le boulot toute seule.— Si tu fais ça…— Si je fais ça quoi ? Tu crois que tu me fais peur ?— Grosse conne ! Si tes binocles ne recouvraient pas toute ta face, je t’en collerais une pour t’apprendre la vie.— Ho, je tremble. Quelle preuve de virilité et de force, frapper une fille…— Tu te trompes, t’es pas une fille. On ne sait d’ailleurs pas ce que t’es… Ces jupes… Ces chemisiers… C’est quoi ? Pour qu’on ne voit pas tes tentacules ? C’est ça ? T’es un poulpe en fait ?— Arrêtez tous les deux, vous allez trop loin là. Ok, vous ne vous aimez pas. Mais bon, faites un effort quoi. Et puis, l’idée de Mamie Bi… Heu Sandra, n’est pas mal finalement, non ? Chacun bosse de son côté, vous n’aurez pas besoin de vous supporter trop longtemps. Hein ? Qu’est-ce que t’en penses Laurent ?— Mouais, je sais pas. C’est où ta piole dans la résidence ?— Bâtiment B, premier étage, couloir de droite, cinquième porte.
Et elle partit, manquant de se vautrer au passage. Ca m’a fait hurler de rire, avec ses lunettes gigantesque, elle était incapable de voir la petite marche. Et la première chose qu’elle a fait ensuite, c’est vérifier que son gros chignon hideux était toujours en place… Ce chignon qu’elle a toujours eu depuis la première fois que je l’ai vue, ainsi que ces lunettes, me faisant penser à ces vieilles grand-mères. Le surnom arriva aussitôt.
— Si tu ne m’avais pas retenu, je lui en aurai collé une !!— Zen mon pote, zen. Et…
— Et quoi ?— Ben, maintenant, tu sais où elle crèche…— Et ? … Tu veux dire… Pour la faire chier de temps en temps ?— Ben voilà, tu vois quand tu veux tu comprends.— Ho mon salaud, t’es en fait pire que moi.— Ho oui, bien pire.

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— Ben, entre. Je ne vais pas te bouffer.— Heu… oui… tu me montres juste et je repars, ok ?— Ben quoi ? Tu as l’air bien timide. Tu fais moins le fier maintenant que t’es tout seul, sans ton débile de pote.— Hey, ne parle pas comme ça de Rémy.— Il est pire que toi. Toi, t’es un naze, mais lui... Je ne sais même pas comment le décrire. Tu te laisses entrainer par lui… Pfff, pitoyable.— Hey, c’est un mec bien. Il m’a arrêté avant que je t’en colle une.— Ne dis pas n’importe quoi, tu ne m’aurais jamais touchée. Je sais pourquoi ton pote a calmé le jeu, je ne suis pas stupide comme vous.— Ha ? Et pourquoi alors ?— Je te préviens, s’il m’arrive quoi que se soit, ou que vous touchiez à la moindre de mes affaires, je porterai plainte contre vous. T’as bien compris ? Qu’est-ce que tu regardes ?— Heu, rien… non, mais je ne m’attendais pas à ça.— A ça quoi ?— La déco de ton studio… Elle est sympa, j’aime bien.— Tu t’attendais à quoi ?— Ben, je sais pas, un truc de vieux.— Bon, je croyais que t’étais pressé. Je te montre et explique ?— Hein ? Ha oui, vas-y… C’est toi qu’à l’air pressé là.— Ben oui, j’ai des choses prévues aussi. Je retrouve mon copain dans 30 minutes et je dois me préparer.— Kof, kof, kof ! T’as un copain ?— J’ai cru que t’allais t’étouffer. Ca t’étonne ? Ben, quoi ? Tu croyais que j’étais une petite vierge qui ne connaît rien à la vie ?— Ha ? Parce que… Tu n’es plus…— Ben non, je ne suis plus vierge. Dis donc, tu verrais ta tête… T’es surpris à ce point ?— Heuuu, ben, ouais, enfin… Lorsqu’on te voit… Je sais pas moi, mais on n’imaginerait pas.— Merde merde merde merde, presque 19h30… Bon, repasse demain soir, là, j’ai vraiment plus le temps.— Ha, oui, ok. Ca marche, à demain.
Purée… Quelles révélations. Je n’en revenais vraiment pas. J’étais là, assis sur mon lit, à me demander quel genre de mec aurait envie d’elle. A quoi pouvait bien ressembler son copain ? Etait-il comme elle, grosses lunettes… portant un cardigan comme en avait mon grand-père ? Lorsque je raconterai ça à Rémy, il ne me croira jamais… D’un autre côté, si je lui dis, il voudra à tout pris savoir qui est ce type. Et je n’ai pas envie qu’il la fasse chier maintenant, pas tant que l’exposé n’est pas fait. J’ai besoin d’elle, je le reconnais, et c’est vrai que Rémy peut être très très con de temps en temps.
Oui, j’ai une idée. Je me monte un dossier avec tout ce que je découvre sur elle, et après, lorsque je n’en aurais plus besoin, on fera joujou…
— Mhhhh, oui… continue… Suce Sandra, suce… Fais gaf avec tes lunettes tout de même. Hooo oui, tu fais ça bien, continue.— Baise-moi maintenant, prends-moi partout, dans tous les sens. Oui, enfonce-toi d’un coup… Haaa, c’est si bon. Tape-moi sur les fesses… Plus fort… Encore plus fort… Fais moi mal, fais moi crier. Haaaa… Encore…
Haaaa, putain de rêve à la con. Merde, merde, merde. Je viens de fantasmer sur Mamie Binocles. Ho putain. C’est quoi ce délire ? Hein ? Mais… mais… mes draps… merde, j’ai giclé. J’y crois pas… C’est la première fois que ça m’arrive ça. J’ai giclé à cause d’un putain de rêve ??? Avec Mamie Binocles ? Il me manque une case là. Faut que je me ressaisisse, sinon, je vais partir en déprime.
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