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Mamie Geneviève

Chapitre 11

Inceste
Mamie Geneviève 11
J’arrive chez la maman de Bastien. Cette dernière m’accueille en me tendant la main et je préfère forcer la bise. Avec Bastien, nous faisons une bise très chaste. Sabine, comme elle se présente, est une femme blonde, d’à peu près ma taille, toute fine et sa poitrine, bien que raisonnable est saillante sur son ventre plat. Même si elle est naturellement jolie, elle ne semble pas faire d’effort pour plaire. Ses sourcils ne sont pas épilés, mais ça ne choque pas. Ses boucles d’oreille semblent surannées et je n’en voudrais pas, malgré que je sois plus âgée qu’elle. Elle porte une jupe noire et un chemisier à manche longue, vert pâle, très opaque, qui lui monte jusqu’au cou. Elle porte des collants et des souliers aux talons usés. Ils ne doivent pas rouler sur l’or dans cette famille !
Elle me dit :« Je suis enchantée de faire votre connaissance, Bastien ne parle que de vous ! »« Et à moi, que de vous ! » Ris-je, avant d’ajouter :« Enchantée également, j’ai emmené une bouteille de champagne pour célébrer notre rencontre ! »« Oh, vous savez, je bois très peu et n’ai que des coupes dépareillées. Ça ira ? »«Bastien, tu veux bien t’occuper du service ? »Le blondinet porte un jean moulant et un polo, je ne peux m’empêcher de regarder son cul quand il s’éloigne. Hummm, miam miam ! !
Je m’assieds près de Sabine sur le canapé et Bastien, en face, peut mater ma cuisse légèrement découverte. Il nous sert les verres avec délicatesse. Lors de la conversation avec ma voisine, je remarque à plusieurs reprises qu’elle me dévisage, comme si elle me connaissait.« Dites Geneviève, on ne s’est pas déjà rencontré auparavant ? »J’énumère les possibilités, travail, amis, mais il n’y a pas de concordance et nous passons à autre chose.
Il n’empêche que nous avons de nombreux contacts, très féminins, naturels ou presque. Je note qu’elle laisse traîner sa main, en imprimant un léger appui sur ma peau, à chaque fois. C’est très affectueux comme contact mais un peu curieux quand même.
Alors que le temps passe, et que nous sirotons ce délicieux breuvage, je lui résume que, j’héberge mon petit fils (et depuis peu, ma petite fille), que mon gendre est un tyran avec ses enfants et qu’en son absence mes petits enfants sont allés chez leur mère.Elle semble boire mes paroles en me fixant dans les yeux. Aurais-je un ticket avec elle ou un charme particulier ?
Pour changer de sujet, j’affirme«Vous savez, Sabine, de tous les copains de David, c’est votre fils que je préfère ! »
Le rouge de la honte monte alors au front de Bastien.La maman se gonfle de fierté, puis demande :«Pourquoi dites vous cela ? »«Bastien est d’une gentillesse rare, il est prévenant, galant, c’est un homme parfait ! »L’intéressé va exploser de gêne si j’en dis plus. Il se lève, prétextant de devoir mettre la table et nous laisse seules, hors de portée de nos voix basses.
J’ajoute, discrètement :« En plus, il est beau comme un cœur ! Si j’avais vingt ans de moins … »« C’est vrai qu’il est beau, mais je m’inquiète qu’il n’ait pas de copines ! »« David m’a confié quelque chose, que je me dois de vous dire. Mais, pas maintenant, il revient ! Ne vous inquiétez pas, ce n’est pas grave … »
Ce soir, je me suis décidée à faire en sorte qu’ils se rapprochent l’un de l’autre. Toutefois, il ne faut pas que j’aille trop vite, au risque de tout gâcher.
La table est petite, aux dimensions du logement, juste pour deux personnes. Je suis assise entre eux, mais refuse le contact de Bastien, quand il me cherche avec son genou. Par contre, le mien est souvent en contact avec celui de sa mère, qui ne se défile pas. Je n’en reviens pas, elle semble apprécier quand j’appuie, un peu plus, ma jambe contre la sienne. On ne peut plus dire que ce contact est fortuit, c’est totalement volontaire de ma part, j’avoue être sensible à son charme naturel. C’est elle qui semble prise d’émotion, puis, sa respiration s’accélère, à presque suffoquer, quand elle enserre d’un coup mon mollet entre les siens. J’avoue que la situation me plaît, de charmer cette femme. Elle aimerait les femmes alors ! Ça ne me dérange plus maintenant !
Avec lenteur, j’imprime de petits mouvements de ma jambe prisonnière, pour lui signifier que je suis en phase avec elle. Je lui souris avec complicité, mais elle reste troublée par notre jeu sous la table. Alors que Bastien ne se rend compte de rien, sa mère et moi sommes en contact très étroit. Sabine me libère quand il se lève pour desservir. Elle ne souhaite pas qu’il voie nos jambes liées.Tandis qu’il s’éloigne, je prends la main de sa mère pour y déposer une bise. Mon geste la trouble encore plus, quand, toujours en cachette, je lui mordille le poignet. Elle tremble sur sa chaise et tente de reprendre sa respiration.
Je n’insiste pas, mais sans savoir pourquoi, je sais qu’elle a envie de moi et réciproquement.Je ne la connaissais pas il y a moins de deux heures et nous voilà à plus que flirter. Le désir de l’une pour l’autre est palpable !
Après tant d’années d’abstinence, je suis vraiment devenue nymphomane. Je saute, ou me fais sauter, par tout ce qui bouge. Là, c’est la mère de mon blondinet d’amant. Lequel s’ennuie ferme à l’issue du repas. Nous avons rejoint le canapé, aux mêmes places et finissons la bouteille de champagne. Les vapeurs nous montent à la tête et Sabine se libère peu à peu, tout en restant digne. Avec complicité, nous parlons chiffons, puis des hommes, en général qui n’ont aucun intérêt à son point de vue. Bastien ennuyé, désespéré et fatigué décide d’aller se coucher, avec un peu de regret dans le regard qu’il me lance.
Je dis à Sabine :« Bon, je vais appeler un taxi, car je ne suis pas en état de conduire … »« Non, restez, je vais dormir sur le canapé, prenez ma chambre ! »« Sabine, si on se tutoyait ? »« D’accord ! »« Dis-moi Sabine, tu ne préfèrerais pas que l’on dorme dans le même lit ? »
En disant cela, je lui reprends la main pour la serrer dans les miennes. Je perçois en elle le tourbillon de ses hésitations, craintes, mais aussi, envies de s’abandonner. Comme elle ne répond pas, je pose sa main sur mon sein. Elle ne fait rien, ni retrait brusque, ni serrer ses doigts sur mon galbe.
« Vas-y Sabine, fais-toi plaisir ! Nous sommes seules ! »« Mais … Je n’ai pas l’habitude, c’est la première fois que … »« Pourtant, à table, tout à l’heure ! »« Je suis désolée Geneviève, je ne sais pas ce qui m’a pris, je suis totalement confuse ! »« Il ne faut pas ma chérie, moi j’ai adoré ce moment. J’avais trop envie de te serrer contre moi! Sentir ton corps contre le mien, unir nos lèvres, te donner mille preuves de tendresse ! »
J’use de familiarités en lui disant ‘ma chérie’, mais elle ne relève pas mes propos. Par contre, elle bascule sa tête en arrière et ferme les yeux en soupirant. Son attente n’est pas longue, je m’agenouille sur l’assise pour lui embrasser le cou, tout en flattant son sein, qui durcit sous mes doigts. Elle-même me prodigue le même massage et je me sens mouiller atrocement sous sa caresse. Nos bouches s’unissent enfin et son baiser et plus que bouillant. J’adore !
Quand j’entreprends d’ouvrir son chemisier, elle me propose d’aller dans sa chambre. Sur place nous reprenons un baiser, tout en nous déshabillant mutuellement.Elle a un très joli corps, naturellement et finement musclé sur lequel je fais glisser ma main pour profiter de la douceur de sa peau.
Je l’allonge sur son lit et lui souffle à l’oreille :« Laisse toi aller, je vais t’aimer »Dès lors, j’applique tout mon savoir et imagination à la satisfaire. Je souhaite procurer un plaisir unilatéral, le sien ! Moi, j’ai eu ma dose il y a peu avec ma famille.Pour se laisser faire, elle le fait bien, puis, se met même à participer plus ardemment !
Ma bouche la lèche, mes doigts s’activent en elle à tout va. Quand sa jouissance se déclenche, elle émet un puissant cri strident qui me surprend. Je la laisse redescendre, tout en continuant un lent va et vient.Elle tremble encore à chaque mouvement et dans un souffle me dit :« C’était génial ! Merci ! Je ne savais pas ce que c’était ! »Elle halète encore quand je l’embrasse.
La porte s’ouvre sur Bastien, apeuré probablement par le cri d‘orgasme de sa mère, qui dit :« Maman ! Qu’est-ce qui se passe … ?»Quand Sabine réalise la situation, elle cherche à se couvrir le corps avec un oreiller et ne trouve à dire que :« Retourne dans ta chambre, s’il te plaît ! »Ce à quoi, je rétorque :« Non, Bastien, reste, approche-toi au contraire ! »
Il s’approche. A chaque pas qu’il fait, son boxer se dilate un peu plus. Il doit vivre un rêve, sa mère, objet de sa convoitise et son initiatrice, en train de faire l’amour ensemble. Sabine cherche à retirer ma main de sa chatte, mais je reprends mon activité. Elle se tortille en geignant :« Non Geneviève, arrête ! Pas devant mon fils ! »« Pourquoi pas ? D’ailleurs, il semble apprécier ! Bastien, montres nous ce que tu caches. Oui ! Enlève ça, éteins la lumière et viens t’asseoir près de nous ».
Sabine gémit :« Non Bastien, retourne te cou…. »Je ne lui laisse pas finir sa phrase et elle oublie tout dans notre baiser. Elle à beau s’en défendre, la vue de l’érection de son fils la trouble. Je relâche mon étreinte pour lui proposer :« Vas-y Sabine, prends-le dans ta main ! »« Non, il ne faut pas ! »
Je sors ma main de ses cuisses, prends la sienne fermement pour la guider et ses doigts se referment instinctivement sur la colonne de chair que lui tend son fils. Dans la pénombre, je note qu’elle ne fait que malaxer machinalement la hampe et je décide de lui faire imprimer un mouvement alternatif, en lui susurrant :« Tu sens comme c’est doux et dur à la fois ! »
Elle ne répond pas, mais n’a plus besoin de mon aide pour manipuler l’engin dans sa paume.Je lui écarte les jambes et lui souffle à l’oreille :« Tu vas aimer ma chérie, laisse toi faire ! »Sans précipitation, Bastien change de position et s’installe entre les jambes, qui ne se referment pas. Avec douceur, il pénètre lentement l’antre maternel.
« Non, non, il ne faut pas … Oh ! Mon chéri ! … Oh Oui, c’est bon ! »Avec énormément de techniques et d’improvisations heureuses, Bastien fait sublimement l’amour à sa mère, qui ne cesse de gémir :« Oh oui, Oh oui !!! Ouuuiiii !»Je m’applique à les observer sans agir. Juste à caresser la joue de Sabine, très maternellement.
Pour ne pas hurler à nouveau sa jouissance, elle mort au sang l’épaule de son amant de fils.Par prudence, à l’approche de sa propre extase, Bastien a le réflexe de sortir de sa mère, et, la vision de cette verge tendue me fait trop envie. Je me tortille pour m’en saisir et la porter à ma bouche.
Il adapte sa position pour me permettre de le sucer et, en même temps, nouer sa bouche à celle de Sabine. Leur baiser est très passionné et il est si excité qu’il me propulse dans la gorge une quantité incroyable de foutre. Après avoir dégluti, je remonte à leur niveau pour les regarder s’embrasser avec tendresse.
Mission accomplie ! Les choses se sont précipitées à une vitesse incroyable. Je pensais l’emmener très progressivement à s’intéresser à son fils et là, ils ne se décollent plus … Aurais-je eu un rôle de catalyseur dans leur union. Sans la moindre modestie, je l’affirme !
Après une dernière bise, Sabine dit à son fils :« Aller, va te coucher maintenant. Laisse moi avec Geneviève ce soir … »
Une fois la porte refermée, je l’attire sur ma poitrine pour la câliner et lui demande :« C’est magique cette soirée, non ? Tu as aimé ?»« Oui, mais ce n’est pas bien ! J’ai fait l’amour avec une femme et avec mon fils, c’est abominable! »« Il n’y a rien d’anormal, tant que vous ne faites pas un bébé ! Il t’aime et vient de le prouver ! » « Oui mais, après, demain par exemple, qu’est-ce que je vais faire ? »« Ben, recommencer pardi ! »« Ça ne te choque pas ? »« Pas le moins du monde ! J’aurais bien aimé être à ta place, le sentir coulisser en moi, humm ! Bon, j’ai pu le boire, c’est déjà ça ! Tu veux goûter ?»Elle hésite un peu, puis vient à ma rencontre pour unir sa langue à la mienne.
Elle me dit ensuite :« Tu permets que je rallume la lumière ? »« Fais comme chez toi » Ris-je.
Après avoir allumé, je suis surprise par ce qu’elle fait. Elle s’intéresse à mon sein droit et détaille une petite tache de naissance qui s’y trouve, en forme, grossièrement, de papillon.
« Geneviève, je savais que l’on s’était rencontré auparavant, mais ce que je vais dire ne va pas te plaire … »
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