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Mamie Geneviève

Chapitre 13

Inceste
Mamie Geneviève 13
Le lendemain, je me réveille avant Sabine. Je la regarde avec intérêt. C’est vraiment une jolie femme !Je me penche sur son visage et dépose un léger baiser sur ses lèvres. Encore ensommeillée, elle a un sursaut de surprise. Elle ouvre les yeux et réalise que nous avons dormi dans le même lit.Non, elle n’a pas rêvé ! La veille, nous avons fait l’amour entre femmes ! Et, de plus, elle a couché avec son fils !
Elle se blottit contre moi et m’enlace la taille d’un bras. Nos corps se pressent l’un contre l’autre avec passion. Après cette étreinte de quelques minutes, nous optons pour nous lever et nous habiller.
N’ayant pas prévu de rester dormir ici, je ne dispose pas de rechange et suis obligée de porter les mêmes vêtements. Je préfère toutefois, ne pas mettre de culotte, la mienne étant un peu trop souillée, j’ai tellement mouillé la veille ! Et puis, après tout, c’est agréable de marcher ainsi, la chatte à l’air !En moi-même, je me dis que je n’aurais jamais osé faire ça auparavant…
Nous prenons le petit déjeuner, les yeux dans les yeux, et elle finit par dire :- Tu ne m’en veux pas de ce que je t’ai dit hier soir, à propos de ton mari ? — Pas du tout ma chérie ! - Il faut que je te dise, je ne me reconnais plus ! J’ai fait des choses horribles hier ! - Au contraire, tu te découvres ! Ce que tu as fais, t’a libérée. Je suis passée par là également, hélas trop tardivement ! - Mais avec mon fils, que vais-je faire ? Je suis allée trop loin, tu ne crois pas ? - Ne t’inquiètes pas, Bastien t’aime énormément. Il ne pense qu’à toi ! Il ne veut que toi ! - C’est embarrassant ! C’est mon fils tout de même, ça ne se fait pas ! - Laisse-toi aller ma chérie, lâche prise ! Bastien est un bon amant, il faut juste que tu lui apprennes à être un peu moins fougueux ! Et puis, Bastien n’a plus besoin de moi. J’ai David ! En ce qui concerne ton fiston, je vais tout te raconter … 
Je lui narre tout, sa réputation de puceau auprès de ses amis (ce que je voulais dire à Sabine, la veille), son regard entre mes jambes, ses attouchements, son premier baiser, la première pénétration de sa mère imaginaire, ce rôle d’usurpation de son identité, qui m’a bien plu au demeurant … 
Sabine est bouleversée de ce que je viens de lui révéler, elle me répond :
— Il faut que je te confie quelque chose : Je n’ai jamais connu d’autres hommes, même si on m’a souvent draguée. Je … Je ne sais pas m’y prendre. Bastien a été le premier depuis … 
Elle hésite à dire la suite de sa phrase - Depuis mon mari ? Elle acquiesce d’un signe de tête.— En tout cas tu as sacrément aimé faire l’amour avec lui ! Comme tu as joui ! Pas vrai ?
Elle est rouge de honte, mais l’admet.Pour ma part, je lui narre presque tout des relations incestueuses que j’ai eues avec ma fille et ses enfants. Mes propos et le ton enjoué que j’utilise permettent de la déculpabiliser, même si elle émet des ‘oh !’ de surprise pour certains détails que je relate.
Petit à petit, elle accepte sa nouvelle situation. Celle d’une maman et son fils. Pourquoi pas ? Finit-elle par admettre, convaincue par mes propos.
Bastien nous apparaît, les yeux encore collés, mais sa bandaison matinale est visible sous son short. Sabine semble fascinée par la bosse qui distend le tissu, comme si c’était la première fois qu’elle voyait son fils.En m’adressant à lui avec assurance, je demande :— C’est pour nous que tu bandes ainsi ? 
Bastien est surpris, mais fini par sourire. Je remarque bien la fierté du coq face à deux poules. Il veut s’attabler près de moi, mais je lui désigne le dessous la table et dis :— Passe par là, tu trouveras de quoi te régaler ! Et, à l’attention de Sabine :— Écarte les jambes, ma chérie. Le blondinet n’hésite pas à se mettre à quatre pattes, devant les jambes, juste entrouvertes, de sa mère— Mais, Bastien, qu’est-ce que tu fais ?! 
Sabine semblé effarée, je me lève pour la rejoindre et lui susurrer :- Ton fils va te manger la chatte, avance-toi au bord de ta chaise, enlève ta culotte et écarte bien les jambes ! Tu vas voir comme il fait ça bien, tu vas adorer, j’en suis sûre !
Elle s’exécute alors que je lui caresse la poitrine. Je vois la tête de son fils s’engager entre les cuisses maternelles et les premiers soupirs de Sabine prouvent la montée de son plaisir.Le pauvre se cogne souvent la tête, mais entreprend un bon cunnilingus à entendre les gémissements croissants de sa mère.
J’entreprends de desservir la table et s’y donner un coup de torchon. Je fais relever Sabine et lui propose de s’allonger dessus. Elle m’obéit sans rechigner, même quand je lui soulève et lui écarte les jambes largement. Sa chatte ruisselle et semble attendre la verge qui va la saillir. Bastien se relève, se positionne et très lentement, pénètre sa maman, qui geint en sentant ce membre dur s’enfoncer en elle.
Sabine à la tête sur le coté et garde les paupières fermées en émettant de petites plaintes. Je m’approche de son oreille pour lui dire :- Ouvre les yeux et regarde ce bel amant, cet étalon, qui va te donner le plaisir que tu mérites ! 
Cette fois, elle lie son regard à celui de Bastien et leur union devient alors plus sensuelle. Elle s’accorde au rythme croissant du pistonnage et râle de bonheur à souhait.
Quand son fils se penche sur elle pour chercher sa bouche, elle se redresse et va à sa rencontre. Leur baiser est maladroit au départ, puis très passionné. Bastien saisit sa mère par la taille, la redresse et la soulève sous les fesses pour la porter, sans jamais sortir d’elle.
Sabine enserre ses jambes, instinctivement, autour de la taille de son amant et se laisse emmener jusqu’au canapé. Là, Bastien cède à son instinct et sa maman reçoit ses coups de butoir avec un plaisir non dissimulé. Quand elle éclate de plaisir, elle se laisse complètement aller à hurler son bonheur à grands cris. Je reste surprise par la violence de ses orgasmes, elle a du accumuler tant de frustrations durant toutes ces années que ça finit par éclater maintenant.
Bastien sort d’elle et se masturbe lentement, en attendant que sa mère reprenne sa respiration. Sabine halète et est couverte de transpiration. Je lui détache une mèche collée sur le visage, pour déposer une bise furtive sur ses lèvres.
Elle me regarde ensuite engober la bite de son fils, que je suçote avant de la lui tendre. Elle s’agenouille près de moi, mais je comprends qu’elle ne sait pas s’y prendre. Je lui indique quelques trucs et lui tend à nouveau l’objet.
Notre mâle semble attendre avec une impatience frénétique que sa maman se décide. Quand l’instant arrive, il a un sursaut et ne semble plus se contrôler. Un fantasme secret se réalise. Il se fait sucer par celle qu’il convoite depuis si longtemps, sa mère chérie !
Même si Sabine est maladroite, l’effet est quasi instantané. Son garçon se tortille, se raidit et le premier jet de sperme surprend la fellatrice, qui s’écarte pour recevoir les autres jets sur le visage. Elle veut recracher la semence, mais je colle ma bouche à la sienne. Pas question de gâcher la marchandise ! D’ailleurs, je m’applique à lécher chaque goutte qui la macule, y compris sur ses cheveux.
Comme pour s’amender de sa réaction, elle se penche sur la verge encore tendue pour la nettoyer avec application. Elle tète même le gland pour recueillir les dernières gouttes. Elle regarde alors son fils avec défi et déglutit ce qu’elle à en bouche, avant d’en sourire de fierté.Quand Bastien lui tend les bras, elle se précipite pour se nicher au creux de son épaule.
Leur union est si romantique, que je leur dis :- Bon ! Les tourtereaux, je vous laisse… Non, ne bougez pas ! Je vais trouver la sortie toute seule ! 
Au premier feu rouge que je rencontre, je lis le SMS que je viens de recevoir. C’est Bastien. Il y est écrit « merci merci merci », au moins cent fois. Le texte prend tout l’écran. Quelques secondes plus tard, je reçois un autre message, d’un numéro inconnu :« Merci Geneviève de m’avoir libérée de mes chaînes. Il m’attend, j’y retourne ! Encore une fois, merci ! Sabine qui t’embrasse»
Je suis fière de moi ! Mon blondinet est arrivé à ses fins et sa maman se découvre enfin. Il me traverse l’esprit, qu’il est quand même, l’enfant de mon mari. Ça me contrarie un peu, en y repensant.À la maison, je suis impatiente de prendre un bon bain pour me détendre. Je me prélasse dans cette eau presque trop chaude. Je rêvasse en faisant glisser ma fleur de bain sur la poitrine. J’aime faire glisser le voile sur mon pubis et en apprécie le contact rêche sur mon clitoris.
La porte s’ouvre brusquement, et, c’est mon David qui apparaît. J’ai le réflexe pudibond de me couvrir la poitrine, ce qui amuse mon petit-fils. Il s’approche et me dépose une bise sur les lèvres :— Tu veux que je te savonne, mamie ?— Si tu veux !
Le coquin s’y prend bien, il fait glisser ses mains sur mes seins, mes jambes, mes pieds, mon dos et, même si il y passe très près, il évite à chaque fois ma vulve impatiente. J’ai beau me cambrer pour la lui offrir, il ne fait que me tirer quelques poils pubiens pour m’agacer un peu plus.
Il se penche et m’embrasse à pleine bouche, quand son doigt m’envahit. Je ressens alors une décharge électrique dans le bas-ventre et me trémousse de plaisir. Je suis au bord de l’extase quand il va et vient en moi au plus profond possible. Ma main cherche et trouve son membre tendu et, de sentir cette matraque sous mes doigts, me fait trop envie !
Il l’a assurément deviné, pour dire :— C’est ça que tu veux, pas vrai ?— Oh oui mon chéri !
Je lui baisse pantalon et slip et sa belle verge jaillit. Je la contemple et la caresse.Il fait mine de me rejoindre dans le bain, mais je l’en dissuade, à mon âge ce genre de galipettes dans une baignoire, ne me convient pas.
Il m’aide à me relever et alors que j’enjambe le rebord, il me fourre à nouveau un doigt. Je reste pendue à son cou, alors qu’il me besogne la chatte. Il récupère sa main et me soulève par les fesses, avant de m’allonger sur le tapis de bain.
Il se couche ensuite sur moi et me pénètre entièrement, mais reste enfoncé sans bouger. Je tente quelques mouvements de bassins pour l’inciter à s’activer, mais il ne réagit pas. Il me fixe, avec un petit sourire presque sadique.
Je me résous alors à le supplier :— Aime moi mon chéri ! Vas-y ! Très fort !
Il me donne un violent coup de rein et me demande :— Comme ça ?— Ouiiii ! Comme ça ! Très fort ! Continue !
Il s’adonne alors à un pilonnage en règle de ma chatte. Son gros membre, bien dur, coulisse, avec violence, dans mon intimité pour en abuser. À chaque coup de pilon que je reçois, je glisse sur le sol, malgré le tapis. Ma tête finit par toucher le mur et le cogne à chaque coup de butoir. J’agrippe mes mains à son dos musclé pour me serrer contre son torse. Je cherche ses fesses pour m’en saisir à pleines mains. Quel bel et vigoureux amant est en train de me forcer !
J’adore tant sa façon virile de me faire l’amour, ou plutôt de me baiser, que je finis par éclater mon orgasme. Lui-même, rapidement, se raidit et se vide en moi. Comme c’est bon d’être aimée par ce jeune homme, même si c’est mon petit-fils.
Après m’être habillée, je rejoins David et, comme je n’en ai pas eu l’occasion auparavant, lui demande :— Tu es venu seul ? Où sont ta mère et ta sœur ?— Christelle m’a demandé de pouvoir être seule avec maman. Elles vont certainement s’amuser ensemble et, d’après ce que j’ai compris, faire les magasins, par la suite. Bastien m’a dit qu’il était occupé, alors, je me suis dis : « Et si j’allais voir mamie ! »…— Tu as bien fait ! J’en avais, justement, bigrement envie …— J’ai remarqué ça ! Mais … Je ne t’ai pas fais mal, tout à l’heure ? J’y suis allé un peu fort quand même !— Oh ! Une fois de temps en temps, ça change ! Et moi, j’avais envie de sauvagerie ! Tu l’as bien compris et je t’en remercie !— Tu sais, mamie, Je t’adore ! Tu es gentille de nous héberger chez toi. J’ai envie de te faire plaisir. Demande-moi ce que tu veux, je le ferai !— Je vais y réfléchir ! En attendant, embrasse-moi !
J’aimerais bien qu’il me fasse l’amour pendant des heures, mais j’hésite à le lui dire. Puis, mon esprit est à nouveau préoccupé par Bastien, son meilleur ami, et, chose qu’il ignore, son oncle par la même occasion.
Je lui pose des tas de questions relatives au blondinet et, intrigué, il finit par me demander :— Tu es amoureuse de lui ou quoi ? Pourquoi toutes ces questions ?Je réponds évasivement, en baragouinant de faux prétextes et je remarque sa moue dubitative. Le doute s’installe en lui. Il faut que je dissipe ce malentendu, et dis :
— Pour finir de te répondre, non ! Je ne suis pas amoureuse de lui, nous avons fait l’amour ensemble, c’est vrai, mais c’est ce que tu voulais, non ? Serais-tu jaloux de lui ?— Non, non …
L’incident est clos, mais je ressens une forme de fierté toute féminine de le savoir jaloux, malgré ses dénégations embarrassées. Cette fois, c’est moi qui l’enlace, très maternellement pour le consoler.
Pour la suite de la journée, nous restons très chastes. Chacun de notre coté, nous oeuvrons à différentes tâches, lui dans le jardin, moi dans la buanderie. De temps en temps, quand nous nous croisons, il quitte son gant et me passe la main dans le dos ou sur les fesses et j’avoue que ça me fait frissonner à chaque fois. J’attends ses caresses dès qu’il approche et regrette qu’elles soient si brèves. Au bout d’un moment, je n’y tiens plus et me serre à son torse couvert de poussières collées par la transpiration. Il est gêné pour m’enlacer, tant il se sent sale, mais moi, j’aime sentir cette odeur animale et vais même à lui lécher les pectoraux.
Quand ma langue effleure son téton, je remarque combien il est sensible de cet endroit et j’en profite pour le mordiller. Je m’étonne de savoir que les hommes soient, comme nous les femmes, aussi réactifs à cette caresse.Je sens bien dans ma main qu’il bande, mais il préfère terminer sa tâche au jardin, me promettant d’être plus disponible ultérieurement.Je suis impatiente !
En début de soirée, les filles arrivent, alors que David revient de la douche. Ma fille, Virginie, est toute guillerette et bien que je sois en colère contre elle, j’admets qu’elle est extrêmement rayonnante. Faire l’amour avec ses enfants lui réussit !
Ma petite fille Christelle me saute au cou, me dépose une bise sur les lèvres et me dit :
— Nous avons fait plein d’achats aujourd’hui ! Nous sommes même allées au sex-shop, regarde ! Par contre, si ça ne t’embête pas, on va laisser ça ici, il ne faudrait pas que papa voie ce genre de chose !
Elle ouvre un sac et me montre un tas d’objets dans leur emballage, et je ne devine pas immédiatement à quoi ils peuvent servir. Je réponds :— On verra ça plus tard, pour le moment, je veux parler à votre mère. Vous pouvez nous laisser ?
Les deux jeunes s’éloignent et Virginie a un regard interrogatif. Ça me fait mal au ventre de remuer toutes ces vieilles choses, mais la révélation de Sabine m’a beaucoup troublée et j’ai besoin de crever l’abcès. Je referme la porte de la buanderie sur nous, et lui demande :
— Virginie, tu ne m’as pas tout dit à propos des relations avec ton père ?— Je ne t’ai pas donné tous les détails, mais je t’ai dis l’essentiel, de quoi veut-tu parler ? ..— Tu avais l’habitude de le masturber, pas vrai ?— Quand il me le demandait, oui, je le faisais. Et c’est vrai, je l’ai fait longtemps et pas seulement ça …Ma fille baisse les yeux et se met à rougir.
J’ajoute, avec une colère contenue :— Voilà, j’ai rencontré une femme d’à peu près ton âge, qui te connais, et qui a été victime de la perversité de ton père !— Désolée, maman, je ne comprends pas de quoi tu me parles !— Cette femme se rappelle combien tu as été complice de son viol ! Par ton salaud de père ! Il a sauté une petite vierge qui venait me remercier, et toi, tu l’as laissé faire, tu rassurais la fille alors qu’il abusait d’elle !
Virginie écarquille les yeux et reste bouche bée, mais finit par bafouiller :— Mais, maman, je ne comprends rien de ce que tu me racontes ! Je peux t’assurer que je ne connais pas cette femme, et que, jamais, il n’y a eu une quelconque autre fille lors de nos relations avec papa ! Je te le jure !
C’est à mon tour d’être interloquée, si ce n’est pas Virginie dont Sabine parlait, ce ne peut être que mon autre fille, Agnès !Virginie semble l’avoir compris avant moi. C’est en larmes, que je me réfugie dans ses bras tendus. Quel salaud, ce type ! Comme j’ai pu être naïve ! J’étais aux petits soins pour lui alors qu’il couchait avec nos filles. Et, il est probable que je vais en apprendre d’autres à son sujet !
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