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Mamie Louise

Chapitre 3

Inceste
Suite et fin du second épisode…
Lorsque Louise perçut le glissement de la verge dans son orifice anal dilaté, elle en demeura étonnée. Contrairement à ce qu’elle appréhendait, elle ne ressentait aucune douleur spécifique : juste une légère gêne sans plus. Elle tenta alors d’analyser ce qu’elle percevait ; si le va-et-vient du volumineux dard dans son cul se faisait sans qu’elle ne ressente cette souffrance qu’elle redoutait, elle n’en percevait cependant aucun plaisir particulier. C’était donc cela que l’on éprouvait à se faire enculer ? Quelque peu déçue, Louise s’abandonna cependant aux coups de boutoir, de plus en plus prononcés, de son jeune amant. Chaque pénétration du membre dans les profondeurs de ses entrailles provoquait le choc du bas-ventre de Julien contre son derrière et lui meurtrissait les fesses. Comme son regard croisa celui de Julien, elle y découvrit une certaine fixité... Ce regard plein d’exaltation la renseigna sur le plaisir que son jeune amant semblait, de son côté, éprouver à l’enculer. A l’ardeur qu’il mettait à pilonner son anus, il était évident qu’il éprouvait une certaine jouissance.— Tu es bien dans mon cul, questionna-t-elle, vicieuse ?— Oui, c’est merveilleux… Tu es tellement étroite de ce côté…— Ça te change de mon garage à bites, plaisanta-t-elle, reprenant le qualificatif avec lequel il avait qualifié sa chatte, quelques instants plus tôt… Pourquoi tu n’as jamais essayé de me prendre de ce côté ?... Moi aussi j’avais envie de savoir ce que ça faisait de se faire enculer, mais je n’osais pas te le demander de peur que tu me prennes pour une dépravée !— Et tu aimes ?— Pour l’instant je ne peux pas dire que j’éprouve un plaisir particulier… Mais ça va peut-être venir… Il faut que je m’habitue à être prise de ce côté-là…Alors qu’elle tentait d’analyser les sensations qu’elle ressentait, Louise se rappela soudain de la présence de son petit-fils tapi à l’étage de la remise, et qui depuis son poste d’observation ne devait rien perdre du spectacle qu’elle devait lui offrir, ainsi écartelée, la verge de Julien plantée dans le cul. Cette soudaine pensée lui procura, encore une fois, une excitation perverse qui se traduisit immédiatement par un afflux de cyprine. Or étrangement, une soudaine onde de volupté la parcourut. Surprise, elle ressentit un début de plaisir envahir ses entrailles. Le va-et-vient de plus en plus rythmé du membre masculin entre ses fesses meurtries lui devint plus agréable. Retrouvant ses habitudes sexuelles, elle tint à le faire savoir à son partenaire dans son langage imagé.— Oui, ça vient… Je crois que mon cul s’est habitué à ta bite !... Hhhuuummm c’est agréable…
Soudain rassuré sur l’acceptation de Louise à subir cette perverse intromission, Julien accéléra ses va-et-vient à l’intérieur des intestins de cette dernière. Sa verge extrêmement pressée par l’étroitesse de l’orifice anal lui procurait un tel plaisir qu’il sentit la jouissance prendre possession de ses organes génitaux. Pris par l’intense volupté que lui procurait cette sodomie auquel il avait tant rêvé, Julien ne put retenir l’orgasme qui l’arqua convulsivement. Telle une lance d’incendie, sa queue aspergea les intestins de sa partenaire, lui remplissant copieusement le fondement de son sperme.— Oh putain que c’est bon, grogna-t-il dans un spasme incontrôlable.
Louise qui peu à peu sentait le plaisir la subjuguer, imagina la semence virile de son jeune amant se répandant dans ses entrailles. Cette évocation déclencha aussitôt en elle une jouissance fulgurante, accompagnant son jeune amant dans le plaisir.
Les jambes flageolantes, les mains crochetées dans les hanches charnues de son ardente maîtresse, Julien reprit lentement ses esprits. C’est la voix de son amante qui le ramena à la réalité au bout d’un instant.— Salaud, lui murmura-t-elle d’une voix amoureuse, tu es satisfait ?... Tu t’es bien vidé les couilles dans mon cul !... J’ai eu droit à un sacré lavement !...Les deux amants demeurèrent un long moment immobiles, intimement liés l’un à l’autre par le membre viril de Julien. C’est Louise qui, concentrée sur ce qu’elle ressentait dans son anus maintenant habitué à la présence du membre masculin, rompit le silence :— Oh, je la sens diminuer… Elle devient toute molle…
Julien qui de son côté s’était rendu compte que son membre perdait de sa rigidité le retira délicatement des intestins dans lesquels il venait de décharger. Libéré, le sphincter demeura un moment dilaté avant de se refermer délicatement, procurant un plaisir diffus à sa propriétaire.Les reins moulus à être restée étendue sur le support de bois, Louise se redressa péniblement et dans un réflexe féminin, elle glissa une main protectrice entre ses cuisses. Etonnée de ne pas récupérer dans sa paume le sperme dont Julien l’avait si copieusement aspergé, elle plaisanta :— C’est bien de ce côté !... Tout reste à l’intérieur…Jetant un regard au membre qui n’avait plus rien de viril, Louise dont le désir n’était pas complètement assagi songea à redonner de la vigueur à cette verge si merveilleuse. Mais songeant à son petit-fils toujours tapi dans les combles de la remise, et qui n’avait certainement rien perdu du spectacle terriblement obscène qui s’était déroulé au-dessous de lui, elle préféra laisser partir son amant.
— Sort tout seul, je ne voudrais pas que mon petit-fils nous voie ensemble, mentit-elle… Je t’attends la semaine prochaine, continua-t-elle en l’embrassant tendrement, plus comme une mère que comme une amante.Lorsque Julien, qu’elle surveillait eut quitté la cour de la ferme, à bord de sa camionnette, Louise se dirigea au pied de l’échelle qui permettait l’accès au grenier où était stocké le foin des chèvres dans lequel se cachait son petit-fils. Il fallait qu’elle ait une discussion sérieuse avec celui-ci — Jérémy ! Appela-t-elle... Je sais que tu es là !... Je monte !…

Chapitre III

La gorge nouée par l’anxiété du fait de la discussion qu’elle s’apprêtait à avoir avec son petit-fils, Louise entreprit de gravir les barreaux de l’échelle qui permettait l’accès au grenier à foin. Elle devait avoir une explication avec l’adolescent, il fallait qu’elle tente de justifier ses agissements et surtout qu’elle convainque l’adolescent de garder pour lui ce à quoi il venait d’assister.Arrivant au fenil elle découvrit Jérémy assis, tête baissée, comme s’il ne voulait pas la regarder. Sans un mot, elle s’approcha de lui et s’installa à ses côtés.— C’est donc là que tu viens t’isoler, constata-t-elle doucement ?Comme Jérémy refusait de lui répondre, Louise lui passa tendrement la main dans ses cheveux pour retirer quelques brins de paille.— Je me doute bien que ce à quoi tu as assisté a dû te perturber, continua-t-elle d’une voix qu’elle essaya de rendre la plus douce possible… Mais je ne voudrais pas que tu me juges trop mal… Tu es maintenant suffisamment adulte pour entendre ce que j’ai à te dire… Tu dois être au courant que certaines personnes ont un besoin sexuel plus intense que d’autres… Toi-même, je suis certaine que le sexe te travaille fréquemment... Je me trompe ?
Jérémy, qui s’attendait à ce que sa grand-mère le sermonne sévèrement pour l’avoir épiée dans une activité qu’il n’aurait pas dû voir, se trouva soudainement rassuré par le ton employé par cette dernière. Soudainement tranquillisé, il retrouva son assurance et retrouva l’usage de la parole :— Heu, oui…
Légèrement soulagée, Louise continua, assurant sa défense.— Eh quand tu as très envie, tu dois te br… te soulager ?Bizarrement, Louise s’aperçut qu’elle n’arrivait pas avec son petit-fils à s’exprimer avec les mêmes mots qu’elle employait avec son amant, et même avec son mari lors de leurs relations sexuelles.
Comme sa grand-mère semblait attendre une réponse, Jérémy se sentit forcé d’avouer :— Heu oui…
— Et bien moi aussi je suis comme toi tu sais… Malgré mon âge… Tu dois penser que les « vieux » n’ont plus de besoins sexuels, qu’ils n’ont plus de rapports amoureux… C’est faux ; certains, et c’est mon cas, ont encore des exigences, alors que ton grand-père de son côté n’en éprouve pratiquement plus… J’ai besoin lorsque je ressens ces envies d’avoir des rapports comme toi tu as besoin de te… masturber, c’est comme ça que l’on dit ?
Particulièrement gêné, Jérémy d’une voix assourdi acquiesça :— Ouuii
— Si tu m’as vu avec M. Louvin, continua Louise, c’est parce que ton grand-père ne peut malheureusement me contenter sexuellement… Il n’y a rien de sérieux entre nous. J’aime trop ton grand-père malgré nos petits problèmes dus à l’âge…Louise se tut, laissant le silence s’installer entre elle et Jérémy, pour que ce dernier s’imprègne de ses confidences. Après quelques minutes où aucun des deux ne prononça pas la moindre parole, Louise décida de reprendre ses explications.— Tu as compris ce que je t’ai expliqué, mon chéri ?— Ouu… oui, mamie.— Tu ne voudrais pas faire de peine à ton papi, n’est-ce pas ? — Oh non !— Alors il ne faudra surtout pas lui dire ce que tu as vu !... Tu es d’accord ?— Oui, je ne lui dirais rien… Je te le promets !— C’est bien mon chéri, tu es un amour… Ce sera notre secret…Rassurée sur le silence de son petit-fils au sujet de ses frasques amoureuses, Louise débarrassée de son anxiété attira Jérémy à elle pour l’embrasser affectueusement tout en lui caressant tendrement les cheveux.Les deux complices demeurèrent ainsi tendrement enlacés un long moment, chacun songeant à ce qu’il venait de vivre. Momentanément apaisée par ses deux jouissances consécutives, Louise se remémora avec émotion les voluptueux moments passés en compagnie de Julien.
Jérémy, la tête posée contre l’épaule de sa grand-mère, l’esprit rempli des visions des ébats amoureux, de celle-ci éprouvait une sournoise excitation à humer le parfum épicé qui sourdait du corps qui venait de connaître tant de plaisir. Excitation qui ne fit que s’intensifier soudainement, lorsque baissant les yeux, il découvrit une cuisse dénudée. L’un des pans de la blouse, dont le dernier bouton n’était pas accroché, avait glissé le long de la jambe que Louise avait repliée, dénudant une cuisse pulpeuse à l’aspect velouté. Fixant avec émotion cette chair à l’apparence moelleuse, Jérémy sentit sa gorge se nouer, tandis que dans son slip sa virilité, qui s’était quelque peu ramollie lorsque Louise l’avait interpellé, se redressait inexorablement. Un désir insensé s’empara de lui : pouvoir toucher cette cuisse affolante qui s’offrait à sa vue… Sachant son envie irréalisable, Jérémy tenta de s’y soustraire en détournant son attention de l’objet de sa convoitise.Mais, comme si sa grand-mère s’était rendu compte de sa tenue inconvenante, elle se pencha afin de remettre sa blouse en place. Jérémy ne put faire autrement que plonger son regard dans l’échancrure relâchée de la blouse. La vision des deux masses de chair séparées l’une de l’autre par un étroit sillon fit monter d’un cran son excitation. Certes il avait, quelques instants auparavant, pu contempler à loisir les appas de sa grand-mère lorsque celle-ci s’offrait impudiquement à son amant ; mais cela s’était passé à plusieurs mètres de lui, alors que présentement les merveilleux seins lui apparaissaient à quelques centimètres. Les deux globes étrangement blancs par rapport au haut de la poitrine bronzée, avaient un effet autrement érotique.
Quelque peu comblée sexuellement par les deux orgasmes successifs que lui avait fait connaître Julien et rassuré sur le silence de Jérémy, Louise se laissa envahir par cette douce béatitude engendrée par ses précédentes jouissances. Mais alors qu’elle serrait tendrement son petit-fils contre elle, heureuse de sentir sa tête contre son épaule, une pensée soudaine lui traversa l’esprit, la troublant considérablement... Le spectacle qu’à son insu elle avait offert à Jérémy avait certainement dû perturber fortement celui-ci. A son âge, songea-t-elle, ses sens prompts à s’émouvoir avaient sûrement déclenché chez lui une montée de désir ; et réalisa-t-elle soudain, alors qu’elle le cajolait affectueusement, Jérémy était peut-être en proie à une érection, et cela à cause d’elle. Avec émoi, Louise prit conscience qu’elle était responsable de l’état d’excitation de son de petit-fils. Ce ne serait pas la première fois, se remémora-t-elle ; le matin même, Jérémy avait fui la cuisine, une bosse significative déformant son pantalon de pyjama. L’esprit encore brouillé suite aux instants voluptueux qu’elle venait de connaître, Louise prit une décision que seule la torpeur sensuelle qui l’habitait encore pouvait lui avoir soufflée. Puisque Jérémy était en proie à une érection à cause d’elle, elle se devait de le soulager ; comme elle le soignait étant enfant lorsqu’il revenait avec le coude ou le genou écorché. Sa décision prise, Louise décida de passer aux actes, inconsciente de ce que son projet avait de pervers, d’incestueux même. Dans un geste naturel, elle posa délicatement sa main droite sur la cuisse nue de Jérémy, éprouvant à ce contact une onde de tendresse mêlée à un certain plaisir équivoque. Dans un souffle, elle murmura :— Je peux te poser une question, mon chéri ?— Oui, mamie, s’empressa d’acquiescer Jérémy, dont le contact des doigts en une caresse éthérée sur sa chair nue venait de lui procurer une douce exaltation.— Qu’est-ce que tu as ressentie lorsque tu nous as découvert Julien et moi en train de… de… enfin tu me comprends !Décidément, ces mots qu’elle employait naturellement avec son amant ne parvenaient pas à sortir de sa bouche lorsqu’elle s’adressait à son petit-fils.— En train de faire l’amour, répondit Jérémy, nullement gêné d’appeler un chat un chat.Surprise par lucidité de son petit-fils, Louise demeura un moment sans voix. Mais désirant coute que coute mener son projet à bien, elle continua :— Oui quand tu nous as vus… faire l’amour !... Qu’est-ce que tu as éprouvé ?Ne sachant que répondre à la question terriblement indiscrète que sa grand-mère lui posait, Jérémy se contenta de bégayer :— Ben… Heeuuu…Comprenant que Jérémy ne se livrerait pas aussi facilement, Louise décida de prendre l’initiative. Doucement, comme pour ne pas effaroucher son « bébé », elle entreprit de laisser courir sa main le long de la cuisse nue, dans une caresse de plus en plus prononcée.— Ça t’a excité de me voir faire l’amour, demanda-t-elle d’une voix mielleuse.Affreusement gêné par la question de sa grand-mère, Jérémy demeura un long moment silencieux avant de reconnaître dans un souffle :— Ou… ouuii…Louise ressentit un immense bonheur. Enfin elle allait atteindre son but.— C’est vrai mon chéri ?... Ça t’a vraiment excité ?... Continua-t-elle en frôlant nonchalamment la braguette du short, de ses doigts.
Ce simple effleurement sur la bosse que faisait son membre gonflé qui déformait le devant de son short provoqua une poussée de désir chez Jérémy. Dans un gémissement où se mêlaient plaisir et impatience sexuelle, il poussa son bas-ventre au-devant de la main ensorcelante, pour l’inciter à affiner son attouchement.
Bien que faible, le tressaillement qui agita Jérémy suite à son effleurement n’échappa pas à Louise. Cette réaction ne fit que la conforter dans son projet incestueux. Esclave de ses sens, incapable de juger sainement son comportement, elle referma ses doigts sur la protubérance qui boursouflait le devant du short.— Oh ! Comme tu es dur, murmura-t-elle d’une voix où se mêlaient tendresse et émotion soudaine.Prise à son propre jeu, elle ressentit un vif désir à presser la forme allongée du jeune sexe en érection. Tâtant soigneusement les contours de la virilité qu’elle découvrait, elle songea que Jérémy, vu son âge avait été particulièrement pourvu par la nature. L’excroissance qu’elle percevait sous ses doigts la surprit par sa grosseur. Il lui parut incroyable qu’à seize ans Jérémy puisse posséder un membre si épais !... Comme prise de doute, elle palpa plus fermement l’étonnante protubérance.
Lorsque les doigts de sa grand-mère vinrent à travers son short frôler son sexe en érection, Jérémy ressentit une telle montée de désir qu’il lui sembla qu’il n’allait pouvoir empêcher sa verge d’exploser. Dans un geste de pudeur vis-à-vis de sa grand-mère et surtout afin d’empêcher cette dernière de l’amener à décharger avec ses attouchements, Jérémy posa sa main sur la main qui risquait de le faire lâcher son sperme dans son slip. Ce qu’il redoutait.— Noonn, Mamie, réussit-il à bredouiller…— Qu’est-ce qu’il t’arrive mon chéri… Je sens que tu as une grosse envie !... C’est à cause de ce que tu as vu ?Que pouvait répondre Jérémy à ce genre de question ; évidemment que le spectacle auquel il avait assisté avait fait naître en lui cette formidable érection. Ce n’était certes pas courant de surprendre sa grand-mère, entièrement nue faire l’amour avec un étranger. C’était surtout les postures terriblement obscènes que sa grand-mère adoptait, qui avait porté son excitation à son comble. Elle avait exécuté une chorégraphie amoureuse d’une indécence inimaginable. Joint à cela, les encouragements en termes extrêmement crus, qu’elle dispensait à son amant, elle qui d’habitude était d’une correction exemplaire, avaient fini d’échauffer Jérémy.Ne pouvant avouer à sa grand-mère qu’elle était en effet responsable de son émoi sexuel, Jérémy ne réussit qu’à bafouiller :— Heeuuu…
A sentir la forme oblongue et gonflée, sous ses doigts accentua chez Louise ce désir irraisonné. Qu’importe que l’adolescent qu’elle palpait vicieusement fût son petit-fils ; la lubricité qui s’était emparée d’elle lui faisait perdre toute décence, tout raisonnement. Une seule chose comptait ; sentir la douceur de la jeune verge contre sa paume, la sentir frémir sous ses doigts. Soudain impatiente, faisant fi de la main de Jérémy qui tentait de stopper ses attouchements, elle pressa plus fermement la protubérance convoitée :— Mon pauvre chéri, minauda-t-elle d’une voix qu’elle essaya de rendre la plus sensuelle possible… Tu ne peux rester comme ça !... Tu veux que Mamie te soulage ?... Comme Jérémy ne répondait pas à sa demande, Louise insista :— Puisque c’est à cause de moi que tu es si excité, c’est normal que je calme cette grosse envie…
La surprenante proposition que sa grand-mère lui proposait laissa Jérémy ébahi. Celle qui le soir, seul dans son lit, le faisait tant fantasmer lui proposait tout simplement de le branler… La stupéfaction fut telle qu’il ressentit un choc émotionnel qui le statufia sur place. Il lui sembla que son bas-ventre devenait aussi dur que de la pierre, tandis que son cœur s’affolait subitement. Alors qu’il cherchait désespérément quel comportement tenir face à la déclaration que venait de lui faire sa grand-mère, celle-ci avait déjà dégrafé la ceinture de son short.
Fébrile, Louise s’était attaquée à la fermeture éclair du short. Ecartant le vêtement dégrafé, elle contempla un instant la bosse qui déformait le slip blanc, tentant de s’imaginer le jeune membre viril qui s’y cachait. La forme allongée qu’elle décelait correspondait aux contours qu’elle avait palpés quelques minutes auparavant. Mais l’impatience érotique la gagnant, elle crocheta l’élastique du slip qu’elle tira vers le bas, dénudant le jeune sexe tendu. Libérée du vêtement qui la protégeait, la verge, tel un diablotin jaillissant de sa boite, se redressa raide et orgueilleuse. Bien que s’attendant à ce qu’elle allait découvrir, Louise n’en resta pas moins ébahie. L’organe sexuel qui s’offrait à sa vue était tel qu’elle l’avait pressenti lorsqu’elle l’avait palpé en aveugle. D’une longueur normale pour un adolescent de l’âge de Jérémy, la bite érigée présentait par contre une grosseur étonnante. Etonnée de cette particularité, Louise tenta de faire une comparaison avec le membre de Julien. Il lui sembla que la verge de Jérémy qu’elle fixait égalait en volume celle de son amant beaucoup plus âgé.Ne pouvant résister plus longtemps, Louise referma sa main autour de la queue dressée au gland largement décalotté. Immédiatement, la douceur de la chair, jointe à la fermeté de l’organe sexuel, lui procura un sentiment de bonheur. Si lors de ses moments intimes avec Julien seul la sexualité comptait ; avec Jérémy, alors qu’elle tenait en main sa bitte bandée, elle n’éprouvait que tendresse et amour. Ce qu’elle s’apprêtait à faire n’était pas causé par un désir sexuel quelconque, tentait-elle de se convaincre, mais simplement par affection pour ce petit-fils qu’elle adorait. Jérémy éprouvait un problème érotique par sa faute : aussi, en grand-mère aimante, elle se devait de lui venir en aide. C’est avec beaucoup de douceur qu’elle entreprit de faire coulisser ses doigts refermés autour de la tige de chair tout en fixant, attentive, la minuscule ouverture du méat, d’où allait jaillir la semence intime de son ado de petit-fils.
Lorsque sa grand-mère empoigna sa verge raidie, Jérémy dont l’excitation était à son comble, ressentit comme une décharge électrique dans tout le bas-ventre. C’était la première fois qu’il ressentait une telle sensation. Mais dès que la main qui pressait son membre viril commença à coulisser de haut en bas et inversement, dans une masturbation extrêmement douce, mais aussi terriblement excitante, Jérémy s’affola. Le désir qu’il ressentait était par trop intense. Affolé, il sentit qu’il ne pourrait retenir la jouissance qui lui crispait le bas-ventre et qu’il sentait sur le point de jaillir. Une pensée fulgurante lui traversa l’esprit : il ne pouvait décharger ainsi dans la main de sa grand-mère. Dans un geste d’ultime défense, il se saisit du poignet de cette dernière afin de l’immobiliser.
Quand les doigts de Jérémy se refermèrent sur son poignet, Louise comprit immédiatement les craintes de son petit-fils. A voir son visage tourmenté par l’effort qu’il faisait, elle sut que ce dernier était au bord de la jouissance, et qu’il tentait désespérément de retenir celle-ci. Cessant sa masturbation, mais sans pour autant lâcher la jeune bite, elle décida de jouer l’innocente :— Qu’est-ce qu’il y a mon chéri ?... Tu n’aimes pas ma façon de te… branler, continua-t-elle, réussissant à employer les termes qu’elle réservait à Julien, son amant… Je ne le fais pas comme il faut ?...— Hheeuu si, réussit à répondre Jérémy ravi, mais énormément gêné d’être ainsi masturbé par sa grand-mère.Amusée intérieurement par la confusion de son petit-fils, Louise continua, tentant de réconforter ce dernier :— Qu’est-ce qu’il y a mon chéri ?... Tu ne veux pas que je continue ?... Laisse-moi faire, tu seras mieux après…
Fixant avec émoi le gland cramoisi d’où, tels des geysers, jailliraient les salves de sperme, Louise perçut une inconvenante chaleur se propager dans ses entrailles. Surprise de constater qu’elle pouvait ressentir une certaine excitation à branler son petit-fils, elle tenta de chasser ce malaise érotique déplacé. Cependant, comme animée d’une volonté propre, sa main reprit son mouvement de va-et-vient un instant stoppé par Jérémy, le long de la bite érigée.
D’abord surpris par la soudaine augmentation de cadence que sa grand-mère apportait à sa masturbation, Jérémy ressentit une montée foudroyante de plaisir. Cessant de lutter, il s’abandonna alors à l’orgasme qui le cambra spasmodiquement. Dans un grognement inhumain, il tenta de prévenir sa grand-mère :— Rrhhaaa, Mamiiieee !.... Rrrhhhoooo…
Avant même que Jérémy tente de l’avertir de l’imminence de sa jouissance, Louise l’avait pressentie en percevant le frémissement de la verge entre ses doigts. Elle avait aussitôt fixé la minuscule ouverture du gland, guettant le jaillissement du liquide séminal. Lorsque le premier jet blanchâtre fusa, décrivant une courbe avant de lui retomber sur le poignet, elle en éprouva un véritable bonheur. Ce qu’elle avait entrepris par amour filial, en décidant de soulager sexuellement son petit-fils, lui avait procuré, à l’instant de l’éjaculation, un plaisir sensuel incompréhensible.Les giclées de sperme se succédèrent à un rythme rapide, jaillissant par saccades de moins en moins vigoureuses, lui souillant la main et le poignet d’un liquide gras et blanchâtre. Fixant cette liqueur visqueuse qui lui maculait les doigts, Louise dut faire un effort de volonté pour ne pas les porter à sa bouche et goûter à ce sperme liquoreux.Lorsque le bourgeon de chair eut craché ses dernières salves, Louise refoulant l’envie qu’elle avait de le prendre dans sa bouche pour le nettoyer, comme elle en avait l’habitude avec son amant, se contenta de l’essuyer avec le bas de sa blouse. Puis se nettoyant avec regret la main avec une poignée de foin, elle demanda :— C’était bon, mon chéri ?... Ça va mieux ?...— Oh ! Oui, s’empressa d’acquiescer Jérémy, soudain plein de tendresse pour sa grand-mère.Dans un élan d’amour, il se jeta dans les bras de celle qui venait de lui faire connaître sa première réelle jouissance.
Attendrie par ce geste d’affection, Louise se laissa emporter par l’émotion. Pressant le visage de Jérémy contre sa poitrine, elle passa sa main dans ses cheveux dans une affectueuse caresse.— C’est vrai que tu as aimé, questionna-t-elle, attendrie ? ... C’était aussi bon que lorsque tu le fais toi-même, continua-t-elle, emportée par un étrange sentiment pervers ?
Complètement acquis à sa grand-mère, qui venait de lui prodiguer un plaisir d’une intensité encore jamais atteinte lors de ses masturbations solitaires, Jérémy s’exprima cette fois sans aucune crainte. — Oh oui !
Après un moment de silence passé à méditer, une pensée subite traversa l’esprit de Louise. Le cœur battant elle pressa plus fortement la tête de Jérémy contre sa poitrine, comme pour échapper au regard de ce dernier. Ce qu’elle allait lui annoncer la perturbait considérablement, mais il fallait qu’elle lui en fasse part. L’éjaculation qu’elle avait déclenchée lui avait procuré un plaisir manifeste. Les effets qu’elle en avait ressentis au sein de ses organes avaient été si délicieux, qu’elle mourrait d’envie de les retrouver.— Tu sais, murmura-t-elle d’une voix presque inaudible, comme si elle avait honte de ce qu’elle allait demander… Si jamais tu avais de nouveau envie comme tout à l’heure… Tu… Tu pourrais venir me voir… Je pourrais te soulager… Tu aimerais ?…— C’est vrai, Mamie, s’exclama Jérémy éberlué !— Mais oui, mon chéri… Mais ça doit rester entre nous… Il vaut mieux que ton grand-père ne sache rien… Ce sera notre secret. Tu me le promets ?— Oh oui, Mamie… Je te le jure !...

* **
Le reste de la journée se passa dans une hyperémotivité grandissante pour Jérémy. La proposition que sa grand-mère lui avait faite ne cessait de lui titiller l’esprit. Oserait-il lui rappeler sa promesse lorsque le désir se ferait sentir ? Comment alors ferait-elle pour le calmer comme elle l’avait fait quelques instants plus tôt si son grand-père était présent à la ferme ?Comme sa grand-mère avait repris ses occupations journalières, s’occupant des différents travaux de la ferme, désœuvré Jérémy parti se promener à travers les sentiers qui longeaient les champs entourant la ferme.Alors qu’il atteignait la mare où il avait l’habitude de venir, il s’assit au pied d’un saule pleureur et ignorant le coassement des grenouilles, il se plongea dans ses pensées ; se remémorant ce qu’il venait de vivre. La découverte de sa grand-mère faisant l’amour avec le commerçant qui venait leur acheter des fromages l’avait surpris et même choqué. Mais la vision des seins charnus, objets de ses fantasmes, lui avait fait oublier l’infidélité de sa grand-mère. La découverte des généreux appas avait fait passer l’adultère à laquelle s’était adonnée sa grand-mère, pour faire naître en lui une extraordinaire excitation.
Occupée à la confection de ses fromages de chèvre, Louise ne pouvait empêcher son esprit de se polariser sur ce qu’elle venait de vivre. Julien avait en virtuose joué avec les différentes zones érogènes de son corps, déclenchant de longs frissons de volupté dans ses entrailles, qui l’avaient amené peu à peu aux portes de la jouissance. Le souvenir de l’émotion qui l’avait étreinte lorsque, offerte aux coups de boutoir de son amant, elle avait découvert le visage de Jérémy les épiant lui revint en mémoire. La surprise avait été telle, que bizarrement elle en avait ressenti une excitation perverse et son plaisir s’en était trouvé décuplé.Après le départ de Julien, elle s’était empressée de rejoindre Jérémy afin de l’adjurer de ne rien dire de ce à quoi il avait assisté. Or au cours de la discussion qui s’était mieux passée que ce qu’elle avait craint, elle avait décelé la bosse significative qui déformait le devant du short de l’adolescent. Etonnamment surprise par cette preuve de l’émoi sexuel qui perturbait son petit-fils, elle avait immédiatement, sans réfléchir, décidé qu’elle devait venir en aide à son « bébé » comme elle continuait à l’appeler.Même s’il avait eu l’air surpris, Jérémy l’avait laissé faire, acceptant même avec un certain plaisir les attouchements incestueux qu’elle lui avait prodigués. Mais à branler ainsi la jeune verge prête à exploser, ce qu’elle avait entrepris comme une thérapie afin de soulager son petit-fils, se transforma pour elle en un plaisir certain. Et lorsque le premier jet de sperme avait jailli, tel un minuscule geyser blanchâtre, cela avait déclenché en elle une véritable exaltation. Suite à cette euphorie érotique, sous l’emprise de ses sens, elle avait alors proposé à Jérémy de le branler aussi souvent qu’il en aurait besoin !... Ayant repris ses esprits, Louise se rendait compte que sa promesse faite dans un moment de lubricité l’avait engagé dans un sentier dangereux et même interdit !... Mais alors qu’elle cherchait comment elle pourrait se tirer de ce mauvais pas, elle comprit soudain qu’elle n’en avait pas vraiment envie. La sensation qu’elle avait ressentie à faire jouir son adolescent de petit-fils avait été d’un tel érotisme que dans son subconscient elle mourrait d’envie de retrouver ce plaisir ; même si cela la conduisait à un acte incestueux condamnable.
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Dix-neuf heures sonnaient au clocher du village alors que toute la famille était regroupée autour de la table de cuisine pour le diner. Maurice seul parlait, expliquant son travail de la journée : l’élagage et le fauchage des bordures des chemins vicinaux. Louise et Jérémy l’écoutaient en silence, se jetant de temps à autre des regards complices : chacun se remémorant les sensuels instants passés lors de l’absence de Maurice.Devenu plus assuré depuis que sa grand-mère l’avait si agréablement masturbé jusqu’à l’éjaculation finale, Jérémy ne pouvait s’empêcher de regarder cette dernière d’un œil nouveau. Attablé face à elle, il ne craignait plus de fixer avec insistance les bosses alléchantes qui déformaient le devant de la blouse.
Louise dont les souvenirs de ce qu’elle avait éprouvé avec Julien, puis avec Jérémy se mélangeaient en un kaléidoscope érotique, écoutait d’une oreille distraite les explications de son époux. Elle n’avait pas été sans remarquer le regard de son petit-fils en direction de sa poitrine. La fixité avec laquelle Jérémy lorgnait ses appas la troubla, et en même temps la renseigna sur l’effet érotique que sa poitrine provoquait sur les sens d’un adolescent. C’était bien la première fois que son petit-fils contemplait aussi ostensiblement ses rondeurs mammaires. Elle réalisa alors que suite à son initiative du matin, Jérémy avait pris de l’assurance : cette assurance de jeune mâle qui vient de découvrir sa première jouissance grâce à une femme. Un sentiment de fierté et de tendresse envahit Louise ; Jérémy était devenu un homme et cela grâce à elle. Inconsciemment elle gonfla sa poitrine, faisant saillir les rondeurs jumelles de ses seins, sachant combien l’adolescent était attiré par ceux-ci.
Le repas terminé, alors que Louise aidée par Jérémy plaçait les couverts dans le lave-vaisselle, Maurice s’installa, comme chaque soir, devant la télé afin de prendre connaissance des dernières infos.Libérée de ses tâches ménagères, Louise se saisissant d’une de ses revues annonça :— Je vais lire dehors !...— Je peux venir avec toi, demanda Jérémy ?— Si tu veux mon chéri, répliqua Louise qui espérait cette demande.Comme chaque soir en ce mois de juillet où les soirées sont longues et les températures douces, Louise laissant son mari scotché devant sa télé allait s’installer sur le banc de bois placé contre la façade de la ferme. Là elle s’occupait à quelques travaux de couture ou bien lisait-elle une revue. Heureuse que son petit-fils ait choisi d’être à ses côtés, elle plaça un coussin sur le banc avant d’y prendre place.
Jérémy qui pendant tout le repas n’avait cessé de contempler les volumineuses bosses qui déformaient le devant de la blouse fleurie n’avait pas tardé à éprouver un puissant désir. Le membre tendu à l’intérieur de son slip soudain trop étroit, il demeura debout face à sa grand-mère, ne sachant comment lui rappeler la promesse qu’elle lui avait faite le matin. De plus la présence proche de son grand-père risquait fort de ne pas faciliter ses désirs.— Eh bien, mon chéri… Qu’est-ce que tu attends pour venir près de moi ? Résigné, Jérémy s’installa aux côtés de sa grand-mère.
Au bout d’un long moment, Louise rompit le silence qui s’était établi entre eux. — Tu te souviens comme tu aimais venir t’étendre sur mes jambes lorsque tu étais plus jeune ?— Oui, Mamie !... Je peux venir ?— Mais oui mon chéri…Sans plus attendre, Jérémy s’étendit sur le banc et posa sa tête sur les cuisses de sa grand-mère, comme il le faisait lorsqu’il était enfant. Aussitôt, comme si elle n’attendait que ça, Louise glissa sa main gauche dans la chevelure de son petit-fils, éprouvant un doux bonheur à lui caresser doucement la nuque.— Tu es bien mon chéri ?— Oui, murmura Jérémy qui avait l’impression de se retrouver quelques années plus tôt.Mais si à l’époque le fait de percevoir la rondeur du ventre de sa grand-mère contre sa joue lui était indifférent, ce soir il en était autrement ; ce contact lui procurait une troublante excitation. Excitation qui ne fit que s’accentuer avec la vision au-dessus de son visage des affolantes rondeurs de la lourde poitrine. Fixant ces deux proéminences, Jérémy tenta de se souvenir de leurs formes et de leurs volumes tels qu’il les avait découvertes le matin même libre de toutes protections. De nouveau à ces souvenirs son membre se rappela à lui en se durcissant un peu plus.
Tout en passant tendrement les doigts de la main gauche dans la chevelure de son petit-fils, Louise posa sa main droite sur le torse de l’adolescent qu’elle caressa tendrement. Tous deux demeuraient étrangement muets, chacun se remémorant les scènes érotiques du matin ; ne sachant comment les revivre. Si Jérémy se repassait en boucle les images sexuelles où sa grand-mère lui était apparue dans une tenue et dans une activité terriblement indécente, et même obscène, Louise de son côté ne pouvait s’empêcher de songer à la douceur de cette queue qu’elle avait tenue en main. Pouvoir de nouveau serrer la jeune verge entre ses doigts était son désir le plus cher, mais un reste de décence l’empêchait de faire ce geste. Lorsque le matin même elle avait entrepris de branler Jérémy, elle était encore sous l’émotion sexuelle due à ce qu’elle venait de vivre en compagnie de son amant ; mais présentement l’extravagance de ce qu’elle désirait entreprendre lui apparaissait clairement, modérant ses convoitises érotiques. Mais alors qu’elle tentait de raisonner ses désirs incestueux, Louise ne pouvait s’empêcher de jeter de furtifs coups d’œil en direction du bas-ventre de Jérémy dans l’espoir de découvrir une preuve d’un début de désir. Aussi lorsqu’elle discerna soudain une bosse qui déformait anormalement le short de l’adolescent elle éprouva un immense plaisir : cette découverte l’incitait à assumer ses intentions perverses, refoulant du même coup ses hésitations. Rejetant alors toute retenue, oubliant ses scrupules, Louise osa poser une main dominatrice sur cette affolante excroissance.
Alors qu’il s’était résigné à devoir se servir de sa main pour se faire jouir dès qu’il serait dans son lit, Jérémy, la tête calée contre le ventre de sa grand-mère, sentit soudain la main de cette dernière se refermer sur sa virilité gonflée. Un long frémissement voluptueux lui parcourut l’échine. Un espoir insensé l’envahit. Le cœur battant il attendit la suite des évènements, l’excitation à son comble.— Qu’est-ce que je sens là, minauda Louise d’un ton coquin ?... Resserrant ses doigts autour de la forme allongée qu’elle percevait sous le tissu du short, elle continua sur le même ton :— J’ai l’impression que tu as encore une grosse envie ?... … Tu ne peux pas aller te coucher comme ça, continua-t-elle après quelques secondes passées à presser la verge tendue entre ses doigts… Tu veux que je te… soulage ?Décidément, les mots qu’elle utilisait si facilement habituellement et même avec un certain plaisir vicieux avec son amant et son mari avaient des difficultés à franchir ses lèvres, lorsqu’elle s’adressait à Jérémy. Le jeune âge de ce dernier l’empêchait de s’exprimer aussi crûment qu’elle en avait l’habitude lors de ses frasques sexuelles. — Mais Papy, s’inquiéta Jérémy.— Chut, laisse-moi faire…Soudain impatiente d’assouvir ses désirs secrets, Louise dégrafa le bouton de la ceinture du short. Puis dans l’espace ainsi pratiquée elle glissa une main fébrile. Ses doigts frôlèrent l’excroissance notable qui déformait le slip. Un gémissement étouffé accompagna son attouchement. La main bien à l’abri à l’intérieur du short, Louise prolongea son effleurement le long de la proéminence que faisait le membre bandé, la frôlant du bout des doigts, s’ingéniant à accroître le désir de Jérémy, ainsi que le sien par contrecoup.
Lorsque les doigts fureteurs de sa grand-mère s’infiltrèrent à l’intérieur de son short, effleurant au passage son membre dilaté, Jérémy ressentit un intense frisson lui parcourir le bas-ventre. Mais quand ces derniers commencèrent à presser l’extrémité de sa verge, dans un sursaut érotique, Jérémy se cambra brusquement, comme pour mieux offrir son membre aux attouchements. Un nouveau gémissement qu’il tenta d’étouffer s’échappa de ses lèvres.
Louise, que la réaction de Jérémy à son frôlement n’avait pas échappée, éprouva un sentiment d’extrême satisfaction : procurer du plaisir à son petit fils était devenu sa quête, depuis le matin où elle avait osé cette caresse incestueuse. Le ravissement qu’elle avait pris, à branler la jeune verge, l’avait d’abord surprise, puis quand le sperme encore particulièrement liquide lui avait poissé la main, elle en avait ressenti les effets à l’intérieur de son sexe.Pressant plus fortement le gland à travers le slip, elle questionna dans un souffle :— C’est bon ?... Tu aimes ?...Bien qu’il aurait souhaité qu’elle pratique sa caresse à même sa verge, Jérémy bredouilla :— Oouui, Mamie…Comme si elle avait compris le vœu de son petit-fils, Louise entreprit alors de fourrager à l’intérieur du short afin de glisser sa main dans le slip qui protégeait encore l’objet de ses désirs. Refermant ses doigts autour du gland dilaté, elle le pressa comme elle l’aurait fait avec un fruit pour en extraire son jus. Mais à découvrir l’extrémité sensible du membre sous ses doigts, elle éprouva un émoi d’une telle intensité qu’elle sentit son sexe s’humidifier soudainement. Comme le matin même, elle ressentit une bouffée de désir l’envahir. Massant voluptueusement la collerette du gland gonflé, Louise ressentit une envie folle de pouvoir saisir cette queue, dont le volume l’avait étonné, dans sa bouche pour la sucer. Jérémy n’avait certainement pas encore connu de fellation. Etre celle qui lui dispenserait ce plaisir nouveau à l’adolescent la fit saliver, comme si elle avait déjà en bouche le bourgeon sexuel. Mais, ce que Louise désirait surtout était de sentir ce gland qu’elle palpait, exploser entre ses lèvres et cracher sa liqueur intime ; sentir le sperme juvénile fuser jusqu’au fond de son gosier, en savourer son bouquet avant de l’avaler. Cependant, trop à l’étroit dans le slip ajusté qui l’empêchait d’œuvrer à son aise, Louise se contenta de frotter du bout des doigts l’extrémité sensible du gland, déplaçant son attouchement jusqu’à la couronne délicate dégagée de son prépuce. Au nouveau soubresaut qui agita le bas-ventre de Jérémy, elle réalisa combien sa caresse devait bouleverser son petit-fils : — C’est meilleur comme ça, questionna-t-elle un brin perverse ?...
Percevant l’excitation envahir ses organes sexuels, Jérémy, comme il l’avait lu sur les histoires érotiques qu’il parcourait sur les sites spécialisés, tenta de toute sa volonté de freiner la montée du plaisir dont il sentait l’évolution. Il aurait tellement aimé que sa grand-mère puise le branler comme elle l’avait fait le matin même ; qu’elle fasse coulisser sa main tout le long de sa queue. Comprenant que cette dernière ne pouvait, du fait de la présence proche de son époux, le branler ainsi qu’il le désirait, Jérémy se contenta de cette caresse, même si elle ne correspondait pas à ses attentes.— Tu aimes ?La question de Louise parvint aux oreilles de Jérémy dans un souffle. Comme il levait les yeux en direction du visage de sa grand-mère, son regard s’arrêta sur les affolantes rondeurs qui déformaient la blouse. Depuis sa position couchée, les deux grosseurs à quelques centimètres de son visage prenaient un volume impressionnant. Une soudaine envie s’empara alors de lui. Timidement il porta sa main gauche jusqu’à l’attirante poitrine pour y empoigner l’un des seins opulents. Mais comme il agrippait la masse volumineuse, il réalisa l’audace de son geste. Craignant une réprimande pour cet attouchement, il s’immobilisa soudain, les doigts crochetés dans la lourde mamelle dont il percevait l’élasticité malgré les tissus qui la recouvraient.Mais malgré sa crainte Jérémy, sentit l’excitation croître à l’intérieur de ses couilles.
Totalement surprise par cet attouchement auquel elle ne s’attendait pas, Louise en cessa ses palpations sur le pourtour du gland enflé. Comment son petit-fils avait-il pu oser ce geste ?... S’interrogeant sur la hardiesse de Jérémy, elle en vint à se questionner sur sa propre responsabilité. La réponse lui apparut clairement : si Jérémy avait eu cette audace, elle en était grandement responsable. En voulant, sous l’excuse de soulager sexuellement ce dernier, assumer son propre fantasme, elle avait permis à Jérémy de gagner en confiance ; d’où cet attouchement dont il ne se serait jamais autorisé auparavant. Acceptant son imputation dans l’audace de Jérémy, Louise reprit sa perverse masturbation, non sans oublier la main qui pressait son sein.— Qu’est-ce que tu cherches-là, questionna-t-elle mutine ?
Craignant de nouveau une réprobation pour avoir empaumé cette rondeur qui le fascinait, Jérémy retira vivement sa main de l’opulente grosseur mammaire.
Sans cesser de malaxer le gland de plus en plus dilaté, Louise qui avait éprouvé un véritable émoi sexuel lorsque la main de Jérémy avait enserré son sein, ressentit une privation évidente quand l’adolescent relâcha sa prise. Aussi s’empressa-t-elle de saisir la main de celui-ci pour la ramener sur sa mamelle.— Non-reste, lui murmura-t-elle… J’aime que tu touches mes lolos… Je sais que tu les aimes… J’ai bien vu comment tu les regardais…Réconforté, Jérémy ne se fit pas prier pour refermer de nouveau ses doigts sur le renflement qui déformait la blouse, le pétrissant avec une ferveur maladroite.— Oui, c’est ça, l’encouragea Louise dont le massage de son sein, même s’il manquait de délicatesse lui procurait un certain plaisir…Ainsi encouragé, Jérémy n’en malaxa que plus fiévreusement la sensuelle protubérance, y enfonçant ses doigts avec ivresse. Même si les différents tissus de la blouse et du soutien-gorge l’empêchaient de palper ce sein tant désiré, il ressentait une formidable excitation à pouvoir palper cette partie féminine qui le faisait tant fantasmer. Excitation qui se répercuta en un éclair dans ses organes génitaux. Son gland massé avec un art consumé explosa subitement, éjectant avec force sa liqueur séminale.— Mammiiie, réussit-il à murmurer dans un souffle, tandis que son corps traversé par une onde sexuelle d’une puissance extraordinaire s’arquait frénétiquement.Pour la seconde fois de la journée, Jérémy éprouvait une jouissance d’une intensité incroyable. Jamais lors de ses masturbations solitaires il n’avait éprouvé un tel plaisir. Les doigts de sa main refermés sur le sein qu’il malaxait avant de jouir, il eut l’impression que sa verge n’en finissait plus de cracher son trop-plein de sperme. Haletant, il accompagna chaque giclée d’un râle qu’il tenta d’étouffer, du fait de la présence proche de son grand-père.
Aux premiers soubresauts qui agitèrent le bas-ventre de Jérémy, Louise comprit que celui-ci atteignait la jouissance qui allait le délivrer de son désir. Aussitôt elle referma vivement sa main autour du gland qui allait cracher sa sève, prête à recevoir la semence virile de l’adolescent dans sa paume. Lorsqu’elle sentit le sperme chaud lui emplir la main, elle en éprouva un tel émoi que la jouissance la saisit brusquement. Alors qu’un mini-orgasme lui trempait l’entrejambe, Louise dans un effort de volonté tenta de garder l’esprit clair. Jetant un coup d’œil en direction du visage de son petit-fils, elle découvrit que celui-ci, les paupières closes, semblait savourer sa jouissance. Retirant délicatement sa main souillée du slip, elle la porta à sa bouche, et d’une langue gourmande elle lécha le jeune sperme à la saveur particulière...
A suivre…
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