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Manon péripatéticienne pour les hommes de sa famille

Chapitre 1

Inceste
Bonjour, bonsoir, chère lectrice, cher lecteur de mon histoire. L’histoire qui vous sera narrée par mes soins se déroule dans la ville de Fribourg, en Suisse.
Manon était une jolie jeune femme aux longs cheveux blonds, de taille moyenne et possédant un tour de poitrine 90D plutôt avantageux pour sa taille de guêpe. Elle venait de fêter son dix-huitième anniversaire et avait passé la journée dans un restaurant avec sa famille pour célébrer l’évènement. Ses parents lui avaient offert un nouveau kit de maquillage tandis que son frère et son cousin s’étaient alliés pour lui acheter un sac Longchamp. Quant à son oncle et sa tante, ils s’étaient contentés de lui offrir cent francs pour qu’elle puisse s’acheter quelque chose qui lui ferait plaisir.
Le soir, après le dîner, les hommes de la famille annoncèrent qu’ils voulaient passer la soirée entre hommes en regardant la finale de la Ligue des Champions à l’extérieur.
Sans savoir elle-même pourquoi, Manon eut un mauvais pressentiment. Quelque chose dans les regards complices que les mâles s’échangeaient lui disait que ceux-ci ne comptaient pas uniquement aller regarder un match de foot.
— Ça tombe bien : tu auras la maison pour toi toute seule, maman, parce que je vais fêter mon anniversaire avec mes copines du volley.
Bien évidemment, en disant cela, la jeune fille mentait. En effet, une fête d’anniversaire était bel et bien prévue. Seulement, cette dernière devait se dérouler le lendemain.
Lorsque les hommes sortirent, Manon entendit la voiture de son père sortir du garage. Après s’être assurée que la voiture s’était suffisamment éloignée, elle sortit à son tour et prit le bus.
Après avoir changé de bus à la gare, la jeune fille descendit à un arrêt de bus nommé « Tilleul ». En sortant du bus, Manon vit la voiture de son père stationnée sur le parking en face de l’arrêt de bus. Son mauvais pressentiment se confirmait.
Instinctivement, elle descendit la rue menant à la Basse-Ville. Tout le long du chemin, Manon cherchait sa famille du regard sous les railleries des péripatéticiennes qui se trouvaient là.
— Tu cherches ton petit frère, ma jolie ? lui lança l’une d’elles.
Manon l’ignora et poursuivit son chemin. Une dizaine de mètres plus loin, la jeune fille finit par trouver son père, son cousin, son oncle et son frère. Tous les quatre se tenaient face à une prostituée âgée d’une cinquantaine d’années.
— Alors, tu nous prends tous les quatre ?— Oui. Ça fera cent francs par personne.
Le père de Manon tendit les billets à la travailleuse. À ce moment-là, la jeune femme comprit qu’il lui fallait agir tout de suite. Sans réfléchir, elle courut vers son père et lui cria :
— PAPA ! NON !!!— Manon ?! Qu’est-ce que tu fais là ? Tu n’étais pas sensée fêter ton anniversaire avec tes copines ?— J’ai menti : la fête est demain. J’ai eu un mauvais pressentiment au dîner. Je vois que j’avais raison.
La prostituée intervint dans la discussion.
— Du calme, ma petite. Ils sont majeurs alors laisse-les s’amuser. — Toi, ta gueule ! — Bon, on revient tout de suite. Attends-nous. — Pas de problème, mes chéris.
Manon et les garçons remontèrent la route jusqu’au parking où était stationnée la voiture.
— Écoute, Manon. Ce n’était pas prévu que tu l’apprennes. Nous...— Eh bien, je le sais, maintenant. Je sais maintenant que vous avez voulu briser notre famille en couchant avec une pute, moche de surcroît et ce, le jour de mon anniversaire ! Si vous tenez tant que ça à vous tirer un coup, trouvez-vous une copine ou, pour vous deux, convainquez vos femmes de vous offrir un peu d’affection mais, par pitié, ne détruisez pas notre famille pour si peu !— Manon...— Elle a raison, François. Nous nous sommes conduits comme des idiots. — Tu ne vas quand même pas te laisser attendrir par ses larmes, Marc ? Ma fille est bien assez grande pour comprendre que nous, les hommes, avons des besoins auxquels nos femmes ne subviennent plus. — Et alors ? Ta fille a raison : à nous de nous battre pour trouver l’affection des femmes. Moi, je ne fais plus partie du trip et Daniel non plus.
Le cousin de Manon approuva les dires de son père. François regarda son fils.
— Eh bien, on dirait qu’il y en aura plus pour nous. Viens, Lucas.
Les deux hommes se dirigèrent vers la route sous le regard réprobateurs de Marc et Daniel. Manon leur courut après et s’accrocha à la manche de son père.
— Je t’en supplie, papa. Ne fais pas ça. Si tu tiens tant que ça à tromper maman, fais-le avec moi plutôt qu’avec cette sale pute. — Allons, Manon ! Ne dis des inepties pareilles ! Tu es ma fille, ce qui veut dire que jamais je ne coucherai avec toi.
Manon ne voulait pas réellement coucher avec les hommes de sa famille mais elle ne souhaitait pas non plus les perdre au profit des prostituées. La jeune femme changea de stratégie. Elle lâcha la manche de son père et le regarda droit dans les yeux, une expression de défi dans le regard.
— C’est bien simple, papa : soit vous couchez tous les quatre avec moi, soit je raconte tout à maman et à tante Sandra, mes deux témoins pour confirmer mes dires.
François éclata de rire.
— Tu entends ça, Marc ? Manon veut se taper les hommes de sa famille... Qui aurait cru que notre fantasme était partagé... Je suppose que tu ne diras rien si on te baise. — Non, papa. Je ne dirai rien. — Parfait. Depuis le temps que je fantasme sur toi, ma petite. On va voir si tu es aussi brillante avec les hommes que tu l’es dans tes intuitions. À poil.
Manon s’exécuta de mauvaise grâce tandis que les quatre mâles retiraient leurs vêtements à toute vitesse, tout émoustillés d’avoir une femme pour soulager leurs envies perverses.
— Regardez-moi ça, les gars. Toute fine et des gros seins. Ma fille est vraiment trop bonne. Et regardez-moi ce cul... Tu as bien fait de nous empêcher d’aller voir cette pute : avec toi, nous avons mieux pour rien du tout.
Les quatre hommes caressèrent tour à tour les seins et les fesses de Manon. Lucas glissa une main entre les cuisses de sa soeur.
— Incroyable ! Elle mouille !— Parfait. Passons aux choses sérieuses à présent. Mets-toi à quatre pattes.
Honteuse d’être ainsi trahie par son propre corps, Manon obtempéra et François l’agrippa par les hanches avant de lui enfoncer son sexe raide dans le vagin. Marc donna son pénis à sucer à sa nièce tandis que Lucas et Daniel se faisaient branler par la jeune femme.
— Hum... Tu suces vraiment bien, ma nièce.— Et ta chatte... Si étroite. Si agréable.— Tu branles trop bien, petite soeur. — Je confirme, cousine.
Les quatre hommes continuèrent à s’alterner les places auprès de Manon en lui lançant des compliments sur ses talents. Puis, alors qu’il était en train de sodomiser sa soeur et que Daniel se faisait sucer par Manon pendant que celle-ci masturbait Marc et François, Lucas se retira du fessier de sa soeur et s’écria :
— Je vais jouir, les gars ! Grand final ! Grand final, maintenant !
Daniel se retira de la bouche de la jeune femme tandis que Marc et François libéraient leurs sexes de l’emprise de Manon.
— Allonge-toi, ma chérie, lui ordonna son père.
Manon se coucha sur le dos et, aussitôt, les quatre phallus vinrent se glisser dans le sillon de ses seins. Instinctivement, la jeune femme compressa ses globes d’albâtre sur les quatre bites qui se mirent à aller et venir sur elle.
Après quelques secondes de va-et-vient, François, Marc et leurs fils éjaculèrent sur la poitrine de la jeune femme dans un râle de plaisir.
— Joyeux anniversaire, Manon ! lui lancèrent les hommes à l’unisson. — Merci pour votre cadeau. Il m’a plu. — Tant que ça ?— Oui. J’ai tellement aimé que je veux devenir votre p... Euh... Salope personnelle. — Fabuleux. Tu commences dès ce soir, ma chérie. Bon, si on allait voir ce match ?
Manon partit avec les quatre hommes. Elle qui voulait sauver l’unité de sa famille, avait finalement accepté de devenir la salope des hommes de sa famille et de ne rien raconter aux autres femmes de la famille de ce qu’il s’était passé. En faisant cela, Manon avait-elle sauvé sa famille ou fait le travail de la péripatéticienne à sa place ?
[ à suivre ]
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