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Le marché

Chapitre 1

Zoophilie
Je m’appelle Laura, j’ai 38 ans, mon compagnon et moi nous sommes séparés il y a plusieurs mois, je suis seule et sans enfants. Je travail dans un cabinet médical en tant que secrétaire avec pour seule responsable une femme. Voici une histoire qui s’est déroulée il y a quelques temps, dans un village qui n’est plus.
C’était un beau matin d’été, durant une période de vacances. Je décidais après une longue matinée de ménage, d’aller faire un petit tour au marché de ma ville. Il y avait de tout, un marché me direz vous quoi de plus normal. Cependant, en me promenant en ce lieu, je fut assaillie d’une forte odeur de poisson venant du stand poissonnier d’en face. D’humeur curieuse je me surpris, moi qui pourtant n’est pas une grande fan de poisson, à jeter un œil sur cette étale. Des sèches, des crevettes..un peu de tout! Mais en quittant le stand, mon regard fut attiré par un poisson, ou plutôt un mollusque que je n’avais encore jamais vu ici, un poulpe.J’observais cet animal fort curieux avec tous ces bras tentaculaires, et qui plus est, était encore en vie. Prit d’affection je me décidais à l’acheter et à le ramener chez moi. Une fois rentrée, je m’occupais de ma nouvelle acquisition que j’examinais grossièrement afin de voir les différentes parties de son petit corps.je vivais seule à cette époque, et mes désirs n’étaient que rarement satisfait, et en examinant mon nouveau compagnon, je fut prise d’un petit sursaut dans le ventre, je commençais à le trouver fort intéressant pour les nouvelles idées qui me venaient en tête. Malgré un peu de révulsion vis à vis de cette chose, j’en éprouvais un certain désir, j’imaginais des choses, assez peu habituelles pour moi.Oubliant la petite révulsion à son égard, j’emportais l’animal dans ma salle de bain, et me fit couler un bain.Je me mis nue dans l’eau avec lui et commençais à me caressée avec ses tentacules, je gémissais lentement, me demandais inconsciemment ce que je faisais.Après quelques minutes je faisais pénétrer des tentacules dans mon vagin et j’en ressentie un assez fort plaisir, venant surtout du fait que l’animal était encore vivant. Je pratiquais de nombreux va et viens et plaçait une de ses ventouses sur mon petit bouton, l’effet fut immédiat, j’eus un orgasme colossal amplifié par l’effet de succion de la ventouse. Après m’être remise, je prit le pénis de l’animal et le plaçait dans mon sexe, il était plus petit que les tentacules, mais ce n’était pas sur ça que je comptais. Je le fit faire de nombreux va et vient dans mon corps jusqu’à l’éjaculation de l’animal qui libéra ses œufs en moi. Quelque uns glissèrent hors de moi, mais j’essayais de les garder à l’intérieur afin de satisfaire mon plaisir, et nul doute que certains œufs tombèrent dans mon utérus. Au bout de quelques jours, mon compagnon mourut, je n’avais pas à disposition beaucoup de choses pour l’entretenir malgré mes efforts. Cependant je ne restais pas seule très longtemps, en effet, après quelques mois de gestation et de quelques questions de mon entourage, les œufs déposés dans mon utérus étaient devenus de jeunes mollusques, qui avaient, par leur nombre et leur taille, fait gonfler mon ventre comme une femme enceinte attendant son enfant. J’accouchais ainsi de 7 magnifiques petits poulpes et ayant appris comment m’en occuper je les gardais avec moi pour, une fois leur maturité atteinte, pratiquer avec eux la même chose qu’avec leur père.
Ainsi, pendant plusieurs mois, je m’occupais de mes "enfants" vaquant à leurs besoin comme le ferai une mère attentive.Malheureusement, sur les 7 poulpes que j’ai mis au monde, 2 d’entre eux moururent et je dû me résigner à les enterrés dans mon jardin, triste de perdre une partie de ma progéniture.Pendant mon temps de gestation, je me suis mise à faire des recherche sur certains sites de sex-toys, et j’avais décidé d’opter pour des spéculum vaginaux, qui me paraissaient excessivement utile dans ma quête de plaisir hors norme. Avec ces outils en ma possession et mes fiers enfants prêts à me satisfaire, je me lançais à corps perdu dans ma recherche de plaisir. Ainsi, après avoir placé les spéculum à leurs places, celui inséré dans le vagin me dilatais également l’utérus, je titillais les pénis de mes enfants afin d’obtenir d’eux les œufs qui me serviront dans ma jouissance. Après que j’eus fait éjaculer chacun d’entre eux en moi, et avoir redirigé les œufs dans mon utérus, j’enlevais le spéculum et attendit un moment afin que mon utérus se referme, emprisonnant mes précieux œufs.
Les mois passèrent, mes enfants déjà nés grandissaient, et ceux présent en moi également. Mon ventre ne cessait de gonfler, de semaines en semaines je le voyais s’élargir, grossir, jusqu’à atteindre une taille où j’avais presque du mal à me déplacer, mais en vidant les centaines d’œufs de mes enfants en moi je savais parfaitement cela, et c’est exactement ce que j’attendais.
Et un beau matin, quasiment un an après ma rencontre avec mon premier "amant", je sentais que j’allais de nouveau accoucher, et là, sur la moquette de mon salon, je mis au monde des dizaines de mes précieux enfants, je jouissais à n’en plus finir, mon utérus distendu laissait échapper nombre de poulpes jusqu’à finir dans un bruit peu descriptible ou il venait de livrer le dernier.
Fin.
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