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Le marché

Chapitre 2

Zoophilie
Le temps passe, je suis toujours mère de nombreux poulpes, mais j’ai provisoirement arrêter de m’accoupler avec pour le moment.Ils grandissent bien, la plupart ont atteint leur taille adulte, ils sont très beau mais j’ai besoin de changement. Je suis retournée au marché de ma ville, il regorge d’idées farfelues à me mettre sous la jupe. Mon sexe ne s’est pas totalement remis de mon dernier accouchement, il reste, ainsi que l’utérus assez ouvert pour tout type de pénétration. Revenons au marché, en retournant au stand poissonnerie, j’y est aperçu un nouveau type d’"amant" possible, des anguilles. Leurs formes effilées et visqueuses seraient tout à fait appropriées. Ce jour là, je décidais d’en acheter quelques une, afin de voir jusqu’où cela me mène.Elles sont plutôt grande, et sont assez vigoureuses, elles ne se laissent pas faire par le poissonnier ! Une fois rentré chez moi, je décide de procéder de la même façon que lors de mon premier rapport zoophile, notion dont j’ai appris tous les sens depuis. Je me fait couler un bain, y rentre nue, et y verse mes nouvelles amies. Elle serpentent dans l’eau, se frottent quelques fois à moi mais cherche surtout une sortie à la baignoire. Assez impatiente, je saisit une des anguilles et la fait pénétrer dans mon antre. Je suis prise d’un grand frisson, suivit par un violent orgasme. La bête ne se laisse pas faire, elle gigote en moi et me procure d’incroyables sensations. Je veux essayer autre chose, je sort de la baignoire laissant mes amies tranquillement dans l’eau, avant de quitter la salle de bain, j’emporte avec moi une lotion de lavement, je me prépare une seringue appropriée et m’injecte une bonne quantité de liquide dans l’anus. Après quelques torsion de ventre, je me précipite aux toilettes, où j’évacue tous les éléments indésirables, avant de retourner dans mon bain. Cette fois, j’empoigne 2 anguilles, une dans mon sexe, et l’autre directement dans l’anus. Je gémit de plaisir, c’est incroyable, elles se tortille et cela me fait jouir à chaque instant. Mais soudain, suite à une trop forte poussée de ma part, l’anguille enfoncée dans mon anus rentre complétement en moi, je la sens, parcourir mes intestin. Un peu paniquée, j’extirpe celle présente dans mon vagin et cherche par le biais de mes doigts à récupérer l’autre, c’est peine perdue, elle est trop profondément en moi. Après toutes mes aventures vécu avec mes enfants mollusque, je ne suis que guère inquiète malgré la situation, et décide de continuer à me masturber avec une anguille dans le vagin, et je remarque que celle-ci est probablement une femelle car d’une fente de son ventre glisse une sorte de mini poisson. Intéressée, je saisit mon spéculum et l’introduit de manière à me dilater complètement, j’attrape la femelle, et place directement sa fente au contacte de mon utérus qui ne demande que ça. En pressant un peu son ventre, l’anguille libère ses civelles, les bébés anguilles, ils sont plutôt long et fin comme leur homologue adultes, mais sont plus transparent, je les accueille chaleureusement en moi et cela me procure d’intenses sensations, une fois l’opération finie, je rend la liberté de Mme anguille et retire mon spéculum afin de laisser mes futurs petits en paix.Je les sens en moi, d’une part les petit que j’ai placé dans mon utérus, mais également l’anguille, qui circule probablement encore en moi. Afin de terminée la journée, je décide de ma faire un plateau repas devant la télévision, et monte me coucher, fatiguée de ma journée d’extase.Nausée le lendemain matin, j’ai eu des maux de ventre durant la nuit. Voulant me soulager, je décide de ma faire vomir, mais ce matin là, c’est une anguille que je régurgita, en plaquant mes doigts au fond de ma gorge, je sentais le contenu de mon ventre remonter, et failli m’étouffer, quand l’anguille précédemment insérée la veille remontait dans ma gorge et sortait de ma bouche dans des bruits peu agréables. Je vomissais l’anguille dans l’évier, anguille qui mourut peu de temps après du fait du manque d’eau en moi.Le temps passe, je me nourrit convenablement, et mes petits grandissent, ils n’arrêtent pas de remuer en moi, mon ventre semble abriter de nombreux serpents quand on le regarde de face. D’après mes recherches, les anguilles mettent environ un an à atteindre la maturité, et d’après leurs nombre, et la taille qu’ils peuvent atteindre, je pense que je n’ai pas fini de gonfler.Afin de continuer de me masturber avec le reste des anguilles, j’essaye de nombreuses pratiques avec eux, j’en insère presque partout en moi, dans mon sexe, l’anus, la bouche et même dans mon urètre pour les plus petites. Le plaisir est garanti, je jouis à longueur de journée de tous mes orifices. Afin de retenter l’expérience de l’autre fois, je décide de placer une anguille de ma bouche, je la "suce", et dans un accès de désir incontrôlable, je me risque à l’avaler. Ce n’est pas de tout repos, je garde la tête en arrière pour être sur de l’avalée alors qu’elle est encore vivante. Victoire, elle est en moi, je la sens gesticulé dans mon estomac, espérons qu’elle soit aussi maline que la première.3 jours plus tard, après un probable parcourt du combattant dans mes entrailles, j’expulse l’anguille ingérée en me soulageant, me procurant un orgasme venant de nul part, elle est encore vivante, et je prend le risque de la sortir de la cuvette. Elle est l’une des dernières survivantes, les autres ayant succombé au fil du temps.3 mois plus tard, les dernières anguilles sont mortes, il ne me reste que mes enfants déjà nés, mes fidèles mollusques, et ceux présent en moi, qui ne sont pas encore né. Je suis déjà énorme, en me voyant, on me confondrait avec une femme à la veille d’accoucher d’enfant normaux, et il me reste environ 8 mois à tenir. Je me masturbe quasiment tous les jours, fantasmant sur mon prochain accouchement, et je joue de nouveau avec mes premiers amants, j’adore leurs tentacules, ils sont incroyables.Je me pénètre par tous les orifices avec eux, bouche, narines, urètre, anus, vagin, tout y passe, je les fait éjaculer en moi quelques fois, surtout dans ma bouche et mon urètre. Je crois d’ailleurs à nouveau abriter des poulpes en moi, je ne m’y attendais pas, mais il semblerai que quelques uns grandissent dans ma vessie. Cela me procure des orgasme incroyablement fort quand je masturbe, j’arrive d’ailleurs à me fister entièrement le sexe et l’anus, qui a force de pénétration restent béant quelques minutes avant de se refermer.Tout ce petit monde grandit en moi, les poulpes distendent ma vessie qui à mon grand étonnement s’adapte très bien au étrangers et me procure beaucoup de plaisir, et les anguilles continuent de grandirent dans mon utérus, mon ventre arbore une apparence peu commune, il est gonflé comme le serait une femme enceinte, mais plus bas au niveau du pubis, la présence des mollusque forme des bosses flasque qui rend ce ventre de plus en plus imposant, et vivant.Quelques temps ont passés, je sens que je vais bientôt libéré mes enfants mollusque, qui commencent à s’agiter en moi, dès qu’ils bougent, j’ai une petite incontinence urinaire depuis qu’il bouge en moi et je sens que les anguilles ne vont pas se faire attendre longtemps non plus. Un soir, me sentant un peu seule, je me masturbe avec différentes choses, et je sens l’inévitable arriver, dans des convulsions de plaisir inouï, mon urètre se dilate pour laisser passer mes céphalopodes adorés, ils glissent hors de moi les uns après les autres, me donnant d’innombrables orgasmes, sentant le dernier passé, je m’allonge sur le sol quelques instants pour me remettre, et là, les anguilles arrivent. Je n’en crois pas mes sens, j’accouche quasiment en même temps de deux orifices différents. Mais cette fois, ce n’est pas quelques dizaines de poulpes qui sortent de moi, ce sont des centaines, mon utérus semble propulsé des centaines d’anguilles qui parcours mon antre en me ravageant de plaisir. C’est fait, je suis vide, sur le sol se trouve mes enfants, ainsi que quantité de liquides indescriptibles, je suis vide de vie.
Fin.
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