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le mariage de ma soeur

Chapitre 2

Inceste
Le jour du mariage est arrivé. Toute la famille et les amis des mariés arrivent au fur et à mesure. Nous nous préparons chacun de notre côté : les hommes ensemble à la maison, et les femmes à l’hôtel où les mariés passeront leur lune de miel. Arnaud commence à stresser, il fait les cent pas dans le salon. J’essaie de le détendre et nous buvons un coup.
L’heure est arrivée. Nous montons dans les voitures et nous nous dirigeons vers la mairie. Les mariés se disent un oui mutuel et nous allons, dans un cortège de klaxons, à la salle pour le banquet. La soirée et la nuit se passent parfaitement bien. Nous avons pris les services d’une nounou pour s’occuper de nos enfants pendant la soirée ; ils s’amusent mais ne sont pas tout le temps dans nos pattes. Du coup, Delphine et moi pouvons profiter pleinement des noces.  
Le moment du départ des mariés est arrivé. Tous les invités les accompagnent à leur voiture avec chauffeur puis nous retournons tous dans la salle. À peine 10 minutes se sont passées que je reçois un message d’Erika qui me dit : « Pour vous remercier de l’aide apportée pour que cette merveilleuse journée se passe pour le mieux, nous vous attendons dehors dans 5 minutes. Passé ce temps, nous partirons sans vous. » Une photo accompagne ce message : on peut voir Erika en train de tenir une flûte de champagne dans une main et la bite  d’Arnaud dans l’autre. Je montre la photo et le message à Delphine et lui demande :  
— Tu en penses quoi ? — Ché pas… C’est leur nuit de noces, après tout, et s’ils veulent la faire avec nous, nous devons y aller.— OK. Prends ta veste ; on dit au revoir à tout le monde et on y va. — C’est parti !
Elle m’embrasse fougueusement sur la bouche et prend sa veste. Je leur envoie un message disant que nous arrivons et nous faisons le tour pour dire au revoir. Sortis sur le parking de la salle, nous voyons une voiture qui nous fait des appels de phares. On se dirige vers eux et nous ouvrons la portière. Erika est en train de sucer Arnaud. Elle lève à peine la tête et nous lance :  
— Il ne pouvait plus attendre, donc je le fais patienter comme je peux. — Tu as raison, sœurette, mais maintenant lâche-le pour qu’il garde sa vigueur pour la chambre.
Elle se redresse et range la bite de son mari dans son pantalon.
Arrivés à l’hôtel, nous traversons le hall direction la chambre pour une nuit de noces placée sous le thème de la luxure. À peine dans l’ascenseur, je me jette sur ma sœur et l’embrasse. Delphine fait de même à Arnaud. Nous leur disons merci au moment où l’ascenseur s’ouvre à notre étage.   Nous entrons dans la chambre ; je m’occupe de ma sœur tandis que ma femme s’occupe de son beau-frère. Delphine se met à genoux devant lui et lui descend pantalon et boxer d’un coup, agrippe son braquemart et le gobe dans la foulée. Moi, après un baiser fougueux avec ma sœur, je la jette sur le lit king-size et la fais mettre sur ses genoux et la tête sur le matelas. Je retrousse sa robe blanche de mariée pour y découvrir une vision de rêve. En effet, Erika me présente son magnifique cul galbé dans une culotte de satin turquoise qui lui sied à merveille. Elle a aussi un porte-jarretelles et des bas-couture blancs surmontés sur sa cuisse gauche d’une jarretière de dentelle blanche et turquoise ; et pour finir, elle a aux pieds des escarpins également turquoise. Je prends cette vue en photo et j’en profite aussi pour prendre le marié en train de se faire pomper. Je pose mon téléphone sur le lit et m’approche de ce cul qui m’est offert. Je plonge tête en avant et lèche le sillon à travers le tissu. Je sens quelque chose de dur ancré dans la raie de ma sœur. Je me relève et arrache d’un trait sa culotte. J’y découvre un plug en nickel surmonté d’un strass lui aussi turquoise.
— Tu as été à fond dans le détail !— Il n’aurait pas fallu avoir une faute de goût…
J’agrippe le plug avec mes dents et tire dessus pour l’extraire du cul de ma sœur. L’objet retiré m’offre une vision sur son anus restant légèrement dilaté. J’y crache et plonge ma langue dans ce cul accueillant. Je lèche ses deux orifices et m’abreuve de ses fluides corporels. Je me déshabille complètement et monte sur le lit pour me positionner face aux trous de ma sœur si accueillante. Je jette un œil sur le couple Delphine-Arnaud et je le vois en train de malmener la mâchoire de ma femme à grands coups de bassin pour lui faire avaler la totalité de sa bite. Cette vision me donne un coup de fouet, et avant d’enculer Erika je lui claque une fesse. Sous le choc, elle relève le buste et crie. J’appuie sur son dos pour la remettre en position et présente mon gland devant cette  rondelle incestueuse tant désirée. Je l’encule d’un trait sans rien dire et la lime sur un rythme assez soutenu. Elle gémit. Une de ses mains vient se poser sur son clitoris et le titille. J’alterne les pénétrations entre son cul et sa chatte. Arnaud quant à lui a relevé Delphine et lui a retroussé sa robe. Elle se tient penchée sur les accoudoirs d’un fauteuil Voltaire, la robe relevée laissant apparaître ses bas couleur chair et son string rouge sorti de sa raie pour laisser accessible sa merveilleuse chatte imberbe. Il la pénètre d’un trait. Elle se mord les lèvres pour ne pas crier. Les coups de bassin de son nouveau beau-frère lui font sortir les seins de sa robe-bustier. Libres de tous mouvements, ils ballotent au rythme des va-et-vient d’Arnaud. Entre deux grognements, Arnaud lui demande :
— Je peux t’enculer ?— Fais-toi plaisir : c’est ton mariage !
  Erika ajoute :
— J’ai mon lubrifiant dans la valise, mon chéri.
Arnaud finit de se déshabiller, amène Delphine sur le lit face à Erika et part fouiller dans leur valise. Il revient peu de temps après avec une bouteille d’huile d’olive. Delphine s’est mise dans la même position que sa belle-sœur et elles s’embrassent sur la bouche. Arnaud ouvre la bouteille et déverse un bon filet dans le sillon de Delphine. Je lui prends la bouteille et en fais de même sur Erika avant que les échauffements commencent à la brûler. Arnaud lubrifie deux doigts avec l’huile répandue sur le cul de ma femme. Il commence à en faire rentrer un à moitié, le ressort puis l’enfonce à nouveau, mais complètement. Une fois l’anus de sa belle-sœur dilaté, il fait la même opération avec ses deux doigts.
Maintenant que la rosette est dilatée à son goût, il y présente son gland. Me concentrant sur cette intromission hors normes dans le cul de ma femme, je ralentis le rythme dans la chatte de ma sœur. Son gland vient d’être avalé par ce cul si étroit. Il s’enfonce en douceur et s’arrête à chaque gémissement de sa partenaire. Après quelques secondes, il est enfin enfoncé jusqu’à la garde. Il ne bouge plus pour laisser le temps au sphincter de s’habituer à une bite aussi grosse. Il recommence à bouger, d’abord tout doucement pour enfin accélérer et lui limer le cul à une allure endiablée. Delphine crie de plaisir et de douleur.
La vision de ma femme se faisant défoncer le cul tout en étant dans celui de ma sœur a raison de moi. Je me vide par gros jets dans ses entrailles ; cette sensation de chaud lui déclenche un orgasme bruyant et salvateur. Je me recule et admire mon œuvre : deux trous béants dont un qui déverse  une semence  brunâtre résultant d’un mélange de foutre et de jus rectal. Je prends quelques photos et filme mon beau-frère en plein rut. D’un coup il se retire, retourne Delphine comme une crêpe, lui met la tête dans le vide et enfonce son gourdin au fond de la gorge. Dans un râle bestial, il décharge au fond de la gorge gonflée de ma femme. La quantité doit être énorme… La bouche toujours remplie du chibre de son beau-frère, elle commence à tousser, ce qui lui fait sortir du sperme par le nez et les commissures des lèvres. Il sort enfin sa bite de la bouche de sa belle-sœur et l’aide à s’asseoir sur le lit.
Pour immortaliser cette nuit, nous nous prenons en photo tous les quatre dans l’état et la tenue où nous sommes. Après une douche bien méritée, nous nous couchons et nous nous endormons rapidement.

Au petit matin, je suis réveillé par une merveilleuse sensation : la sensation d’une bouche sur ma bite. Quand j’ouvre les yeux, je découvre ma sœur en train de me prodiguer une pipe matinale tout en branlant son mari. Voyant que j’ouvre les yeux, elle me dit :
— Pour mon premier jour de femme mariée, je veux être prise par les deux hommes de ma vie en même temps.
Je pose une main sur sa tête et appuie dessus pour lui faire comprendre de me sucer à nouveau. Après quelques délicieux va-et-vient, je me retire de sa bouche et me lève du lit.
— Comment veux-tu faire ? Qui dans quel trou ?— Comme vous voulez, mais je veux que vous éjaculiez tous les deux dans ma chatte à la fin.
Je me tourne vers Arnaud qui me fait signe de prendre les devants. D’un côté, étant plus habitué que lui pour le sexe à plusieurs, je comprends son choix. Delphine s’installe sur le fauteuil et dit :
— Moi, je filme. Vas-y, Erika, prends du plaisir. Et vous les garçons, remplissez-lui la chatte !— On va commencer par la prendre chacun notre tour pour bien la préparer.
Erika se pose sur le dos, jambes écartées, prête à recevoir son souhait. Je commence par lui pénétrer la chatte. Elle mouille déjà abondamment. Une fois ma bite bien enduite de cyprine, je me présente devant sa rosette et m’y enfonce facilement. Arnaud se positionne au niveau du visage de sa femme et lui enfonce sa bite dans la bouche. Cette dernière l’accueille sans broncher et lui prodigue une pipe majestueuse. Je lui pince les tétons ; par réflexe, elle mord la bite de son mari qui la gifle en retour. Erika recrache la bite qu’elle avait dans la bouche et se frotte la joue. Je souris et tire ma sœur vers moi.
— On passe aux choses sérieuses. Arnaud, couche-toi sur le dos ; Erika, empale-toi sur sa bite.— Par devant ou par derrière ?— Devant. Je garde ton petit cul pour moi.
Ils m’écoutent, et une fois ma sœur prise par devant, je me loge au fond de son cul. Il est encore plus étroit que d’habitude, sûrement à cause de la bite de mon beau-frère qui lui remplit le vagin. Une fois dans cette position, Erika commence déjà à geindre. Je commence mes va-et-vient ; Arnaud prend la même cadence que moi. Ma sœur feule de plaisir. Une de ses mains est en appui sur le torse de son mari tandis que la deuxième lui sert à se pincer les mamelons. En plus des cris de plaisir de la jeune mariées, des bruits obscènes résonnent dans la chambre.
Après plusieurs minutes à ce rythme, je me déloge de son cul, le laissant béant et descends du lit pour aller prendre la bouteille d’huile ; les mariés continuent de baiser seuls. J’en mets sur ma bite et en fais couler sur la raie de ma sœur. Huilée à souhait, je remonte sur le lit et me présente à l’entrée de sa chatte où se trouve déjà le pieu de son mari. Elle halète fort. Je rentre mon gland ; Erika laisse échapper un petit cri. Elle grimace, se mord la lèvre. Je m’enfonce petit à petit jusqu’à y être en entier. Nous restons dans cette position un long moment pour que sa chatte s’y fasse et que le plaisir remplace la douleur. Elle donne des petites tapes sur le torse d’Arnaud pour nous faire signe de recommencer les va-et-vient.
Les oscillations reprennent d’abord doucement, puis s’accélèrent ; elle gémit de nouveau. La sensation d’être dans la chatte étroite de ma sœur et de sentir la bite de mon beau-frère glisser sur la mienne me met dans une transe folle. Je commence à avoir des sursauts. Je me couche, écrasant ma sœur entre Arnaud et moi ; seul mon bassin bouge. Je n’en peux plus : je me vide le premier dans cet écrin de luxure. Mon sperme chaud fait réagir immédiatement Arnaud, qui lui aussi à son tour se répand dans la chatte de sa femme. Peu après, redevenus mous, nous nous retirons. Delphine finit le film sur un gros plan de la chatte béante – et remplie de nos deux semences mélangées – de ma sœur qui feule encore de plaisir. Elle plante un doigt dans la chatte de sa belle-sœur, le met ensuite dans sa bouche et le lèche avec gourmandise. Nous nous rhabillons après une bonne douche et allons rejoindre les invités qui attendent les jeunes mariés pour le lendemain des noces.

Quelques mois après le mariage, nous recevons une lettre d’Erika nous annonçant sa grossesse, et que le gynéco estime la conception du futur bébé au jour du mariage.
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