Un mariage surprenant - le jour du mariage Nous sommes samedi, c’est le grand jour du mariage. La soirée d’enterrement de vie de jeune fille a tenu toutes ses promesses. J’ai pris énormément de plaisir, jamais je n’aurais cru que j’aurais connu autant de sexe en si peu de temps. Je suis si heureuse de me marier et triste à la fois de quitter cette vie aventureuse. J’ai deux souvenirs qui me restent en tête, celui de la première séance d’essayage et bien sur celle d’hier soir avec les sans domicile fixe. Le fait de m’être fait prendre dans la rue a triplé mon plaisir. Bref, il est onze heures, la cérémonie commence à quatorze heures. Il est l’heure de se préparer et d’accueillir Hector. Il vient m’emmener la robe de mariée. Carlos le frère de Victor sera avec moi, tandis que Laurie s’occupe des préparatifs à l’église et à la salle des fêtes. Je vais donc me retrouver une fois de plus seule avec deux hommes. Il est midi, les deux hommes sonnent à ma porte, j’ouvre, je suis restée en nuisette pour ne pas m’encombrer avec des vêtements superflus pour le dernier essai. Je les invite à boire un café et ensuite nous commencerons le dernier essayage avant le grand moment. Nous discutons de tout et de rien, Carlos me demande si ma soirée d’enterrement de jeune fille s’est bien passée, je lui réponds affirmativement. Le temps passe lentement, mais je suis pressée de mettre la robe. Hector ouvre le paquet, il y a tout à l’intérieur, les sous-vêtements transparents et la fameuse tenue. Les deux hommes paraissent sérieux. J’enlève ma nuisette et dessous, ils m’ont déjà vu nus cela ne me dérange plus. J’enfile les sous-vêtements transparents et je mets la robe. Rien n’a bougé, il n’y a pas de faux plis, on ne voit pas la lingerie à travers tout est parfait. Il est midi trente. Encore une heure et demi à patienter. Carlos me demande si je peux lui servir un whisky frais. Je lui dis que oui, je lui apporte, puis il me saisit par le bras et me dit qu’en tenue de mariée, il me trouve très excitante. Je lui fais un sourire et lui dis que dans une heure, je serais marié, que ce n’est pas très prudent de faire ce genre de chose maintenant et puis je n’ai pas envie d’enlever ma robe. Suite à ces mots, il me dit que la tenue ne le dérange pas, une tunique peut se soulever discrètement. Effectivement, c’est vrai et puis faut bien faire passer le temps. Hector de son côté, est parti à la salle des fêtes afin d’aider Laurie dans les préparations. Nous sommes tout les deux sans témoins. Je me mets face à lui, je l’embrasse, je le sens grossir très rapidement. Je m’assois à ses côtés, je caresse son membre à travers le pantalon qu’il sort très vite de sa cachette pour ne pas le salir. Je le prends en bouche, je fais des allers-retours, sa main est posée sur ma tête. Je l’avale au plus profond. Puis, il se lève, me prend dans ses bras et m’emmène dans la chambre. Il me couche, soulève ma robe avec un peu de difficultés, puis fait glisser le string transparent sur mes chevilles. Je suis complètement ouverte à lui. Parfois, je me demande si je ne me suis pas trompé de frère. Il glisse sa tête sous ma robe, il gobe mon clitoris, me pénètre avec sa langue, remonte à la surface et présente son sexe à l’entrée de mes lèvres. Il est toujours aussi bien équipé. À chaque fois que nous faisons l’amour, je ressens d’énorme orgasme. Il décide de me pénétrer avec sa grosse verge, les aller-retours commencent et très vite, je monte dans les tours. Il est vrai que faire l’amour en tenue de mariée possède un côté excitant. Lui aussi d’ailleurs semble ne pas pouvoir résister puisque nous jouissons en même temps. Son sexe se vide en moi. Après cet ébat vif, nous nous nettoyons un peu afin d’être présentable. Je remets mon string et nous voilà partis en direction de l’église à bord d’un superbe cabriolet rouge, mon rêve. À l’entrée du lieu de culte, les deux familles sont présentes. Carlos est le témoin de Victor et Laurie est le mien. Les deux hommes entrent en premier. Je patiente dehors, jusqu’au moment où la musique de la marche nuptiale retentit. Il est l’heure pour moi de franchir le seuil de la porte. Je vois tous les regards se poser sur moi, j’entends des commentaires plaisant sur la tenue et me voilà devant le prêtre. Avec Victor, nous lisons les extraits de prières, puis le moment tant attendu avec la question traditionnelle qui demande si les époux disent oui ou non. Bien entendu, nous disons oui puis nous nous embrassons ce qui valide définitivement le mariage. Nous partons en direction de la mairie, les klaxons retentissent dans les rues de la ville, j’ai l’impression d’être une reine sur le long du trajet. Nous arrivons devant la mairie, nous entrons et comme à l’église les traditionnelles questions sont posées ainsi que les signatures sur les registres. Au bout d’une demi-heure, nous faisons des photos dans les jardins de la commune, puis nous partons en direction de la salle des fêtes. Nous recevons des félicitations de la part de nos amis et de nos familles. Nous dînons tous ensemble, la soirée se déroule d’une manière classique. Je danse avec mon époux, parfois avec Carlos ou avec des cousins. Les anciens partent très vite de la soirée, la fatigue les gagne très vite. Nous nous retrouvons donc à vingt en train de danser au milieu de la piste. Laurie et Carlos font éteindre la musique. Lui s’approche de Victor lui donne l’accolade, le félicite et lui offre par la même occasion les clefs du cabriolet rouge. Laurie me tend une enveloppe avec l’argent de la quête, puis me donne deux billets d’avion pour l’île de la Réunion en guise de voyage de noces. Le départ est demain matin, il est donc temps de rentrer pour se reposer et de préparer les valises. Nous rentrons avec Victor à la maison. J’en profite pour préparer deux valises avec des vêtements pour chacun. Je me déshabille, je suis en sous-vêtement transparent devant mon époux, lui en boxer. Rapidement, une bosse se forme, je m’empresse de prendre main son membre et de le sortir de sa cachette. Je le prends en bouche rapidement faite des allers-retours, puis il me dégrafe mon soutien-gorge. Mes seins apparaissent devant ses yeux. Victor me les prend en main, les malaxe, les embrasse et les avale. Ma réaction ne se fait pas attendre, je commence à produire de la cyprine dans mon string transparent. Il continue sur le jeu de la séduction, il m’embrasse le ventre jusqu’à ma vulve trempée. Il glisse sa main à l’intérieur et me met deux doigts. Il active fortement mes sens sexuels. Il arrache mon string avec les dents, puis me dévore la chatte comme un mort de faim. J’en jouis plusieurs jets de mouille sont propulsés dans sa bouche. Il remonte embrasse mes seins, puis se présente en face de mes lèvres avec sa verge. Il me pénètre, fait des vas et vient, ensuite, je me positionne à quatre pattes, je me fais prendre en levrette quand subitement, je sens deux doigts entrer dans mon anus. J’ai de suite un arc électrique de plaisir qui me parcourt le corps. De nouveau, il présente son sexe face à mon petit trou, puis d’un coup de reins ouvre mes entrailles. Après de nombreux vas et vient, je sens sa verge grossir, puis exploser en moi. Nous avons pris une douche ensemble, puis nous nous sommes endormis. Nous voilà partis en direction de notre lune de miel. Les débuts du mariage se passent très bien, puis ma libido ne cesse d’augmenter et très vite, je retourne seule voir les hommes de la brasserie que j’avais rencontrés lors de la soirée d’enterrement de vie de jeune fille, quelques fois, je m’abandonne avec les trois sans domicile fixe puis plus régulièrement avec Carlos mon beau-frère. Finalement, mon appétit sexuel est bien plus grand que je ne le pensais. Mais pour ne pas décevoir Victor, je ne demanderais pas le divorce. Je continuerais de m’amuser encore jusqu’au moment où je sentirais une certaine lassitude dans mes aventures... Fin
