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Marie, la decouverte 1

Chapitre 4

Épilogue

SM / Fétichisme
Ce soir-là, notre soif de sexe apaisée, nous discutâmes devant un apéritif réparateur de tout ce que nous venions de vivre ces deux derniers jours assis côte à côte dans le canapé.Je lui avouais que jamais je n’aurais passer le pas de l’entraîner dans des jeux DS si je n’avais pas découvert son goût pour la soumission au travers de sa discussion surprise entre elle et le pseudo "Luilui" sur MSN et que je n’avais jamais pris tant de plaisir avec elle. Je lui disais alors que je l’aimais et lui pardonnait cette tromperie virtuelle et lui demandait de me dire ce qu’elle pensait de tout cela.Elle me répondit que ce côté de sa sexualité, son goût pour la soumission, elle n’avait jamais pu vraiment l’exprimer. Elle avait essayé de le faire comprendre à son ex quand elle était mariée, mais après quelques essais, il s’était avéré qu’il n’était pas vraiment attiré par les jeux DS et même que cela avait participé aux causes de leur séparation. Quant à moi, elle m’aimait et ne m’avait jamais parlé de ses envies dans ce domaine de peur que je réagisse comme lui.En ce qui concernait "Luilui" sur MSN, ce n’était qu’un jeu pour elle, une compensation virtuelle. Si je n’étais pas intervenu, elle en serait restée là avec lui. D’ailleurs elle m’avoua que durant l’exhibition qu’elle avait faite pour lui sur mes ordres, le moteur de son plaisir avait été le fait que l’enregistrement de celle-ci sur notre webcam était pour moi. D’ailleurs elle avait bloqué ce contact depuis car elle préférait de loin le réel que le virtuel et que tout ce que je lui avais fait subir depuis 2 jours l’avait maintenue dans un état d’excitation constant et pour me le prouver elle prit ma main qu’elle guida jusqu’à sa chatte qui après notre séance de baise extrême était de nouveau trempée.
Elle était donc prête à suivre mes désirs pervers. Elle me demanda toutefois de ne pas lui demander l’impossible, comme de ne porter aucun dessous dans nos réunions familiales, de ne pas lui demander de faire des choses crades, de ménager son trou du cul car elle redoutait la sodomie et de ne pas lui infliger de violence extrême.Caressant sa chatte, je lui répondis que je respecterais ces demandes car elle était mon seul amour (même si je comptais bien dans l’avenir profiter de son joli cul et l’amener à prendre du plaisir par là).Je ponctuais ma phrase ma phrase en me penchant sur elle pour sceller notre pacte dans un baiser langoureux pendant que deux doigts dans sa chatte, je la branlais tout en caressant son clito de mon pouce. De mon autre main je m’occupais de ses seins les caressant et pinçant leur pointes à travers le tissu de sa robe. Je prenais soin de m’arrêter avant qu’elle n’atteigne l’orgasme lorsque les ondulations de son bassin commencèrent à se faire révélatrices de son arrivée.
"Pas tout de suite mon amour," lui dis je avec un sourire." Maintenant tu vas devoir apprendre à attendre pour jouir que ce soit selon mon désir et de la façon dont je le souhaite."Elle me fit une moue boudeuse, frustrée de cette privation et pour tenter de me faire fléchir elle glissa du canapé et se positionnant entre mes genoux commença à lécher ma braguette. Elle l’ouvrit et en fit sortir mon sexe en demi érection dont elle décalotta le gland. Elle sortit sa langue, le lécha et me regardant dans les yeux comme une belle salope et me demanda: "Tu veux que je te fasse jouir Maître ?"."Oui mais pas de cette façon, tu vas me sucer mais quand je te dirais stop tu monteras dans la chambre, tu te mettras nue et tu te Banderas les yeux avec un de tes foulards tu t’allongeras sur le lit et tu m’attendras". Elle répondit :"oui Maître" et emboucha mon gland. Je glissais alors mes mains dans son décolleté et lui pinçais fort les bourgeons de ses seins. Elle y prit beaucoup de plaisir ponctuant ses succions de hummmm et soupirs révélateurs. Quand mon sexe fut à nouveau dur sous sa caresse buccal, je la fis arrêter et lui donna l’ordre de monter faire ce que je lui avais ordonné. J’attendais 5 minutes avant de la suivre dans la chambre pour lui laisser le temps de penser à quels jeux pervers, j’allais me livrer sur elle.J’arrivais dans la chambre; elle était étendue nue sur le lit. Comme je lui avais demandé elle s’était bandé les yeux avec un de ses foulards. Ses seins avaient gardé la trace de la douce torture que je leur avais fait subir pendant qu’elle me suçait et leurs pointes étaient encore érigées. Sa respiration traduisait son trouble. J’allais vers sa commode et y prenais 3 bas autofixants et cherchant sous ses strings je trouvais un joli vibromasseur doré que j’avais découvert un jour caché là avec des boules de geisha sous ses culottes (jouet dont on ne s’était jamais servi, pas le top mais pour ce soir ça irait).Je me déshabillais et approchait du lit. Je me penchais alors sur sa poitrine et prenait la pointe d’un de ses seins en bouche pendant que je faisais rouler l’autre entre mes doigts. Soupirant elle fit mine de vouloir me rendre le plaisir que je lui donnais posant sa main sur ma bite, je saisis alors celle-ci la ramena vers son autre main et à l’aide d’un bas lui attachait les poignets. Elle grogna pour protester mais n’opposa aucune résistance quand relevant ses poignets au-dessus de sa tête, j’attachais ce bas aux barreaux de la tête de lit. Je lui posais un baiser du bout des lèvres et descendit de baiser en baiser le long de son corps jusqu’à sa chatte. Donnant quelques coups de langues sur son bouton d’amour au passage, je continuais de descendre jusqu’à son mollet et là saisissant le second bas, je l’attachais à sa cheville puis tirant sur celle-ci je la fixais au montant du lit à barreaux. Je fis de même avec son second pied toujours sans aucune protestation de sa part; mon petit jeu lui plaisait visiblement.
Elle était vraiment super sexy ainsi offerte et je ne pus résister au plaisir de la prendre en photo. Remontant sur le lit je me mis entre ses jambes écartées et déposait ma langue sur sa fente j’écartais alors les grandes lèvres de sa chatte avec deux doigts et commençais à lui prodiguer un cunnilingus. Prenant le vibromasseur je le mis en marche et le glissait doucement dans sa chatte. "Alors comme ça on a des jouets qu’on ne partage pas ma salope?" Lui dis-je."Hoooo...Oui...continue , insulte moi, Ouiiiii....je suis une salope...hummm..." Répondit-elle. Je repris mon léchage de plus belle tout en la branlant avec son vibro. Sa chatte ruisselait tellement qu’une tâche se formait sous ses fesses sur les draps. Elle ne contrôlait plus les mouvements de son bassin et tirant sur ses liens, sombra dans un cri à son premier orgasme. Ne comptant pas en rester là je changeais alors de méthode. Retirant le vibromasseur de sa chatte, je le posais sur son clito et le remplaçait par deux doigts dans sa chatte pour la branler.
"Tu en veux encore ma salope?" Lui dis-je. "Ouiiii.vas y bourres moi fort...continue...houu..." Répondit-elle. J’ajoutais alors un troisième doigt dans sa chatte et la pistonnait. Ses gémissements se firent plus forts, l’idée me vint alors d’aller plus loin et d’en mettre un quatrième. Cela passait juste, je sentais ses parois vaginales tendues autour de mes doigts et la vue de sa chatte remplie et distendue lorsque j’enfonçais ma main jusqu’à la limite des phalanges me faisait bander comme un taureau. Il fallait que je marque cet événement par une photo mais impossible dans cette position car j’avais les mains occupées. J’arrêtais alors ma douce torture un instant pour lui libérer les poignets et lui retirer son bandeau.
"Maintenant, salope tu vas te caresser les seins et sucer la bite de ton amant si tu veux que je continue." Dis-je en lui tendant le vibro.Elle s’exécuta en me demandant combien je lui avais mis de doigts. Pour toute réponse je lui glissais directement les quatre doigts déjà trempés de son jus dans son con. Ils furent accueillis par un feulement de plaisir. Je reprenais un lent pilonnage tentant de passer le plat de la main en forçant un peu plus en fin de course mon avantage. Il fallut un peu de temps mais j’y réussis. Ma main était rentrée jusqu’au pouce dans son vagin.Restant au fonds d’elle, je posais mon pouce sur son clitoris et le caressais en cercle tout en bougeant le reste de mes doigts dans sa matrice. Pendant ce temps-là, elle n’était pas restée inactive et suçait son vibromasseur tout en se pinçant les bourgeons de ses seins. Je pris alors mon téléphone que j’avais posé sur le lit et la photographiais en pleine action juste avant que son corps ne s’arc-boute sous l’effet d’un second orgasme.Le temps qu’elle reprenne des esprits, je lui détachais ses chevilles, je n’en pouvais plus, il fallait que je la baise."Maintenant, tu as mérité une récompense, mets toi à quatre pattes les mains sur la tête et dis-moi qui tu es pendant que je vais te baiser.."dis-je. Elle se positionna. Dans cette position, son cul cambré, elle était magnifique. Je me positionnais derrière elle et guidait ma verge entre les lèvres de sa chatte recueillant sa mouille puis la pénétrait d’un coup, jusqu’à sentir mon gland toucher le fonds de son vagin. J’adoptais un rythme lent mais puissant de façon à ce qu’elle sente bien ma bite frapper son utérus. "Alors? Qui es tu?"dis je en lui claquant une fesse." Je suis ta salope" je lui donnais un coup de rein..."ta chienne..." Nouveau coup de rein..." Ta pute en manque de bite, ohhhh.." "Ouiiiii...défonces moi...." "Plus fort..éclate moi comme une truie..."Ces mots qu’elle disait ajoutés au fait de voir aussi son cul réagir à mes coups de boutoir en se contractant quand mon pubis le rencontrait firent monter en moi un orgasme foudroyant et lorsque ma dernière giclée de sperme arriva, elle me rejoignit dans son plaisir. Epuisés nous nous effondrâmes sur le lit en nage.À partir de ce jour, notre vie de couple changea de tout au tout. Encore plus amoureux, qu’avant suite à cette révélation de nos penchants pour la domination et la soumission, une barrière était tombée celle des tabous. Nous avons dès lors pris l’habitude l’un et l’autre de nous suivre sur la route de nos désirs. Je la savais nympho et soumise et elle me savait pervers et obsédé nous ne pouvions que nous entendre.
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