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Marie, enfin ma salope

Chapitre 5

Avec plusieurs hommes
Marie m’excitait énormément, je lui avais organisé l’impensable et elle avait tout admis, sucer, se faire sodomiser et baiser par des inconnues, lécher la chatte de l’une de ses copines, avaler un demi verre de sperme... Elle avait tout accepter et pas tant pour satisfaire à mes ordres que pour prendre du plaisir
Marie était prête à tout pour jouir, elle en voulait tant, que je me demandais bien ce que j’allais pouvoir inventer de plus pour répondre à ses attentes. Car même si j’avais trouvé en elle de quoi assouvir dix années de fantasmes, je me sentais l’obligation de lui procurer de puissants orgasmes via des situations et des paroles bien placés. Des actes qui lui rappellent que c’est une salope et une chienne. Rien que d’y penser, je bandais.
Et ce fut la révélation, je n’allais pas chercher à la satisfaire, mais j’allais chercher à me satisfaire à réaliser mes visions de la déchéance d’une mère de famille, dans quelle situations est ce que j’aimerais la voir ?
A ma grande surprise, je n’avais pas eu trop de mal à réunir des personnes connus et inconnus pour abuser de son corps, internet est une arme redoutable. Marjorie avait bien douté de ma proposition au départ, mais la photo de Marie la bouche remplis de sperme l’avait convaincu. Et depuis, elle me harcelais pour profiter encore de ma soumise.
Cette fois, j’avais convoqué Marie et invité Marjorie dans un endroit trouvé pour la journée. Un gigantesque bâtiment de plus de 10.000 m2 qui devait être rasé et qui était maintenant à l’abandon. Marjorie est arrivée la première et je lui ai expliqué que mon deal avec Marie était qu’elle jouisse si je voulais profiter d’elle et que si elle voulait en abuser, il fallait qu’elle donne de sa personne.
Dans ce monumental dédale de couloir et de salles vides, j’avais choisi un endroit qui se décomposait en deux pièces de 25 mètre carré. Chaque pièce avait sa porte d’entrée et une porte double et isolé séparait les deux. C’était une ancienne officine de médecin avec son cabinet et sa salle d’attente. Les deux pièces avaient été vidée de leur mobilier sauf la salle d’attente dans laquelle il y avait toujours les sièges contre les murs. L’autre ou se déroulait les consultations était vide ou presque, il ne restait plus qu’une table basse au centre.
Marie m’a envoyé un texto m’indiquant qu’elle était devant le bloc de bâtiment. Je suis partie la chercher et l’ai ramené dans la pièce ou allait se déroulait sa journée de prostitution intensive... J’aimais la voir en pute absolue et le meilleur c’est que cette situation était lucrative.
Sur le chemin qui menait à l’endroit, elle n’arrêta pas de me demander de la prendre maintenant qu’elle était trempée, qu’elle voulait qu’on la prenne, qu’elle voulait jouir... Elle était devenue insatiable. Elle était dans un état d’excitation encore bien pire que la dernière fois.
En entrant dans la pièce et en voyant Marjorie, elle ne pus s’empêcher de grimacer.
“Ne t’inquiètes pas Marie, Marjo est au courant de notre deal et elle va devoir te faire jouir avant d’abuser de toi”
Marie : “C’est elle qui va me faire jouir ?”
Jules : “Non, pas seulement... Elle n’a pas arrêté de m’appeler pour me demander quand serait notre prochaine séance et je me suis senti obligé de la faire venir aujourd’hui. Je crois qu’elle est autant accroc à toi autant que toi au labourage” . Elle sourient toutes les deux à ma blague.
Marjorie commençait a se déshabiller, cette jolie brune d’un mètre soixante dix, cheveux long bouclé , yeux bleus avait quelque chose d’un ange. Les années n’avaient eu que peu d’emprise sur elle et c’était peut être la première fois que je la voyais prendre autant de plaisir pour quelque chose. Elle avait toujours était assez passive et sa vie se résumait à une musique d’une monotonie sans équivalent. Nue, elle avait un corps musclé par 10 années à exercer le métier de prof de fitness, ses seins magnifique plus jeune, était devenu plus petits avec les années, mais les tétons étaient toujours aussi beaux. Voilà elle était nue debout attendant que Marie veuille bien en faire autant.

“Marie tu te déshabille et tu te mets sur le dos sur la table basse, Marjo va te faire jouir avec sa langue et ensuite, tu feras de même.”
“Non, mais non, je veux que tu me baises, je veux me faire baiser, c’est le deal”
“ JE CONNAIS NOTRE DEAL ! FERMES TA GUEULE MAINTENANT ET A POIL !”Marie baissa la tête et commença nerveusement à se déshabiller, pendant ce temps j’installais deux caméras dans deux angles opposés de la pièce. Marjorie ne quittait pas Marie des yeux, elle la dévorait littéralement, et dans quelques secondes elle allait pouvoir la dévorer véritablement.
Marie ne disait plus un mot, elle se positionna comme je lui avait indiqué et Marjorie commença à lui caresser les cuisses. Leurs sexe à l’une comme à l’autre étaient trempés, Marie était surement la plus en manque, mais elle ne battait Marjo que de quelques minutes.
Marjo ne mis pas de temps à placer sa tête entre les cuisses de Marie, les préliminaires n’étaient pas son fort. Marie grimaçait de se savoir lécher par une femme, décidément l’homosexualité n’était pas son truc.
J’avais fini mon installation et je mettais l’enregistrement en route. La scène était d’un esthétisme rare, la vétusté des lieux mêlé à l’élégance de ces deux femmes entrain d’exécuter un balais saphique, c’était magnifique et je me suis dis en mon fort intérieur que le coté sale de l’acte sexuel est bien plus porté par l’homme que par la femme.
Marjo n’avait pas envie de trainer, elle mangeait la chatte de Marie, probablement de la manière dont elle voulait se faire manger la sienne, elle introduisait sa langue, utilisait ses doigts pour titiller son clito ou pour pénétrer son anus, parfois elle remontait une main jusqu’au seins de Marie pour lui attraper un téton et le pincer. Marie qui n’aimait pas cela, du moins au début, montrait des signes de plaisir évident et ne mis pas de temps à nous montrer le visage crispé d’une femme qui arrive au bout de la route. En effet, son visage se crispait de plus en plus et je voyais à la contraction de tout son corps sur la table que la jouissance qui allait la soulever allait être anthologique...
Marie” Putain, mais c’est bon, tu me lèches comme une pro, tu es vraiment une bouffeuse de chatte ma marjo, c’est énorme. J’adore !!! J’adore !!! Bouffes moi !!! bouffes moi !!!”
Et Marie jouis avec une intensité impressionnante, tandis que Marjo profitait de ce moment pour lui fister violemment le sexe ce qui coupa net le plaisir de Marie pour fixer sur son visage le signe de la douleur.
Marie” Pourquoi tu m’as fait ça, c’était bon et tu as tout gâché salope”
Marjo s’est relevée rapidement, a enjambé Marie et lui a saisi les cheveux
Marjo : “ Je ne suis pas une bouffeuse de chatte, c’est ce que m’a imposé Jules pour que je puisse profiter de toi, maintenant que tu as jouis, tu es a moi.”
Marjorie n’avait pas aimé se sentir rabaissé et elle allait le faire payer cher à Marie.
Marie était toujours sur le dos, Marjorie lui enjamba la tête et vint plaquer son sexe sur la bouche de Marie
Marjo “ Toi tu es là pour ça, aujourd’hui tu es une putes qui va se faire défoncer par tous les trous et tu vas commencer ta série par une chatte, la mienne... Toi tu es une bouffeuse de chatte, alors bouffes sale pute”
Marjorie était déchainée, la tranquille et calme Marjo comme je ne l’avais jamais vu, elle tenait les cheveux de Marie à deux et tentait d’introduire tout le visage de celle ci dans son sexe. Marie tentait de remonter ses bras, mais ils étaient bloqués par les cuisses de sa dominatrice qui était assise sur elle.
Marie n’eut d’autre choix que de se mettre à l’ouvrage, de là ou j’étais, je ne voyais pas grand chose, mais compris que la langue de Marie s’était mise en action à la tension qui gagnait le corps de Marjorie.
La scène était immobile, Marjo ne bougeait presque pas, si ce n’est sa tête qui basculait de temps en temps en arrière et Marie ne bougeait pas non plus, car immobilisée.
C’est le moment que je choisis pour me mettre à l’aise, défaire juste ma braguette et en place entre les cuisses de Marie. Ma queue était prête et je ne mis pas de temps à pénétrer celle qui était devenue mon esclave.
Même si elle ne pouvait pas bouger, je savais qu’elle adorait mes vas et viens et qu’elle n’allait pas mettre de temps à jouir une fois de plus. Face à moi le dos de Marjorie qui montrait des signes de contractions régulier, elle aussi allait jouir de la langue de celle sur laquelle elle fantasmait depuis si longtemps.
Je tenais fermement les hanches de Marie et j’ai décidé de les lâcher pour aller attraper celle de Marjorie, que je tirais de sa concentration. Elle eut un mouvement de tête vers moi, et me regarda avec des yeux fâchés, mais la langue de Marie devait s’activer de plus belle et son regard parti en arrière avec sa tête. Je tenais ses hanches et bourrait le sexe de Marie de plus belle. L’instant dura quelques minutes et elle jouirent presque en simultanée, Marie cria lachant le clito de Marjo et Marjo gémis tirant plus fort sur les cheveux de Marie.
Je n’avais pas joui et continuait mes vas et viens, Marjorie s’effondra et comme je tirais sur ses hanches pour pénétrer Marie, ses fesse glissait vers moi sur le corps de cette dernière. Je me retrouvais avec deux femmes dans les bras et c’était très agréable.
Mon rythme se prolongeait et elles étaient maintenant bouche à bouche entrain de se rouler des pelles bien baveuses.
“Marie, je croyais que tu n’étais pas homosexuel ?”
Elles ne s’occupaient absolument pas de moi et continuaient de se caresser le visage avec les mains et leurs bouches.
J’arrivais au bout de ma jouissance et décidait de profiter de la situation. je sortis ma queue et dans un râle bruyant je jouis sur les fesse et l’anus de Marjorie non sans un plaisir certain.
Marjorie s’en aperçu tout de suite
“Salaud, tu m’as jouis dessus”
“Je pourrais te dire que je ne l’ai pas fait exprès, mais ce n’est pas le cas”
Marjorie se relevait difficilement envoutée par les caresses de Marie, moi par contre j’étais debout et j’étais maintenant positionné idéalement et c’est le moment que choisi Marie pour caresser les fesses de Marjo et passer ses bras autour de sa taille, ce qui provoqua une cambrure naturel. Cela ne se reproduirai probablement jamais et dans cette situation Marjo ne pourrait jamais crier “au viol”
Je pliais les genoux et plaça ma queue encore raide à l’entrée du sexe de Marjorie. Elle le senti, voulu se relever, mais Marie lui tenait la tailler fermement et je m’introduis dans Marjorie.
“Non ! Non! Arretes !”
Je n’eu le temps de faire que deux trois vas et viens avant que ma conscience ne me décide d’en sortir.
Marjorie était furieuse, elle s’extirpa de cette position
“Tu en a lâchement profité, tu es un enfoiré”
“Oui, c’est vrai, mais je crois que Marie n’y est pas pour rien”
Et Marie souriait sous le nez de Marjo qui fociferait et la traitait de tous les noms.
“C’était bon, j’ai beaucoup aimer, si tu veux encore profiter de Marie il faudra que tu y passes”
Et Marjo se rendit compte qu’elle était piégé, tout comme Marie, elle aimait tellement ça qu’elle allait devoir m’offrir ce que je voulais pour se contenter...
Marjorie : “ Salaud, Salope !”
Marie: “ Tu es droguée maintenant, que ce soit à moi ou à un coup de bite, c’est ainsi, tu es une droguée, si je peux te voir te faire defoncer le cul, peut être que j’aurais envie de te manger la chatte avec plus de frénésie”
Marjorie ne tenait plus, entendre Marie prononcer ces mots la mettait dans un état d’excitation sans équivalent. Petit Marjo, si frèle, si jolie, si calme et maintenant si dépendante.
Marie comprenait le pouvoir que j’avais sur elle, elle exerçait le même sur Marjorie.
Allez Marjo, on en reparlera plus tard, la journée est loin d’être fini pour Marie et il faut vraiment que l’on commence maintenant. A mes mots, Marie eu un air interrogateur tandis que Marjo retrouvait le sourire.
Marjorie: “ C’est toi qui va te faire défoncer Marie, et même si tu aimes ça à l’infini, je suis sur que ce soir tu seras bien contente quand ça va s’arrêter”.
Marjorie se rhabille et Marie ne me quitte pas des yeux, ne comprenant toujours pas ce qui va se passer, comment pourrait elle ?
“A quatre pattes sur la table Marie !”Marie après un moment d’hésitation commence à se diriger vers la petite table basse et prend position. Avec de la corde, je lui attache les mains et les chevilles à chaque pied, elle n’est pas totalement entravée et je lui laisse un peu d’espace, mais pas suffisamment pour qu’elle puisse intervenir sur l’action.
elle était prête, et je me dirigeais vers la double porte battante qui nous séparait de l’ancienne salle d’attente, j’ouvre et proclame:
“Au premier de ses messieurs”
Marie qui jusque là avait la tête levé, la baissa, son cul était vers la porte et elle n’allait pas voir les hommes qui allait entrer et ....
Le premier était un homme d’une cinquantaine d’année, assez grand et avec un ventre imposant. Sa queue sortait de son pantalon, elle était d’une taille normal, mais ne bandait pas encore, il fit tout naturellement le tour de Marie, lui tira la cheveux et força sa bouche. Marie ne l’avait même pas regardé, elle ne savait même pas à quoi ressemblait celui qu’elle était entrain de sucer... Enfin, celui qui était entrain de lui prendre la bouche.
J’avais laissé la porte ouverte et plusieurs visages observaient la scène. le numéro 1 était face à eux, accrocher à la chevelure de Marie et allant et venant avec son bassin.
Le numéro 1 : “Elle est bonne les mecs, exactement comme sur les photos, putain, c’est énorme”
Jules : “ Bon vu le monde qu’il y a, il va falloir que tu la fourres maintenant. Le cul 100 euros, la chatte 10”
L’homme se retire de sa bouche et me donne 110 euros.
“ Je peux jouir ou je veux c’est ça ?”
“Oui”
Je regarde vers la porte et lance
“Mais elle n’avalera pas tout votre sperme les gars, c’est un coup à faire une indigestion”
Et les gars disciplinés restaient à la porte et se marrent grassement.
Marie me lance un regard de dégout, elle ne sait pas combien il vont être à lui défoncer le cul, la chatte et la bouche. Mais son visage rancunier se transforme dès que 1 commence à lui pénétrer la chatte, elle s’autorise même à lui lancer une phrase d’encouragement
Marie: “Oui c’est bon, vas y baises moi”
Elle ne le connait pas, ne sais pas à quoi il ressemble mais l’encourage à la baisser... elle adore ça cette chienne !
Il la ramone quelque minute et je demande à un autre de venir profiter de sa bouche.
Numéro deux est petit, assez maigre mais possède une belle appendice d’au moins 20 centimètres, qui se dresse déjà, presque bandé à fond. Pas sur qu’il ait besoin de la bouche de Marie, mais cet orifice est gratuit alors pourquoi s’en passer... Il ne la touche pas et présente sa queue devant sa tête. Lorsque Marie, qui regarde le sol, voit deux pieds, elle comprend et redresse sa tête mais garde les yeux fermés.
Elle est secouée par 1 qui continue de lui labourer la chatte et ne se décide pas à enfourner le numéro 2 qui ne perd pas patience et ne la force pas, il lui caresse la tête doucement et elle se décide à le regarder, elle ouvre les yeux sur sa verge massive qui se trouve à peine à deux centimètre d’elle et continue de faire monter son regard vers ce suivant. Lorsqu’elle croise son regard, il lui sourit et elle ouvre la bouche tout en rabaissant son regard, il avance doucement et fait entrer son sexe dans sa bouche. 2 est un doux et ne brusque pas les choses, il ne bouge presque pas et profites de la vitalité de 1 à défoncer Marie pour se faire sucer délicatement par la bouche de ma soumise.
Marie a l’air d’apprécier ce traitement et on voit qu’elle mets du coeur à serrer de ses lèvres se sexe d’une belle longueur.
Au bout d’une minute, 1 se retire, positionne sa queue sur l’anus de Marie et pousse de toute ses forces pour y entrer entièrement. Marie ouvre la bouche encore pleine pour crier, mais le mouvement en avant que donne 1 fait entre la queue de 2 un peu trop loin ce qui la stoppe net dans sa plainte.
Le ramonage du cul de Marie dure ainsi quelques secondes, puis 1 annonce qu’il va jouir et veut le faire dans la bouche de Marie. 2 la regarde en se retirant et lui lance un haussement de sourcils, elle lui souris pensant qu’il va probablement lui procurer du plaisir avec ce long engin.
1 prend place devant la belle, il sort du cul de Marie, sa queue est sale mais lui fourre sans aucune hésitation et il lui attrape de nouveau les cheveux pour lui imprimer sa cadence. Marie est un pantin entre ses mains et le changement de la douceur vers ce traitement est dur.
2 me tend un billet de 100 euros, ce qui veut dire qu’il ne veut qu’utiliser son cul, Marie va surement être déçue. Il se mets derrière Marie et positionne sa queue sur sa rondelle, mais ne la pénètre pas. Marie ne comprend pas encore que 2 ne veut pas la baisser mais juste la sodomiser. Elle est concentré sur 1 qui ne tarde pas a donner les signes de sa jouissance. Il lui bloque la tête et pousse sa queue au fond tout en criant sa joie. Marie se remplie probablement d’un liquide chaud qui lui est directement propulsé dans la gorge, mais c’est le moment que choisi 2 pour s’insérer dans son cul.
Marie ouvre les yeux de surprise, son cul cède, la moitié de la queue est à l’intérieur et elle se contracte. 2 commence à la labourer violemment et avec une cadence rapide, elle souffre et oublie totalement l’homme qui se vidange dans sa bouche. 1 se termine, se retire et la bouche de Marie libre recrache le sperme emmagasiné qui coule au sol.
1 : “ La meilleur des meilleurs, tu es une vrai bonne pute “
2 continue de la labourer frénétiquement, la douceur qu’il avait mis dans sa pénétration orale n’a rien à voir avec cette suite. Il s’active à détruire le cul de Marie qui, la bouche libre, lâche des cries de douleur.
J’autorise un troisième larron a s’approcher de Marie tandis qu’elle se fait complètement ouvrir le cul.
3 est un grand maghrébin d’une vingtaine d’année, assez grand, l’outil sorti de son étui, un petit sexe large. Il se présente face à la tête de Marie qu’elle ne contrôle plus, elle est toute à sa douleur. il l’attrape par sa mèche de devant et lui tire la tête vers l’arrière, elle est obligé d’ouvrir les yeux pour regarder ce numéro 3. A peine les a t’elle ouvert qu’il lui lâche un gros molard sur le visage. La scène est magnifique, elle est en plein cauchemar sexuel et moi je me régale de la voir ainsi traitée.
Elle ouvre la bouche, il s’insère sans lui lâcher les cheveux et il lui baise la bouche en douceur essayant à chaque vas et viens de s’insérer toujours plus loin. Son visage parallèle au sol laisse voir sa gorge gonflé par l’entrée et la sortie de 3.
2 sans prévenir pousse un cri de jouissance et se vide dans les intestins de Marie. Je fais immédiatement signe au numéro 4 d’entrer et regarde 3 qui proteste et ne veux pas quitter la bouche de Marie. 4 est un homme âgé d’une soixantaine d’année avec bâton dur qu’il astique de sa main gauche et me dis qu’il peut prendre Marie directement en me tendant 10 euros de la droite. 2 rengaine sa queue et me fais un signe de la main me demandant de le prévenir pour le prochain épisode.
4 ne mets que quelques secondes à pénétrer la chatte de Marie qui avait été délaissée depuis bien longtemps, mais l’anus de cette dernière totalement dilaté ne présente plus grand intérêt, du moins pour le moment.
3 continue de faire glisser sa queue lentement mais dans toute sa longueur, Marie semble totalement bloquer par cette cadence qui ne la laisse pas se détendre. 3 fais un signe à 4 en lui demandant de changer, mais 4 n’aura résister que trop peu de temps et jouis silencieusement dans la chatte de Marie. 3 n’est pas content et explique qu’il voulait baiser Marie, mais que maintenant son envie est un peu gâché. Je lui propose de jouir sur son visage ou dans sa bouche et qu’il ne paiera rien. Et il s’acharne maintenant à grande vitesse dans la bouche de la belle qui perd un peu sa contenance.
Marie est maintenant rougit par l’action mais elle est encore magnifique. Son cul est ouvert en deux, sa chatte de laquelle s’écoule du sperme est béante. Son corps est secoué par 3 qui fini par se retirer et jouir abondamment sur le visage de la délicieuse Marie. Aucun de ses orifices n’est maintenant occupé et elle souffle de ce répit. Je fais un signe vers la porte pour que deux personnes viennent et les prochains sont deux noirs.
Le premier qui est donc le cinquième s’astique le manche face aux fesses de Marie tandis que le deuxième arrive à côté d’elle et lui dit avec un accent.
6 : “ Ne lâche rien ma belle, je suis niam et avec mon frère on adore les blondes mature, tu vas voir, on va te défoncer bien comme il faut”
Mais Marie est déjà bien défoncer, elle souffle tandis que niam lui pince le nez et le tire vers le haut l’obligeant à ouvrir en grand sa bouche dans laquelle il s’insère. Les deux queues noires ne sont pas encore en forme mais promettent un grand moment tant elle grossissent sans s’arrêter. Niam entre et sort de la bouche de Marie et sa queue atteint maintenant un bon 25 centimètre pour une épaisseur impressionnante, il entre et sors pour empaler la tête de Marie à chaque mouvement, mon regard est hypnotisé par la scène et j’en aurais presque oublié le frero, le numéro 6 qui possède un engin identique qu’il s’apprête à insérer dans la chatte de Marie. Je lui fais signe que non qu’il faut d’abord me payer et cherche dans sa poche. J’espère qu’il va en retirer 100 euros, car j’adorerais voir Marie se faire empaler par un tel engin. le frère sort finalement 220 euros et paye pour lui et son frère l’entrée à tous les orifices.
A peine m’a t’il donné les billets qu’il pénètre la chatte qu’il vient de se payer de tout son long, Marie a un mouvement de contraction intense et voute son dos. Je repose mes yeux sur son visage et je m’aperçois que la queue gigantesque de niam la aussi a fait des ravages. Le menton de Marie est couverte de bave et ses yeux son révulsés. Elle est en transe tant par ce qui se passe dans sa bouche que par ce qu’elle se prend dans la chatte.
Les deux frères ne tarissent pas d’éloge sur leur gibier
6 : “ Tu es bonne, on va bien te démonter
5: “ Oui, et encore, notre troisième frère arrive juste derrière et il est mieux monté que nous”
Cette promesse me fait frémir pour la santé de Marie et je me demande comment est ce qu’elle va s’en sortir, mais c’est le moment qu’elle choisit pour gémir et jouir dans un orgasme visiblement très violent.
Les deux frères s’entendant à merveille, ne tiennent pas compte du tout de cet orgasme et continuent de détruire Marie. Niam se retire de sa bouche et laisse un spectacle de désolation. Marie est couverte de bave, rouge, la bouche ouverte, ne pouvant plus la refermer après le passage d’un tel engin.
Niam enjambe Marie et s’apprête à la sodomiser, c’est probablement une position que les deux frères ont l’habitude de pratiquer car 5 est très à l’aise de se retrouver avec les fesses de son frère sous le nez. Niam pousse sur la rondelle de Marie qui comprend que son cul va s’ouvrir encore. Elle s’accroche à la table qu’elle serre de ses doigts tandis que Niam plonge dans son cul qui fléchis sous la puissante du membre noir.
Elle est ravagé par les deux orifices en même temps, je contemple quelques dizaines de secondes ses deux colosses et leur cadence infernal et surtout le visage de Marie, sa bouche d’abord qu’elle laisse ouverte comme pour tenter de respirer du mieux qu’elle peut, puis ses traits totalement relâchés et son esprit est visiblement ailleurs. C’est le moment que je choisis pour me placer face à elle.
“Ouvres les yeux Marie”
Elle m’entend avec un décalage et ouvres les yeux au moins 5 secondes plus tard.
“Ils sont encore une vingtaine, tu vas adorer”
Et je lui crache à la figure.
Je relève ma tête et vois le troisième frère dans l’encadrement de la porte, il est immense et je lui fais signe de venir tandis que 5 et 6 continuent de faire gémir Marie.Il n’avait pas prévu de rentrer si vite et il n’est pas déboutonné, il avance dans la salle et retire son pantalon, son sexe au repos fait déjà un bon 20 centimètre et je me demande alors quel va être sa taille en action.
Il s’approche de la tête de Marie et lui envoie quelques petites claques
7 : “Réveilles toi, oh, il faut me sucer maintenant”
Elle relève la tête et il force le passage de sa bouche, sa queue continue de grossir et déforme la mâchoire de la douce et belle Marie. De ses yeux s’écoulent maintenant des larmes. Elle prend peut être conscience de ce qu’elle est à ce moment précis: De simple orifices à boucher, elle adore ça et se demande comment elle va s’en détacher.
7 pousse sa queue au fond de sa gorge.
D’un coup je l’entend qui compte à rebours depuis 5 et je me pose des questions.. Arrivé à 2 ils ressortent mais pas totalement des orifices qu’ils occupent et à 0 se renfonce rapidement tout à fond. Marie pousse un hurlement étouffé et tape la table de l’une de ses mains.
Et ils repartent pour des actions moins organisés chacun dans leur trou, mais le compte a rebours revient encore une fois et Marie hurle ce qui ressemble à un non, mais ne peut strictement rien empêcher et à 0 elle est de nouveau totalement remplis, Les 3 frères ont un challenge entre eux: Gagner quelques millimètres à chaque assauts conjugués et Marie dans tout ça ?
Elle n’a plus l’air d’être là, elle est sur un nuage. Au bout de quelques minutes de ce traitement avec un compte à rebours par minute, les trois frères se retirent ensemble de leurs orifices.
Ils se reculent de quelques pas et sont alignés derrière cette chose qui ne ressemble plus à une femme respectable, mais bel et bien à une pute sortant d’une très grosse journée de travail
8 “ Prends une photo, pour notre album et toi la chienne, regarde l’objectif”
Je pointe mon téléphone pour cadrer et à ce moment,Marie tourne la tête vers moi. Elle est détruite, totalement effondrée et ne va surement plus ressentir grand chose maintenant.
Une fois la photo prise, les colosses se remettent en position, Marie a bien un petit sursaut de résistance mais elle n’arrive pas à donné de la pitié à ses bourreaux. Niam s’occupe de sa chatte, le 5 prend la bouche et le 7, le plus gros se positionne à l’orée de son anus, ou du moins de ce qu’il en reste. Et pourtant face à ce trou béant on voit bien que la bite de 7 peut encore faire des dégâts.
Niam et 5 s’active dans la chatte et la bouche, mais 7 ne rentre pas dans son orifice: Il attend. Et au bout de quelques dizaine de secondes, pendant lesquels Marie commence a aller vers un autre orgasme, 8 se mets à compter à rebours. Marie n’a plus aucune réaction face à cette musique qui annonce un empalage total. Et arrivée à 0 les trois ensemble pénètre Marie, mais cette fois ci très rapidementMarie souffle comme elle peut, l’immense queue dans son cul entre entièrement ainsi que celle dans sa chatte, c’est finalement la gorge profonde qui a du mal à se faire. Mais les autres frère restent tout au fond attendant que 5 soit totalement entrée dans sa gorge. Marie comprend lorsque les deux frères dans son dos encourage le troisième face à elle. Marie tente d’ouvrir un peu plus grand, il reste très peu de chair dehors, à peine deux centimètre et l’aluette est passée, l’effort ne devrait pas être compliqué de la part de Marie d’autant que 5 pousse sur son crâne de plus en plus fort...
Voilà, ça y est, les trois frères sont totalement en elle... Et c’est là qu’une scène étonnante s’offre à moi, les trois frères commencent à entonner une chanson africaine, et sur la cadence, assez rapide, ils sortent et rentrent de Marie, ensemble et à chaque fois à fond. Marie à les yeux fermé, elle pleure, mais je reconnait se visage, un orgasme commence à monter, son corps est déformé de toute part, sa gorge se gonfle et se dégonfle en même temps que son ventre.
Les hommes en attentent dans la salle à coté ont tous le visage à la porte pour observer ce spectacle
Pour garder la cadence les trois frères sont obligés de s’accrocher au corps frêle de leur victime qui est secoué comme jamais. L’orgasme arrive pour Marie que l’on entend à peine gémir et la chanson des trois frères s’accélère, ils tentent avec un peu de mal de faire garder la cadence à leur ballet. Niam ne chante plus et prononce un mot que je ne connais pas tout en s’immobilisant au fond de la chatte de Marie. Pour autant les autres ne s’arrêtent pas.
Je comprends qu’il jouit.
Les deux autres frères finissent la chanson et comme par magie jouissent en même temps sur le dernier couplet. Ils s’immobilisent également au fond de leur proie et je vois Marie déglutir le sperme qui semble arriver en elle.
Niam se retire tandis que ses deux frères sont toujours à fond, et au bout de quelques secondes ils se retirent également. 7 l’enjambe pour se dégager, son pieu commence à ramollir et le cul de Marie est ouvert comme jamais et d’une couleur rouge vif sur le pourtour.
7 : “ C’était sympa ! quand elle n’en pourra plus et voudra remettre ça, tu nous appelles, par contre ce sera à toi de payer pour qu’on la démonte de la même manière, ensuite si elle en veut plus, on a d’autres frères, mais pour le moment, je ne suis pas sur qu’elle supporte le traitement, déjà là, elle va mettre du temps à s’en remettre”
Ces paroles étaient d’une grande vérité et j’ai simplement acquiescé.
Ils se sont rhabillé et son repartis.
Je me dirigeait vers la salle d’attente pour voir combien d’homme attendaient encore, la pauvre Marie était totalement disloqué et avait un regard totalement hagard. La transformation de cette infirmière, mère de famille en dépravé totale s’était effectuée sous mes yeux et le résultat était magnifique. Je la voyais bien tapiner aux bois dans quelques jours pour le plus grand plaisir de quelques pervers.
Dans la salle d’attente, ils étaient encore une trentaine.“Messieurs, compte tenu de l’état de Marie, je vous propose de jouir sur son visage ou dans sa bouche, mais ses orifices anal et vaginal ne serviront plus ce soir”
J’ai entendu quelques râles, mais pour la plupart, le spectacle auquel ils venaient d’assister leur suffisait. Ils avaient presque tous leur outil à la main, tous en bonne forme et ils s’astiquaient à l’unisson. L’arrosage ne devrait pas leur prendre trop de temps.
Je suis retourné sur Marie, l’ai détaché et positionné à genoux, ses fesses sur ses pieds, il a fallu que je lui indique la position qu’elle devait tenir, plaçant sa tête en arrière, la bouche ouverte et la langue sortie et je lui ai ligoté les mains dans le dos pour ajouter à la scène.
Les hommes ne m’avait pas entendu et formaient déjà une file d’attente. A peine avais je fini de la préparer que le premier s’est positionné face à elle, s’est penché sur elle pour lui envoyé un cracha sur le visage puis dans la foulée à décharger son foutre sur la langue de Marie, seulement 4 jets, mais d’un sperme épais
“Avales salope”
Et Marie que je croyais absente s’est exécuté, non sans mal.
L’homme s’est écarté poussé quelque peu par le suivant qui ne dit pas un mot et déchargea en désordre sur le visage de Marie.
Et le manège s’enchaina avec des déchargement de tout volume et de tout épaisseur. Lorsqu’il ne restait plus que 6 ou 7 hommes devant elle, elle eu a faire à un pervers.
Elle était couverte de sperme et jusque là aucun n’avait introduit sa queue dans sa bouche ne voulant pas entrer en contact avec le sperme des autres, mais celui ci s’en moquait, il entra sa queue d’une quinzaine de centimètre dans la bouche de Marie l’attrapa par les cheveux et lui baisa la bouche. Cela ne faisait pas grand effet à Marie, et il se vida dans sa bouche sans bouger, la vidange durait, durait, et l’homme derrière lui s’impatientait pour finir par le bousculer. Sa petite queue sortie de la bouche de ma soumise et je me rendit compte qu’il ne jouissait pas mais pissait... Et Marie buvait l’urine de cet homme sans rien dire depuis déjà quelques secondes.
L’homme derrière lui voyant cela se recula et le pervers dirigea encore le jet vers le visage de Marie qui gardait la bouche ouverte, il s’amusait avec son pistolet à la couvrir d’urine tout en vociférant
“Chienne, salope, putain, prends, prends ça, tu es pire que tout, tu n’es plus qu’une chose”
Je ne suis pas sur que Marie se rendait compte du traitement que lui infligeait cette homme jusqu’au moment ou j’aperçu des larmes se formé au coin de ses yeux.
Toute l’urine que l’homme mettait dans sa bouche Marie la faisait disparaitre en avalant... Est ce qu’elle aimait vraiment cela ? Il faudrait que je lui demande par la suite.
Il fini, se rhabilla et disparu. Et les autres enchainèrent et déchargeaient leur semence sur Marie, dans ses cheveux, dans sa bouche, sur son visage, elle était dégoulinante de foutre.
Quand tout cela fut fini et que plus personne n’était là. Je tournai autour de la belle pour prendre quelques photos inoubliables. Elle ouvrit les yeux voyant qu’elle n’était plus sollicité et me regardait sans aucune émotion et me sourit.
Je ne pus faire qu’une chose, la féliciter.
“Bravo Marie, tu as franchis un nouveau cap aujourd’hui, tu as aimé que l’on te pisse dessus ? Tu as aimé boire de l’urine ?”
“ Je n’ai pas aimé, mais cela m’a fait descendre encore un peu plus bas et toute cet humiliation m’a procuré beaucoup de plaisir”
Elle parlait par saccade, elle était encore sous le choc et ses mots sortaient comme ils pouvaient
“ N’être plus qu’une chose que l’on utilise pour le plaisir, c’est rabaissant, mais à la fois on ne se pose plus de question et c’est agréable “
Elle était dans un état de saleté avancé, le sperme collé ses cheveux, l’urine qui avait découvert un peu son visage de toute cette semence avait marqué tout son corps de tache rose. Je me demandais comment est ce qu’elle allait rattrapé cela avant de rentré chez elle.
Elle gardait sa position, attendant mon bon vouloir, elle était totalement soumise, une esclave. La journée avait duré près de 4 heures, elle avait été plus ou moins honoré par près de 40 personnes.
Je me suis mis face à elle, j’ai sorti ma queue, a mon tour je voulais l’honorer. Elle me regardait, ma bite n’était pas franchement dur, mais l’urine ne sort pas bien quand on bande. Elle a ouvert largement sa bouche, sortie sa langue et ma vessie a commencé a se libérer. Je suis partie du bas, pour remonter doucement, arrosant ses petits seins pour finalement atteindre le visage et sa bouche que je m’amusais à remplir. Elle avait les yeux sur moi et avalait dès que sa bouche était pleine, 5 fois elle a fermé sa bouche remplie et a avaler.
Lorsque j’en eu fini, elle baissa la tête vers le sol, je lui ai pris les cheveux pour qu’elle me regarde, elle pleurait à chaude larmes et je lui ai une fois de plus craché à la gueule.
“Tu as été parfaite Marie, n’hésites plus à aller faire le tapin dans les bois, tu es fin prête. Tu te feras surement plus de fric qu’à la clinique et surtout bien plus plaisir”
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