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marie, ma meilleure amie

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Hervé, 16 ans, je suis un ado comme les autres, et je vais vous raconter comment j’ai découvert le plaisir des sens avec ma meilleure amie.Certains penseront que ce genre de choses avec sa meilleure amie est dangereux pour la relation, laissez-moi vous démontrer qu’il n’en fut rien.
Comme chaque année début juillet, les vacances arrivent, et nous allons passer deux mois chez des amis à mes parents, loin du Nord, et bien sûr ma meilleure amie sera là.Nous nous connaissons depuis tous petits, ces vacances sont pour ainsi dire traditionnelles, nous nous voyons uniquement lors de ce séjour, et durant celui-ci, nous en profitons un maximum pour nous raconter nos vies, elle devient alors une sorte de sœur pour moi, qui suis fils unique.Marie, pour la nommer. C’est une jeune fille gaie, de mon âge, très jolie au demeurant.Notons que nos relations jusqu’alors étaient on ne peut plus normales, la villa est agréables mais un tout petit trop petite pour 2 familles, ce qui a fait qu’elle et moi partageons la même chambre à l’étage, une pièce destiné certainement à de grandes choses mais qui fait office de chambre d’amis, et de grenier le reste du temps.
Jour du départ, mes parents sont bien sur présents et je suis heureux car je vais enfin revoir Marie après ces quelques mois de séparation, nous allons pouvoir de nouveau nous raconter nos vies pendant deux semaines, parler de tout de rien, manger des chamalows sous les draps en pleine nuit... Je suis mort d’impatience.Nous arrivons quelques heures plus tard, après cette longue route pour rejoindre la côté. Nous saluons nos hôtes, et du premier coup d’œil, je sais que Marie attendait elle aussi depuis des semaines.Les amis de mes parents ont cette petite villa adorable, quelques kilomètres nous séparent de l’urbanisation, et comme je l’ai souligné plus tôt, elle manque de chambres. C’est donc tout naturellement que nous sommes allés nous installer à l’étage avec Marie pendant que mes parents prenaient sa chambre. Nos parents sont bien entendu au courant de la complicité qui nous unit depuis l’âge de trois ou quatre ans, ils sont conscient que cette relation se rapproche plus de celle d’un frère avec sa sœur que celle de jeunes amants, même à notre âge. Ils avaient raison, jusqu’à cet été.Je dois reconnaître que Marie est magnifique, il y a encore deux ou trois ans c’était une enfant, mais là elle est devenue une vraie petite femme. C’était encore plus vrai cette année.— Hé salut Hervé ! me lança-t-elle en me faisant la bise. Dis donc, ça ne fait qu’un an depuis juillet dernier, mais tu as drôlement changé ! Un vrai homme !— Je me dois de te signaler que tu as bien vieilli aussi, soufflai-je avec un sourire.C’était amorcé, un nouvel été démarrait, et notre complicité étaient toujours intacte, on se laissait fin août pour se retrouver juillet de l’année suivante, et rien ne changeait, malgré les huit cents kilomètres qui nous séparent.— Alors pas de bêtises les gamins là-haut ! lança ma mère.Mon père et les parents de Marie rirent, elle et moi aussi.
Pendant le repas, je ne pus m’empêcher de jeter des regards en coin à Marie, et je crois que ces regards furent réciproques.Après le repas, nos parents s’installèrent à la télé, trop fatigués pour aller faire un tour.— Bon je vais me coucher, dis-je.— Oui moi aussi, ajouta Marie— Bonne nuit ! répondirent en cœur nos géniteurs.— Monte ta valise Hervé, dit ma mère.
Nous montons, Marie derrière moi, je n’arrête pas de lui jeter quelques regards, elle me montre notre chambre, très belle, comme à accoutumée, elle l’a préparée comme chaque année, toujours cette petite télé, et et deux lits placés côte-à-côte pour nos discussions nocturnes.— Je vais me brosser les dents, installe-toi, me dit Marie avec un petit sourire.— OK, acquiesçai-je en lui rendant ce sourire.Quelques petits aménagements plus tard, je décide de mettre mes habits dans une armoire, je me trompe de porte, et je sur les habits de mon amie,je reste quelques instant en arrêt devant ses soutiens-gorge et ses petites culottes, mais me repris rapidement. Je les ai déjà vu pour la plupart, ce tabou n’existe pas entre nous, et je sais qu’elle s’habille comme beaucoup de filles de son âge, sexy mais juste ce qu’il faut, jamais vulgaire. Je referme donc l’armoire avant qu’elle ne me surprenne (et rie de moi !), et pris la porte qui la jouxtait pour y déposer mes propres affaires.Marie revient quelques minutes plus tard : — Voilà, tu peux y aller ! — OK, merci, j’en ai pour cinq minutes.— Prends le temps que tu veux ! me lança-t-elle dans un rire.Après quelques petites minutes, je ressortis et la vis devant son l’armoire, sortir de celle-ci sa robe de chambre, et sa petit chemisette pour dormir.Je me vautre sur mon lit, et je regarde commence à sortir mes magazines quand tout à coup, Marie, se déshabilla, resta en sous-vêtements et mit sa robe de chambre par-dessus.Je reste un petit moment interdit en la fixant, elle est vraiment très belle... Elle s’en aperçut et me lança :— Bah quoi ? Tu m’as jamais vue en culotte et soutif ? Ca fait bien 4 ans que j’en mets, qu’est-ce qui te met dans cet état-là ? Ça te gêne en fait ?Me rendant compte du ridicule de la situation, je parvins à lui articuler :— Non non ! ne t’inquiète pas, mais je te l’ai dit, toi aussi tu as changé, tu es un vrai bout de femme maintenant, j’ai cru que tu aurais été plus pudique avec moi maintenant que tu es devenue presque adulte...— Haha, je vois, oui je t’avoue que je ne ferais pas ça avec n’importe quel garçon, mais toi tu es Hervé, je te connais depuis toute petite donc honnêtement ça ne me gêne pas. J’espère que tu en es conscient ?— Oui ! lui dis-je en souriant.Alors pour donner le change, je me levai, et je me dirigeai vers la ma parcelle d’armoire, je pris mon short qui me servait de pyjama, enlevai mon haut, et mon pantalon devant elle, en restant en boxer.— Et bien tu vois c’est pareil, toi aussi tu pourrais être plus pudique !Je reçus la remarque sans sourciller.— Mais, ajouta-t-elle en souriant, c’est vrai que t’es pas mal !Je rougis. Touché.— Merci.Et à ma grande surprise, son regard ne quitta pas la bosse de mon short, et je vérifiai prestement que je n’étais pas en érection, sinon cette histoire commençait à déraper sérieusement. Mais tout allait bien. Les canons sont prêts mon Général. Repos. A quoi pensait-elle ? A la taille de mon engin ?Après quelques instants elle se retourna un petit peu rouge, consciente à son tour que je voyais son manège, et ramassa mon magazine, s’installa sur son lit, et se mit à lire. Je fis de même.
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