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marie, ma meilleure amie

Chapitre 4

Hétéro
Le lendemain matin, je me réveillai très lentement, et à question "Ai-je rêvé ?", la réponse fut non. C’était très beau, elle avait la couverture à hauteur de son ventre, couchée sur le côté, j’avais une magnifique vue sur sa poitrine toujours aussi belle que la veille.Je restai à la regarder se réveiller, avec un petit sourire rêveur. Elle le cueillit en ouvrant les yeux, sourit à son tour. Mais nous n’avions pas le temps de reprendre nos découvertes là ou nous les avions laissées car le petit-déjeuner nous attendait la matinée était déjà bien entamée.Marie se leva en premier, j’étais encore sous la couette, elle s’approcha de moi, et déposa un doux baiser sur ma bouche .— Secret ?— Bien sûr.Elle tira la couette et regarda mon sexe pendant quelques secondes, m’offrant une vue d’ensemble de son corps. Jamais je n’aurais voulu quitter cette vision, mais elle me ramena à la raison en me chuchotant :— Il faut descendre.— Oui, je vais me préparer.J’enfilai mon short et T-shirt, et elle sa nuisette avec une petite culotte.Nous descendîmes. Bonjour, oui bien dormi, très bien même. La chambre est parfaite la vue est splendide. Marie pouffa discrètement.Le programme de la journée était plage, tous ensemble. Nous montâmes nous préparer. L’avantage de notre petite soirée de la veille était que nous ne devions plus attendre l’autre dans la salle de bain, une sorte de naturel s’installa entre nous, nous nous déshabillâmes tranquillement, mais sans aller plus loin.
Après quelques minutes de marche, nous fûmes enfin arrivés à une petite crique vide, difficile d’accès et donc extrêmement agréable.Nos parents préparèrent un véritable camp pour la journée, serviettes, crème... Tout pour profiter un maximum de la bronzette.Mais Marie demanda :— Maman, j’aimerai montrer la petite plage plus loin à Hervé, qui est vraiment jolie, on peut y aller ?Je crois qu’on avait eu la même idée. Pas envie d’attendre le soir.— Bien sûr, vous pouvez y rester si vous voulez, nous on reste là, on a nos habitudes. Attention aux rochers chérie ! acquiesça sa mère, prenez juste de la crème solaire, sinon vous allez brûler.Pour ça on allait brûler oui.
Marie et moi nous dirigeâmes alors vers les rochers avec nos serviettes et la crème.Après quelques minutes de marche, nous avions dépassé les rochers qui nous cachaient des regards indiscrets. Une parfaite petite crique.J’étais très content d’être avec mon amie, et elle aussi.— C’est ici.— C’est vraiment magnifique ! répondis-je impressionné.
En effet, elle avait raison, il y avait quelques rochers, la mer, et le sable, et bien sur un magnifique soleil, et le plus important : nous étions seuls. — C’est ici l’endroit où je vais seule l’année, m’avoua-t-elle, c’est calme.Cela m’alla droit au cœur. Je souris à cette remarque.— Je suis content de passer les vacances avec toi.Elle me rendit mon sourire, et nous nous étalâmes sur nos serviettes.Mais pas pour longtemps, car Marie se redressa :— Je vais te mettre de la crème solaire, faut faire très attention avec ce soleil, dit-elle.Bien entendu.Sans aucune objection, je me tournai sur le ventre, en lui offrant mon dos.Ce fut divin, ses mains douces enduites de crème glissant sur mon corps, un vrai délice, et elle en profita aussi pour en étaler absolument partout, jusque sous mon short de bain. Je n’avais rien contre cette initiative, si ce n’est qu’une erection arriva rapidement. Mais le sable n’était pas le matelas de la chambre, ainsi je fis mine de rien.Elle termina enfin son massage, après m’avoir procuré un bien fou.C’était donc mon tour à présent, elle l’avait compris, et je lui demandai : -Couche toi sur le ventre s’il te plait, lui dis-je d’un air de majordome, et enlève ton haut s’il te plait.Elle n’obéit pas, et en me regardant, elle se retourna, l’air malicieux. Elle voulait que je l’enlève moi-même, tâche à laquelle je fis honneur sans broncher, dévoilant sa magnifique poitrine à nouveau.Elle se coucha sur le ventre. Je mis de la crème solaire sur mes mains, et commençai mon massage très délicatement, en profitant de tous les recoins de sa peau, son corps était très doux, aussi doux que ses lèvres, j’en profitai moi aussi, en touchant ses fesses d’une main curieuse.Après quelques minutes, elle se retourna, c’était le tour de son ventre de subir mes caresses.Je commençai par les épaules, puis continuai sur son ventre, et bien sur le plus important : sa poitrine !Enfin je pouvais la toucher, mes mains huilées lui procurèrent de nouvelles sensations, sa respiration était haletante, et quand je touchai ses tétons qui étaient durs, elle poussa un petit gémissement. Je terminai par le pubis, en prenant bien soin de passer plusieurs fois ma main sur la repousse. Elle gémit plusieurs fois selon mes caresses qui visitaient son corps. Je m’arrêtait et m’allongeai à côté d’elle.On se reposa un peu, puis soudain je m’aperçus qu’elle ne regardait pas le ciel, mais belle et bien mon érection que j’avais oublié en me redressant.Cette fois encore, elle prit les initiatives, et baissa mon short et s’offrit une vue plus qu’acceptable sur mon sexe qui bandait fermement, je n’émis aucunes objection, et je la regardai droit dans les yeux.Elle détacha son regard du mien, et elle osa enfin ! Elle prit mon pénis en main, et répéta les gestes que j’avais moi-même fait la veille. Au début le contact de mon membre avec sa main, me fit sursauter, elle prit peur, et y alla maladroitement, je la rassurai en me relevant, et je déposai un long et doux baiser sur ses lèvres.J’eus la réaction que j’attendais, car elle fit les bons mouvements, cela me procurait un bien énorme, je la guidai, pour lui montrer différents points sensibles propices à mon plaisir, et elle suivit tous mes conseils.Je ne voulus pas être égoïste. J’embrassais ses seins, elle gémit au moindre contact de mes lèvres avec ses tétons, et je donnai des coups de langues, qui lui provoquèrent le même bonheur qu’elle me procurait avec ses caresses sur mon sexe.On pouvait voir entre sa main, ressortir mon gland décalotté, qui était bien humide à présent. Nous continuâmes nos caresses pendant un petit moment jusqu’à ce que :— Je vais bientôt éjaculer, prévins-je.Je venais de quitter ses seins, tandis qu’elle continuait ses mouvements devenus habiles sans rien dire. Son regard me disait "Tant mieux". Elle semblait vraiment excitée, c’était nouveau pour elle, et de même pour moi.Je me contractai, un grand jet de sperme sortit de mon membre, et elle redoubla d’efforts pour continuer à me procurer du plaisir. Quelques secondes plus tard, mon sexe n’en demandait pas plus, et Marie comprit qu’il fallait stopper ses caresses.Elle enleva sa main de mon sexe, regarda le sperme dans sa main, et sa curiosité l’emporta enfin, elle lécha son doigt couvert de ma semence.Même moi je n’avais jamais oser faire ce quelle venait de faire. Un pote se vantait de l’avoir fait au lycée, j’avoue que ça me laissait perplexe. je lui demandai :— C’est bon ? — Oh tu es un vrai petit sucre Hervé !Elle se recoucha avec le doigt en bouche. C’était mon tour. Je baissai le bas de son maillot délicatement, elle était à présent nue devant moi.Je m’apprêtais à lui rendre se magnifique plaisir, je me penchai et touchai son sexe humide de ma main, le contact la fit gémir, et je découvris le bonheur de pouvoir donner autant de plaisir, je continuai mes petites caresses sur son sexe qui devenait de plus en plus humide, avant de décider d’insérer un doigt dans son vagin pour lui procurer encore plus de bien être.La réaction ne se fit pas attendre, Marie poussa un grand gémissement et elle fut parcourue de frissons, heureusement que nous nous étions suffisamment éloignés... J’insérai donc un doigt supplémentaire dans son orifice, et je fis des va-et-vient de plus en plus vite, ce qui la fit gémir de plus belle.Quelques secondes plus tard, elle bougea dans tous les sens, le souffle court, mit sa serviette dans sa boche pour étouffer un hurlement de jouissance.Elle avait donc eu son premier orgasme en ma compagnie, c’était une belle victoire pour moi d’avoir fait jouir une autre personne que moi.J’avais stoppé mes mouvements après qu’elle ait joui, son intimité était à nouveau sensible aux moindres caresses.Nous restâmes allongés sur nos serviettes pendant un bon moment, le temps s’était arrêté. Je lui proposai d’aller se baigner et elle accepta, nous avions encore une respiration saccadée grâce à ce bonheur partagé.
Nous nous dirigeâmes donc vers cette mer d’un bleu magnifique, l’eau était chaude et douce, on pouvait voir très facilement le sable dorée au fond de cette eau claire.Nous pouvions voir nos corps dans l’eau, nous échangeâmes un doux et long baiser en nous caressant délicatement, l’eau nous permit de rendre ces caresses encore plus magnifiques qu’elles n’étaient, j’en profitai pour explorer à nouveau son corps au toucher sans lâcher ses lèvres.Elle fit de même, en me caressant le dos, et appuya mon sexe sur le sien à travers nos maillots, ce contact était vraiment sensationnel, mon membre explosa de bien être, et Marie gémit.Nous sommes restés comme ca pendant quelques secondes, en fait je venais de passer les meilleurs moments de ma vie.La journée s’écoula soudain plus vite, entre baignades et séances de caresses, et nous dûmes rentrer rejoindre nos familles.Après avoir pris les serviettes, nous nous sommes échangés un dernier baiser avant de prendre la route pour rejoindre le campement.Quelques instants plus tard, nous rentrâmes à la maison, direction notre petite chambre tant adorée.
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