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Marie retrouve Georges, un vieux pas si vieux que ça

Chapitre 2

Zoophilie
LA SALOPE
A demi cachée derrière la porte entrouverte, j’ai regardé Georges s’éloigner jusqu’à ce qu’il disparaisse au coin de la rue .Sussucre en avait profité pour rentrer. Il plaquait le museau entre mes cuisses, sous mes fesses, humant à pleins poumons les odeurs qui émanaient de moi, semblait très excité .Son souffle chaud contre mes fesses m’a faite frissonner.Et quand sa langue s’est activée, je me suis accrochée à la poignée pour ne pas tomber.J’ai réussi à refermer la porte, mes jambes ployaient sous mon poids, m’obligeant à m’appuyer contre elle, penchée en avant.Sussucre me léchait avec application, fouillant ma raie, remontant jusqu’à mon petit trou qui frémissait de bonheur.
Je me suis retournée pour lui caresser la tête, lui parler doucement, le calmer ...Mais rien n’y faisait .Avait il deviné ce qui s’était passé plus tôt ?Il poussait sa tête entre mes cuisses, irrésistiblement attiré par l’humidité qui les poissait, goutant avec avidité le jus d’amour qui les imprégnait.Son odorat si fin avait dû le renseigner sur mon état de femme comblée par son amant.
J’essayais de le repousser, mais, solidement ancré sur ses pattes, il résistait en grondant.Il ignorait mes caresses, mes mots doux, et déjà, sous son ventre, son fourreau avait grossi, tressautant nerveusement, laissant apparaître sa petite flèche rouge .D’un geste brusque, il m’a repoussé en arrière...... Je suis tombée sur les fesses, entrouvrant involontairement mes jambes, lui donnant accès au trésor qu’il convoitait.Il a enfoncé sa tête entre mes cuisses, la tournant en tous sens, pour atteindre la source de ce nectar qu’il aimait tant, tandis que je restais là, incapable de lui résister. Et quand sa langue a effleuré mon bouton d’amour, encore sensible des caresses qu’il avait reçu, j’ai laissé échapper un gémissement de bonheur.Presque malgré moi, je me suis ouverte, me livrant entièrement à ses caresses.Tout mon corps tremblait du plaisir que j’éprouvais.Tellement différent de ce que j’avais ressenti avec Georges, mais c’était si bon !!
Comme à chaque fois qu’il manifestait le désir de me prendre, j’étais saisie d’une frénésie incontrôlable, oubliant toute honte, toute pudeur, incapable de lui résister.J’étais devenue une femelle en chaleur qui avait besoin d’ être prise par un mâle vigoureux et dominateur, qui s’offrait, le réclamait en gémissant !
Le sentir me chevaucher, se montrer maladroit, trouver enfin l’entrée de ma petite grotte, me prendre de toutes ses forces, trembler sous ses coups de reins, le sentir grossir, m’investir, me remplir comme lui seul savait le faire, racler mon clito à me faire crier, haleter au même rythme que lui, et enfin sentir ses jets puissants, abondants, tout au fond de moi ......., j’aimais ça, j’aimais ça, .... à la folie !Et j’en avais envie, j’en avais envie !!!Oubliées les caresses de Georges, ses mots doux, ses gestes tendres, ....
J’ai réussi à murmurer : pousses toi, puis à me retourner, a genoux, lui présentant ma croupe.Il a compris.D’un bond, il était sur moi, m’enserrant de ses pattes.
Il m’attirait vers lui, griffant mes seins, mes flans ..Son fourreau glissait entre mes fesses, son poil doux caressait mon petit trou et me faisait frémir.
Je me suis cambrée davantage, et enfin,sa flèche rouge est venue buter sur mes petites lèvres, m’arrachant un gémissement de désir....Ses coups de reins étaient moins violents, sa flèche s’arrêtait à l’entrée de mon sexe, me faisant me cambrer davantage, à la limite de l’insoutenable.Comme s’il jouait avec moi, voulait amplifier mon désir, comme s’il voulait que je lui crie, le supplie : Baise moi, baise moiiii !!Ma cyprine coulait sur mes cuisses, lui témoignant mon envie .
Comme toujours, sa fébrilité le rendait maladroit et son excitation grandissait.
Il me délaissait pour venir me sentir, me gouter de sa langue habile, comme pour s’assurer que j’étais toujours prête, me faisant trembler d’impatience .
Puis il me chevauchait de nouveau, brutalement, pressé d’arriver à ses fins .Enfin, il s’est enfoncé dans mon ventre . Ahhh, c’est booonnnn !.Il me pistonnait à grands coups de reins, s’échappant parfois, me reprenant brutalement.Ma tête cognait contre la porte au rythme de ses va et vient, mes seins ballottaient en tous sens ...Complètement déchainé, il haletait sur mon dos .Les petits jets chauds qu’il lâchait se mêlaient à mon jus d’amour, lui facilitant le passage.Il grossissait rapidement, m’investissant totalement.Moi, la joue posée contre la porte, les ongles plantés dans le bois, je gémissais de bonheur.
Céder à son désir de mâle,sentir mes chairs s’ouvrir docilement, son pieu s’enfoncer dans mon ventre, m’écarteler, racler mon bouton d’amour ...... j’aime ça, j’aime çaaaaa !!!!
D’un coup de reins plus violent, il était tout en moi, son ventre chaud posé sur mon dos, et je sentais son souffle sur ma nuque .Il grossissait encore et encore, sans ménagement pour mes chairs tendres qu’il écartelait, mon clito qu’il comprimait, et moi, je râlais de bonheur d’être prise comme ça .
Et puis, il y eu ce frémissement, annonciateur de ces jets qui s’écrasent tout au fond de mon ventre ....Ahhhh ! ouiiii !!!!, c’est bon mon toutou, remplit ta femelle, remplit ta salope, gicle, gicle encooore, t’arrêtes pas, t’arrêtes paaas !!!J’ondulais du croupion , comme pour mieux recevoir ce sperme chaud qui me remplissait le ventre .Il n’en finissait pas, giclant encore et encore, comme pour me montrer qu’il était mon mâle, plus fort et plus puissant que celui qui l’avait précédé, que sa semence était plus abondante .....La tête rejetée en arrière, je feulais comme une chatte en chaleur, je jouissais, je jouissaiiis, !!
Enfin, il s’est arrêté, vidé !!Il s’est retourné sans pouvoir s’échapper, me donnant le bonheur de le sentir en moi quelques instants encore.
Mon dos me faisait mal, j’ai posé ma joue sur le sol froid, goutant encore le plaisir incomparable qu’il venait de m’offrir .
Un long moment s’est écoulé, comme pour calmer cette frénésie qui s’était emparée de moi.De temps en temps, son sexe vibrait dans mon ventre, m’arrachant un soupir de déception de ne pas recevoir encore plus de sa liqueur d’amour .
Il perdait doucement de sa vigueur, et d’un coup sec, il s’est détaché de moi dans un drôle de petit bruit.
Il s’est éloigné aussitôt, se couchant sur le flan, se léchant goulument, tandis que je restais là, les fesses en l’air, impudique au possible .
J’ai fermé les yeux, m’endormant presque, les sens assouvis par les caresses de Georges et la saillie de sussucre.
Combien de temps suis je restée ainsi ? J’ ai perdu la notion du temps jusqu’à ce qu’il se lève, revenant vers moi, fourrant sa tête entre mes cuisses, léchant le mélange de sperme et de cyprine qui les imprégnaient.
Hummmm, cette langue qui caressait doucement ma fente, la fouillait brutalement, raclait mon clito ....Le plaisir revenait , le souffle me manquait ....Et quand il m’a chevauché brutalement, mes genoux ont pliés sous son poids .
Il voulait me reprendre, s’activant rapidement, mais quand son sexe est venu butter sur mon petit trou, ce fut comme une décharge électrique : aahhhh !!Non sussucre, pas maintenant !Insensible à mes cris, il continuait de me pistonner a grands coups de reins.J’essayais de lui échapper, mais il me tenait prisonnière entre ses pattes puissantes.Les jets chauds de pré sperme qu’il lâchait entre mes fesses, me faisaient haleter, durcir le ventre .Et quand mes muscles se relâchaient, mon petit cul cédait malgré moi à son désir bestial, s’ouvrant sous ses poussées, lui livrant passage .Et le plaisir revenait .Je n’avais qu’une envie : jouir, jouir, et jouir encore !J’oubliais tout : que j’étais une femme devenue chienne au point de se faire prendre comme ça, ses griffes sur mon ventre quand il m’attirait à lui, les caresses et les mots doux de Georges, la saillie qu’il m’avait prodigué ....J’avais envie de céder au désir de ce mâle puissant, infatigable, m’ouvrir sous ses poussées, le sentir s’enfoncer en moi, sentir son pieu bien dur fouiller mes chairs fragiles, coulisser dans mon ventre, et recevoir enfin sa semence brulante en criant de bonheur !Il avait posé ses pattes sur mon dos et me besognait à grands coups de reins qui me faisaient trembler.Puis, il s’est arrêté, poussant de toutes ses forces . Mais j’étais trop étroite pour tout le recevoir, ses deux boules grossissaient entre mes fesses.Enfin, ses jets chauds m’envahirent le ventre . Ahhh, c’était bon .....Comment cet animal pouvait il gicler si fort, si abondement après m’avoir prise il y avait si peu de temps ? Mystère !Je m’en fichais, c’était si bon et j’y prenais plaisir.Je le suppliais entre deux râles, continue, continuuueee !!!!!Quand il eut terminé, il s’est retiré brutalement, en mâle égoiste et dominateur, sans considération pour cette femelle en chaleur qu’il venait de saillir !Mais moi, il me faisait jouir avec une force incroyable, une intensité bien plus forte que mes amants humains, et j’aimais ça, j’aimais ça, au point de ne jamais me refuser à lui , m’arrivant même de le provoquer quand j’avais des envies .Et cet après midi, il m’avait gâtée !!Toujours agenouillée, j’ai tourné la tête vers lui l’appelant doucement .Il était allongé, a quelques pas de moi, léchant son sexe blanc qui regagnait doucement son étui . Il a levé la tête, comme surpris, puis, m’ignorant superbement est retourné à son occupation.J’étais déçue, j’aurais voulu qu’il vienne laper le trop plein de son sperme qui s’échappait de mon petit cul encore dilaté, ....qu’il me fasse frémir, trembler et gémir de plaisir avec sa langue râpeuse !Je suis restée ainsi jusqu’ a ce que mon dos me fasse mal,sans succès !J’ai fait un effort pour me relever, me suis dirigée vers la chambre ou je suis tombée sur le lit .C’est sûrement là que me trouverait Georges en rentrant .Georges !!Qui voudrait surement me faire l’amour, pour qui j’écarterai les cuisses pour qu’il me donne du plaisir et en prenne à son tour ....Les fesse et les cuisses trempées de la semence de mes deux amants, j’imaginais déjà la suite .T’es quand même une belle salope, pensais je avant de m’endormir .
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