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Marie et son stage

Chapitre 6

Hétéro
Tout, ou pas ?
Le week end de Marie se passa tranquillement. Courses, ménage, téléphone à la famille. Quand sa mère lui demanda si tout se passait bien, elle répondit que oui et elle sentit ses joues rougir. Mais elle garda ses pensées des deux précédentes soirées pour elle.Le samedi soir, Arnaud lui envoya des sextos. Ils s’imaginèrent faire l’amour en envoyant leurs envies par sms. Arnaud fut surpris lorsqu’elle lui décriva une fellation, puisqu’elle n’avait pas aimée. De son côté, Marie a ressentit une grosse boule au ventre d’envie et d’interdit lorsque son cerveau se dispersa et quand il remplaça l’image du sexe d’Arnaud par celui de Denis. Elle décrivait dans ses messages ce qu’elle avait fait à Denis, et elle s’excitait en revoyant la scène. Elle secaressait en imaginant les caresses que lui décrivait Arnaud, elle se toucha les seins et titilla son clitoris. Losqu’Arnaud lui décrivit un cuni, elle eu un orgasme lorsqu’elle s’imagina la langue de Denis sur son clitoris et rentrer dans son vagin. Elle mit fin à la conversation honteuse.
Le lundi, Marie mis une jupe droite noire, un chemisier blanc et un tailleur noir. Elle mis des collants noir et des talons noirs. En croisant Denis, elle lui sourit et rougit car elle avait repensait à cette soirée sms durant le trajet en bus.La journée se passa tranquillement, et le soir venu elle savait que Denis allait l’appeler. Il ne le fit pas, et en partant elle passa la tête par son bureau et lui dit au revoir. Il ne répondit pas. Elle rentra dans le bureau et poussa un peu la porte derrière elle.«Ah enfin, j’ai cru que tu allais partir comme ça. Tu n’as pas oublié ?non, dit-elle d’une petite voieAlors viens par là». Il se leva et s’asseya de l’autre côté de son bureau, sur les chaises pour les «visiteurs».« Tu es superbe comme ça. Approche».Il tendit ses bras et posa ses mains sur les genoux de Marie. Il descendit doucement sur ses mollets, puis remonta sur le bas de ses cuisses. Il la félicita pour la beauté de ses jambes ce qui la fit rougir.«Ne rougis pas, tu es très belle et c’est la vérité. Tourne toi.» Il remonta ses mains sur l’arrière des cuisses de Marie et redescendit. Il refit ce mouvement plusieurs fois en remontant chaque fois un peu plus haut, et il en profiter pour remonter sa jupe. En arrivant à ses fesses, il pris la jupe dans ses mains et il la remonta sur ses hanches. Il avait alors devant lui, à distance de bras un cul d’une forme parfaite et avec la fermeté de la jeunesse et du sport, enveloppé dans un collant et entouré par un joli string noir assez simple. Il lui caressa les fesses longuement, puis il les pris à pleines mains. Il déposa un baiser sur le milieu de chaque fesse et la fit tourner à l’aide de ses mains sur hanches. Il résista à l’envie de baisser le collant et le string pour découvrir sa chatte, et il passa ses mains sous son chemisier. Il remonta son ventre plat et pris ses seins à dans ses mains. Marie était excité par les caresses sur ses jambes et ses fesses, et de sentir ces doigts sur la peau de ses seins elle ne pu s’empêcher de soupirer de plaisir. Denis en sourit et retira les boutons de son chemisier, puis il sorti les seins de leur écrins avant de les reprendre dans ses mains. Il se redressa et embrassa le sein gauche de Marie, puis le droit, avant de revenir sur le gauche et de lui titiller le téton avec sa langue. En allant vers le téton droit il descendit ses mains sur les fesses de Marie. Excitée et prenant du plaisir sous ses caresses, Marie se trahie en passant ses mains dans les cheveux de Denis. L’accélération de sa respiration avait donné confiance à Denis, qui là compris qu’elle aussi en avait envie. Il descendit le long du ventre de Marie par de petits baisés, et il ralentit une fois arrivé au niveau de son bas-ventre. Il continua lentement sa descente et il embrassait maintenant le sexe de Marie à travers son collant et son string. Devant les petits gémissements de Marie qu’elle essayait de ne pas montrer, il sortit sa langue et lui lécha la chatte par-dessus les vêtements. Après quelques passages, il se augmenta la pression, Marie ne pu retenir son plaisir et gémis à haute voix. Dans le même temps, elle avait appuyé sans s’en rendre compte sur la tête de son chef. Denis se recula donc et descendit ses collants et son string en même temps jusqu’au genoux. Il resta stupéfait devant cette jolie chatte parfaitement rasée avec un ticket de métro, bien rose et d’une odeur enivrante. Très excitée par cette envie interdite qu’elle ne voulait surtout pas montrer à Denis, Marie était déjà toute mouillée. Denis lui écarta légèrement les jambes et repris très vite sa tache. Il fit d’abord le tour de ses grandes lèvres, avant de passer dessus et enfin d’insérer la pointe de sa langue entre celles-ci. Après avoir léché ses petites lèvres, il passa sa langue entre et trouva très vite le petit clitoris de Marie. Il retira le capuchon et titilla ce petit bout de chair avec la pointe de sa langue, avant de le sucer. Marie gémissait sous ses caresses. Elle se laissait aller sous ce plaisir relativement soudain pour elle. Arnaud lui avait bien fait quelques cunis, mais inexpérimenté il n’était jamais parvenu à lui procurer autant de plaisir en plusieurs minutes alors que Denis y parvenait rapidement. Les mouvements de bassin de Marie s’accélérant, il lâcha sa proie et fit glisser sa langue du clitoris de Marie à l’entrée de son vagin. Après une dizaine d’aller-retours, il lécha son vagin et il avalait le plus possible de cyprine qui s’écoulait de Marie. Il inséra sa langue dans Marie. Elle gémissait maintenant fortement. Il repartit vers son clitoris, et il introduisit son majeur droit dans Marie. Il l’a enfoncé d’un coup en entier, lui-même fut surpris mais marie était tellement excité qu’elle en était toute mouillée et que son vagin s’ouvrit tous seul comme pour le happer. Denis n’avait maintenant qu’un objectif, faire jouir sa stagiaire. Il accéléra avec sa langue et son doigt allé de plus en plus rapidement dans l’antre de Marie.«Ohh ouiiiiii, oui oui ouiiiiii!!!! Marie était au bord de l’orgasme.Vas-y, oui, ne t’arrête pas, comme ça oui!!!!» Marie avait oublié à qui elle parlait, elle laissé le plaisir faire et elle savourer de sentir la jouissance monter. D’un coup elle plaqua la tête de Denis contre elle et elle eut des soubresauts au niveau du bassin. Denis continua et lui arracha un puissant orgasme. Marie perdu ses forces. Sentant ses jambes trembler, Denis l’accompagna dans se descente et la fit s’allonger sur le sol. Marie avait les yeux perdus dans le vide et brillants de plaisir intense. «Et bien ma petite, tu as pris ton pied hein ?!— O...Ou...Oui... Répondit-elle en essayant de reprendre son souffle. Je n’en ai pas fini avec toi. Ne bouge pas»Marie n’aurait pas pu de toute manière. Elle se laissa faire lorsque Denis lui enleva entièrement son collant et son string. Il retira son pantalon et son caleçon, puis déboutonna sa chemise. Il vint se glisser entre les jambes de Marie et présenta son sexe à l’entrée du vagin de Marie. Doucement il s’enfonça en elle, d’abord jusqu’au gland. Le vagin de Marie pas habitué à pareil taille résistait. D’autant plus qu’avec ce qu’il venait de faire à Marie, et de la voire étendue sur le sol avec son corps magnifique, il avait une gaule d’enfer. Il attendit un peu que son vagin s’y habitue, puis il s’enfonça toujours lentement jusqu’à la moitié. Il attendit quelques secondes puis recula. Il s’avança de nouveau et cette fois il ne s’arrêta pas avant d’avoir senti le col de l’utérus de Marie. Elle poussa un «waho» de surprise suivi d’un soupir de plaisir. « Tu la sens bien Marie ?Oh oui, hummmSi tu aimes, tu aimeras encore plus lorsqu’elle sera rentrée entièrement»Marie redressa la tête. En effet, encore 5-6 cm n’était pas en elle.« Mais, ça ne passera jamais ! Dit-elle légèrement apeurée et excitée à la fois.Mais si, à force tu verras. Marie se contracta en comprenant qu’il ne comptait pas que cette fois soit la dernière.Détends-toi, hummm, oui voilà, ohhh que c’est bon...» Denis repris ses va-et-vient. Il savourait la douceur du vagin de Marie qui le serrait. Ce vagin encore peu exploré le serrait si fort qu’il accéléra rapidement la cadence. Il se pencha en avant et embrassa les seins de Marie.« Ah oui que c’est bon ! Tu es si belle ! Tu as un corps...hummmm.... Et être aussi sérré...humpfHummm, oh oh ouiii, mais doucement s’il vous plaîtOh que non ! Tu es à moi, je fais ce que je veux ! Et il accéléra encore plusHumpf, oui, aïe, humm... Doucement !»Denis n’écoutait plus. Il se mis sur ses genoux et pris Marie par le haut des cuisses. Il la pilonnait maintenant sans ménagement. Il était fou d’excitation de par les sensations sur son sexe, de sentir cette peau ferme et douce dans ses mains, et de voir le 90C de Marie se balancer fortement. Il fixait ses jolis tétons durcis et il fit des mouvements de rotations avec son bassin pour varier leur chemin. Il allait jouir. Il se retira rapidement« Relève-toi, mets toi à genoux !» Marie obéit. Elle se mit à genoux, toujours vêtue de son chemisier et de son soutif. «ouvre la bouche ! Allé !» Elle ouvrit la bouche et Denis vint se branler devant elle. Il entra et ressortit de sa bouche. «Tire la langue!» Il posa son gland sur la langue de Marie et se branla vivement. L’orgasme finit par arriver. Il déversa son sperme dans la bouche de Marie, après que le premier jet soit venu frapper sur son nez. «Si je bois tout je serai tranquille» se dit Marie. Elle s’efforça donc de tout avaler. Malgré l’impressionnante éjaculation de son chef, elle avala les jets un par un, elle qui commençait à en apprécier le goût.«Nettoie moi maintenant !» Marie pris le sexe de Denis encore dur dans sa main droite, le branla légèrement et elle avala les dernières gouttes, toujours dans l’espoir dans finir. Une fois son sexe plus mou, il lui dit de se rhabiller.«Oh que c’était bon ! Marie, ton copain en a de la chance! Et moi aussi...Merci... Dit Marie doucement.Et ce n’est pas finit !Mais... Vous aviez dit que...Que quoi?Que si je... Je... J’avalais tout votre....votre... La honte avait de nouveau pris le dessus.Que si tu buvais tout mon foutre ça serait finit. C’est toujours le cas, tu en as sur le nez que tu n’as pas avalé ! Dit-il en ricanant....Donc demain on remet ça ma petite!...Allé, à demain !»Marie partit encore une fois se nettoyer au toilettes et se rincer la bouche.Sur le chemin du retour, elle en voulait à la fois à Denis de l’avoir ainsi, et en même temps elle était excitée à l’idée de retrouver ce gros sexe. «vivement demain» se dit-elle finalement.
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