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Marie, soumise et rebelle

Chapitre 3

Trash
J’y suis restée une bonne demi-heure, jusqu’à ce que l’eau perde de sa chaleur. Puis je me suis redressée, les jambes pas très assurées, me tenant aux bords de la baignoire avant de l’enjamber en réprimant un cri. J’avais mal partout ! Et surtout au bas-ventre, évidemment. Malgré le bain chaud, mon anus et mon vagin étaient en feu. Je me suis enveloppée dans une grande serviette de bains, j’ai fait quelques pas, les jambes tremblantes et faibles comme après une course de fond.
J’ai avisé un gros tube neuf posé sur le lavabo bien en évidence, je l’ai examiné, c’était un « onguent gras émollient et antiseptique », à appliquer sur crevasses, coupures, peau irritée ; il était sensé apaiser et adoucir, à appliquer sur la peau. J’ai remercié Antoine silencieusement, et j’en ai appliqué sur mes muqueuses en massant précautionneusement. Mon anus était boursouflé, entrouvert, mes doigts ont pommadé l’intérieur comme l’extérieur avant de passer à mon vagin. La déchirure de l’hymen avait peu saigné, mais l’endroit était douloureux. Je n’en revenais pas de ne pas avoir été déchirée, ni au vagin ni à l’anus, je m’en tirais avec seulement quelques désagréments en fin de compte.
Toujours enveloppée de la serviette nouée au-dessus de ma poitrine, j’ai séché mes longs cheveux en les brossant puis je suis allée dans le salon, pieds nus. Antoine était revenu dans son fauteuil ; il s’était douché et habillé d’un caleçon bleu et de son tee-shirt assorti. Je me suis mise en face de lui, comme un peu plus tôt dans la soirée et lui ai souri.
— Alors, ça va bien, Marie ? Tu t’es remise de tes émotions ?— Dur quand même, tu n’y as pas été de main morte. Et quand je parle de main…— Tu as aimé ?— Oui, du début à la fin. Attends, ne fais pas ça, je ne pourrai jamais recommencer avant un bon moment.
Il avait passé les mains sous la serviette et m’attirait contre lui, par les hanches. Je ne pouvais m’empêcher de frissonner sous la caresse, d’autant qu’en écartant les pans le nœud de la serviette s’est défait et elle est tombée sur le parquet. Je me suis retrouvée debout et nue, frissonnante, entre ses jambes écartées. Avec ses mains papillonnant sur mon corps sans force. Une main s’est dirigée vers mon pubis, deux doigts joints ont inspecté ma fente grasse.
— Ah ! Je vois que tu as trouvé la pommade. C’est ta mère qui l’avait achetée, elle la jugeait miraculeuse. Ça te fera du bien, demain tu seras comme neuve, prête à retourner au combat.
La porte d’entrée s’est ouverte à ce moment et Quentin est entré sans nous voir dans un premier temps, il s’est arrêté net, bouche bée, yeux exorbités, en nous apercevant. Gênée, j’ai baissé la tête en couvrant ma poitrine et mon pubis.
— Bravo ! Ça alors ! Papa, tu vas pas bien, baiser Marie, la fille de ta femme. C’est lamentable, tu as vu son âge ?— Justement, Quentin, j’ai dix-huit ans, depuis pas longtemps je te l’accorde ; tu me souhaites un bon anniversaire ?— Putain, j’y crois pas. Marie, tu es folle toi aussi, décidément.— Dis, Quentin, tu exagères pas un peu ? Tu te fais un film ; là. Antoine n’est pas mon père. On a le droit de baiser ensemble si on veut, tu as vu comme il est malheureux depuis la mort de maman ? Il avait besoin d’être soulagé et je l’ai supplié de me faire l’amour.— Mignonne comme tu es, tu n’as sûrement pas eu besoin de le supplier longtemps avant qu’il te saute, non ?— Bon, quoi qu’il en soit, je vais me coucher. Quentin, tu m’aides ? Ton père m’a fracassée tout à l’heure.
J’ai ramassé ma serviette pour me l’enrouler autour du corps, la tenant d’une main, j’ai fait quelques pas mal assurés vers Quentin qui m’a soutenue en passant son bras autour de mes épaules. J’ai envoyé un bisou à Antoine en m’appuyant contre son fils, soulagée d’avoir un appui solide pour marcher. Nous avons marché de conserve jusqu’à ma chambre et Quentin m’a aidée à m’asseoir sur le lit avant de se redresser.

— Marie, bon sang ! Tu n’as pas l’air en forme. Tu es complètement éteinte. Mon père a dû vraiment te démolir, quand je te vois… Tu étais vierge ? Bon sang, le salaud !— Arrête Quentin, tu délires grave ! Il y est pour rien. Enfin, au début du moins. C’est moi qui lui ai sauté dessus. Après, bien sûr, avec la taille de son machin, j’ai pris cher, mais c’était plutôt bien pour une première fois. Tu n’es pas jaloux des fois ?— Déconne pas, c’est pas ça. En tout cas, tu es rudement jolie. Je t’avais vue en tenue légère mais pas à poil, tu es bien foutue.— Je te le retourne, sauf que moi, je t’ai jamais vu à poil, on est pas à égalité, tu vois.— Allez, dors, t’es pas en état, petite sœur.— Eh ! Je suis pas ta sœur ! Bonne nuit frérot.— Kisses. On your ass and your titees.— OK man, and kisses on your dick ! (Trad. : Bises sur ton cul et tes nichons—Oui mec, et bises sur ta queue !)
Il est sorti avec une énorme bosse déformant son pantalon, je me suis couchée et endormie à la seconde. Sans éteindre la lumière. Je me suis éveillée un peu avant midi ; en m’étirant, j’ai ressenti une petite douleur dans le bas-ventre, sans plus. Brunch au Nutella sur pain complet et jus de fruits, douche rapide, lavage de dents. J’ai mis des sous-vêtements blancs en coton car je voulais faire du sport cette après-midi. Un peu de maquillage, puis je m’examinai dans le grand miroir de la salle de bains : jolie blondinette aux cheveux fins et lisses ; j’avais envie de me faire des tresses ou une queue de cheval, mais en fin de compte j’ai opté pour un chouchou noir, ce qui dégageait bien mon visage.
Tee-shirt lycra blanc, short rose, tennis blanches sur mini socquettes, j’étais parée. J’ai mis des affaires de rechange dans mon vieil Eastpak multicolore et direction le club de fitness d’Antoine. A pied, un petit quart d’heure de marche dans la chaleur des rues parisiennes. A l’accueil, j’ai salué la réceptionniste, une jolie femme brune qui m’a embrassée en me serrant contre elle et en me souhaitant bon anniversaire. Ici, les employés me connaissent tous depuis des années et m’ont vue grandir, j’avais dix ans la première fois que j’y suis venue. Autant dire que tout le monde m’a embrassée et félicitée pour mon entrée dans la majorité légale. Quand j’ai vu Antoine, il surveillait la salle de muscu et donnait des conseils, surtout aux femmes comme d’habitude.
— Bonjour, ma puce, et bon anniversaire encore une fois. Pour ton cadeau, on fera ça à ma maison bien sûr, je t’ai trouvé des trucs ce matin.— Merci, Antoine, tu es en forme ? m’enquis-je, ne remarquant aucune trace des excès de la nuit.— Parfait, et toi ? Tu as l’air d’aller bien, tu marches normalement malgré ce que je t’ai mis hier soir. Tu auras droit à un cadeau supplémentaire en liquide plus tard, ça te va ?— Oh ! Tu es incorrigible, m’exclamai-je en rougissant. Je me suis pas encore remise de hier, moi.— Tu verras, au bout d’une semaine, tes orifices seront tellement habitués à se faire défoncer que tu me courras après pour recevoir ta dose.— Arrête, on pourrait t’entendre ! C’est pas vrai, tu es un vrai satyre !
Toute rouge, je l’ai laissé pour commencer mes exercices d’assouplissements, enchaînant les mouvements d’étirements, une demi heure, avant de faire du cardio (tapis de course, rameur) puis de la muscu pure sur appareil. Grosse suée garantie, j’ai dû boire un litre d’eau et manger quelques barrettes nutritives. Quentin est venu m’embrasser comme je finissais, son regard avait changé, je voyais qu’il me considérait maintenant comme une femme et non comme une sœur, intouchable.
— Bon anniversaire, Marie. Tu n’auras ton cadeau que ce soir, on mange ensemble tous les trois, je crois.— Oui, je suis désolée pour hier soir, tu sais…— T’inquiètes, c’est moi qui t’ai pas vue grandir, tu es une jeune fille maintenant, et tu es canon en plus.— C’est vrai ? Tu le penses vraiment ?— Depuis que je t’ai vue à poil, je te le confirme. Super canon. J’te kiffe grave, j veux t’keuni…— Arrête de parler comme ça, c’est nul et en plus je n’y comprends rien.— C’est du banlieue revisité par moi, tu me plais beaucoup, je veux te faire l’amour.— Tu exagères, Quentin…— Tu baises avec mon père à côté de moi et tu veux me laisser avec la queue raide à me taper ma main droite ?— Dis donc, t’as plus ta copine depuis une semaine, et déjà tu cherches à te placer avec moi.— Tu sais, mon ex, elle voulait pas baiser parce que j’en ai une trop grosse, je te parle pas de se laisser sodomiser. Alors que toi, mon père t’a sûrement bien élargie ; tu m’aimes quand même assez pour me laisser te faire l’amour, non ?— On verra, ciao mec.
Je me suis douchée dans le vestiaire du personnel. Plus petit, moins chic au niveau déco, mais calme et tout aussi fonctionnel. J’ai enfilé un petit bikini que j’avais acheté un an plus tôt, une robe en lin écru, puis je suis allée à l’accueil. Gwladys, la réceptionniste, est vite allée sur le site du rectorat et a déroulé le tapis rouge : j’étais reçue au bac avec mention bien ! J’ai vérifié pour mes copines de classe, elle étaient toutes reçues.
Le cœur en joie j’ai rejoint mes copines Ness et Mandy sur l’île de la Cité. Sur une promenade le long de la Seine, c’est Paris plage avant l’heure puisque beaucoup de monde y vient bronzer en toute tranquillité. Embrassades et félicitations mutuelles au programme. Nous sommes restées au soleil jusqu’à 18 heures passées puis je suis rentrée. Personne encore à l’appartement, mais ils n’allaient pas tarder, alors j’ai mis la table dans le séjour pour trois personnes, avec un pincement au cœur. C’était mon premier anniversaire depuis que maman n’était plus là. Antoine et Quentin sont arrivés ensemble, et Antoine m’a tendu un sac en papier.
— Félicitations d’abord, Gwladys m’a dit pour ton bac ; tu es géniale. Bon anniversaire, ma puce, j’espère que ça te plaira, et que ça t’ira.— Merci, Antoine, tu es le plus sympa.
Je l’ai embrassé sur les deux joues et il m’a serrée contre lui, pressant mon ventre contre sa virilité pas du tout au repos, je pouvais en juger ; incorrigible ! Ses mains ont caressé mes fesses avant de me lâcher, j’avais déjà le ventre en émoi. Il a sorti une bouteille de champagne du frigo pour l’ouvrir prestement et remplir trois coupes alors que Quentin revenait avec son cadeau, que j’ai ouvert en premier après l’avoir embrassé à son tour. Il m’offrait un ensemble assorti brassière et short string de fitness, rose avec trois bandes noires. Superbe.
Puis j’ai ouvert le cadeau d’Antoine, surprise quand j’ai vu qu’il s’agissait de lingerie, et de lingerie coquine en plus. J’ai déplié un string noir translucide, juste un petit triangle de gaze brodée avec des liens élastiques, son soutien-gorge était aussi transparent. Il y avait aussi un mini bustier noir avec deux strings assortis, que j’ai admirés. Ils étaient superbes. Nous avons trinqué et bu quelques gorgées accompagnées de biscuits apéritifs, Antoine dans son fauteuil, Quentin et moi assis dans le canapé. J’ai fini ma coupe, Quentin a resservi tout le monde malgré mes protestations.
— Tu as dix-huit ans, tu peux boire deux coupes de champagne.— Oui mais j’ai pas l’habitude…— Alors, comment tu trouves tes cadeaux, ça te plaît ?— C’est superbe, mais il y en a qui sont quand même osés. De ça non plus, je n’ai pas l’habitude.— Tu ne porteras pas ça pour tout le monde, mais pour ceux que tu aimes. Tu vas d’ailleurs les essayer tout de suite.— Maintenant ? Tu crois ? — Ecoute, tu es une femme maintenant, tu dois assumer. Et tu vas me faire le plaisir de t’y mettre tout de suite, sinon tu vas recevoir une fessée cul nu.
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