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Marie, soumise et rebelle

Chapitre 5

Trash
Antoine m’avait demandé de travailler au centre, à accueil et à l’entretien car il commençait à y avoir des départs en congé. En plus, c’était le moment choisi pour bouleverser les horaires, le centre ouvrant à compter du 13 juillet de 7 heures à 22 heures sauf les vendredis et samedis, où ce serait comme avant, minuit. C’est là que j’ai compris qu’Antoine n’était pas propriétaire, comme je l’avais toujours cru, mais gérant salarié seulement.
Je faisais l’ouverture, j’y restais de 7 heures à 15 heures du dimanche au jeudi, et j’avais droit à une heure et demie pour manger et faire ma séance de sport perso. Ce n’était pas le bagne, en plus tous les moniteurs étaient aux petits soins avec moi, j’étais la mascotte du club en quelque sorte. En sortant, je retrouvais mes copines Vanessa et Amandine, pour notre séance bronzage, ou ciné, ou shopping. Les petites futées avaient compris que j’avais quitté le statut de vierge, elles ne se privaient pas de commentaires et me bombardaient de question sur l’heureux élu.
— Dis-nous ! C’est Aurélien ? J’ai vu comme il te regarde, il te déshabille et a trop envie de toi. — Moi, je le trouve trop velu, commenta Mandy en faisant la moue. J’aime pas trop les poils, alors… Autrement, il est canon.— C’est sûr ! Si tu le veux pas, Marie, tu me l’envoies. Il est canon, à ce qu’il paraît il est monté comme un âne. Je la mettrais bien au chaud dans ma chatte.
On a pouffé comme des gamines ; nous étions sur notre plage préférée de l’île de la Cité, en slip de bain, ayant enlevé le haut depuis longtemps. Ness est une brune au corps mince, petite poitrine aux aréoles sombres, menue et jolie comme un cœur. Mandy est blonde comme moi, mais d’une taille de mannequin scandinave, une tête de poupée aux yeux bleu roi, à la bouche boudeuse, avec un corps voluptueux, de gros seins aux larges aréoles roses. Nous faisions du sport ensemble depuis longtemps, au collège déjà puis au lycée comme en dehors, nous faisions des footings toutes les trois, des sorties piscine. Elles me connaissent mieux que personne.
— Non, les filles, c’est pas lui, je dis pas que j’aurais pas envie, mais non.— Allez, qui c’est ? On le connaît, forcément, tu t’es pas fait un pompier de Paris ou un rugbyman du Stade Français…— Attends, Ness, pourquoi pas un des employés du centre de fitness, elle les connaît bien… C’est pas vrai, elle rougit, c’est ça !— Qui c’est, allez, Marie, dis nous ! Et arrête de rougir, c’est, c’est, pas Quentin quand même…— Oh, bon sang, c’est ton frère ! Enfin non, mais quoi, c’est…— Arrête, Mandy ! Elle a le droit, ils sont pas parents, il est canon et il a un gros bazooka, ça c’est une copine qui me l’a dit.
Moi, j’étais rouge vif, les oreilles en feu, il fallait que je me calme sinon elles allaient savoir que ce n’était pas tout.
— Alors, vous avez commencé comment ? Au centre ou chez vous ? C’est vrai qu’il a une bite énorme ?— C’est bon, ça suffit. C’est arrivé par hasard, il déprimait, on a discuté dans sa chambre, et voilà, c’est tout, on a fait l’amour.— Il baise bien, tu as joui ? Oui, combien de fois ?— Beaucoup, je ne sais même pas combien de fois ils m’ont… Il m’a fait l’amour.
Là, pour le coup, j’étais rouge jusqu’au bout des seins. Dans mon émotion, j’avais fourché, et ça n’a pas manqué.

— Attends, Marie, me dis pas que tu l’as fait avec deux garçons en même temps. Ouah, tu es devenue une vraie diablesse ! Qui c’était ? Et me dis pas que ta langue a fourché, ça marche pas avec nous. Allez, un copain de Quentin ? Quelqu’un de proche de toi ou de lui, en tout cas.— Mandy, arrête, tu vois pas l’état de Marie, elle est mal, là !— Enfin, Ness, Marie est vierge jusqu’à avant-hier, et là elle se tape deux mecs en même temps, je sais pas ce que dirait Antoine s’il le… Oh, non ! Pas lui quand même… Marie ! Oh bon Dieu ! Tu t’es fait le père et le fils en même temps ?— Oui, c’est arrivé comme ça, Antoine, le pauvre, depuis que maman est morte, il faisait pitié, et voilà, c’est arrivé.— Ness, tu m’accompagnes ? Cette histoire m’a fait chaud, j’aurai besoin de toi pour me rincer le dos et le reste. Tu veux venir, Marie ? Je sais que c’est pas ton truc, mais maintenant…— Non, je rentre, Quentin arrive vers 19 heures, et…— Tu l’attends à poil dans l’entrée pour lui tailler une pipe ? Le veinard…— Presque, ciao !
Je suis revenue à l’appartement après avoir fait quelques courses, et je me suis préparée. Débardeur blanc, culotte blanche. Mais avant, j’ai soigneusement lubrifié mon petit trou, précaution indispensable du fait du calibre conséquent des sexes de mes amants. J’ai choisi de la musique funk et j’ai commencé à faire la vaisselle du petit déj. J’ai senti soudain une présence derrière moi, ma culotte est descendue sur mes genoux, une bite énorme s’est insinuée entre mes fesses, elle était si dure qu’elle a forcé mon anus lubrifié à s’ouvrir et à l’accepter. J’ai poussé un petit cri, alors que sous la poussée mes pieds nus décollaient du sol. Sous mon propre poids, je m’empalais inexorablement, descendant sur la queue en gémissant de plaisir et de douleur.
— Alors, petite sœur, tu aimes ça, te faire enculer par ton grand frère ?— Oui, continue, allez, défonce-moi. Oh, non, reste…
Il s’était reculé, et remontait son pantalon, me laissant l’anus béant, inassouvie. Je l’ai regardée, déçue, et j’ai remonté ma culotte.
— Si tu veux que je recommence, il te faudra le mériter. Aurélien est là, et depuis la semaine dernière il me demande quand il pourra te sauter. Je le fais entrer ?— Tu déconnes ? Non, tu n’en as pas l’air… Je vais pas baiser avec tes potes comme ça, parce qu’ils en ont envie !— C’est pas n’importe qui, c’est Aurélien, ton béguin de tes quatorze ans ! Il a rigolé quand il l’a su !— Tu es allé le lui dire ? C’est quelque chose d’intime, de privé !— Arrête ton char, sœurette, Aurélien, c’est mon pote, il te kiffe grave, tu peux pas le laisser comme ça, en plus, si tu as envie de te faire enculer…
Sans écouter mes protestations, il a fait entrer Aurélien qui s’est avancé vers moi avec un sourire cruel, qui s’est élargi en voyant ma tenue. Sans un bonjour ni une bise, il a baissé son pantalon et exhibé une verge épaisse déjà bien bandée.
— Allez, salope, à genoux et suce.— Vous déconnez, les gars, je suis pas une pute, alors lâchez-moi…
Quentin avait saisi ma queue de cheval et tiré, ployant ma nuque en arrière, il m’a forcée à m’agenouiller juste devant le sexe dressé d’Aurélien. Non circoncis, son gland paraissait encore plus gros, un bel engin qui n’avait rien à envier pour le calibre à ceux d’Antoine ou Quentin. Un peu moins long sûrement, mais très appétissant ; inconsciemment j’ai commencé à ouvrir la bouche et à passer ma langue sur mes lèvres. Quentin m’a lâchée et je lui ai adressé un sourire coquin pour le rassurer : j’avais vachement envie de sucer cette superbe verge. Aurélien a avancé son bassin et j’ai pris le gland en bouche. Odeur salée, un peu forte, sueur de mâle et musc, j’ai tété goulûment, en m’appliquant, les yeux levés dans ceux d’Aurélien. Quentin m’a regardée faire, accroupi à côté de moi.
— Avale plus, tu y arrives presque avec ma queue, encore, salive, sans les mains, croise-les dans ton dos. Pompe plus fort, je veux voir tes joues se creuser, encore, et avale.
J’ai cru qu’Aurélien allait éjaculer dans ma bouche, mais non ; il s’est reculé et m’a montré la table de cuisine.
— Allez, salope, je vais pas te juter à la gueule, pas tout de suite. Je vais d’abord défoncer tous tes trous. Allez, tu te penches, la tête sur la table, cambre-toi. Putain ce que tu es bandante, prends ça…
Quelle façon de me parler ! Je lui ai jeté un regard nettement réprobateur. Mais j’ai quand même baissé ma culotte sur mes cuisses ; il s’est enfoncé dans mon vagin trempé d’une poussée, a empoigné ma tresse pour me montrer qui commandait avant de me prendre à coups rapides et bien profonds.
— Quelle pute, elle est brûlante, elle attendait que ça, je vais l’enculer, tu m’as dit qu’elle aime aussi, cette chienne.
Il s’est retiré de mon vagin pour s’enfoncer facilement dans mes reins. J’ai poussé un petit cri de douleur car il était quand même épais et y allait brutalement, sans fioriture. Je me laissais faire, secouée pas les coups de boutoir qu’il m’assénait, il a joui bien planté dans mes reins puis a extrait sa verge luisante en m’ordonnant de la nettoyer. Un regard de Quentin m’a dissuadée de regimber, mais j’en avais quand même envie ! Je me suis à nouveau agenouillée en soupirant ostensiblement pour avaler la verge mollissant à peine et la nettoyer de ses souillures. Je commençais à en avoir l’habitude, mais je n’étais pas obligée d’aimer.
Je me suis redressée sans qu’Aurélien songe à m’aider, pour le voir sortir un billet de cinquante Euros et le donner à Quentin. Abasourdie, je suis restée coite, remontant ma petite culotte sur mon anus dégorgeant de sperme sans qu’ils daignent me jeter un regard alors qu’ils discutaient.
— Merci, Quentin. Tu avais raison, cette petite pute est bien chaude, elle vaut bien cinquante billets pour la totale.— Oui, c’est une chaude, toujours prête à se baiser.— Elle est très limite en technique, pour les pipes.— C’est vrai, elle avale bien, mais il faut qu’elle travaille encore. Tu as une idée ?— Tu te rappelles Ahmed, il a été au collège avec nous, il a deux ans de plus, c’est un fou de gorge profonde, il est clean, il sort avec une cousine. On l’appelle, on lui envoie ta sœurette jusqu’à ce qu’elle soit la reine des pipes.— Ouais, une bonne idée, tu crois qu’il va prendre cher ?— Non, tu lui dis de se payer sur elle. Avec préservatif, par tous les trous, tu la lui laisses un soir par semaine, tu verras avec lui.
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