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Marie, soumise et rebelle

Chapitre 9

Trash
— Tu es sûre ? objecta-t-il en me dévisageant, un peu surpris. Tu vas avoir mal.— Oui, mais je te le demande, et c’est pour toi, et toi seul, pour te montrer que je t’aime.
Quentin est sorti pour revenir avec peu après avec un rouleau de corde écrue ; il a attaché mes poignets dans mon dos avant de les retourner vers ma nuque, faisant passer la corde sur mon torse et enserrant ma poitrine, comprimant la base de mes seins qui ont finis saucissonnés. Puis il a présenté ma petite culotte devant ma bouche.
— Ouvre, petite salope, c’est ta culotte et ton odeur.
J’ai obtempéré et il a sorti comme par magie un gros rouleau d’adhésif avec lequel il a fait plusieurs tours de mon visage, m’empêchant de recracher le bâillon improvisé. J’ai vu qu’il bandait à nouveau, sa verge était encore plus grosse que d’habitude, arqué et palpitante ; j’ai compris que j’allais charger ; mais après tout c’est moi qui l’avais demandé. Il m’a couchée sur le ventre avant de forcer mes cuisses à s’ouvrir, puis il a guidé alors son engin sur la petite corolle plissée de mon anus et forcé.
J’ai rugi quand mon anus a cédé et que le gland s’est enfoncé, mais il me maintenait facilement en place, il a commencé à s’enfoncer à coups violents mais comme je n’étais pas du tout lubrifiée, j’avais mal. J’ai commencé à pleurer en me traitant d’idiote, mais je ne pouvais plus y échapper ; mes reins cédaient peu à peu, il devait gagner centimètre par centimètre en m’arrachant de nouvelles larmes à chaque ruée en avant. Il a mis longtemps, mais il est arrivé à se planter tout a fond de mon anus en feu.
Il a empoigné mes hanches et m’a poussée en avant, s’arrachant difficilement. Quelques instants plus tard, j’ai senti un liquide froid couler jusqu’à l’intérieur de mon ventre ; j’ai soupiré, heureuse qu’il ait pris cette initiative en me désobéissant. Il s’est enfoncé avec force, cette fois bien aidé par le lubrifiant. La douleur a diminué, bien sûr, mais mes sphincters étaient encore à vif et je n’ai pas joui tout le temps qu’il m’a limée vigoureusement, attentif à son seul plaisir, démolissant mon anus sur un rythme dément. Quand il s’est vidé et s’est écroulé sur moi, bien planté dans mes reins, j’ai soupiré, soulagée. Je m’étais offerte comme jamais.
Grâce à la pommade miracle, j’étais bien mieux en me rendant au centre de fitness. Mon anus était encore sensible mais il me rappelait mon coup de folie de la nuit. Je n’en regrettais pas une seconde. J’ai fait l’ouverture du centre puis ai téléphoné à Ness qui n’a pas répondu, ensuite à Mandy quand je suis tombée sur le répondeur. Elle n’avait pas de nouvelles, et était inquiète ; nous avons décidé de nous retrouver à 16 heures à la « plage ». Quand je suis arrivée, Mandy était seule, allongée en bikini ; j’ai juste eu le temps de m’installer à côté d’elle que tout un groupe s’est approché, Ness au bras d’Ahmed suivi par une petite troupe composée des sept potes que j’ai reconnus. Soulagées, Mandy et moi nous sommes levées pour embrasser Ness.
— Alors, lâcheuse, ça va ? Nous étions super inquiètes !— Désolée, les filles, c’est ma faute, mon portable est naze et voilà…
Les copains d’Ahmed nous reluquaient sans vergogne, et je suis allée les embrasser tous sur la bouche, avec la langue, acceptant leurs caresses sur mon corps presque nu à la peau brûlante ; à la fin, mes mamelons dardaient ferme ; je suis arrivée devant Ahmed que j’ai embrassé sur la joue.
— Je sais que Quentin et Aurélien t’ont promis que je t’appartiendrais pour quelques nuits, mais je ne sais pas combien.— J’étais d’accord pour six, mais tu m’as amené Ness, alors je m’estime quitte. Tout ce que je te demande, c’est de ne pas m’oublier, de venir me voir de temps en temps, d’accepter de coucher avec mes potes. D’ailleurs ils ont envie de toi, je crois— Pas de souci, je veux bien partir avec eux tout de suite.
Grâce à ma copine qui avait su le toucher, j’étais libre. Bon, en même temps, j’aimais bien l’idée de lui appartenir de temps en temps. Et là j’avais envie de m’envoyer en l’air avec ses potes, mon ventre se liquéfiait par avance. Alors j’ai enfilé ma petite robe imprimée. Garce jusqu’au bout, j’ai alors fait glisser mon slip de bain et l’ai fourré dans mon sac de plage. Bises aux copines inquiètes, et je suis partie avec la bande de mecs. Jeune, musclés et tatoués, de beaux gosses typiques de banlieue, blancs, blacks, beurs. Je me suis retrouvée rapidement encadrée par deux hommes, leurs bras sur mes hanches ou mes fesses ; nous avons pris le métro pour rejoindre leur cité. Là nous sommes montés dans un appartement dont la porte d’entrée était ouverte ; dans le séjour aux murs bleu pâle, le seul meuble était un grand matelas posé par terre avec un drap blanc dessus. Contre toute attente, c’était propre et clair. J’ai ouvert grand la baie vitrée qui donnait sur un petit balcon ensoleillé.

— Bon, les gars, je vais être claire. Je suis venue de mon plein gré, j’accepte de faire tout ce que vous voudrez, mais vous y allez doucement, pas de brutalité, pas de coups ; sinon vous ne me reverrez pas, et Ahmed non plus. Et je pense qu’il sera pas content.— T’inquiète, Marie, on est pas des bœufs. Désolé pour le cadre, nous aurions préféré un endroit chicos, mais c’est propre, on a tout nettoyé ce matin. Pour toi.
J’ai enlevé ma robe, l’ai posée sur mon sac de plage, et placé à côté mes claquettes. J’étais excitée, de la cyprine coulait jusque sur mes cuisses et mes bouts de seins gonflés étaient tout durs. En silence, sans ricaner bêtement, ils se sont dévêtus à leur tout, posément, sans rouler des mécaniques, exhibant leurs virilités dressées. J’ai dégluti, réalisant qu’ils étaient sept mâles bien montés et chargés à bloc de testostérone.
Nous avons commencé à baiser (non, ce n’était pas faire l’amour, juste baiser) à 17 heures, ce jusque vers 20 heures. A la fin j’ai pris une bonne douche pour nettoyer mon corps fourbu et couvert littéralement de sperme qui dégorgeait de mon vagin et de mon anus. Puis j’ai commencé à embrasser un à un les sept garçons, encore nus. Ils ont recommencé à bander en caressant mes fesses.
— Dites, j’ai faim et j’ai soif, je suis crevée ; j’aimerais manger un morceau ; pas vous ?— On descend, on récupère des pizzas et du Coca, et on remonte, d’accord ?— Ouais, on a encore envie de te baiser grave.— Merci, je m’en doutais un peu ; je veux bien, même si je suis fatiguée. Donc douche pour tout le monde, je veux avoir des hommes qui me plaisent, qui sont propres et sentent bon !
Après les pizzas, je me suis retrouvée vite fait prise dans une tournante ; à genoux sur le matelas, les garçons se succédant dans mes reins et ma bouche exclusivement. Attentifs à ne pas jouir, ils me pilonnaient quelques minutes avant de se retirer, aussitôt remplacés par le suivant ; assez rapidement, à ce jeu qui durait, la jouissance m’a emportée une première fois, puis une suivante, puis… C’était trop, trop de sensations, mon anus restait béant entre chaque sodomie, luisant de sueur et de lubrifiant, pour être envahi et défoncé par une succession ininterrompue de bites épaisses.
En plus, ils me caressaient, les hanches, les seins, plongeaient des doigts dans mon vagin trempé et delaissé ; j’étais fourbue, je tremblais en jouissant encore et encore, la gorge douloureuse d’être envahie en permanence par de longues verges bien raides. Quand ils m’ont entourée pour éjaculer sur moi, je me suis redressée pour accepter leur hommage sur la poitrine et le visage ; deux garçons m’ont ensuite aidée à passer sous la douche car mes jambes ne me portaient plus trop. Et plus tard ces deux même garçons m’ont raccompagnée galamment jusque devant la porte de l’appartement d’Antoine.
Pour les remercier, je leur ai roulé une pelle d’enfer à chacun, qui les a tellement réveillés qu’en fin de compte je les ai fait entrer et venir dans ma chambre. Ils m’ont prise en double, un dans mon vagin et l’autre dans mes reins ; on aurait dit qu’ils avaient fait ça toute leur vie tellement ils étaient synchro, vigoureux et tendres à la fois. Deux jeunes de quartier défavorisé flirtant avec la délinquance qui se comportaient comme des adultes chevronnés et altruistes.
Et comme ils avaient déjà joui plusieurs fois, ils avaient de l’endurance. Ils m’ont fait jouir et m’ont maintenue sur cette crête de plaisir, je surfais sur une vague gigantesque d’orgasmes, tout en haut de la vague, les embrassant à tour de rôle. Ils changeaient régulièrement de place et d’orifice, mais se débrouillaient pour me maintenir dans cet état de grâce si magique.
Quand ils ont éjaculé enfin, les spasmes de l’un déclenchant ceux de l’autre dans mes reins, je me suis arquée, les muscles tétanisés, avant de m’écrouler comme une chiffe, pantelante, merveilleusement bien entre mes deux amants. Nous avons pris une nouvelle douche ensemble, sans parler, tous les trois très fatigués. Mais attentifs à l’autre, nous savonnant mutuellement de nos mains caressantes ; je leur offrais sans pudeur mon intimité où ils plongeaient des doigts savonneux en même temps, devant et derrière, m’arrachant des plaintes rauques de plaisir.
— Si vous voulez, vous pouvez dormir ici, je vous ferai une petite place dans mon lit.— Moi, je rentre, je t’aime bien, mais j’ai des trucs à faire demain.— Oui, moi aussi. Mais t’en fais pas, tu es trop mignonne et trop chaude pour qu’on t’oublie, Ahmed ou pas.— C’est vrai, j’avais toujours rêvé de rencontrer une blonde canon comme toi, et tant que tu voudras de moi, je serai là. Pour faire l’amour, mais pour t’aider aussi, si tu as besoin de moi, tu me phones.
Nous avons échangé nos numéros de portable, ils se sont habillés rapidement et m’ont embrassée avant de partir silencieusement. Je me suis endormie pour une courte nuit car je faisais l’ouverture du centre à 7 heures. La semaine s’est passée sans incident notable ; j’avais fort à faire entre le travail, Antoine qui me prenait toujours avec la violence qu’il aimait et qu’il me faisait aimer, et Quentin. Celui-ci, redevenu mon gentil amoureux, avait toujours envie de moi et me prenait avec l’ardeur de la jeunesse, préférant souvent mon anus qui s’était notablement assoupli. Plus d’insultes, de plan louche, j’étais heureuse.
Le jeudi suivant, je suis donc allée travailler normalement, arrivant pour l’ouverture à 7 heures du mat. Je ne le savais pas encore, mais cette journée allait être déterminante pour le reste de ma vie, et m’entraîner jusqu’à côtoyer l’abysse. Et le nirvana.
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