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Marie, soumise et rebelle

Chapitre 12

Trash
Je crois que j’avais tort. Il m’a sodomisée si fort et si longtemps, son épieu était si épais et si raide que quand il s’est retiré de mes reins après avoir craché sa semence dans mes intestins, je n’ai pu me redresser. Quand j’ai tenté de sortir du lit, une douleur terrible a traversé mon ventre et je suis retombée en criant. Il a vu les larmes ruisseler sur mon visage déformé par la souffrance et a secoué la tête avec tristesse.
— Désolé, Honey, mais tu m’avais provoqué et voilà. — Je sais, je n’aurais pas dû. Mais j’ai joui tellement que ça valait quand même le coup.— J’ai entendu, en effet ; tu as aimé que je te prenne à fond, et moi j’ai adoré. Je fais couler un bain, et je t’aiderai. N’essaie pas de bouger, je reviens.— Merci.
Je suis restée allongée sur le dos, respirant lentement pour essayer de calmer la douleur ; j’ai posé deux doigts sur mon pubis, les glissant dans ma fente trempée et délaissée ; j’ai tressailli en touchant mon clito tout dur et hypersensible. Quand Gregory est revenu, j’ondulais sur le lit en me caressant, trois doigts dans mon vagin et l’autre main malmenant une aréole gonflée de désir. Il a ri en s’approchant, les yeux soudain brillants.
— Décidément, tu es quelqu’un ; je comprends qu’Antoine t’aime autant. Je vais te porter.— Et n’essayez même pas d’en profiter pour me sodomiser à nouveau, je suis cassée, out of order.
Il a secoué la tête, j’avais bien vu qu’il bandait fort mais je n’en pouvais plus. Il m’a soulevée dans ses bras avec aisance, comme si je ne pesais rien, et m’a serrée tendrement contre lui. L’ours et la poupée. Il a gagné la salle de bains, est monté dans la grande baignoire de marbre rose et s’est assis précautionneusement, sans me lâcher. J’étais bien, les bras autour de son cou épais et la tête posée sur son épaule, respirant ses effluves de mâle en sueur. Je me suis raidie quand mes fesses ont touché l’eau un peu trop chaude, mes muqueuses étaient à vif. Mais rapidement la gêne s’est estompée et je me suis laissé aller contre le torse de Gregory. J’ai plongé toute la tête dans l’eau et me suis tournée, allongée sur lui ventre contre ventre, les yeux dans les yeux.
Les siens étaient songeurs, moins durs, presque pétillants. Il a posé ses grosses mains sur mes fesses pour les caresser tendrement, me faisant presque ronronner de bonheur ; dans ma position, son barreau de chair était coincé sous mon ventre et palpitait de désir.
— Vous ne débandez jamais ? Vous êtes tout dur sous mon ventre.— Avec une jolie fille comme toi, j’ai du mal à faire autrement.— Vous allez me tuer si on recommence…— Tu crois ? Je peux attendre si c’est ce que tu veux.— Merci, j’ai trop mal encore. Antoine a une pommade miracle, mais là, j’ai tellement chargé que même si je l’avais ici…— Pas de problème.— Vous pourriez aussi me faire l’amour normalement, je suis prête pour vous si vous voulez. Vous avez dit que vous ne vouliez pas prendre mon vagin tout à l’heure, mais vous n’avez pas expliqué pourquoi…— Je suis trop long pour toi, je vais te faire du mal.— Oui, je me doute, mais Antoine et Quentin m’ont bien préparée, alors…

Et je l’ai embrassé, picorant ses lèvres, glissant la langue entre elles ; il a réagi aussitôt, sa bouche s’est ouverte et sa langue épaisse s’est imposée dans ma bouche, impérieuse, fureteuse. Les mains sur mes hanches, il écrasait mon ventre contre sa virilité complètement érigée tout en envahissant ma bouche jusqu’aux amygdales. Je me suis enfin redressée, la respiration hachée, le cœur battant à rompre.
— Alors, vous avez réfléchi ? Si vous êtes d’accord, on va sur le lit, vous vous allongez sur le dos ; et je m’occuperai de tout.— Tu sais que tu es une diablesse ? Je ne peux pas refuser, tu es si sérieuse. Tu en as réellement envie ?— Oui, bien sûr ; sinon je ne vous le proposerais pas !
Ma voix n’était qu’un soupir de plaisir anticipé ; je savais déjà que j’aurais mal mais aussi que j’allais jouir plus fort que jamais. Je suis sortie précautionneusement de la baignoire et me suis enroulée dans une grande serviette décorée des armoiries de l’hôtel ; en grimaçant, car mon anus était douloureux ; vivement la pommade miracle ! Gregory s’est soulevé et est sorti dans un éclaboussement d’eau ; il s’est sommairement séché avant de regagner la chambre, précédé par sa verge glorieusement dressée qui lui ouvrait la route.
Je pouffais en le suivant, l’imaginant dans le hall de l’hôtel dans cet état, il tourna la tête, la surprise se lisant sur son visage. Je laissai tomber la serviette et son regard devint ouvertement lubrique, entraînant mon hilarité.
— Je suis désolée, je ne me moquais pas de vous, je vous jure.— Je l’espère car je serais obligé de te donner une bonne fessée…— Ne vous gênez pas, surtout.— Tu es décidément une fille qui gagne à être connue. Tu es maso ?— Non, mais une bonne fessée donnée par un beau mec, ce n’est pas si mal. Surtout si après il me fait l’amour avec vigueur.— Dans ce cas, approche ; je vais te faire goûter à mes battoirs jusqu’à ce que tes fesses soient de la bonne couleur.
Bon sang, qu’est-ce qui m’avait pris ? Il fallait assumer, maintenant. Il s’est assis sur une chaise et m’a fait signe d’avancer encore ; je lui ai souri tout en obtempérant et il m’a basculée sur ses cuisses, maintenant mes reins de la main gauche. Mes cheveux touchaient le parquet et j’ai posé les mains à plat pour m’équilibrer, consciente d’avoir le fessier parfaitement exposé. Je serrai les dents pour étouffer un cri quand la première claque tomba, sèche et plus forte que je ne m’y attendais ; à la troisième, je regimbai :
— C’est trop fort, s’il vous plaît, tapez moins fort !— Si je te dis que je retiens mes coups, tu me crois ?— Oui… Pardon. Oh ! Oh !
Je ne retenais plus mes plaintes, sa large main frappait une fesse après l’autre, gauche droite, à la même cadence et avec la même puissance. Il a arrêté pour glisser deux doigts dans ma fente, constatant que j’étais trempée. Il les a fait coulisser quelques secondes avant de reprendre les coups. Je pleurais mais ne cherchais pas à échapper à la fessée ; après tout, c’est moi qui l’avait cherchée. Quand il arrêta de frapper, il insinua à nouveau ses doigts entre mes cuisses que j’écartai légèrement, toute honte bue. Et il ricana en plongeant ses doigts dans le cloaque qu’était devenu mon vagin.
— Effectivement, tu as aimé ça ; moi aussi ; à ton tour de me faire plaisir !
Il me souleva et tira à lui mon visage baigné de larmes pour m’embrasser fougueusement ; Puis il alla s’allonger, la tête posée sur deux oreillers, jambes écartées. Son visage dur était plein de morgue, comme s’il me mettait au défi de donner suite à mes paroles. Toi, mon gros, tu ne me connais pas ; je suis du genre têtu ; et ce que je dis, je le fais ! Non mais !
J’ai saisi sa verge à deux mains et ai léché le gland décalotté en épiant Gregory du coin de l’œil ; quand j’ai gobé tout le gland pour le pomper vigoureusement, j’ai vu son sourire goguenard s’effacer lentement, remplacé par le désir pur. Je me suis reculée, ai donné un coup de langue sur le méat avant de lui adresser un sourire mutin.
— Alors, mon p’tit loup, vous aimez ça, on dirait ? Vous voulez que je monte sur vous ?
Il a croisé les bras derrière sa nuque en opinant simplement ; j’ai enjambé son ventre, m’asseyant cuisses repliées comme une grenouille, son gland palpitant contre mon entrejambe. J’ai glissé une main entre nos ventres pour diriger sa verge et poser le gland sur ma vulve bien ouverte par la position. Et j’ai reculé doucement, faisant pénétrer la lourde colonne en moi ; j’étais abondamment lubrifiée mais il était si épais et moi si étroite que l’introduction était délicate.
Les yeux rivés dans ceux de Grégory, j’ai pesé toujours plus fort, appréciant chaque centimètre de la hampe de chair qui forait son chemin. Je réalisai que ma bouche formait un O et que je haletais sourdement, comme le gland massif venait de buter contre le col de mon utérus.
— Vous aimez ? Je vous sens tout au fond de moi.— Je ne suis pas entièrement en toi mais c’est très agréable, crois-moi.— Vous voyez. Alors, vous me trouvez comment ?— Bien mieux que je ne pensais, en fait. Je m’attendais à autre chose.
En parlant, je remuais le bassin et exécutais de petits allers-retours souples et très lents, revenant buter à chaque fois contre mon col. Petite douleur, raidissement, relâchement.
— Vous vous attendiez à quoi ?— Une pute, une connasse que je démolirais avec plaisir avant de repartir à New-York.— Et alors ?— Et alors, c’est raté ; tu es jolie, décidée, un brin moqueuse, drôle. Tu aimes quand je t’encule, tu m’a sucé divinement. Et toi, comment tu me trouves ?— Impressionnant ; dur, sûrement capable de violence ; très beau, aussi, surtout quand vous souriez ; là vous devenez craquant.
Je respirais plus fort alors que j’accélérais mes mouvements sur lui, ma peau couleur miel se couvrait de sueur et je ne pus retenir un gémissement de plaisir ; j’étais à deux doigts d’un orgasme dont je savais déjà qu’il serait puissant, mes tétons gonflés appelaient les caresses. Je me suis redressée, accroupie pour peser sur la gigantesque verge dont le gland appuyait sur le col. Pas question de m’estropier pour les beaux yeux de mon amant ! Je me suis redressée pour diriger le gland sur mon anus encore ouvert avant de descendre.
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