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Marie, voleuse timide

Chapitre 2

Trash
Marie ne réalise pas, ne comprend pas. Pourquoi la tutoie-t-il ? Doit-elle juste rendre son uniforme ? Et s’il voulait abuser d’elle ? Non, impossible, pas dans cette enseigne qui a pignon sur rue. Mais pour qui se prend-il ? On n’est plus au Moyen-Age ! Marie s’apprête à l’envoyer balader mais Patrick ne lui en laisse pas le temps.« Écoute Marie, je ne suis pas certain que tu aies bien réalisé la gravité de la situation. Le vol est avéré, nous en avons toutes les preuves, si nous portons plainte, un juge ne mettra pas longtemps à te condamner. Tu n’auras plus de boulot, plus d’amies parmi tes collègues, une réputation qui te suivra partout et pour longtemps. Il me semble que Romain des luminaires étudie dans la même fac que toi, à mon avis à la fin de la semaine prochaine c’est toute la fac qui sera au courant de ton état d’esprit. Oh, pour quelques centaines d’euros tu n’iras pas en prison, mais tu auras à faire à la police et si nous insistons sur la possibilité d’autres vols, ils viendront chez toi fouiller toutes tes affaires les plus intimes, une garde à vue n’est pas à exclure. »Patrick laisse un long silence. La colère de Marie face à ce type est retombée, et la peur est revenue. Elle s’imagine surtout le regard de ses collègues et amies. Et si ses parents l’apprennent, et si elle doit quitter la fac, ils ne le supporteront pas. Mais le pire en fait c’est les ennuis avec la police, et si des gens viennent chez elle tout retourner comme dans ces émissions sur les trafiquants de drogue et autres délinquants …« Donc ! Tu as deux solutions ! Ou tu me rembourses à ma manière. Ou tu finiras à poil chez les flics pour commencer et tu pourras changer de région pour retrouver du boulot !! Soit tu changes de vie, soit tu te déshabilles !!»Marie est loin d’être une fille dévergondée et très libérée sexuellement, elle a eu deux ou trois copains, a couché avec eux mais n’a expérimenté que missionnaire ou levrette, quelques fois elle a sucé l’un d’entre eux mais n’apprécie pas vraiment, bref elle est plutôt timide sexuellement et vraiment pudique. Elle se sent même mal à l’aise quand elle doit se déshabiller dans le vestiaire avec ses collègues féminines.« Bon, je pense que nous n’allons pas nous entendre à l’amiable, tu peux aller te changer dans les vestiaires. Tu auras ta lettre de licenciement et une copie de la plainte à ton retour. »Marie tremble. Mille idées se bousculent dans sa tête, mais elle n’a pas vraiment le choix. Et puis tant pis, elle retrouvera du boulot. Oui mais ses amis, la fac, et merde le découvert à la banque ; son banquier a été sympa mais lui a laissé une semaine pour le combler et ses parents, elle ne pourra pas tout supporter. Et s’il dit vrai, si la police l’embarque, avec des menottes peut-être, et le casier judiciaire. Mais elle n’a plus le temps de réfléchir.« Non, d’accord » balbutie-t-elle, espérant gagner du temps. Et elle attend sans bouger les yeux au sol se disant que peut-être tout ça n’est que pour lui faire peur, et même que peut-être elle va se réveiller. Mais c’est Patrick qui la sort de sa torpeur :« Quoi d’accord ??? Je ne veux pas des mots !! J’ai dit à poil ou tu sors !! »Au bout d’une demi-minute Marie franchit le pas. Ses bras se plient, elle ne sait plus s’ils sont vraiment commandés par son cerveau, pour atteindre très lentement les boutons du haut de son chemisier, elle n’arrive plus à réfléchir, elle se sent déjà dans un autre monde. Elle commence à défaire un à un les boutons. Patrick la regarde dans les yeux puis descend son regard vers la peau douce et légèrement bronzée qui apparaît peu à peu. Quand tous les boutons sont défaits, elle entrouvre sa chemise, découvrant un soutien-gorge rembourré bleu, orné d’une petite dentelle et mettant en valeur sa poitrine ronde et ferme. Elle lève les yeux, le regard de son chef sur ses seins et son ventre la tétanise, elle essaie :« S’il vous plait, on peut s’arranger autrement. »« Ecoute, tu me fatigues et me fais perdre mon temps. Soit tu te décides, soit c’est dehors avec les suites que tu connais ! C’est la dernière fois que je te le dis ! »Marie sort le bas de sa chemise de son pantalon, l’enlève, la laisse tomber à terre et commence à déboutonner son pantalon.« Enlève les chaussures d’abord, et les chaussettes si tu en as. »Marie obéit, presque rassurée pour ces quelques minutes de répit. Elle plie les genoux, défait les lacets de ses chaussures, puis se redresse et retire ses chaussettes. Le contact de ses pieds nus sur la moquette du bureau lui fait vraiment réaliser qu’elle est à moitié nue devant cet homme qui la regarde sans arrêt, qui traine ses yeux sur ses seins, son ventre, tout son corps … Comme si de l’ordre précédent devait en découler un second, Marie lève la tête, regarde Patrick et attend.« Tu es sacrément bandante Marie. J’ai hâte de pouvoir mater ton petit cul et d’y glisser ma langue. Je suis sûr que tu es complètement épilée, il me tarde de jouer avec ton petit clito, il doit être mignon comme tout. J’ai hâte de voir ça. »Une boule commence à se former dans le ventre de Marie, elle sent qu’elle va devoir s’asseoir. Elle n’arrive pas à croire qu’elle vient d’entendre de telles paroles. Et en même temps elle se sent complétement hors de la réalité. Mais elle y revient rapidement :« Tu attends quoi ? Tu veux que je vienne t’aider ? »Elle sursaute, se ressaisit et recommence à déboutonner son pantalon puis le baisse et l’enlève assez rapidement. Elle le laisse tomber à côté de la chemise. Patrick peut admirer ce jeune corps parfait. Un ventre plat, un string bleu dont il peut profiter à loisir de la transparence. Son sexe n’est pas totalement épilé semble-t-il, mais il voit nettement la fente formé par ses deux lèvres charnues. Il bande comme un fou.« C’est comme ça que tu prends soin de ta tenue de travail. Mais peut-être n’en auras-tu plus besoin ? Range ces affaires correctement et pose-les sur la table de réunion derrière toi. »Marie se baisse pour ramasser ses chaussures, chaussettes, sa chemise et son pantalon et se dirige vers la table de réunion derrière. Elle marche maladroitement, sentant le regard de son chef sur ses fesses totalement libres. Et effectivement il n’en rate pas une miette. Les fesses de Marie sont parfaites, très rebondies mais pas si petites que ça, sa peau semble douce, elle a un cul de rêve. Il peut aussi apercevoir des marques de bronzage qui indiquent un maillot de bain très sage, ce qui l’excite encore davantage. La délimitation entre ses fesses et ses cuisses est bien marquée. Ses jambes sont longues et assez fines mais sportives. Marie pose ses chaussures par terre, le pantalon et la chemise sur la table, se retourne et revient face au bureau.Le sadique profite de sa proximité pour balader son regard sur tout ce jeune corps, il s’attarde sur ses seins puis regarde Marie dans les yeux, il redescend vers son sexe qu’il a juste à hauteur des yeux, et remonte à nouveau vers les yeux de Marie avec un sourire pervers. Marie baisse les yeux mais il continue de profiter de ce corps parfait qui s’offre à lui pendant quelques longues minutes. Patrick lèche ces jeunes seins ronds et fermes du regard. Là aussi il aperçoit une marque de bronzage. Même à la plage Marie n’enlève jamais le haut de son maillot. Marie ne bouge plus.« Quand je dis de te déshabiller c’est complètement. Je veux te voir nue, à poil, sans un seul vêtement, je veux voir tes seins fermes, ton sexe rasé, ton cul lisse, toute ton intimité. Et vite !!!»Patrick fait exprès de répéter ces mots, sachant que ça met Marie très mal à l’aise. Et le but est atteint. Marie est rouge de honte. Elle recule un peu, passe ses mains derrière son dos, dégrafe son soutien-gorge, fait tomber les bretelles sur ses bras et enlève finalement le vêtement et le laisse tomber à terre. Elle maintient quelques secondes ses bras sur ses seins pour les cacher mais le regard de Patrick lui fait comprendre qu’il y a une suite. Elle baisse les bras et libère deux magnifiques seins, fermes qui tombent à peine, et deux auréoles brunes assez larges. Patrick bande à en avoir mal, il a envie de se branler mais préfère faire durer le plaisir, encore et encore.Marie résignée attrape les élastiques de son string et le baisse puis se penche pour le retirer, le pose à côté du soutien-gorge et se redresse. Machinalement ses mains se promènent devant son sexe pour le masquer maladroitement. Elle ne sait pas comment se tenir. Elle est là, complétement nue devant son chef qui la regarde de haut en bas, puis finit par arrêter son regard sur ce sexe offert qu’il fixe un long moment. Le spectacle est irréel, même pour Patrick. Cet homme de 42 ans n’a jamais eu l’occasion de profiter d’un corps d’une telle perfection, d’une jeune femme aussi jolie. Divorcé depuis 4 ans, il trouve du réconfort le soir sur Internet principalement. Des seins parfaits, un sexe pas complètement mais très bien épilé avec juste une bande qui laisse bien dessinées deux lèvres charnues, il peut même apercevoir le clitoris pointer un peu.
Marie ne sait plus où elle est. Elle se sent totalement nue, honteuse, honteuse d’avoir volé cet argent ou honteuse d’avoir choisi cette solution pour … pourquoi d’ailleurs elle ne sait plus. Ses bras balancent un peu, elle ne sait pas comment se tenir, elle voudrait disparaître. Patrick lui ne pensait jamais en arriver là, ne pensait jamais qu’elle accepterait. Il s’attendait à ce qu’elle l’envoie balader après le « Déshabille-toi ! » mais il a vu Marie si désarmée qu’il en a profité. Il n’a pas vraiment le fond méchant mais aime le pouvoir et là il est servi. Il a à sa merci une très jolie fille dont il peut abuser en toute impunité.Patrick a vraiment envie de la baiser là tout de suite. Il regarde l’heure sur son ordinateur : 20h54. Il est seul avec Marie, il préfère finalement faire durer le jeu, il aimerait que cette soirée de mai ne finisse pas. Finalement il trouve Marie tellement séduisante qu’il n’a pas envie qu’elle le déteste. Certes le mariage ne s’annonce pas pour demain, mais le charme de Marie désarmerait n’importe qui. Il veut profiter de Marie mais en douceur si possible.« Je vais te faire une proposition Marie. » le ton est naturel, presque amical, ce qui calme un peu Marie et lui permet de ralentir le rythme de toutes les pensées qui se bousculent dans sa tête.« Je te laisse ton poste, j’invente une histoire pour les 155 €, je dirai que tu les avais mis dans une enveloppe à part que la banque n’a pas comptée mais qu’elle a fini par retrouver. Tu retrouves ton poste, ta vie d’avant, comme si rien ne s’était passé. Pour cela tu dois faire tout ce que je te demande pendant un mois. Nous sommes le 4 mai, tu es à moi jusqu’au 4 juin minuit. As-tu un petit ami ? »« Non »Marie se dit qu’elle a répondu trop vite. Peut-être qu’avec un petit ami il aurait été plus facile de refuser, enfin d’expliquer une indisponibilité, bref … Mais bon, c’est dit, et puis elle n’a pas envie encore de lui mentir. Et puis ses pensées se calment, elle se sent mieux, rassurée de ne pas être virée, de ne pas aller en garde à vue, d’avoir surtout la possibilité de tout effacer.« Un mois pour retrouver ta vie d’avant. Tu as 10 minutes pour réfléchir. Et arrêtes de bouger comme ça. Va chercher une chaise et pose la ici. » Patrick désignait un endroit à deux ou trois mètres du bureau. »Marie va chercher une chaise et la pose à l’endroit désigné.« Tourne-toi, penche toi en avant et pose les mains sur la chaise »Marie recommence à se sentir très mal à l’aise. Elle se tourne, se penche en avant et pose ses mains bras tendus sur l’assise de la chaise. La vue pour Patrick est ravissante. Les seins de Marie tombent magnifiquement vers le sol, son cul est haut, superbe.« Ecarte les jambes. »Marie ne bouge pas, elle se sent trop mal à l’aise.« Marie, nous n’avons encore aucun accord ! »Le ton a de nouveau changé, elle n’aime pas ça. Elle écarte un peu les jambes. Patrick ne tient plus, Marie ne le voit pas, derrière son bureau il déboutonne son pantalon, sort son sexe tendu de son caleçon et se caresse doucement, il décalotte sa queue lentement, il est prêt à jouir. Il admire ce cul, il fixe ce jeune sexe qui apparaît.« Davantage »Marie écarte encore les jambes. Elle commence à se sentir bizarre. Patrick n’a pas l’air violent ça la rassure un peu. Et être nue commence à lui donner des sensations étranges. Peut-être avoir été aussi stressée et à présent rassurée l’aide-t-elle à laisser cette sensation, entre peur et plaisir, prendre possession de son ventre.Patrick ne quitte plus le sexe de Marie des yeux, dans cette position il voit les petites lèvres et imagine sa queue pénétrait lentement ce sexe frais et offert.« Tu as donc 10 minutes pour réfléchir, quand tu auras décidé, tu pourras te relever. Un mois à faire ce que je te demande pour retrouver ta vie d’avant et effacer ta dette. Tu as dix minutes. C’est parti. »Marie est de plus en plus calme. Enfin elle a un peu de temps pour réfléchir. Et finalement elle n’arrive plus à réfléchir, elle n’envisage plus de perdre son travail, d’avoir des problèmes avec la police, et ses collègues ils vont penser quoi ? Non, non, elle ne peut pas.Elle réfléchit alors seulement à la proposition de son chef. Un mois c’est vite passé finalement. Et puis il n’a pas l’air si méchant. Sa décision est prise mais elle attend quand même. Et pendant ce temps elle se laisse envahir par cette sensation, étrange, mais elle sent que le plaisir commence à l’emporter sur la peur. Mais sa position est tellement obscène qu’elle ne peut pas vraiment se détendre, ce n’est pas qu’elle n’en a pas envie, c’est qu’elle a encore des principes à briser avant de pouvoir se libérer.Les 10 minutes sont passées, étrangement Marie ne les a pas vu passer, et Patrick encore moins, il a du mal à effleurer son sexe sans être à la limite de la jouissance. Il réfléchit à la suite et hésite entre plaisir et douleur, lenteur et empressement, violence ou tendresse, séduction ou domination. Il est tellement heureux de cette situation qu’il veut en profiter au maximum.Mais il est déjà 21h48. Marie est tirée de ses pensées par Patrick.« Oui c’est Patrick O. du magasin L., je suis encore en entretien. Oui. Non. 4859DP. Disons minuit, j’ai du travail à terminer après cet entretien, je vous rappelle si ça se prolonge davantage. »Patrick vient d’appeler la société de sécurité, il doit déjà être dix heures et ce n’est pas fini, il compte la garder encore un moment, se dit Marie. Heureusement demain c’est vendredi, elle n’a pas cours le matin. Mais les cours finalement ce n’est pas grand-chose à côté de sa situation actuelle. Et les 10 minutes sont passées, que doit-elle faire à présent. Ah oui c’est vrai, se relever et lui donner une réponse.« Je peux me redresser ? » demande-t-elle timidement.« Tu as prix ta décision ? »« Oui »« Alors redresse-toi et tourne-toi mais garde les jambes écartées. »Marie resserre les cuisses, se redresse, se tourne et écarte à nouveau les jambes. Les yeux de Patrick se promenant sur tout son corps la replongent dans une profonde gêne. Et ses bras à nouveau se balancent et essaient de cacher son intimité.« Arrête avec tes bras, mets-les dans ton dos ! »Marie place ses mains dans son dos, attrape un de ses poignets avec l’autre main, ce qui a pour effet de cambrer son dos et redresser ses seins. Le spectacle est totalement obscène, mais avec Marie en actrice principale, cette obscénité s’efface pour laisser place à un érotisme sans borne. Patrick lui-même ne sait plus où il en est. Et s’il se jetait sur elle pour l’embrasser ? Peut-être finirait-elle un jour par l’aimer ? Peut-être attend-elle ça ? S’il la dégoutait, elle n’aurait jamais accepté de se dévoiler face à lui. A 42 ans il ne pouvait pas séduire des filles comme Marie, mais pourquoi pas finalement … Etait-il en train de tomber amoureux de Marie ?Marie sent que le regard de Patrick n’est plus du tout agressif, les yeux baveux de son chef tout à l’heure ne trainent plus sur son corps à présent mais caressent ses longs cheveux châtains, son visage. La peur s’estompe, il n’a pas l’air si méchant finalement. Marie croit même déceler une petite trace d’hésitation dans le regard de Patrick, de compassion, mais peut-être est-ce autre chose. Elle connaît ces regards qu’elle croise souvent dans le tramway, ces yeux d’hommes plus âgés, mariés ou avec des enfants, qui masquent l’envie et le désir par une empathie bienveillante mais pas totalement malhonnête ; ces regards entre lubricité et tendresse. Et Marie ne déteste pas. En plus de flatter son petit ego, certains de ces hommes ne la laissent pas indifférente. Elle n’a jamais été totalement à son aise avec les jeunes de son âge, elle imagine parfois que sa maladresse et sa retenue, aussi bien en société que dans l’intimité, seraient peut-être mieux comprises par un homme plus âgé. Il lui est même arrivé de s’imaginer dans une vie bien rangée avec un de ses profs, il doit avoir entre 35 et 40 ans, une vie sans trop de questions sur les problèmes matériels de son avenir d’étudiante dans une filière et une époque sans beaucoup d’espoir.Marie se sent mieux dans ce regard-là.« Je veux bien faire tout ce que vous me demandez pendant un mois. Enfin si ça reste raisonnable. »Patrick est presque prêt à lui dire oui, et même à la laisser partir sans rien lui demander. Mais quand même, cette situation ne se présentera pas deux fois. Il faut qu’il reprenne un peu le dessus, et puis c’est sûrement une ruse. Son regard de chien battu, c’est juste pour l’attendrir ! Elle partira, fera une soirée avec ses copines et racontera qu’il a essayé de la séduire, lui ce vieux pou de 40 ans. Reprend le dessus, se dit-il.« Et voler des amis, c’est dans le raisonnable, ça ? »« Non. Mais je n’irai pas tuer quelqu’un par exemple, je ne veux pas être séquestrée ou torturée, enfin … »« Ecoute, tu n’as pas vraiment le choix. »Patrick s’arrête pour réfléchir un peu. Il veut passer ce mois avec Marie, mais ne doit pas lui faire trop peur s’il veut qu’elle accepte. Et puis s’il va trop loin, non seulement elle refusera mais elle pourrait aller raconter ce qui se passe en ce moment et ce ne lui serait vraiment pas profitable.« Je n’ai aucune intention de te faire du mal, bien au contraire. Tu n’auras aucune douleur physique, aucune séquelle physique dans un mois. Et je ne te ferai rien faire d’illégal.»« Alors c’est d’accord. »Patrick tend un bloc note et un stylo à Marie.« Prend et écris. Tu peux aller t’assoir. »Marie prend le bloc note et le stylo et va s’asseoir sur la chaise toujours au milieu du bureau.« Moi, Marie G., accepte en toute conscience, de me soumettre à tous les désirs de Patrick O. jusqu’au 4 juin 2013 … »Patrick dicte cette acceptation bidon de quelques lignes et lui demande de signer au bas.« Voilà Marie, tu es à moi pour un mois. »
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