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Marie et Xenos

Chapitre 3

Zoophilie
Le regard fasciné, la main gentiment crispée sur le sexe du chien, j’ai des contractions d’envie dans le bas ventre. Les papillons de plaisir et d’envie que je connais si bien. J’essaie de calmer mes ardeurs, pour ne pas blesser Xenos et ainsi profiter pleinement de cet instant tant attendu, maintes fois fantasmé. Le chien halète un peu plus fort, sa langue rose gluante pend un peu plus, mais il ne fait aucun geste de replis, bien au contraire, se laissant bien volontiers manipuler par cette main amicale dispensatrice de plaisirs inattendus. Il reste aux aguets, attendant la suite. Je suis assez rassurée par son attitude patiente qui laisse bien augurer de la suite. Je serai vraiment trop déçue d’avoir à faire à un chien trop pressé et expansif, il me faut du temps et dans ce domaine particulier j’adore aller progressivement, prendre mon temps pour le plaisir, telle est ma devise. Sous mes caresses et pressions, la jolie bite rose veinée de magenta se fait de plus en plus volumineuse. Elle est absolument magnifique, c’est mon tour de commencer à saliver… mais je ne sais pas encore si je vais oser une telle caresse buccale sur un animal… il me reste encore de petites réticences. Mais l’idée ne me rebute plus autant que par le passé. Je me fais lentement à cette idée de me soumettre totalement à mon nouvel ami et de lui donner un maximum de plaisir. Après tout, les vraies chiennes doivent bien lécher le sexe des mâles qui vont les saillir ou qui viennent juste de le faire, pourquoi devrais-je déroger? La verge de Xenos est douce et brûlante sous mes doigts, bien plus chaude que celle d’un homme. Quelques gouttes claires, giclent en petites saccades chaudes, évidentes prémices de bonheurs proches. La moquette est tout auréolée de ces giclettes désordonnées.Peu à peu, son fourreau poilu dégage l’ensemble de la bite qui apparaît enfin à mes yeux curieux. Rien à voir avec celle d’un humain. La pointe est effilée alors qu’un homme possède à cet endroit le renflement du gland entouré du prépuce. Le sommet du sexe ressemble à une pointe de lance, percée en son sommet d’un discret petit trou. La verge bien gonflée s’évase à partir de la pointe. La hampe elle-même est magnifiquement veinulée de rouge vif. La base est ornée d’une énorme excroissance, comme un gros bulbe de jacinthe, le bulbe pénien, qui ressemble un peu à des testicules d’homme auxquels on aurait épluché la peau du scrotum.Je graisse ma main en recueillant le liquide pré séminal qui n’arrête pas de sourdre. Encore une différence par rapport aux hommes, un chien peu éjaculer pendant la totalité d’un rapport. D’abord ce liquide clair qui sera peu à peu remplacé par du sperme bien plus épais, en vue de la fécondation. Les doigts gras, je caresse doucement, je suis attentive aux réactions de mon futur amant… j’ai maintenant très envie qu’il me prenne, je sais qu’il va me saillir, j’en ai envie ! Je sais déjà que je vais adorer qu’il me prenne. Mais pour le moment, je continue ma lente câlinerie. Certains chiens sont réticents au début à ce genre de caresse à laquelle ils ne sont pas habitués. Mais ils s’adaptent très vite au comportement étrange des femmes, bien différent de celui de leurs vraies congénères, les chiennes. La verge du chien coule de plus en plus au fur et à mesure de mes caresses. Je dois avouer que cette masturbation m’excite moi-même au point de me liquéfier l’entrecuisse. Xenos docile se laisse faire, allongé de tout son long, la tête dans le prolongement de l’échine, une de ses pattes postérieures en lévitation pour me faciliter la manœuvre. Je suis à présent persuadée qu’il est accoutumé à ce genre de manipulation. Mon excitation va crescendo, elle s’amplifie au fil de mes découvertes. Notre sexuelle complicité semble grandir au fur et à mesure de mes attouchements. Xénos, très docile s’abandonne en toute confiance, pattes largement écartées. Je continue mes caresses manuelles avec beaucoup de délicatesse. Mais je sens venir le moment où il me faudra lui donner plus, me donner entièrement, sans restriction. Comme pour lui apporter une nouvelle preuve de ma propre soumission. Je me sens devenir Golden Retriever moi aussi. Je deviens petit à petit sa femelle docile, je veux m’offrir à mon mâle, comme une vraie chienne en chaleur. Je suis à sa disposition pour son plaisir, tout autant que le mien. Je veux le mettre au mieux de sa forme pour la suite irrémédiable qui s’impose à mes sens. Je ne peux désormais plus reculer, je n’y songe même pas. Si ce n’est pas pour aujourd’hui, il ne fait aucun doute dans mon esprit que je ne pourrai pas lutter très longtemps contre cette furieuse envie qui me tenaille le ventre. De plus, je ne l’ai que trois semaines à ma disposition, je n’ai guère de temps à perdre avec des futilités. Je sais que mon abandon est programmé, le cheminement intellectuel s’est fait dans mon esprit, j’y suis prête, absolument consentante, ce ne sera pas un viol.Je m’approche un peu du bas ventre de mon nouvel amant. J’ai une furieuse envie de mieux détailler sa bite. Pour le moment, je la tiens gentiment serrée entre mes doigts poisseux, elle est brûlante. Je sens parfaitement l’odeur de son sexe. Une émanation forte et sauvage, mais pas aussi désagréable que j’aurai pu l’imaginer. Mon visage n’est plus qu’à quelques centimètres de la pointe cramoisie, de laquelle, par intermittence, sourdent de petites giclées troubles qui s’écrasent sur mes cuisses nues. C’est chaud, gluant, appétissant. De ma main libre, je viens délicatement prélever quelques gouttes de ce liquide odorant. Je les porte à mes narines puis à mes lèvres. C’est olfactivement puissant. Je dépose ma cueillette sur ma langue… Hum, ce n’est pas mauvais du tout, bien différent du sperme humain. Le goût est très particulier, mais sans être absolument rebutant! Cette découverte me rassure un peu. Elle fait encore tomber les quelques barrières psychologiques qui auraient pu résister malgré tout dans mon esprit de femme bien sous tout rapport. Si le sperme de Xenos est tout aussi goûteux que son liquide pré séminal, je ne vois vraiment pas pour quelle raison je me priverais de cette envie qui me tenaille les sens. J’ai vraiment envie de le sucer comme j’ai toujours adoré prodiguer cette caresse à mes amants. Mais lui, va-t-il aimer la caresse de mes lèvres et ma langue? Il a bien du se lécher la bite à maintes occasions, ou se la faire lécher par un de ses congénères. Je ne sais pas si Catherine suce son chien… Cette idée m’excite un peu plus je dois l’avouer. D’imaginer mon amie de toujours, très classe, femme d’affaires impeccable et implacable, irréprochable, qui fréquente la bonne société de L. se livrer à de telles pratiques, condamnées par la société bien pensante, me liquéfie de plus belle. Ma chatte dégouline franchement. Des images puissamment excitantes me viennent à l’esprit. Je l’imagine en tailleur strict, le chignon impeccable, avec ses lunettes d’intello branchée, agenouillée entre les pattes de son chien, en train de lui téter la bite, se délectant de ses giclées, les buvant sans réticence ni dégoût. Si je continue dans cette voie des pensées lubriques, je vais me faire jouir toute seule, sans l’aide de Xenos, ce qui serait franchement dommage! De plus en plus échauffée par mes idées salaces, je m’enhardis un peu plus. J’approche encore mon visage de la verge écarlate, juste pour la sentir un peu mieux… sans plus… Je me le promets, sans y croire un seul instant. Le bout de mon nez est maintenant collé à la pointe du sexe du Golden. L’odeur ne me rebute pas davantage; de ma main, emprisonnant la verge, je fais glisser le bout plus bas, contre ma lèvre supérieure, je la caresse et l’enduis du liquide poisseux et chaud, comme avec un bâton de rouge à lèvres. Je me graisse ainsi largement la bouche. Je darde la pointe de ma langue à chaque passage de la pointe, sans aller plus avant. Je joue quelques secondes avec. Le chien ne bronche pas. Attentive à ses réactions, car je ne voudrais pas qu’il se méprenne sur mes intentions et devienne agressif, j’entrouvre doucement les lèvres puis enfonce tout doucement la verge animale. Le chien est toujours aussi docile. Ma langue s’enhardit et caresse le bâton de chair maintenant largement enfoncé. J’ai franchi un nouveau seuil, je suce vraiment un chien, pour la première fois de ma vie. J’aime ça, c’est indubitable. Ma mouille laisse de longues traînées brillantes le long de mes cuisses tremblantes de bonheur et d’envie. Mes mouvements et ma succion s’accélèrent, mais je reste sur le qui-vive, je ne veux pas que Xenos jouisse dans ma bouche. Pas tout de suite en tout cas, je ne suis pas prête. Je poursuis ma fellation avec plus de mesure. Je m’applique comme si Xenos pouvait ensuite me donner une appréciation sur ma prestation. Mais je ne me fais guère de souci, bien que ne sachant pas parler, son comportement exprime sa satisfaction. C’est le total abandon au plaisir.Soudain la sonnerie de la porte d’entrée retentit à trois reprises.
— M… m… m… qui peut bien me déranger ainsi alors que je suis si agréablement occupée ?
à suivre...
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