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mariée, soumise à ma maitresse

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Le lendemain matin au réveil, mon mari a été d’une grande tendresse, il a voulu que le lui raconte mes deux jours avec Aurélie. Je n’ai pas osé lui dire que j’avais fait la pute, n’y que j’avais été baisée par 15 inconnus en une journée. J’ai parlé d’une baise à trois avec ma maîtresse et un amant noir bien mieux monté et plus endurant que lui. Je n’ai pas donné plus de détail, mais j’ai bien vu que cette histoire l’excitait. Moqueuse j’ai encore rajouté :— Si tu continue à aussi mal me baiser, , ta bite risque de rester longtemps encagée.
Ce samedi la, je travaille et je me suis donc habillée pour y aller. J’ai mis une robe assez courte mais pas trop moulante sur la poitrine pour essayer de cacher l’absence de soutien gorge. J’ai fait ça discrètement car je ne voulais pas que mon mari sache que je pars travailler sans aucun sous-vêtement. Dans le bus qui m’amène à mon lieu de travail, j’ai l’impression que tout le monde sait que je suis nue sous ma robe. Gênée par ce sentiment, je garde les yeux baisés pour ne pas croiser de regards, pourtant je sens aussi que ce même sentiment contribue à humidifier mon entrejambes.
A mon arrivée, mon chef m’a complimenté sur ma tenue. Il m’a même semblé remarquer son regard sur ma poitrine libre sous la robe. Le travail m’occupe et j’en fini même par ne plus penser à mon absence de sous-vêtements. Alors que je fais une petite pose, je vois sur mon téléphone qu’Aurélie a essayé de m’appeler. Je profite que je suis seule pour la rappeler.— Bonjour Maîtresse.— Salut ma chienne. Tu as bien dormi ?— Oui Maîtresse— Ton mari a apprécié le cadeau que tu lui as ramené ?— Oui beaucoup— Tu lui a dis tout ce que tu as fais ?— Non Madame, j’ai juste parlé de vous et d’un amant noir.— Tu n’oses pas lui dire le nombre de bites que tu as pris ?— Non Madame— Ça fait de toi une femme adultère plutôt qu’une simple libertine. Mais ça me plait assez ! Tu as envie de baiser aujourd’hui ?Je murmure une réponse à peine audible— Oui— Il y a du monde autour de toi ?— Non Madame, je suis seule — Alors répond à haute et intelligible voix. Tu as envie de baiser ?— Oui Madame— Oui quoi ? Je veux te l’entendre le dire— J’ai envie de me faire baiser MadameJe l’entends rigoler puis me dire.
— Tu es vraiment une femelle en chaleur. L’autre jour, j’ai remarqué que ton chef regarde beaucoup les femmes. Je suis sur que ça lui plairait de te baiser. Tu vas faire en sorte que ça arrive.— C’est difficile Madame, je ne peux pas lui demander de me baiser et même s’il me drague parfois un peu, il reste très correct.— Je vais t’aider. Tu vas poser ton téléphone prés de lui et partir travailler comme si tu n’y pensais plus. Dans ton agenda, tu ne mets pas mon prénom mais Maîtresse. Tu le laisses sur sonnerie et tu enlèves le code d’accès s’il y en a un. Je vais t’envoyer un message, il verra sur l’écran un message de quelqu’un que tu appelles Maîtresse. Ça va sûrement le rendre curieux. S’il va lire le message, il saura que tu as envie de te faire baiser.— Bien Madame, je vais le faire.
C’est le chœur battant que j’ai laissé traîner mon téléphone prés de lui et que je suis partie au fond du magasin. Tout s’est passé comme l’imaginait Aurélie. Il a lu le message qui m’était destiné. « Tu m’as obéis, tu n’as rien sous ta robe ? Si tu veux que ton chef s’en rende compte, te drague et finisse par te baiser comme tu en rêves, il faudra trouver un moyen de le laisser voir sous ta robe. »
Même s’il a une dizaine d’années de moins que moi, la lecture de ce message a fait son effet puisqu’une heure plus tard, lorsque je me retrouve avec lui dans le magasin il me demande :— ça t’arrive souvent de te venir travailler sans culotte
Je n’avais pas encore vu le texto et surprise je suis devenue toute rouge. Il me temps mon téléphone en me disant que j’ai reçu un message. Lorsque je l’ai lu ma rougeur de diminue pas et je dis :— Tu…tu l’a lu ?— Oui, la curiosité et un de mes vilains défauts. Tu permets que je contrôle si tu es vraiment cul nu ?
Sans attendre ma réponse, il soulève ma robe. Un voyant mon sexe nu et lisse il ricane.— Tu caches bien ton jeu, je ne pensais pas que tu étais une salope. Suis moi dans le dépôt !
Sans dire un mot je lui ai emboîté le pas, le cœur battant. Arrivé à l’abri des regards il me dit :— Tu as vraiment envie que je te saute ?— Oui— Si je le fais, ensuite tu devras l’accepter chaque fois que j’en ai envie. — Oui c’est normal— Tu aimes être dominée ?— Oui— Enlève ta robe que je vois si tu en vaux la peineUn peu tremblante, j’ai obéis, me retrouvant nue devant lui. Il m’a fait marché, il a commenté mon corps en disant que je n’étais pas trop mal conservée. Ces mains ont pris mes seins, puis un doigt a pénétré dans mon vagin.-Salope tu as vraiment envie du dégouline.Alors qu’il ouvrait son pantalon, il m’a dit de me coucher par terre. Sans autres préliminaires, il est venu sur moi et m’a pénétrée. Il m’a besognée une dizaine de minutes, me faisant jouir et éjaculant dans mon vagin.Il s’est relevé, m’a dit qu’il fallait retourné au travail, mais qu’il était content d’avoir trouvé une femelle pour ses besoins sexuels.
J’ai appelé ma Maîtresse qui m’a félicité et m’a rappelé que je ne devais jamais refuser à qui que ce soit de lui servir de vide couille. J’ai eu un sentiment de fierté d’avoir réussi à lui plaire et je lui ai promis que je serais une bonne vide couilles chaque fois qu’il le faudrait.
En fin de journée, mon chef m’a demandé de rester pour faire la fermeture et a dit aux autres qu’ils pouvaient partir. Dés qu’ils ont tourné le dos, il me dit assez sèchement :— mets-toi à poils, c’est nue que je te veux !
C’est donc en tenue d’Eve que j’ai rangé le magasin. Quand tout a été terminé, il ma fait me mettre à genoux devant lui pour que je lui fasse une fellation. J’ai obéis et me suis appliquée jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche.
Je n’ai rien dit de tout ça à mon mari, nous avons passé une soirée en amoureux. Le matin, au réveil, il est venu me caresser, me faisant sentir sa frustration et son excitation. Je me suis dis que je lui devais bien un petit plaisir. Je l’ai fait se mettre à genoux, nu par terre et lui ai enlevé sa cage. Il a spontanément bandé. Je lui ai dit de se masturber en me regardant alors que j’étais assise sur le lit, la couette sur mes jambes. Il ne voyait que mes seins.
Son excitation était telle qu’il éjaculé en quelques secondes dans ses mains. Je l’ai envoyé se laver puis je lui ai remis sa cage. Le reste de la journée, vu son plaisir à obéir, je me suis amusée à lui faire faire le ménage et la lessive.
Lundi matin, comme d’habitude, il part travailler à 7h00. Ce jour la je ne travaille que l’après-midi et comme le ménage est fait, je reste un moment au lit. Vers 8h30, la sonnerie de la porte d’entrée me fait sursauter. Je me dépêche d’enfiler un jogging et je vais ouvrir. C’est ma Maîtresse ! Je la fais entrer en sentant déjà mon entrejambe s’humidifier. Je lui sers un café sur le balcon ensoleillé. Ce grand Balcon est assez discret, mais tout de même visible depuis quelques fenêtres d’un appartement du petit bâtiment situé en face.
Elle me demande sévèrement :— C’est quoi cette tenue ?
Comme je commence à bredouiller une excuse, elle me gifle et me rappelle que je dois lui obéir. Elle me dit :— Mets toi à poil et reste debout devant moi.
Je n’ose pas protester et j’enlève mon jogging. Voyant un rideau bouger dans l’appartement d’en face, Aurélie se déplace pour ne plus être visible et me demande :— C’est qui qui habite là-bas ?— Un couple avec leur fils.— Qui est la à cette heure ci ?— Ça doit être le fils, il a 17 ans et est en vacances
Elle a son petit sourire pervers qui m’inquiète un peu et me dit :— On va lui faire un petit spectacle, qu’en penses-tu ?— Comme vous voulez Maîtresse— Vient face à lui, comme si tu ne l’avais pas vu, mains sur la tète, jambes écartées.
L’excitation était plus forte que la honte est j’ai obéis. Le jeune voisin ne devait rien manqué du spectacle. Ma maîtresse, m’a doigtée sans qu’il ne puisse jamais voir son visage. Mais son téléphone a sonné. Elle m’a dit de ne pas bouger et est entrée dans l’appartement pour répondre. Je n’ai rien entendu de la discussion.
En revenant, elle a enlevé la ceinture qui était à la taille de son jeans. Elle l’a utilisée pour me fesser. Je me trémoussais et sursautait à chaque coup. Je ne pensais même plus au spectateur, pourtant il était toujours la. J’avais les larmes aux yeux quand elle a arrêté. Elle m’a dit :— Il me semble que notre voyeur filme le spectacle. Tu vas peut-etre avoir le plaisir d’être sur internet !
Cette réflexion a pour résultat de me faire rougir. Elle dit encore :— Un ami va venir se vider les couilles. Je voulais qu’il te baise dans le lit conjugal, mais ce sera pour une autre fois. Il va te faire jouir sous les yeux de ton jeune voisin !
Quand la sonnette de la porte d’entrée s’est fait entendre, elle m’a fait me mettre penchée et appuyée en avant sur une chaise, jambe largement écartée, visage face à mon voisin et cul face au visiteur qu’elle allait faire entrer.
Les minutes m’ont parues interminable. Elle m’a interdit de me tourner et ma dit de fixer la fenêtre d’en face. Il est arrivé en silence derrière moi et la première chose que j’ai senti s’est son sexe qui entrait dans mon vagin. J’ai tout de suite senti que c’était un sexe de belle taille. J’ai senti ses mains m’empoigner et il a commencé à me besogner avec vigueur. Il n’a pas baissé de rythme pendant pas loin d’un quart d’heure. J’ai eu le premier orgasme après à peine 5 minutes, puis la suite n’a été que gémissement, cri et jouissance.
Il s’est retiré et est parti sans que j’aie le droit de me retourner. Maîtresse m’a alors dit de me mettre debout, toujours face au voisin. J’ai dû récupérer le sperme avec mes doigts et le manger.
Satisfaite elle ma dit de lui servir un nouveau café. Après un moment elle me dit :— Juste a coté de ton quartier bourgeois, il y a les immeubles du quartier populaire. Pour aller au travail, tu vas dorénavant traversé ce quartier et prendre le bus qui est de l’autre coté. Ça ne te fait que 15 minutes de marches. Tu sera toujours souriante et avenante, surtout si des groupes de jeune te siffle ou t’aborde.
J’ai bien compris qu’elle espérait que ces jeunes cherchent à me baiser, mais j’ai tout de même promis de lui obéir.
L’après midi, en allant au travail, il ne s’est rien passé de particulier. Mon chef m’a baisée au milieu d’après midi, dans son bureau. Au retour, en traversant le quartier populaire, j’ai juste eu droit à un bonjour madame d’un petit groupe de jeune.
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