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Maryse, débauche en Guadeloupe

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
Chapitre 6 :
De retour dans ma chambre, je n’eus aucune envie de visionner le film des ébats de Maryse que j’avais enregistré. Je pris donc une douche et me couchai. J’eus beaucoup de mal à m’endormir, ressassant sans cesse les paroles de cet homme, qui voulait en faire une pute. Bien sûr, j’entendais aussi Maryse demander à Chris de ne pas en faire une prostituée. Mais je commençais à connaître l’addiction de ma femme aux grosses queues, et particulièrement, celles des noirs. Et cela me faisait peur. Je finis par m’endormir d’un sommeil agité.Lorsque je me réveillai, il faisait jour, et je sentis une présence à mes côtés. Je me tournai vivement et ne put retenir un cri de surprise. Maryse, ma Maryse, ma femme, dormait à mes côtés. Et dire que je ne l’avais pas entendue rentrer. J’étais fou de joie. Et en même temps, je m’en voulais, de ne pas avoir été là lorsqu’elle était rentrée. Elle dormait, allongée sur le dos. Je voyais les marques des menottes sur ses poignets, mais ne constatai aucun autre sévice. Je ne pouvais accéder à ses orifices intimes et je me levai, pour aller déjeuner. Elle bougea dans son sommeil, écartant les jambes, dévoilant son intimité. Elle me semblait rouge, quelque peu irritée, mais je ne pus rien voir d’autre. Je quittai rapidement la chambre et allai prendre un rapide petit déjeuner.Lorsque je revins, Maryse n’était plus dans le lit. Mon cœur manqua un battement, avant que j’entende un bruit venant de la salle de bain, où je me précipitai. Ma femme était là. Jambes fléchies, elle tentait d’introduire un tampon hygiénique dans son vagin tuméfié. Elle leva les yeux vers moi et reprit sa tentative, en disant, comme si cela n’avait pas été évident :
 J’ai … j’ai mes règles ! Tu veux que je t’aide ? fut tout ce que je fus capable d’articuler. Non, surtout pas ! J’ai la chatte en compote. Ça fait mal ! Ouchhhh ! Ça y est ! Ma pauvre chérie, fis-je, en la prenant dans mes bras et en l’embrassant dans les cheveux.
Elle se blottit contre moi et murmura :
 Tu m’en veux ? De quoi, mon amour ? De … de tout ça ! Tout ça quoi ? De m’être donnée à tous ces hommes ! Tu sais, j’ai aussi ma part de responsabilité, là-dedans ! Peut-être ! Mais je n’étais pas obligée d’accepter ! Je … je me suis vraiment comportée comme une pute ! Ce gars avait raison ! Mais non, ma chérie ! Tu as simplement tenté une expérience ! Est-ce que ça t’as plu ? Viens ! Retournons sur le lit, pour en parler !
Elle vint se blottir dans mes bras, posant sa tête sur ma poitrine et commença :

 Si ça m’a plu ? Je dois dire que oui. Jamais encore je n’avais ressenti de telles choses. A chaque fois qu’une de leur grosse queue me prenait, je me sentais remplie, le cul ou la chatte dilatée au maximum. Cela me faisait jouir comme jamais. Excuse-moi si je te vexe, mais cela n’avait rien de commun avec toi … même hier soir, alors que je n’étais qu’un objet, pour eux, un vide-couilles, un morceau de viande, j’ai aimé. J’ai aimé ces saillies violentes, bien que je sois crevée … et surtout, la partie finale, lorsqu’ils m’ont prise à trois et que les deux femmes s’occupaient de mes nichons. J’ai jouis comme jamais. J’ai même pensé, à ce moment-là, que je pouvais mourir, j’avais connu l’orgasme suprême … tu … étais là, jusqu’au bout ? Oui ! Tu as filmé ? Oui ! Tout ? Tout ! Oh, merde ! Tu dois te dire que je suis une belle salope ! Je t’ai fait cocu ! Je crois que j’étais pour le moins d’accord ! Qu’est-ce … qu’est-ce qu’on va faire ?  De quoi tu parles ? De … de nous deux ! Tu veux divorcer ? Pourquoi ? Je … non, rien ! Tu sais, c’est plutôt à toi de choisir ! A moi ? Oui ! Tu veux aller retrouver Chris, où rester avec moi ?  Tu … tu veux bien de moi ? Après tout ce que j’ai fait ? Je crois avoir une bonne part de responsabilité dans tout cela. Si je n’avais pas cédé, à ton idée de revoir Chris, et les autres. Alors, on reste ensemble ? Si tu le veux ! Oh, mon chéri, merci ! Merci ! Je t’aime ! Moi aussi, ma chérie !
Nous nous unîmes dans un long et langoureux baiser, que nous n’interrompîmes qu’à bout de souffle. Maryse ne pouvait ignorer l’érection qui frottait contre sa cuisse. Elle s’empara de ma bite et la serra fort entre ses doigts.
 Excuse-moi, mon chéri, dit-elle, mais tu ne vas pas pouvoir me baiser, mes règles. De plus, mon cul est trop sensible, même pour ta petite queue … Oh pardon ! il te reste ma bouche. Elle n’a pas trop souffert ! Tu veux ?
Elle n’attendit pas ma réponse et emboucha ma modeste queue, enfin, modeste, par rapport à ce qu’elle avait eu l’habitude d’avaler ces jours-ci. Excité comme une puce, je ne tardai pas à jouir dans sa bouche, et elle avala toute ma semence.
 Eh bien, c’était rapide ! Tu devais avoir une sacrée envie ! Moi, je ne me suis pas soulagé depuis hier, pendant ta partouze !
Tenant toujours ma queue dans la main, elle se rallongea contre moi. Nous restâmes un moment sans rien dire, puis elle dit, d’une voix timide:
 Il faut que je te dise quelque chose … Oui ? Je … je ne sais pas si je pourrai me passer de grosses queues ! Tu veux dire, en métropole ? Oui ! Je … Comme le disait Chris, tu es devenue une pouffe pour grosses bites noires ? Oui ! Mais pas seulement ! Je crois que j’aime toutes les grosses bites ! Ah ! Et … Comment cela va se passer, de retour à Paris ? Cela t’inquiète ? Oui ! Est-ce que … tu voudrais que je t’aide ? M’aider ? A quoi ? A trouver des grosses queues ! Tu ferais cela ? Pourquoi pas ? Mais comment ? D’abord, je pense que je pourrais trouver ça dans mon entourage ! Ton … ? Oui. Mes amis, mes collègues. Tu sais, il y a des beurs, dans nos connaissances. On dit qu’ils sont plutôt bien montés, eux aussi ! Et puis, si cela ne te suffit pas, il y a internet ! Internet ? Tu crois ? Ouais ! On créera un site, dont tu seras la vedette. D’abord ton annonce, quelques photos explicites, peut-être des vidéos, et le tour est joué ! Tu veux ? Je ne sais pas ! Je peux réfléchir encore ? Bien sûr ! Tu sais, nous ne rentrons que dans trois jours ! Après, nous aurons encore deux jours, avant la reprise du boulot. Donc, tu as le temps ! Merci, mon chéri ! Et Chris ? Je ne retournerai pas là-bas ! Je pense avoir fait le tour de notre relation. D’ailleurs, je pense que je ne rencontrerai mes partenaires, si cela se fait, pas plus de deux ou trois fois. Et encore ! Eh bien, il va falloir que j’en trouve beaucoup ! Salaud ! Tu penses que je suis nymphomane ? Pas toi ? Non ! je ne veux pas me faire baiser tous les jours ! Une séance par semaine, peut-être deux ! Ah bon ? C’est tout ? Salaud ! Tu te fous de moi !
Elle sauta sur moi en riant. Nous luttâmes un moment, puis épuisés, nous nous étendîmes à nouveau. Je sentais son cœur battre contre ma poitrine. Enfin, nous semblions avoir trouvé un nouvel équilibre. Notre horizon s’éclaircissait, même si je devais me faire à l’idée de devoir la partager, avec d’autres, beaucoup d’autres.

Fin de la première partie.
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