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Mascarade : 4 Cadeaux Mystérieux

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Deuxième cadeau Tu me guides derrière moi en poussant dans la direction désirée. Après quelques corridors, tu arrives devant un épais rideau. Tu le tasse partiellement et me fait signe de me glisser à l’intérieur. Cette chambre privée avec son petit cabinet surmonté d’un grand miroir nous donne l’impression d’être dans un boudoir. À ma surprise, la pièce se termine sur un élégant escalier qui monte vers un deuxième étage dont j’ignorais l’existence.Sur le cabinet, il y a un coffret similaire au premier, quoique que plus petit. Encore une fois, tu as la clé qui permet de l’ouvrir.Tu sors un collier de cuir avec une chaîne, très similaire à mes menottes. Tu t’empresses de l’attacher à mon cou. Tu tires sur la chaîne vers le sol et je suis ton mouvement : tu me mets à genou. Tu ôtes ta culotte bien mouillée de ton premier orgasme et tu la mets dans le coffre. Tu vas t’installer sur la deuxième marche de l’escalier et tu tires à nouveau sur la chaîne. Je tente de te suivre tant bien que mal. C’est difficile d’avancer seulement sur les genoux, alors que mes bras sont attachés dans mon dos.Quand j’arrive à toi, tu te retournes, dos à moi. Tu tires sur la chaîne jusqu’à ce que je n’aie plus d’espace libre. Ma face est pratiquement projetée contre tes fesses.— Si tu veux avoir la moindre chance d’orgasmer ce soir, tu es mieux d’utiliser ta bouche comme un expert!Ma langue trouve ton cul en moins de cinq secondes. Je commence à te licher comme tu l’aimes si bien. Quelques lichettes sensuelles à l’extérieur. Puis des petits mouvements concentriques autour de ton anus. Il se relaxe naturellement et j’en profite pour te pénétrer avec ma langue. Je rentre très lentement au début, presque timidement. Puis quand je sens tes fesses se relaxer davantage, j’y vais plus profondément. Tu tires encore plus sur la chaîne, ma face s’enfuie dans ton cul. Je garde ma langue plus rigide et je commence des mouvements de va-et-vient, comme si c’était ma queue qui te défonçait. Tu recules même tes fesses contre ma langue tellement tu aimes ça.J’ai juste le goût de me relever et de mettre ma grosses queue dans ton cul. Je te saisirais les hanches et je te sodomiserais avec fougue. Je suis convaincu que tu aurais ton orgasme en moins d’une minute! Et je viendrai moi aussi, avec ma queue qui éjaculerais dans ton cul bien chaud.Tu montes quelques marches subitement. Ma face n’a plus d’appui contre tes fesses et mon corps est penché vers l’avant. Je perds l’équilibre et tombe presque face première dans les marches, mes mains étant incapable de me retenir. Tu me rentres un des talons hauts dans l’épaule et me dit :— Je sais parfaitement à quoi tu penses gros pervers, mais tu ne me viendras pas dans mes fesses ce soir. Ce soir, les seules fesses qui vont être défoncées sont les tiennes!Je n’ai pas de réponse à ça.Tu enfonces ton talon haut plus profondément dans mon épaule :— Qu’est-ce qu’on dit?— Oui, Maîtresse!Tu sembles satisfaite. Tu ôtes la pression sur mon épaule, tu tires sur la chaîne pour me mettre debout et tu me fais monter les marches. Tu me guides lentement pour éviter que je tombe à nouveau.Troisième cadeau A l’étage supérieur, tu empruntes un étroit corridor avec plusieurs portes sur le même côté. Tu ouvres la troisième porte à notre gauche et me guide à l’intérieur. La chambre est petite et très sombre. Le mobilier se limite à un divan en cuir rouge et une table de chevet.
Une fine lumière apparaît d’une ouverture au fond de la pièce. Il semble y avoir un balcon. Tu m’amènes près de cette balustrade et je m’aperçois qu’elle donne une vue surprenante sur une grande salle du premier étage. Je reconnais immédiatement la pièce : elle sert parfois de salle de réception ou bien de salle de spectacle. Nous avons déjà été dans cette salle, mais je n’avais jamais remarqué les loges à l’étage supérieur. Ce n’est pas surprenant, car si une personne ne porte pas attention au plafond, les loges sont faciles à manquer compte tenu de l’éclairage tamisé. Près du centre de la pièce, il y a une petite scène où se déroulent habituellement des prestations érotiques. Ces démonstrations osées ont tendance à attirer tous les regards. Avant que le Manoir soit converti en haut lieu de débauche et de luxure, cette pièce était probablement une salle pour des concerts privés d’opéra ou d’orchestre de chambre. La décoration des lieux est encore plus luxueuse que dans les autres pièces du Manoir. Un énorme chandelier en cristal est accroché au plafond. Il scintille et reflète la lumière des nombreuses bougies et chandeliers installés près des murs du premier étage. Le balcon nous donne une perspective inégalée pour regarder tous les participants plus bas. C’est le comble du voyeurisme. Sur la scène, un homme complètement nu se fait fouetter allègrement. Il ne porte pas de masque, mais une cagoule qui lui couvre complètement le visage. Derrière lui, une dominatrice manie un long fouet de plus de six pieds. Elle porte un costume de maîtresse de cérémonie ou de directrice de cirque, tout en rouge et blanc. Elle complète le tout avec un minuscule chapeau rouge et un masque blanc. Son allure un peu burlesque avec son costume coloré contraste avec l’apparence plus austère de son esclave cagoulée. Elle lui fait faire des tours autour d’elle sur la scène centrale. De cette façon, elle s’assure que tous les spectateurs aient une vue complète de l’esclave. Avec sa cagoule qui lui couvre complètement les yeux, l’esclave à quatre pattes a un peu de misère à se diriger sur scène. Sa Maîtresse n’hésite pas à le fouetter pour lui indiquer le chemin. À un moment, il quitte presque la scène par inadvertance, mais il reçoit un coup de fouet particulièrement vicieux. Même au deuxième étage, on entend parfaitement le bruit caractéristique de l’instrument, ainsi qu’un cri de douleur particulièrement strident qui s’échappe derrière la cagoule. Après quelques tours, elle s’assoit à califourchon sur son dos. Elle délaisse le fouet pour utiliser directement sa main. Après quelques fessées, elle l’enjoint de continuer à avancer et le monte comme une cavalière sur un cheval qu’elle a complètement rompu à son manège. Tu tires sur la laisse pour ramener mon attention à toi. Sur la table de chevet, il y a un autre mystérieux coffret ainsi qu’une bouteille de vin rouge. Tu te verses un verre dans la seule coupe disponible et tu prends ton temps pour le déguster. Je reste sagement au garde-à-vous, menotté. Tu enlèves sensuellement tes longs gants noirs. Puis tu te remplies ta coupe à nouveau en me dévisageant sournoisement. Tu portes la coupe à mes lèvres. J’essaie d’en boire, mais plusieurs gouttes coulent sur mon torse. Tu liches une goutte près de mon mamelon. Tu glisses ton doigt sur mon torse pour ramasser les autres gouttes. — Tu n’es même pas capable de boire sans faire un dégât. Tu es un salaud en plus d’être un pervers! Tu fais une moue faussement contrariée. Tu portes ton doigt à quelques centimètres de ma bouche. J’ouvre la bouche. — Commence seulement avec ta langue! Je tire la langue et liche l’extrémité de ton doigt recouvert de vin. Tu trempes ton index dans la coupe et tu recommences le même manège plusieurs fois. Tu augmentes la difficulté : ton autre main tire la laisse vers l’arrière tandis que je sors la langue au maximum. Je sens la pression du collier contre mon cou. Mon souffle est coupé, mais j’essaye encore plus fort. J’y suis presque, il me manque seulement un centimètre! Quand je pense réussir, tu retires ton doigt juste assez pour être hors de ma portée.Tu relâche la pression sur la chaîne et je reprends mon souffle. — Je suis convaincue que tu peux faire mieux!Tu ouvres le coffret avec la troisième clé. À ma surprise, tu en ressors un gode-ceinture en cuir noir. Il est orné d’un gros godemiché rouge à la taille impressionnante. Tu m’as déjà pris plusieurs fois avec un gode, mais jamais avec un engin aussi imposant. Je suis un peu anxieux, mais je te fais entièrement confiance : tu sais comment préparer mes fesses pour accueillir un godemiché d’une telle taille. — Met toi à genou.J’ai juste le temps de t’obéir que tu as déjà mis le gode-ceinture bien centré à ta taille.Je prends une seconde pour t’admirer. Tu es la définition même d’une Déesse sexuelle : un physique de rêve accentué d’un bustier rouge et noir, de souliers à talon et d’un énorme gode-ceinture. Tu me souris en voyant l’effet que tu me fais. Tu me dis avec ta voix douce : — Maintenant ouvre la bouche et laisse-moi faire.J’obtempère rapidement. Je sens un, puis deux doigts pénétrer dans ma bouche. Tu commences doucement, tu explores presque à tâtons ma bouche. Puis tes doigts deviennent plus aventureux. Tu les rentres plus profond et je dois refouler le réflexe de toux.Tu durcis tes doigts et tu recommences avec plus de pression. Tu me violes littéralement la bouche et ça semble t’exciter. — Allez, si tu n’es pas capable de licher convenablement, montre-moi que tu es au moins capable de sucer adéquatement!Je referme ma bouche sur tes deux doigts et je commence à les sucer. Je m’arrange pour que tu sentes seulement mes lèvres et ma langue contre eux. On a déjà fait des préliminaires où je te suçais un ou même deux doigts, mais ça c’est beaucoup plus pervers.Tu retires tes doigts. Tu déposes une seule goutte de vin sur l’extrémité de ton gode. J’hésite, c’est quelque chose qu’on n’a jamais fait auparavant. Tu tires sur la chaîne pour m’encourager ou simplement parce que tu deviens impatiente. Je liche avec une certaine réticence le vin. La texture artificielle du gode n’a cependant rien de désagréable. Tu remets quelques gouttes tout le long de ta verge improvisé. — Vas-y doucement. Je veux que tu savoures chaque goutte que je t’offre. Et si tu continues de bien m’obéir, je te promets le plus gros orgasme anal que tu n’as jamais eu.Ma langue fait de long va-et-vient le long de ton engin. Même lorsqu’il ne reste absolument aucune trace du vin, tu me fais continuer un peu. Puis tu remets quelques gouttes de vin sur ton gode et je recommence. Tu glisses ta main dans mes cheveux et tu me caresses lascivement. Même si je ne suis pas directement sur ta chatte, je sens l’odeur de ton sexe. Tu sembles particulièrement excité par le spectacle que je te donne, à genou à m’occuper de ton gode. Tu mets ta deuxième main derrière ma tête et tu me guides délicatement vers l’extrémité de ton phallus. J’ouvre la bouche et je commence à te sucer.Ton gode est beaucoup plus gros que tes deux doigts et ma bouche a initialement un peu de difficulté à accommoder ton objet. Je n’ai aucune expérience dans ce domaine et tu le sais très bien. Tu ne mets pas trop de pression derrière ma tête et tu me laisses m’habituer. Puis quand je commence à sucer ton gode plus profondément, tu maintiens une pression derrière ma tête. Tu continues ainsi jusqu’à ce que je te fasse une fellation à gorge profonde.C’est vulgaire et tabou ce qu’on fait, mais j’aime ça autant que toi. Tu relâches finalement la pression et je peux enfin prendre de grandes respirations par la bouche. Tu me relèves et tu m’enjoins de te suivre jusqu’à la balustrade. Tu retires mes sous-vêtements de cuir. Tu t’installes derrière moi. Je sens ton gode caresser mes fesses. Je m’attends à ce que tu m’encules à l’instant, mais ce n’est pas dans tes plans immédiats. Tu attires mon regard au deuxième étage. Il y au moins une dizaine de loges similaires à la nôtre qui surplombe la scène principale.Certaines semblent un peu plus grandes et il y a plusieurs convives dans ces pièces. La majorité des balcons n’est éclairée que par le reflet du chandelier en cristal de la grande salle de spectacle. D’autres sont illuminés par quelques chandeliers. Au fond de ces salles privées, il serait possible d’avoir des ébats sans que les autres puissent voir grand-chose. Certains couples se tiennent près de la balustrade et sont bien visibles.Dans la loge d’à côté, on aperçoit la blonde avec la poitrine impressionnante que l’on avait vu au début de la soirée. Elle s’est débarrassée de ses marguerites. Son homme-esclave est dans une position similaire à la mienne, les deux mains sur le rebord de la balustrade. Il est par contre beaucoup plus penché vers l’avant et la blonde est directement derrière lui.Je me rends compte qu’elle porte elle aussi un gode-ceinture. Ils ont dépassé la phase des préliminaires : elle le pénètre langoureusement avec son gros godemichet. L’homme fixe le spectacle érotique qui se déroule sous ses yeux tandis qu’elle augmente la vitesse à laquelle elle le défonce.J’envie le gars : mes fesses sont dilatées au maximum, mais tu refuses encore de me pénétrer. Je fais des mouvements de va-et-vient avec mon bassin contre ton gros gode, mais rien n’y fait. Tu ne fais que frôler mon anus avec ton sexe de plastique.Une image particulièrement perverse me traverse l’esprit : est-ce que toutes les femmes dans les loges sont munies d’un godemiché? Est-ce que tous les hommes au deuxième étage se font sodomiser jusqu’à l’orgasme anal?— Allez, il me reste un dernier cadeau pour toi!
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