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Massouana

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Myriam et Agnès m’attendaient dans la salle de bain. Elles se sont empressées de me raser la foufoune de près. Tandis qu’Agnès me faisait une beauté capillaire, Myriam s’activait à stimuler toutes les terminaisons nerveuses de mon épiderme avec une huile parfumée sous prétexte de me donner un teint lumineux. Je me retrouvais certes avec une peau d’une magnifique brillance mais la libido en vadrouille, déjà de bon matin. Agnès me fit complètement perdre la tête en posant mon bijou clitoridien. Pas possible autrement, elle le faisait exprès. Les profs et les ex-collègues féminines de Charles devaient arriver d’une minute à l’autre pour partager notre repas et elles, au lieu de m’aider à faire bonne figure, ne pensaient qu’à m’allumer sans me permettre de me libérer. ’était tout nouveau pour moi. Loin de trouver leur manœuvre cruelle, cette situation de dépendance me plaisait fabuleusement. Je décidai de jouer le jeu à fond en leur prodiguant les conseils nécessaires pour qu’elles puissent me maintenir sans fin sur ce petit rocher instable au bord du vide où le corps n’obéit plus à l’esprit. J’avais atteint le summum de ma frustration lorsqu’un traiteur entra dans la propriété pour débarquer le repas de gala que le beau-père avait commandé pour ses invitées. Myriam jugea qu’il était temps d’abandonner l’exploration du volcan qui couvait dans mon ventre depuis plus d’une heure. La robe de soie blanche qu’elle me prêta était d’une sobriété inhabituelle pour moi. Malgré son dos nu taillé jusqu’au sillon fessier et la découpe obscène du décolleté affichant mon nombril, elle ne découvrait mes cuisses que sur dix malheureux petits centimètres. C’était d’autant plus regrettable que mes escarpins mettaient en valeur comme jamais mes jambes bronzées. Pour une fois, nous étions toutes d’accord. Seins libres obligatoires sous cette robe et port de la culotte laissé à mon appréciation. — Myriam ! C’est moche comme ça, non? On voit l’affreux élastique du string qui me scie les reins. — M’enfin! Elle est complètement transparente et tu le sais très bien, petite garce. — A peine! Allez, zou! Adieu la culotte. Elles verront mieux mon bijou sans ce morceau de tissu inutile. Ça ne va pas du tout. Elle est au moins cinquante centimètres trop longue. On dirait que j’ai quarante ans.— Mouais! Allez! Je vais te la raccourcir. Et comme cela, ça va? — C’est mieux...encore un rien plus court et...— Tes jambes sont fabuleuses. Ce n’est plus une robe que tu portes mais une déclaration d’intention.LA classe selon Laure, quoi! Les voilà! Deux top modèles à la maison. Enfin, trois avec moi. Ma déception fut grande quand je vis descendre, de leur décapotable, une responsable de casting et une styliste, toutes deux la cinquantaine botoxée et bien sonnée. Une Libyenne à l’allure martiale clôturait, à bonne distance, le cortège. Perchée en haut de l’escalier d’entrée, je n’avais pas vraiment conscience d’exhiber ma féminité aux deux dames qui grimpèrent hyper lentement les douze marches sans quitter des yeux le pendentif de mon sexe. Mission réussie.— Charles, tu nous avais caché que Miss Monde se cachait entre tes murs. Quel âge as-tu belle enfant?Charles répondit à ma place en annonçant immédiatement la couleur. — Elle a l’âge de savoir frétiller du croupion pour se faire remarquer. N’oublie pas, Laure, que tu as promis d’être un exemple d’obéissance aujourd’hui, à défaut de discrétion!J’étais drôlement flattée par l’intérêt que me portaient d’emblée les nouvelles arrivantes. Des dames très exigeantes qui, sans préambules, me transportèrent dans un monde dans lequel toute pudeur était bannie. Elles se comportèrent d’emblée avec moi comme des maquignons. C’est bien simple, elles me touchaient partout, sans épargner mes zones érogènes, chaque fois que je passais à leur portée avec les collations. Plus les compliments déferlaient sur ma plastique, plus leurs attouchements se faisaient précis et insistants. Je resterai toujours persuadée que, dès ma première répartie, elles ont deviné que mon apparence physique ne collait pas avec mon âge réel. Tandis que la responsable de casting s’extasiait sur mes longues gambettes et ma croupe incendiaire (un mot que je ne connaissais pas), une idée farfelue me passa par la tête. Je me suis mirée dans le miroir mural en soulevant ma robe jusqu’à la taille pour vérifier si mon postérieur ne portait plus de marques de la dernière fessée de Myriam. Eh bien si! Quatre de ses doigts étaient encore parfaitement visibles sur ma fesse gauche. Et cela n’échappa à personne.Charles était furax.— Laure! Qu’est-ce qui te prend ?Ne sachant que répondre, je répondis n’importe quoi.— C’est la dame qui m’a dit que ma croupe était incendiée et j’ai voulu voir si les marques de l’incendie se voyaient encore.La styliste, aussi perturbée que moi, crut intelligent de me poser une question encore plus stupide pour détendre l’atmosphère.— Ma petite, qui t’as fait cette belle marque sur le cul? Ce n’est pas toi Charles, j’espère? J’ai gardé un souvenir vivaces des pulsions sadiques que tu manifestais vis à vis de jeunes modèles de l’agence. Ne fais pas cette tête là! Je plaisantais. Embarras maximum dans mon chef et regards implorants dans la direction d’Agnès et de Myriam qui répondit à ma place en essayant de sauver les apparences sous des accents de sincérité profonde.— Je suis la seule coupable, Mademoiselle Anne. Comme vous et votre amie, Agnès et moi nous sommes irrésistiblement attirées par les rondeurs féminines. Personnellement, je suis bien incapable de résister à la tentation quand elles passent à la portée de mes mains. Surtout quand la fille est aussi mignonne et qu’elle ne rechigne pas à montrer ses fesses à la moindre occasion.J’ai couru pour me réfugier dans le placard de la cuisine mais Anne m’a attrapée par la taille. Une boule me noua le ventre quand, au culot, elle empauma fermement ma cuisse et se risqua à la caresser en remontant, millimètre par millimètre, vers l’épicentre de mes sens. — J’aime ta façon d’affirmer ta liberté sexuelle en refusant le port de sous-vêtements coercitifs. Rien ne serait plus stupide que de dissimuler de telles merveilles. Ne rougis pas, ma beauté! Pas de cachoteries entre nous! Laisses-moi te masser, mon petit bouchon! Tu en meurs d’envie. J’ai atteint l’âge et une expérience suffisante pour reconnaître une jeune fille dévorée par ses hormones. Sa main si douce déplissait suavement mes pétales et je me sentais aspirer dans un gouffre charnel sans fond qui sapa illico toute ma résistance.— Si un jour tu recherches un travail bien rémunéré, notre agence t’ouvrira ses portes en grand. Tu es plus que belle et surtout, tu possèdes la chose la plus rare au monde, un sex-appeal exceptionnel qui te confère un charisme de folie.
— J’en rêve la nuit. Que dois-je faire pour y arriver ?— Doucement! Ce métier est très exigeant. Tu es certes douée, mais avant cela, tu devras accepter de nombreux sacrifices. — Pas grave!— L’apprentissage de ce métier, c’est d’abord une école de discipline. Tu es très photogénique. Mr Charles nous a confié que tu adores poser. Tu me parait également particulièrement décomplexée. Voilà deux qualités indispensables pour devenir modèle. Je relève quand même une sérieuse tare dans ton comportement. Je te soupçonne d’user et d’abuser de ce corps affriolant et plein de vigueur pour mettre toutes les femmes à tes pieds. Si nous sommes venues te voir, c’est d’abord et avant tout pour te parler de ta scolarité.— Madame, c’est énorme ce que vous me faites. Je me sens toute bizarre.— Ne détourne pas la conversation! Cette femme machiavélique me faisait naviguer à sa guise à l’orée de l’orgasme. J’en devenais de plus en plus impudique. Ignorant les éclairs que me lançait les yeux de Charles, je remontai ma robe au-dessus de mes hanches pour lui faciliter la tâche. J’entendis grincer la chaise de sa voisine qui colla sa bouche dans mes reins tout en me débarrassant de ma robe de soie devenue chiffon. Une fessée appuyée enflamma mon postérieur et ma chatoune se mit à couler de plus belle. Mais qu’attendaient-elles pour me faire jouir?— Charles ne nous avait pas menti. Ta seule préoccupation est de t’envoyer en l’air. Mon petit doigt me dit que tu es assez vicieuse pour aimer la fessée.— Oui, ouiii! — Et pour accepter que m’importe qui use de ton corps.— Oh oui, Madame! Je suis à bout. Usez et abusez...ouiii!!! — Très mauvaise réaction. La carrière de top modèle vient de prendre un sérieux coup dans l’aile. Personnellement, j’ai la conviction, Charles, que je verrais plutôt cette petite garce fréquenter un centre disciplinaire pour qu’elle perde cette détestable attitude de jouir dès qu’une femme la touche.— Mais, mais…je n’ai pas joui, moi! C’est vous qui me…La Libyenne, qui jusque là ne pipait mot, sortit de sa réserve.— Viens par ici toi, la limace qui n’a pas encore joui!D’une poigne de fer, Aisha m’obligea à m’assoir à califourchon sur sa cuisse. J’étais carrément posée sur la muqueuse nue et luisante de mon sexe, prête à prendre mon envol quand, dans un mauvais français, elle me proposa de tester mon obéissance, avec en toile de fond l’interdiction formelle de prendre mon plaisir sinon...— Sinon quoi?Charles livra enfin le fond de sa pensée.— Sinon, fini ton rêve de top modèle! Je t’avais prévenue. Tu poursuivras ta scolarité dans une école privée où on t’apprendra à oublier de te servir de tes charmes pour troubler ton entourage.Une voix et des rires sarcastiques retentirent dans mon dos.— N’exagérons pas Charles! "École privée" est un bien grand mot. L’ambiance à Massouana correspond plus à celle d’un pénitencier qu’à celle d’une école privée.La douche froide! Maître G, une certaine Rose, qui se présenta comme la directrice ma future école, et une très belle jeune femme inconnue, venaient d’entrer dans la maison. — Soit! Mais la pension de cette petite garce me coûtera quand même un bras.— Nous en avons déjà discuté. La rente que tu verseras vaut son prix, le prix de la tranquillité.Mon beau-père ne blaguait pas. Tout était réfléchi dans ce qu’il disait. Et tout s’imbriquait parfaitement. La conversation que j’avais surprise au téléphone, Aisha la Libyenne qui me pinçait les bouts de seins, Anne, la directrice qui me caressait le dos…Charles avait organisé cette réception dans un but bien précis : se débarrasser de la charge que je représentais. Tous les regards étaient braqués sur moi et toutes ces femmes arboraient le même sourire sadique. De future top modèle admirée, mon statut venait de passer à celui de déportée en sursis. — Mais je veux devenir top modèle, moi. C’est ça, mon rêve!Je sentis immédiatement que Madame Rose avait flashé sur moi. Je reconnus immédiatement au son de sa voix la dame qui avait dialogué avec Charles sur Skype.— Un rêve est souvent très loin de la réalité. Dans ce milieu, tu rencontreras toute sorte de personnages. Des hommes qui ne penseront qu’à abuser de toi, des femmes aussi, fréquemment lesbiennes. Certaines que tu laisseras indifférentes, d’autres qui se montreront maternelles, amoureuses parfois, possessives souvent. Je ne te sens pas encore capable d’affronter cette vie trépidante. Nous allons nous occuper de t’endurcir d’abord. Un petit séjour chez Aisha ne te fera pas de mal, façon de parler. Es-tu prête à souffrir dans ton corps pour atteindre ton but?— Non, je ne veux aller là-bas! La dame me fait peur et puis, elle me faites trop mal aux seins avec ses ongles crochus. Et puis, pour y faire quoi dans votre prison ? Étudier ou servir comme maintenant d’objet sexuel à vos amazones que je ne sais même pas ce que cela veut dire, amazones.— Tu écoutes trop aux portes, toi. Pour ta gouverne, les amazones constituaient, il n’y a pas si longtemps, l’élite de la garde rapprochée d’un président déchu. Les circonstances ont fait qu’elles ont du s’exiler loin de leur patrie. Je peux déjà te dire qu’après avoir vu tes photos, elles te réserveront un accueil chaleureux. Au début, c’est clair que tu n’auras guère de filles de ton âge pour jouer à la marelle. Comme tu seras la première à inaugurer le centre, les amazones pourront se consacrer à temps plein à parfaire ton éducation. Aisha, qui se présenta comme la chef du personnel de ma future école, accentua encore sa tenaille.— Je la trouve vachement mignonne et j’ai bien envie de l’emmener chez moi à Massouana. Et voilà! Confirmation de mes doutes.— Tu prends des risques, Aisha. A ta place, je prendrai mes précautions avant de laisser entrer un loup dans la bergerie.— Non! Je ne crois pas qu’il y ait le moindre risque pour ma meute de louves à recevoir cette brebis égarée. Elles utiliserons les moyens nécessaires qu’elle file droit. Il ne faudra pas les pousser beaucoup. Je connais bien mes Amazones. La majorité d’entre elles ont la réputation d’être tyranniques voire carrément barbares. J’en connais même plusieurs qui seraient prêtes à se damner pour violenter une jeune et délicate gazelle comme ce tendron. Ses professeurs non plus ne lui feront pas de cadeau.Cette île au soleil où ne vivent que des femmes ne présageait rien de bon quoique j’y survivrai sans doute mieux qu’au au pôle nord. — Désolée, mais ce sera sans moi. Je ne connais pas encore vos professeurs mais ils ne m’inspirent pas confiance.Aisha me souleva quasiment en pinçant encore un peu plus durement les seins et madame Rose me tapa au creux des reins avec la baguette que lui tendit Charles. J’avais la trouille, je tremblais de tous mes membres, les tétons pris comme dans un étau. Assaillie de sensations hallucinantes, je n’arrivais plus à démêler quoique ce soit, la douleur, le plaisir, la crainte, je ne noyais. Ma seule certitude en ce moment était que les femmes qui m’entouraient étaient venues avec la ferme intention de me faire du mal. J’étais coincée de chez coincée et d’évidence, j’adorais cette situation.Madame Rose abandonna sa baguette pour me faire un brin de causette.— Si elle accepte le job, Lisa pourra te faire réviser, à ton rythme, les cours que tu recevras par correspondance. La suite de ta journée dépendra de ton comportement. Nous ne sommes pas des monstres mais tu avoueras que tu as grand besoin d’être redressée.— C’est qui Lisa?
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