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Masturbation avec maman

Chapitre 4

Inceste
Je comptais bien donner à maman autant de plaisir qu’elle m’en avait donné pour mon anniversaire. Je voulais, moi aussi, la surprendre en changeant la donne, j’avais donc préparé quelque chose de spécial.
Cela faisait trois semaines que nous n’avions plus rien fait ensemble. Non pas que l’occasion ne s’était pas présentée, ma mère m’ayant demandé plusieurs fois si je voulais « regarder un film », mais parce que je l’avais décidé. J’avais envie de la faire languir. Maman s’en inquiéta d’ailleurs, lorsque je refusais chacune de ses offres, elle me demanda même s’il y avait quelque chose qui n’allait pas ou si elle avait fait quelque chose de mal, je lui répondais que je n’avais juste pas envie et elle avait l’air un peu triste. Je mentais bien évidemment et cela me fit bizarre de retourner à mes plaisirs solitaires, étant tellement habitué maintenant à les faire avec elle. Mais il fallait que je résiste, pour que notre libération fût-ce encore meilleure. Si moi je m’étais masturbé de mon côté, je ne pense pas que ce fut le cas pour ma mère, ces dernières propositions étant des plus suppliantes, comme si elle avait vraiment besoin de moi pour se toucher.
Finalement, la fête des Mères arriva et je pouvais enfin lui donner son cadeau ! C’était un dimanche, je lui ai souhaité bonne fête dès son réveil, mais j’ai attendu que nous ayons déjeuné pour lui donner son présent.
« Tu es prête pour ton cadeau ? Lui demandai-je.– Oh, mon cœur, tu as pensé à moi ? Il ne le fallait pas !– Mais si qu’il le fallait, lui dis-je en souriant, aujourd’hui, je vais m’occuper de toi !.. Tu n’auras rien à faire, je ferai le dîner, la lessive, tout !– Oh, merci, mon amour ! Me dit-elle.– Attends, ce n’est pas tout : j’ai acheté une huile apaisante et je compte bien te masser, dès que tu en as envie…, maintenant, si tu veux ! »
Elle accepta avec joie, très contente de l’attention que je lui portais. Nous sommes montés dans sa chambre, elle pourrait s’allonger tranquillement et où j’aurais toute la place pour la masser confortablement. Une fois devant le lit, je lui dis, en lui tendant une serviette à mettre sur ses fesses :
« Voilà, déshabille-toi et mets-toi sur le ventre ! Tu m’appelles quand tu es prête ! »
Ce qu’elle fit et elle m’appela quelques instants après. J’entrai dans la chambre et je pus découvrir ma mère nue, bien que son postérieur fût caché par la serviette et que le matelas ne dévoilait rien de ses seins, cela restait terriblement excitant de la voir comme ça. Elle me sourit, impatiente de recevoir son massage, et enfouit sa tête entre les oreillers.Je n’osais pas monter sur le lit tout de suite. J’ai enduit mes mains de l’huile relaxante que j’avais spécialement achetée et je me suis mis à lui masser le dos, en commençant d’abord par les épaules. J’essayais de faire ça du mieux que je le pouvais, évitant les côtés où elle était trop chatouilleuse, descendant jusqu’à ses reins où je pouvais voir le début de la raie de ses fesses bombées et remontant son échine jusqu’à son cou. La chambre était silencieuse, seuls quelques oiseaux sifflaient dehors par cette matinée ensoleillée et je pouvais entendre maman respirer à chaque mouvement de mes mains sur son corps. Je suis ensuite monté sur le lit, et je me suis mis de part et d’autre de ses jambes pour faire face à son dos. Cela a duré comme ça plusieurs minutes, jusqu’à ce que je lui demande de se retourner :
« Ça te plaît ? Je vais faire le devant maintenant ! »
Elle releva sa tête, surprise.
« Tu…, tu es sûr que c’est raisonnable ? »

Il faut comprendre que, malgré nos masturbations ensemble, ma mère ne s’était jamais mise nue devant moi, ce qui est plutôt paradoxal puisque j’avais déjà vu son sexe maintes fois, mais il y avait quelque chose de plus puissant, un tabou plus grand je pense, à l’idée de se mettre complètement nue devant son fils. Je la rassurai, lui disant que ce n’était qu’un massage… Je ne pense pas qu’elle ait gobé mon excuse, mais après trois semaines sans masturbation à deux, ce que je lui faisais lui plaisait de toute évidence et toute excuse était alors bonne à prendre.
« Oui, c’est vrai, c’est juste un massage… ! Rien de mal à ça ! Se répéta-t-elle.
Elle se retourna et, pour la première fois, me dévoila sa superbe poitrine, son ventre, ses hanches. Elle recouvrit son sexe et ses cuisses avec la serviette, remit ses longs cheveux en place et prit une grande inspiration. Son cœur battait fort, cela se voyait. Le mien aussi et mon sexe était dur comme la pierre dans mon jogging. Il me fallut un grand sang-froid pour ne pas lui sauter dessus, tant elle était belle et attirante. Elle était excitée, mais anxieuse aussi, elle n’osait pas me regarder. Moi, j’avais peur qu’elle sente mon érection sur ses jambes. Je me suis à nouveau penché sur elle, et j’ai repris mon massage. Ses doutes s’envolèrent lorsque mes mains passèrent pour la première fois sur ses seins et ses amples hanches.
« Hm, gémit-elle dans une respiration, c’est agréable ce que tu me fais… ! »
Elle ferma les yeux pour en profiter encore plus. Ses mamelons devinrent plus durs sous mes doigts, sa respiration s’accéléra. J’adorais la voir passer sa langue sur ses lèvres ou mordre celles-ci quand mes doigts frottaient et malaxaient un endroit sensible. Je lui demandai si c’était bon, elle me répondit en hochant la tête, visiblement en train d’essayer de se contrôler et de ne pas gémir bruyamment.
Je me suis ensuite penché pour ramasser quelque chose au bord du lit, un objet-surprise que je lui réservais. En entendant le bruit que faisait l’objet, elle ouvrit les yeux et me demanda ce que c’était, elle put alors découvrir un vibromasseur allumé entre mes mains.
« Je ne crois pas que c’est une bonne idée d’utiliser ça… ! Me dit-elle, alors un peu en panique.– Tu es sûre ? » Lui demandai-je, alors que je passais le vibromasseur sur son téton.
Elle laissa échapper un petit cri de plaisir et s’allongea de nouveau, profitant des vibrations et du nouveau plaisir qu’elles procuraient ; j’en profitai pour enlever la serviette de ses jambes. Je passai d’abord l’engin sur le haut de son corps, sur ces fameux endroits sensibles où mes mains avaient fait tant d’effets : autour de ses aréoles, sur la pointe de ses seins, le long de son ventre. Je descendis ensuite en passant sur l’os de sa hanche, contournant le fruit défendu, pour arriver à l’intérieur de sa cuisse épaisse et ferme. Elle essayait de se contrôler, de se retenir de gémir tout haut, mais lorsque mon autre main vint fermement agripper son sein plein d’huile en même temps que je plaçai le sex-toy sur son clitoris, elle ne résista plus et lâcha un long gémissement de plaisir. Et à partir de là, j’eus tout le champ libre pour faire ce que je voulais.
Elle gémit encore plus lorsque je rentrai le gode en elle. Je massais son clitoris en même temps, passais ma main sur le long de son corps ; elle bougeait ses hanches par réflexe, cambrer ses reins. Pour ne pas qu’elle jouisse tout de suite, je retirais par moment le sex-toy et le repassais sur ses seins, pendant que mes doigts prenaient le relais et venaient la fouiller. Elle était trempée et serrée. C’était à mon tour d’être dans une bonne position, comme ma mère le fut lors de mon anniversaire, pour la branler comme il fallait. J’enfouis deux de mes doigts au plus profond d’elle ; elle écarta ses jambes encore plus grand, en voulant toujours plus. Moi, quand je voyais son corps suinté d’huile, sa vulve trempée, je n’avais qu’une envie, c’était de la lui lécher, de l’embrasser et de la goûter. Je voulais prendre son clitoris en bouche, mais c’était au-delà de règles que nous nous étions fixées.
J’ai continué mes mouvements de mains et de gode jusqu’à amener ma mère à l’orgasme. Elle s’est alors cambrée d’un coup, eut un gémissement étouffé, tout en se cramponnant aux draps maintenant humides. Comme elle, lors de mon anniversaire, je ne m’arrêtai pas tout de suite, je continuai à la doigter jusqu’à ce qu’elle n’en put vraiment plus. Je la laissai alors haletante, des étoiles dans les yeux et il lui fallut quelques minutes pour reprendre ses esprits. J’étais très content de moi d’avoir réussi à faire jouir ma mère comme ça, j’étais comme un petit garçon tout fier d’avoir fait quelque chose de bien pour sa maman.
Une fois remise, ma mère s’est levée, ses jambes tremblèrent un peu. Elle me demanda si je n’avais rien prévu d’autre avant qu’elle aille se doucher, je lui ai répondu « pas pour l’instant ».Elle s’est servie de la serviette pour s’essuyer un peu avant d’entrer dans la salle de bain, juste à côté de sa chambre. Je regardais son corps avec des yeux avides : un brin de soleil venait taper contre sa peau qui brillait grâce à l’huile, ses seins remuaient sous les mouvements qu’elle faisait pour se sécher et je réalisai seulement sur le coup que j’avais, moi aussi, joui dans mon pantalon pendant la chose.
Depuis qu’elle s’était entièrement dévoilée, je portais sur ma mère un regard tout autre…
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