Mathilde s’en souvient, ce jour là, quand Christian a eu finit, elle avait déjà joui deux fois. Éreintée, elle s’était endormie, complètement nue, le corps brulant. Julie et sa mère était rentré tard le soir. Julie était venue voir Mathilde dans sa chambre presque tout de suite. Julie avait réveillé Mathilde en entrant comme une bombe dans la chambre. Elle avait une histoire à raconter avec le guide de la rando kayak. Pendant une pose, le guide avait proposé à Julie et sa mère d’aller voire la vue en haut des falaise qui surplombaient la rivière. La mère de Julie, pas très aventurière avait refusé et Julie était partie seule avec le guide. Une fois arrivés en haut de la falaise, il lui avait fait du rentre-dedans et Julie, encore ado et vierge, mais à l’âge où l’on s’intéresse aux hommes avait laissé faire. Sans qu’elle ait tellement compris comment, elle s’était retrouvée avec la min du guide dans son bas de maillot de bain alors que de l’autre, il retirait son short. Il avait sorti un sexe qui n’avait pas paru si gros que ça à Julie et en plus, il sentait bizarre. Le guide avait pris sa main et l’avait posé sur sa verge et lui avait ordonné de branler. Julie s’était exécutée, ravie de voir qu’un homme de cet âge là s’intéressait à une midinette comme elle. Tout en racontant son histoire, Julie s’était déshabillée et comme à leur habitude, les deux filles s’étaient allongées l’une contre l’autre, se caressant sans oser caresser l’autre, leurs visages collés. Quand le guide a été sur le point de jouir, il avait dit à Julie de se mettre à genou et sans prévenir, il avait giclé son foutre chaud et épais sur son visage et ses seins. Julie ne s’y attendait pas, elle n’avait jamais vu un mec jouir jusque là. Elle en avait eu partout, sur les lèvres, dans le cou, la poitrine. Elle n’osait pas s’essuyer, elle ne savait pas quoi faire. Le guide avait remonté son short et s’apprêtait à redescendre la falaise mais voyant Julie dans cet état, il lui avait dit de s’essuyer, sinon il allait avoir des problèmes avec la mère de Julie. Le problème, c’est que son haut de maillot de bain était taché et elle dut lécher pour faire disparaître les traces. Mathilde lui demanda quel goût ça avait. — Un peu sucré salé, bizarre. Mais pas mauvais. Julie avait l’air d’être sur le point de jouir. Mathilde avait toujours aimé voir Julie jouir. Julie commença à faire aller et venir son bassin, caressant ses cuisses contre celles de Mathilde, plaquant son ventre contre Mathilde, cachant son visage dans le cheveux de Mathilde, elle se mit à gémir tellement fort. Et d’un coup, ce fut finit, Julie se blottit contre Mathilde. Au creux de l’oreille elle continua son histoire. Mathilde se caressait toujours. Plus tard, ils avaient une autre pose. La mère de Julie avait envie de pisser. Ils avaient accoster sur une petite île où poussait une mini-forêt. Sa mère s’était enfoncée dans le bois et le guide était parti faire le tour de l’île. Au bout d’un moment, Julie s’était inquiétée de ne pas les voir revenir. Partant à la recherche de sa mère, elle les avait trouvée sa mère, toujours accroupie, le bas de maillot sur les chevilles et le guide, debout, devant elle, la short baissé. Sa mère était en train de le sucer.Elle avait l’air de savoir y faire parce que le guide n’arrêtait pas de lui répéter que son mari avait beaucoup de chance d’avoir une suceuse pareille. Au bout d’un moment, il l’avait faite se retourner et mettre à quatre pattes. Sa mère avait d’abord refusé parce qu’ils n’avaient pas de capote mais il ne l’avait pas écouté. D’un coup, il avait mis sa queue dans la chatte tendue et humide de sa mère. D’un coup, sa mère s’était cambrée, visiblement, elle en avait plus envie qu’elle ne le disait. Il l’avait prise très vite, très fort, sans retenue et sa mère avait commencé à gémir entre Non et Oui. Le guide allait de plus en plus vite et sa mère n’arrivait plus ^tenir à quatre pattes, elle poussait sur ses mains pour qu’il aille plus loin mais ses cheveux trainaient par terre. Sa mère se mit à pousser un cri étouffé et des filets de liquide se sont mis à couler le long de ses cuisses. Le guide y allait encore plus fort. Au bout d’un moment, sa mère s’est écroulée. La queue luisante du guide a jaillit de la chatte de sa mère et il a commencé à se branler, giclant des bouillons de sperme sur la raie culière de sa mère, sur son dos, son anus alors que celle-ci était prise de spasmes sur le sol. Mathilde n’y tient plus, à son tour elle sent qu’elle va jouir. Julie la serre dans ses bras, elle sent ses petits seins qui ont connu le sperme pour la première fois aujourd’hui contre elle. Elle joui à son tour, sa cyprine inondant comme toujours dans ces cas là, le lit, trempant ses fesses. Julie lui caresse doucement le corps, le ventre. Mathilde a l’impression de glisser dans un monde de plaisir. Elle se serre à son tour dans les bras de Julie.
