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Matinée d'essayage

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Ceci m’est arrivé quelques semaines après ’Pelotage au concert’. J’étais dans une enseigne de vêtements trop bien connue. Il commençait à faire bien plus froid depuis une semaine et à plusieurs reprises avec mes pulls de mi-saison j’avais grelotté. Quand je frissonnais, comme c’est le cas pour beaucoup de filles, mes tétons pointaient. Quasi systématiquement, je prenais une taille trop petite, j’aimais la sensation d’être moulée, et ceci accentuait naturellement la possibilité qu’on remarque mes petites excroissances. Je sentais régulièrement les regards se diriger vers ma poitrine (un petit 80B), j’avais été complexée pendant quelques années qu’ils ne soient pas plus gros et ça me flattait beaucoup de sentir le désir. Mais, si je voulais garder la santé, il était néanmoins urgent que je commence à m’habiller plus chaudement.J’avais profité d’une matinée sans cours, le magasin était désert, ça me convenait. La foule avait rapidement tendance à m’oppresser, à me rappeler que je faisais partie de la masse, que je m’habillais avec les mêmes vêtements.Je flânais un peu. Je voyais aussi cet achat comme une occasion de détente après l’intensité de ma première rentrée universitaire. Mon acclimatation au rythme de la fac avait été tout sauf évident. J’avais l’impression de n’avoir plus que très peu de temps pour m’amuser. Après ce premier concert mémorable à la capitale, j’avais passé la plupart des soirs chez moi un peu à essayer d’assimiler ce qu’on avait tenté de nous apprendre pendant la journée, beaucoup à dormir pour récupérer de la fatigue engendrée par la concentration indispensable au bon suivi des cours.Les pulls de Noël avait déjà été placés dans les rayons alors qu’on était à peine début novembre. Je n’en avais jamais eu, ma mère avait trouvé ridicule cette nouvelle mode qu’elle estimait éphémère et moche. Mais, maintenant, j’étais indépendante de ses jugements et c’est en regardant un pull vert avec des bois de cerf que j’entendis soudainement une voix m’interpellant.
Mademoiselle, belle comme vous êtes ça m’étonnerait que votre copain vous fasse des cornes, ou alors c’est qu’il est totalement idiot.Je ne relevais pas le manque de connaissances de la faune et je le remerciais simplement du compliment.Mon flatteur devait avoir la fin de la quarantaine. Immédiatement, on remarquait que son look de rockeur négligé était parfaitement travaillé. Il m’apparaissait grand, ce qui avec mon mètre cinquante neuf n’était pas difficile, mais à vue de nez, je lui donnais un mètre quatre-vingts cinq. Il avait un jeans déchiré aux genoux, un tee shirt du Beursschouwburg (une des salles de concert underground les plus réputées de Bruxelles).J’avais le sentiment que je lui souriais bêtement comme à chaque fois qu’un homme beaucoup plus âgé que moi me plaisait.
Je vais te laisser jolie tomate, sinon tu vas tellement mûrir que tu vas perdre tout ton jus. Ce serait dommage.
Et il tourna les talons. Avec mon futur pull en main, je me sentais particulièrement conne. Vexée de ne pas avoir eu la moindre répartie qui aurait pu le retenir, je me dirigeais vers les cabines d’essayage.
Je ne suis pas spécialement parano de la pudeur et c’est donc sans même y penser que j’avais laissé le rideau légèrement entrouvert, pour avoir quand même un peu d’air dans ces cabines toujours trop confinées. De toute façon, j’étais la seule cliente aux essayages, il n’y avait donc pas de raison de m’en soucier.Et c’est sans malice que je procédais au changement de pull, gardant même mon top. Comme prévu, je trouvais le modèle S trop large, il me semblait porter un sac quand je me regardais dans la glace. Je n’étais décidément pas bien épaisse comme me disait ma grand-mère qui s’inquiétait toujours de mon poidsEn enlevant le top cette fois-ci j’essayais le XS. J’étais bien plus satisfaite du résultat. Même si j’avais des petits seins, au moins on en distinguait la forme. Je n’étais néanmoins pas encore totalement convaincue, je voulais voir ce que cela donnait sans soutien. Après tout un jour sur deux, depuis la rentrée et l’absence nouvelle de regard désapprobateur parental, c’était comme ça que je sortais.Oui, comme ça j’aimais bien. Le dessin des bois attirait inexorablement l’œil vers ma poitrine, j’aimais susciter le désir. C’était comme ça. Je n’y pouvais rien.
Oui, c’est beaucoup mieux ainsi!
Je sursautais. Toute à ma surprise, je n’étais pas parvenue à identifier la provenance de la voix. J’ouvrais le rideau. Le couloir était désert. Je ne comprenais pas. Je me disais que le mec avait du préparer sa fuite. Planqué, il m’avait regardé me changer. Il avait vu mes seins, ce n’était pas dramatique. Je refermai le rideau de la cabine. Je mis mon soutien dans mon sac, j’étais toujours plus à l’aise quand je n’en portais pas.
C’est plus confortable.

A nouveau, je n’avais pas été très attentive au moment de fermer le rideau. Ou se cachait-il? Je n’en avais aucune idée. Mais, je ne m’en souciais déjà plus. C’est sans pudeur que je retirais le pull de Noël. Il voulait voir mes seins, il n’avait qu’à les regarder.Je vérifiais même mon téléphone sans prendre la peine de me rhabiller. La situation me plaisait, j’étais bien forcée de l’admettre. Un inconnu que je ne pouvais voir matait mes seins. Ça suffisait à réveiller mes sens qui n’avaient pas eu beaucoup le temps de se réjouir ces derniers temps.
Gentille fille.
Encouragée par le moqueur compliment, je ne remis toujours pas de vêtement pour répondre au téléphone.
Oui, il y a des supers pulls... Tu es dans le coin?... Oui, moi aussi, j’aime bien leurs strings.
C’était Zo, une redoublante qui m’avait prise sous son aile depuis le début de l’année scolaire. Elle m’avait expliqué comprendre parfaitement le sentiment que j’avais parfois d’être totalement perdue pour l’avoir vécu aussi une année auparavant. Elle allait me rejoindre. C’était quand même plus agréable de faire du shopping à deux. Ou a deux plus un...
Un string sur un beau petit cul, ça doit être vu.
Je ne risquais pas de l’oublier celui-là. J’ouvrais brusquement le rideau. Mais, il n’y avait toujours personne d’autre que moi les seins à l’air.Je remettais mon pull, un peu agacée de ne pas avoir percé le mystère.Mon regard était attiré par une robe bleu clair en laine. 30 euros, même pour mon budget d’étudiante éternellement fauchée, ce n’était pas excessif. J’aimais bien la matière. J’avais toujours apprécié le contact de la laine sur ma peau nue. Zo n’allait pas immédiatement arriver, elle m’avait prévenu qu’il lui faudrait au minimum une quinzaine de minutes pour me rejoindre. J’avais largement le temps de procéder encore à un essayage.
Cette fois-ci c’est tout à fait consciemment que je fermais à peine le rideau. J’enlevais mes bottillons et fis tomber le jeans. Mon string en dentelle sur le devant, je le savais, ne dissimulait que peu ma légère toison blond vénitien. J’ôtais mon top. Si mon voyeur était toujours dans les parages, il avait tout le loisir de mater quasi à poil. Quelques picotements, facilement identifiables naissaient dans mon bas ventre. La situation m’excitait. Mon humidité nouvelle le démontrait à suffisance.
Tourne toi!
Simplement couverte par la ficelle blanche, j’obtempérais et offris mon cul à son regard.
Quel beau petit cul.
J’avais renoncé à savoir à qui j’avais affaire.
Penche-toi. Écarte les fesses. Je veux voir ton petit trou.
Je veux juste exécuter ses ordres. Ne plus réfléchir. Je tire sur la ficelle et montre ma rondelle.
Mmmh bien étroite. Allez essaye ta robe petite fille.
J’ai chaud. Je n’ai pas envie de m’habiller. Je veux plus. Mais, je fais tout ce qu’il me dit de faire. Le XS me moule vraiment. Chaque respiration gonfle ma cage thoracique et déforme le tissu de la robe. J’attends maintenant ses commentaires. Ils ne viennent pas. Je suis presque déçue. Je sens que je mouille. J’ai envie de me toucher. J’arrive à retrouver le minimum de raison pour quand même me retenir.
Je me change. Je fais au plus vite pour ne pas perdre définitivement la raison. J’élude vite la pensée que vu l’humidité de mon sexe, on doit faire plus que le deviner à travers la dentelle transparente.
Je sors fumer une clope en attendant Zo. J’ai besoin d’air frais, de reprendre mes esprits.
Alors rien trouvé à ton goût bébé?
C’est le rockeur. Nonchalamment, il cherche quelque chose dans les poches de son jeans.
Je trouve plus mon briquet. Tu veux m’allumer?
Je ne relève pas l’allusion lourdaude et lui tends mon briquet.
Merci poupée.
Je ne reconnais pas la voix de la cabine d’essayage. Je ne sais pas si ça me rassure.
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