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Le Mauvais Garçon

Chapitre 3

Inceste
LA SŒUR D’ANNIE

Annie compose le code et pousse le lourd vantail du porche d’entrée. Comme chaque fois qu’elle revient de chez Martine, elle est satisfaite des caresses reçues et données et à la fois déçue de ne pas connaître enfin le grand frisson. Elle désespère de le ressentir un jour. N’est-elle pas condamnée à ne jouir que par des caresses féminines? Même pendant les vacances chez sa mère elle a été frustrée. Les garçons du groupe qu’elle fréquentait n’ont pas su lui apporter la jouissance espérée celle qui fait grimper aux rideaux comme le prétendent ses copines de lycée. Dans sa recherche du plaisir, elle passait de l’un à l’autre acquérant une réputation de fille facile. Quand elle s’en est rendu compte, elle a failli mourir de honte, n’osant plus pointer le nez hors de l’appartement. Sa mère qui ne comprenait pas l’attitude de sa fille et trop occupée avec son gigolo du moment l’a réexpédié sur Paris où elle a passé deux semaines à se morfondre avant la rentrée au lycée.
Elle va directement dans sa chambre et dépose ses affaires. Elle quitte chemisier et jupe et enfile un déshabillé léger. Elle va emporter les vêtements dans la salle de bain lorsqu’elle se souvient en souriant, de la culotte dans le porte-documents. Elle l’avait complètement oubliée! Dire qu’elle s’est promené cul nu dans le métro! Heureusement ce n’était pas l’heure de pointe. Personne ne s’en est aperçu. N’étant pas consciente de son état, elle n’a pas ressenti le frisson qui accompagne la transgression d’un interdit. Elle est sur le point de le regretter. Osera-t-elle recommencer? Non! C’est trop risqué. Elle récupère le petit dessous et rejoint la salle de bain. La porte de la chambre de Sylviane est fermée. Elle colle l’oreille contre le battant. Sa sœur aînée est là! Pas seule! Joseph son amoureux l’accompagne. Les gémissements et les soupirs trahissent leur occupation. Annie résiste à l’envie de rejoindre le couple. Cela lui est arrivé une fois. Qu’est-ce que Sylviane a joui! Joseph lui faisait l’amour pendant qu’Annie la caressait! Malgré le plaisir, la grande sœur n’a plus voulu recommencer.
Les gémissements s’amplifient. Annie soupire. Quand François lui arrachera-t-il de telles manifestations de jouissance? En est-il capable? Oui, car Martine pousse les mêmes cris de plaisir quand il lui fait l’amour. C’est elle qui est frigide, qui ne sait pas jouir. Et avec un autre homme? Un vrai, pas un gamin comme François ou ses rencontres de plage? Est-ce que ce serait différent? Joseph par exemple, l’emmènerait-il au septième ciel? Ou Michel? Annie se secoue. Non, ce n’est pas possible, pas eux, le petit ami de sa sœur et le mari d’Isabelle leur tendre amie. Elle enfourne les vêtements dans le tambour de la machine. Luc alors, ce garçon énigmatique qui s’obstine à la fuir au Lycée? Peut-être que lui saurait…
— Alors ma chérie? Tu as bien travaillé? Sylviane rejoint Annie dans un déshabillé semblable. Joseph en robe de chambre passe la tête par la porte. — Bonsoir Annie. Tu es toujours aussi belle dans ce négligé qui te va à ravir! — Eh là! Eh là! Pourquoi débites-tu ces fadaises à ma sœur et pas à moi? C’est moi ta compagne, ne l’oublie pas! s’interpose Sylviane en riant. — Bonjour Joseph, sourit Annie en refermant les pans de tulle. Tu restes ce soir? — Non ma jolie, demain, à la première heure, je pars en déplacement jusqu’au week-end et j’ai beaucoup de documents à rassembler. Tu permets que je me prépare? Sans attendre une approbation, il suspend sa robe de chambre. La jeune fille frissonne. Ce n’est pas la première fois qu’il se déshabille en sa présence, mais la vue des fesses nerveuses lui fait toujours le même effet. Sylviane entraîne sa sœur. — Viens dans la cuisine, on se prépare à manger puisque monsieur nous lâche.
Plusieurs minutes s’écoulent avant que Joseph ne fasse son apparition vêtu de pied en cap. — Je vous laisse mes chéries. — MA chérie, rouspète Sylviane. Annie n’a rien à voir là dedans. — Ce n’est qu’une façon de parler. Tu es la seule qui compte pour moi, tu le sais bien. — On dit ça, on dit ça. Elle se laisse attirer contre son homme. Annie s’approche. Il les serre toutes les deux par la taille. Ses mains caressent les corps par-dessus la fragile protection du tulle. La jeune fille tend les lèvres pour recevoir un baiser d’au revoir. Elle aime quand la langue sépare ses dents pour danser dans sa bouche. Sylviane sourit. Entre Joseph et sa sœur, les baisers et les caresses au-dessus de la ceinture, sont permis. Au-delà, non!
— Allez, allez! Vous vous êtes suffisamment dit au revoir! A mon tour. Elle se pend au cou de son amant. Un baiser passionné les unit. Elle l’accompagne à la porte. Sylviane revient à la cuisine les larmes aux yeux. Au bout de deux ans de liaison, elle a toujours autant de peine à se séparer de son amant. Annie lui tend les bras. Les deux sœurs s’étreignent et s’embrassent sur la bouche. — Viens! Sylviane entraîne Annie vers la salle de bain. L’aînée compense par des caresses sur la cadette sa frustration due à l’absence de l’être aimé. La douche prise en commun ne les calme pas et c’est sur le lit qui a vu l’étreinte du couple que les deux sœurs poursuivent leurs caresses simultanées…
La nuit est tombée lorsqu’elles avalent l’assiette de soupe en paquet préparée par Annie. — Tu t’entends toujours aussi bien avec ta copine Martine? — Oui Sylviane. — Tu sais, c’est très bien de réviser comme tu le fais, mais tu devrais penser à t’amuser un peu, rencontrer d’autres personnes, des garçons par exemple. Annie détourne la tête pour que sa sœur ne la voie pas rougir. — J’ai le temps, et puis y a le bac cette année. — Bon pour ce que j’en dis… Sylviane n’insiste pas. Elle sait, les caresses le lui ont appris, que sa sœur n’est plus vierge. Elle n’en parle pas comprenant que c’est le jardin secret d’Annie. Elle s’interroge seulement sur l’identité de l’initiateur. Joseph? Michel? Non, elle ne pense pas, les deux hommes lui ont affirmé le contraire et elle les croit. Le frère de Martine alors? Possible. — J’ai reçu un coup de fil d’Isabelle, annonce-t-elle pour rompre le silence. — Ah? Comment va-t-elle? — Elle nous invite Joseph et moi le week-end prochain. — Et moi? — Elle n’en a pas parlé. Sylviane répugne de mêler Annie aux soirées entre les deux couples. Passe encore ici dans leur appartement, elle ne peut faire autrement mais chez Michel et Isabelle, elle ne se sent pas maîtresse de la situation et craint de se laisser emporter par l’ambiance érotique qui règne entre eux. Jusqu’à présent, il n’est rien advenu de fâcheux, les hommes ont su se limiter à des caresses sur sa sœur, mais on ne sait jamais. La jeune fille n’est pas contente: — Je le sais bien que je vous gêne! — Ne fais pas la tête. Tu lui poseras la question vendredi, elle passe dans l’après-midi. — Oh ! Pourquoi vendredi? C’est le jour où je termine après six heures! Je n’aurais pas le temps de la voir. — Ni d’échanger vos petits secrets. Ce sera pour une autre fois! Aide-moi à laver la vaisselle au lieu de bouder. Je te permets de dormir avec moi. — Oh! Chic!
Tout en essuyant les assiettes, Annie repense à Isabelle, la première à lui faire découvrir le plaisir. Elle se revoit dans la petite salle de bain d’Avoriaz où la jeune femme l’a initié aux caresses féminines. Bien que de l’âge de Sylviane, soit dix ans de plus qu’Annie, c’est sa confidente, la seule à qui elle a avoué les tendres relations avec Martine et le rôle de François. Si Isabelle a été choquée par la révélation des rapports incestueux entre le frère et la sœur, elle n’en a rien laissé paraître. Annie attend les visites de la jeune femme avec impatience car elles promettent des caresses sans fin à trois dans le salon de préférence ou dans l’intimité de sa chambre lorsque Sylviane consent à les laisser tranquille quelques temps. D’Isabelle, la rêverie de la jeune fille l’entraîne vers Michel. Michel, le gentil mari de leur amie, celui grâce à qui Sylviane, traumatisée après avoir subi son père, a retrouvé le goût de l’amour, celui dont elle a touché le sexe, son premier sexe d’homme entre les mains, avec la bénédiction d’Isabelle. Il est vrai qu’ils n’étaient pas encore mariés ces deux là, ça se passait pendant ces vacances de neige où ils ont fait connaissance avec le jeune homme. Michel, dont les caresses sur la poitrine, combinées avec celles de Joseph, la rendent folle de désir en conclusion des soirées coquines où après avoir fait l’amour entre eux, les deux couples accaparent Annie, les femmes en bas, les hommes au-dessus de la ceinture. Elle a bien essayé de diriger une verge (Michel ou Joseph? Mystère) entre ses jambes, mais une main a toujours su écarter à temps le danger. Son intuition féminine l’a rendu consciente de la peine qu’elle ferait à Isabelle et sa sœur si leurs hommes lui faisaient l’amour. Elle ne les tente plus se contentant de manipuler les queues raidies. « On veut bien te les prêter pour quelques caresses mais tu dois nous les rendre avant toute autre utilisation! » la menace en riant son amie.
— A quoi rêves-tu? l’interroge Sylviane. — Euh… à nous. Embrasse-moi! Dans la chambre, les déshabillés glissent des épaules, tombent sur le sol en petit tas immaculé. Nues, les deux femmes roulent sur le lit, s’étreignent s’embrassent, se lèchent tout à tour ou ensemble… Annie est vraiment fatiguée lorsque sa sœur la borde et dépose un baiser au coin de la paupière…
(A suivre)
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