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Le Mauvais Garçon

Chapitre 6

Orgie / Partouze
L’AGRESSION (SUITE)

— A mon tour, déclare Luc qui retire sa queue des mains d’Annie. Tourne-toi! Oui, sur le ventre!… Aidez-moi vous autres! gronde-t-il devant l’immobilisme de la jeune fille, on va lui apprendre à obéir! Annie s’empresse d’obtempérer, peu désireuse de connaître la punition qu’ils lui destinent. — Ah! Enfin!… Soulève le cul… Plus vite… non, je t’enculerai pas… pas moi. Annie frémit. Ce sera Bob qui s’en chargera? Est-ce que ça lui fera mal? Pour le moment une main caresse l’entrejambe, des doigts ouvrent les lèvres intimes, la queue de Luc se fraye un passage. Elle entre dans le vagin trempé de sperme et de sécrétions. — Aaah!… T’as raison Mario… Aaah!… Elle est trop bonne… Aah! Mets ta tête près du bord… Dites ! Qui veut se faire sucer? Bob est le plus rapide et présente son gland à la bouche. Luc console Mario et Marc. — Chacun aura son tour! Et toi, pas de blague hein! averti Luc en s’adressant à Annie. La jeune fille n’est plus capable de rébellion. Elle prend la hampe offerte et la porte à ses lèvres. Est-ce celle qui doit étrenner ses fesses? N’est-elle pas plus grosse que celles qui l’ont déjà transpercée? Elle va lui faire un mal horrible. Si elle la faisait décharger dans sa bouche? Cela lui donnerait un peu de répit. Elle active sa sucette sur le gland tout en, manchonnant la tige de la main. — Aaah! Le pied! rugit Bob. — Elle pompe si bien que ça? — Aaah! Un délice! Aaah! Continue ma salope!
Luc sourit. Il a eu la main heureuse avec cette fille. Ils s’en souviendront lui et ses copains. Dommage qu’elle doive partir bientôt et qu’ils ne la reverront plus. Il regrette d’avoir déjà convoqué la remplaçante. S’il avait su, il se serait arrangé pour disposer d’une heure ou deux supplémentaires. Il soupire, les regrets sont inutiles, plutôt profiter du temps présent. Ses coups de rein amples et profond ébranlent Annie. Il passe la main sous le ventre et découvre le clitoris qu’il titille. — Mmmmmh! La jeune fille la bouche pleine ne retient pas le gémissement. La vibration induite par la caresse se transmet à ses lèvres et au gland qu’elle suce. — Aaah! C’en est trop pour Bob qui inonde la bouche de son sperme. Annie déglutit et ne lâche le sexe que lorsqu’il a perdu sa raideur. — Aaah! Elle avale comme une vraie professionnelle! Tant mieux pour elle, pense Luc qui sent la jouissance monter dans la tige. — Ôte-toi de là! A moi de me faire sucer! Marc astique son sexe. Il n’a pas encore repris sa pleine forme. Il le passe sur les lèvres d’Annie. — Allez, ouvre la bouche!
Elle obéit. Le gland est douceâtre, l’odeur de son sexe devine Annie. Ça lui fait drôle de sentir sur la langue son goût et son odeur. Dans son dos Luc accélère. Il la tient aux hanches, délaissant les caresses sur le sexe. Annie est déçue. Elle la sentait venir cette jouissance tellement espérée, et la voilà qui s’éloigne. Sans lâcher la queue qu’elle suce, elle résiste aux derniers coups de rein de Luc qui à l’instar de Mario se retire et éjacule son sperme sur les fesses. — Aaaaah!
— A mon tour, s’élance Bob. — T’es trop pressé, remarque Mario, tu viens juste de décharger, t’as pas la forme encore. — T’occupes, tu vas voir comment elle va revenir ma forme. Il frotte son sexe encore souple aux traînées de sperme sur le cul. La verge grossit. — Ecartez-lui les fesses, Mario. — Tu veux l’enculer? demande Luc. — Ouais. Pourquoi? Ça te gêne? — Pas du tout, mais je te préviens, t’as pas intérêt à me l’abîmer, sinon il t’en cuira. — Bon, bon j’y fais gaffe à ta pépée en sucre. Tiens vois, j’utilise ton foutre pour bien lubrifier. Il cueille une larme de sperme, enfonce l’index et le fait tourner pour assouplir l’anus. — Aïe! Elle m’a mordu la garce! hurle Marc. — J’ai pas fait exprès, gémit Annie qui redoute de recevoir une correction. — Attends que Bob soit rentré avant de remettre ta queue dans sa bouche, c’est plus prudent, conseille Luc. — Ecarte-lui bien le cul, Mario. Le dit Mario tire sur les lobes charnus faisant saillir la rosette de l’anus. Annie tremble quand elle sent la grosseur du gland appuyer. Bob pousse. Le gland n’arrive pas à franchir la barrière musculaire. La verge fléchit. — Je savais bien que t’étais pas prêt. Laisse-moi la place, s’empresse Mario. — Tu vas voir! Deux ou trois coups de poignet et il se remet en position. Il prend son élan. — Hiiii! Un cri perçant. Le gland a disparu. — Ouah! Elle est serrée la salope! Il veut pousser à fond. — Attends! ordonne Luc d’une voix glaciale. Il est inquiet. Si la fille n’est pas intacte, l’organisation ne sera pas contente. Il se penche sur le cul. Les chairs autour de la tige sont dilatées mais il ne semble pas y avoir de déchirure. Bob n’en mène pas large. Il s’est trop précipité. S’il y a du dégât, il craint pour ses abattis! Luc n’est pas tendre quand il est en colère.
— Tu as de la chance, dit celui-ci. Tu peux y aller mais doucement s’il te plaît. Bob respire, ouf! Rien de grave! — Bon, ça va, ça va, on va pas te la casser ta nana. Il recule de quelques centimètres avant de se renfoncer lentement. — Aaah! Annie ne peut maîtriser le tremblement qui la secoue. — Aaaah! Que c’est bon! J’avais oublié ce que c’était une vierge du cul! Ça vous serre le zob, un délice! — Bon je peux continuer moi? Marc présente son sexe aux lèvres d’Annie. — Allez! Suce-moi et pas de blague ce coup-ci! Il enfonce sa verge. Annie a de la peine à respirer. Elle retire un peu le cylindre de chair et le chatouille de la langue. Mario glisse la main sous le ventre de la jeune fille. — Elle est trempée la salope ! Elle a encore envie de baiser. Attends ma belle, je vais te satisfaire. Il se glisse sous la jeune fille. — Hé non, pas ça! Luc le tire sans ménagement. — L’un après l’autre. Je vous ai dit que je voulais pas l’abîmer. Pas de double pénétration! En entendant cela, Annie a un hoquet de dégoût. Il ne manquait plus que ça! Tout à coup elle aperçoit sur le tapis un téléphone portable à moitié caché sous la table de chevet. Il a du glisser de la poche d’un garçon quand ils se sont déshabillés. Pourvu que personne ne le remarque ! Si elle a de la chance elle pourra appeler au secours. Elle en oublie de s’occuper de la verge de Marc qui sort de sa bouche. Le garçon n’est pas content. Il donne un coup de rein et s’enfonce dans la gorge. — Arrggh! Elle ne maîtrise pas le réflexe de nausée. Le contenu de son estomac jaillit sur le ventre de Marc, les couvertures et le tapis. — Ah c’est malin! s’écrie Luc, voyez ce que vous avez fait! Il tire sur le bras d’Annie. — Viens toi, je vais te laver. Bob ne veut pas lâcher prise. — Eh! J’ai pas fini moi. Luc le bouscule sans ménagement. — T’as qu’à te terminer à la main ou sur Mario! D’ailleurs, il est temps que vous fichiez le camp. Annie s’assied au bord du lit. Discrètement, du bout du pied, elle pousse le portable sous la table de chevet. Personne ne remarque son geste. Luc entraîne la jeune fille chancelante dans la salle de bain. Il s’enferme avec elle sous la douche. Il n’a pas de temps à perdre. La remplaçante va bientôt venir. Il nettoie Annie rapidement sans profiter de sa nudité. Il s’éponge en vitesse et lui lance une grande serviette. — Reste là tant que je t’appelle pas. Annie n’a aucune envie de rejoindre le groupe. Elle s’assied sur un tabouret, le corps enveloppé du drap de bain. Son ventre tire, mais c’est supportable. Elle a subit quatre hommes! Une tournante! Que va-t-il lui arriver encore? Ne vont-ils par découvrir le portable? Restera-t-elle seule suffisamment de temps pour lancer un appel au secours? Quelle idée de venir ici! Martine avait raison de se méfier de Luc!
Dans la chambre, Bob encule Mario sous les encouragements de Marc qui masturbe son copain. — Allez vas-y! Défonce-lui la rondelle! — Aaaah! — Aaaah! — C’est pas encore fini? interroge Luc en enfilant son slip. — Si… ça vient… Aaah!… C’est bon… Aaah! — Meilleur qu’avec la gonzesse, n’est-ce pas? se moque Marc. — Pas pareil! Le cul de Mario est plus souple... Aaah! Je pars… Aaah! Il s’effondre sur Mario que Marc termine d’astiquer. Son sperme se mélange aux saletés sur la couverture. — Habillez-vous c’est l’heure! — Le temps de passer à la salle de bain. — Non! La réplique de Luc claque comme un coup de fouet. — Si vous voulez vous essuyer, faites-le à la cuisine. Et emportez vos frusques. Luc les fait sortir de la chambre. Il termine de s’habiller. Avant de refermer la porte il jette un coup d’œil. Le vomi d’Annie macule le tapis et le dessus de lit. Il va se faire enguirlander c’est sûr. L’Organisation ne sera pas contente. Heureusement que la fille est belle, ça plaidera en sa faveur. Un coup de sonnette. Il regarde sa montre. La remplaçante est juste à l’heure. — Hé les gars, faut vous manier! ordonne-t-il en courant vers l’interphone. — Ça va! On est prêt.
Les trois compères croisent une jeune fille sur le palier. Ils sifflent d’admiration mais l’arrivante ne leur jette pas un regard et ouvre la porte avec sa clé. — Ben Luc, il va pas s’emmerder avec deux nanas! On pourrait rester pour l’aider! — Fichez le camp petits cons! — Vise la meuf ! Elle nous ferait peur! Bob avance la main pour l’attirer à lui en vue de lui rouler un patin. La jeune fille s’en empare et lui retourne le bras. — Aïe! Aïe! Aïe! Aidez-mo ! Avant que ses copains ne s’élancent, elle sort de sa poche un couteau à cran d’arrêt qui s’ouvre d’un déclic et pose la lame sur la gorge de Bob. — Un pas de plus et je le saigne. — Bon, bon, tempère Mario. Si on peut plus plaisanter… Venez, laissons cette mal baisée, il y a assez de gonzesses qui attendent que ça! Ils reculent dans l’ascenseur et reçoivent Bob que la jeune fille leur lance. La porte qui se referme efface à leurs yeux le sourire narquois de l’inconnue.
— Tu ferais bien de changer de fréquentation, avertit-elle Luc qui la reçoit au salon. Le garçon est frappé de la ressemblance avec Annie. Il devine que la fille a été choisie en fonction des photos qu’il a téléchargées. — Les patrons n’apprécient pas le genre de tes copains, poursuit-elle. Ça manque de discrétion et cela peut nuire au bon déroulement des opérations. — Compris. — Où est-ce qu’elle est? — Dans la salle de bain. — Z’avez pas pu vous empêcher de la baiser! Tous les mêmes! J’espère pour toi que vous lui avez pas fait mal et qu’elle est en bon état. Pas comme la dernière qu’il a fallu laisser reposer deux semaines. Luc avale sec. C’est un souvenir cuisant, sa gratification ayant été presque annulée. — J’ai surveillé… Si, si, je vous assure. La jeune fille le regarde dubitative. Ils découvrent Annie prostrée sur son tabouret. — Allez debout! ordonne la nouvelle arrivante. Annie comprend que la fille est plus dangereuse que Luc. Elle obéit sans discuter. — La serviette! Annie lâche le tissu qui s’entasse à ses pieds. — Tourne-toi… Bien… C’est bon. Assieds-toi et écarte les jambes que je t’examine… Non ça va pas. Couche-toi sur le dos et ramène tes genoux contre la poitrine en les écartant. Annie soupire. Même tout à l’heure aux prises avec ses tortionnaires elle ne s’est pas sentie aussi humiliée qu’en cet instant où la fille l’examine comme une bête que l’on va mener au mâle. Des doigts écartent les lèvres de son sexe. Un index fouille le vagin. La jeune fille le porte à ses narines. — Bon, les chairs sont un peu congestionnées mais y a pas de bobo. C’est tout ce que vous avez fait? — Euh…— Je m’en doutais. Il a fallu que vous l’enculiez! On va vérifier. Toi, tourne toi de l’autre coté… mets-toi à quatre pattes… lève le cul… Ouais, tu t’es fait enculer! Elle introduit le doigt. Pas de sang. C’est bon. — Tu as de la chance, dit-elle en s’adressant à Luc. Où sont ses affaires? — Dans le vestibule. Annie se lève pour les suivre. — Non! Toi, tu restes là! Annie se rassoit sur le tabouret. Tout ça ne lui dit rien qui vaille. Cinq minutes après, la fille revient dans la salle de bain. Annie pâlit. Elle a revêtu ses vêtements! La fille fouille dans son sac et sort plusieurs perruques qu’elle compare avec les cheveux d’Annie. Elle en choisi une qu’elle pose sur sa tête devant la glace. — Viens ici toi! Annie s’approche. Elle a l’impression de se regarder en double. Une Annie nue et une Annie habillée. La jeune fille se maquille pour accentuer la ressemblance. Elle termine en arrangeant une boucle de la perruque. — Ça ira. De toute façon on évitera de s’approcher de ses connaissances. Tu viens? — On la laisse seule? demande Luc. — Enfermée à clé, elle pourra pas s’échapper. Tu reviendras dans une heure attendre ceux qui prendront livraison. — Vous n’avez pas peur qu’elle appelle au secours? — Et comment? réplique la fille. Y a pas de téléphone dans l’appartement… Eh! T’as pris son portable j’espère. — Elle en avait pas, c’est la première chose que j’ai contrôlé. — Tu vois, aucune crainte à avoir. Tu sais, ajoute-t-elle d’une voix adoucie, je crois que l’Organisation sera satisfaite, c’est une bonne recrue que tu nous amènes. Tout s’embrouille dans la tête d’Annie. Elle a peur de comprendre. — Où… Où allez-vous? demande-t-elle d’une voix plaintive. — Elle est bouchée ma parole! Explique-lui toi. — Euh… balbutie Luc, euh… nous allons nous montrer ensemble. — Mais tout le monde croira que je suis avec toi! — C’est le but pauvre pomme! ricane la fille en prenant le porte-documents d’Annie sous le bras. Luc et elle sortent de la salle de bain. Annie entend Luc demander dans le vestibule: — Vous m’avez pas dit votre nom. — Appelle-moi Annie ! Et dis-moi « tu » sinon les gens vont s’étonner! Clac! Clac! La porte se referme à double tour…
(A suivre)
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