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La mauvaise pente

Chapitre 5

SM / Fétichisme
Le jour convenu, à quatorze heures tapantes, je sonnai chez elle, puis j’entrai directement. Elle m’avait en effet envoyé un texto dix minutes avant pour me prévenir que la porte serait ouverte. J’imaginais bien qu’elle n’avait pas envie de se montrer à la porte de chez elle en robe de mariée !
J’entrai jusque dans son séjour où je la trouvais qui m’attendait : elle était magnifique, dans sa longue robe-fourreau blanc cassé, ses hauts talons, et ses épaules et ses bras nus. Son ventre bombait en avant, ce qui ne lui enlevait aucune grâce. Elle portait par ailleurs de longs gants blancs. Je trouvai cette initiative à mon goût. Elle arborait un maquillage des plus raffinés. J’eus même du mal à réaliser qu’elle l’avait fait elle-même. Et j’avais vu immédiatement que, depuis notre dernière entrevue de la semaine passée, elle s’était fait faire des mèches blondes, ce qui la changeait et lui allait à ravir.
" - Bonjour Mr le maire.— Bonjour Stéphanie. Vous êtes vraiment ravissante, resplendissante ! — Merci Mr le maire. C’est normal, je vous dois bien ça. J’ai dû juste reprendre ma robe pour faire de la place pour mon ventre - heureusement que je suis douée en couture !" gloussa-t-elle. " - Et cela vous va à ravir ! J’ai toujours trouvé les femmes enceintes délicieusement belles, et tellement bandantes !— Merci. Aujourd’hui c’est la jeune mariée qui se donne à vous, et je serai toute à vous !— Hummm... Vous êtes si sexy, si désirable. Allons dans votre chambre si vous le voulez bien.— Comme il vous plaira. Tout ce qu’il vous plaira."
Je la suivis et nous gravîmes les marches qui montaient à sa chambre. Elle devait, ce faisant, retrousser légèrement sa robe, dévoilant le bas de ses jambes, et le froufroutement du tissu me faisait un effet bœuf.De plus, la suivant de près, je trouvai que son bassin avait pris un peu d’ampleur, ce qui n’était pas pour me déplaire - auparavant je l’avais toujours trouvé trop mince, avec un cul un peu petit.
Sa grossesse lui donnait quelques formes, qui ne la rendaient que plus « intéressante », un peu pulpeuse, sans aucun embonpoint. Elle ne ressemblait pas à ces femmes en fin de grossesse que je voyais parfois dans mon cabinet et qui ressemblaient à de grosses poules grasses couvant leur œuf - poules que j’aurais bien, il faut l’avouer, culbutées quand même, et farcies ! Pour moi, le must en terme de puissance d’excitation sexuelle, c’est quand le fessier plantureux de la femme enceinte reste plus large que son ventre devenu ovoïde.
Une fois arrivée dans sa chambre elle se retourna vers moi avec un petit sourire, une moue délicieuse, interrogative, qui attendait mes consignes.Ne souhaitant pas perdre de temps ni la faire languir, immédiatement je lui intimai, d’un ton sans appel :
« - A quatre pattes, Stéphanie, par terre, la tête tournée vers le mur ! »
Naturellement elle ne discuta pas. Mais la manœuvre fut un peu compliquée par longueur de la robe. Je la vis donc d’abord s’agenouiller en me tournant le dos, puis se pencher en avant, et elle s’appuya lentement et délicieusement sur ses avant-bras gainés de soie blanche.
Je n’eus même pas besoin de lui demander de se cambrer et de creuser les reins : elle s’était installée en me présentant sa croupe encore emballée dans mon emballage cadeau que représentait cette robe-fourreau seyante, bien offerte, et bien tendue vers moi, et ses jambes étaient dans un écartement commode.
Seuls dépassaient du tissu froncé ses fines chevilles gainées de nylon blanc, et ses escarpins d’un blanc immaculé.
Je sortis discrètement mon appareil photo compact de ma poche, que j’avais réglé en mode silencieux, et pris rapidement et furtivement un premier cliché. Ce tableau en valait vraiment la peine.
Puis je m’approchai, me penchai, puis je commençai à caresser la seule partie découverte par la robe et l’escarpin : le dos du pied, la cheville douce ; mes doigts crissèrent sur le nylon.J’avais le cœur qui battait, j’avais l’impression d’être un marié à qui on vient d’offrir un joli corps féminin, encore pur et encore vierge, et dont il vient de prendre livraison, et qu’il va posséder dans un court instant, celui d’une quasi-inconnue, en la personne d’une fraîche jeune femme qu’on lui a donnée comme épouse.
Alors, lentement, je pris le derrière de la robe entre mes doigts et commençai à la remonter lentement, dévoilant tout d’abord les mollets ronds, puis les genoux, puis le bas des cuisses, tout ceci du même blanc opaque et nacré. Je m’arrêtai une seconde, le sang martelant mes tempes, puis je tirai un peu plus vers le haut et je vis apparaître la peau nue du haut des cuisses, au-dessus d’une jarretière… Elle avait mis des bas auto-fixants !
Ne m’arrêtant plus je levai et remontai encore le tissu et alors m’apparut le plus beau des spectacles :une pêche bien fendue et d’un beau volume, surmontant un petit abricot. La petite salope n’avait pas mis de culotte !
Je m’agenouillai devant cet objet de culte et me mis à caresser passionnément et de mes deux mains ces belles fesses oblongues et jumelles : que d’harmonie, que de beauté, que de douceur sous mes paumes. Mes mains descendaient jusqu’aux hauts des cuisses, s’égarèrent dans le sillon séparant ces belles demi-lunes déployées et bien épanouies. Il commençait à me venir des idées criminelles !
Du bout des doigts j’effleurai la petite tirelire aux rebords charnus qui la refermaient, en insistant de plus en plus. Je finis par les écarter de mes pouces : un délicieux coquillage rose pâle apparut. J’y plongeai le bout de mes doigts avec délectation pour m’apercevoir qu’il était tout humide de rosée :cette petite garce, dans sa tenue d’ingénue, avait l’air d’apprécier le jeu, puisqu’elle commençait à mouiller d’un désir honteux et coupable !
Je commençai à caresser les muqueuses intimes de cette petite salope, à entrouvrir les fines lèvres vulvaires de sa chatte, douce comme une fleur de satin. Elle se mit à soupirer, à gémir légèrement : elle avait l’air d’apprécier le traitement.
Puis, délicatement, j’entrai deux doigts en elle et me mis à la branler doucement : elle était brûlante et toute humide de sève. Elle était en train de me payer sa dette mais je me demandais qui se faisait payer en nature !
Je retirai mes doigts et les lui mis devant le visage :
" - Regardez dans quel état vous êtes, Stéphanie. Vous êtes vraiment une petite chienne, je ne vous aurais pas cru comme ça !"
Ses yeux brillaient, elle regardait mes deux doigts tout luisants de sa sève avec un air des plus troubles.
" - Sucez-les, Stéphanie, goûtez à votre propre mouille, montrez-moi quelle petite salope vous êtes !"
Elle ne se fit pas prier et sans hésiter elle aspira mes deux doigts et les suça en de longs allers-retours tout en me fixant dans les yeux très vicieusement. Elle s’attendait certainement à ce que je sorte ma queue et que je lui fourre dans la bouche pour remplacer ceux-là. Mais je fis le tour de son corps, et retournai à son cul charmant.
Je sortis un tube de gel lubrifiant de ma poche et commençai à lui enduire toute la raie de ses fesses, insistant bien sur la petite rosette.Elle frissonna, sous le contact froid du fluide.
" - Eh oui, ma petite Stéphanie" ponctuai-je l’opération, "vous ne pensiez quand même pas que vous alliez vous en tirer à si bon compte ? Pour le prix que vous avez à me payer, je ne vais pas me contenter de votre bouche et de votre chatte : votre cul aussi va y passer ! Vous avez signé, je vais vous prendre les trois orifices !"
Elle ne protesta pas, soumise, acceptant le sort que j’avais prévu de lui réserver.
" - Et puis," ajoutai-je, "je n’ai encore jamais enculé une femme enceinte de 7 mois. Ça va être une vraie fête !
Mes doigts se firent de plus en plus insistants en passant sur sa petite rosette froncée puis lentement, le bout de mon majeur déprima le petit anneau culier et s’y enfonça doucement ; il ne rencontra aucune résistance, l’anus se referma sur mon doigt, le serrant comme une bague.Lentement mes phalanges progressèrent dans le petit nid douillet, faisant d’abord des allées et venues pour assouplir le tonique orifice, jusqu’à ce que ma main arrive finalement en butée contre ses fesses. J’introduisis un deuxième doigt, dilatant davantage l’anneau, et la jeune femme émit une petite plainte étouffée. Je prenais possession de son cul, commençant à l’ouvrir, à l’élargir un peu plus.
Sans perdre de temps, je pris dans mon sac le plug de bonne taille qui s’y trouvait et annonçai à Stéphanie :
" - Je vais préparer votre cul comme il se doit, ma belle Stéphanie, je vais vous garnir."
Et sans autre forme de procès, je présentai le bout arrondi du plug qui, prenant la place que venait d’occuper mes doigts, s’enfonça lentement dans ses entrailles. Je vis son visage - elle avait tourné la tête vers moi - se crisper en une petite grimace, ses lèvres se pincer, mais le plug glissa en elle sans effort jusqu’à se bloquer grâce au cran prévu à cet effet.
La laissant toujours le cul à l’air (et désormais orné dans son centre par l’objet qui dilatait son petit anneau), je retournai à sa tête. Je la saisis par les cheveux pour qu’elle se relève sur les genoux, et tandis que je la maintenais ainsi de la main droite, ma main gauche dégrafa ma ceinture, me déboutonna, baissa mon boxer et je sortis ma queue bien raide et bien bandée ; je lui présentai le membre qu’elle connaissait déjà et lui ordonnai :
" - Allez, lèche, petite salope, lèche-la bien du bas jusqu’en haut, et sans te servir de tes mains !"
Elle obéit avec zèle et en sortant bien sa langue elle se mit à me lécher avec application, comme s’il s’agissait d’un esquimau glacé. Je la laissai procéder ainsi pendant une demi-minute, puis lui intimai :
" - Ne bouge pas, reste comme ça."
J’enlevai mon pantalon pour être plus à l’aise et prit un objet dans mon sac. Elle me vit reprendre ma place avec un collier de cuir à la main.
" - Un collier de chien... Enfin, pour être plus précis, un collier de chienne ! Un collier spécial soumises."
Et je refermai le collier sur son cou, prenant soin de ne pas trop le serrer, mais qu’il soit quand même bien ajusté.
" - La prochaine fois je viendrai avec un collier-étrangleur, de ceux qu’on utilise pour les chiennes les plus récalcitrantes. Tu verras et découvriras comme c’est jouissif pour une femelle de se faire enculer en se faisant lentement et doucement étrangler."
Elle leva vers moi un regard étrange où je crus voir de l’inquiétude, de l’humiliation, mais aussi une ombre de dépit.
" - Allez, ouvre la bouche, petite salope. Je vais baiser ta bouche de petite pute. Mais n’oublie pas de sucer comme il faut !"
Ses lèvres se refermèrent sur ma hampe, et l’attrapant d’une main par le collier, de l’autre par la tête, je me mis à faire des va-et-vient, mes reins oscillant d’avant en arrière, et je baisai la bouche divine et sensuelle de la mariée.L’amplitude de mes mouvements augmenta rapidement pour être au maximum, et je butais jusqu’au fond de sa gorge avec des gargouillis insolites, lui arrachant des haut-le-cœur par moments, sans qu’elle tente néanmoins de se dérober à cette gorge profonde forcée.Elle ne se débrouillait pas mal, et si c’était sa première fois, je dois avouer qu’elle apprenait vite et bien.
Elle m’excitait en diable, son rimmel coulait sur ses joues, et j’imaginais déjà le moment où j’allais m’enfoncer dans son cul !Je me mis à baiser sa petite gueule de salope à un rythme soutenu, mes deux mains bloquant le derrière de sa tête, besognant cette jeune femelle comme un malade : après tout, elle n’avait que ce qu’elle méritait !
J’aurais bien pris un cliché à ce moment-là mais elle s’en serait aperçu et n’aurait sans doute pas été d’accord.
Finalement, j’abandonnai sa bouche à regret, mais c’était pour une meilleure cause, encore.
" - Remets-toi à quatre pattes, petite pute !" lui ordonnai-je en lâchant sa tête.
Elle me lança un œil mauvais mais s’exécuta sans discuter. J’avais l’impression qu’elle n’appréciait pas la façon avec laquelle je m’adressais à elle.J’étais emporté par mon excitation, et je jouissais intérieurement de la traiter comme un objet sexuel et de lui faire payer la façon dont elle s’était comportée avec ma famille puis avec moi, en ne payant pas sa dette, et en nous menant en bateau.
Je me replaçai derrière elle. Un nouvel ordre tomba :
" - Redresse ton cou de putain, que je le vois bien serré par le collier de cuir ! Et cambre-toi bien, creuse les reins, fais-moi ressortir ta croupe de salope enceinte !"
Elle obéit aussitôt, ce qui me permit de prendre un nouveau cliché (on verrait bien ainsi le cou d’esclave, et le cul bien tendu, orné du plug coloré.)
Puis je me penchai et brutalement, je lui descendis le haut de sa robe, tout en commentant mon geste :
" - Je vais te foutre tes nichons à l’air, petite catin ! Regarde-les maintenant, regarde de quoi ils ont l’air, pendouillant lamentablement ! On dirait une grosse vache prête à être branchée à la trayeuse !"
Ses seins que je découvrais pour la première fois étaient d’un beau volume, gonflés par son état de grossesse, et les aréoles étaient larges et brunes, comme de petites médailles.Je vis avec satisfaction que les tétons coulaient, et gouttaient même un peu : elle était donc sensible au traitement que je lui infligeais, et gagnée par l’excitation, elle ne pouvait dissimuler ses réactions physiologiques.
Ainsi donc, se cachaient en elle des fantasmes de soumise, et si elle n’avait encore jamais été soumise par un homme (le sien ou d’autres avant lui), cette petite séance révélait en elle ce désir trouble et inassouvi jusqu’alors. Elle allait bientôt me remercier, la petite chienne !
Je me plaçai à genoux derrière elle, enfilai rapidement un préservatif, et sans perdre de temps en fioritures je rentrai mon gland tout gonflé entre les lèvres de son sexe. Je la saisis par les hanches et d’un coup ferme je la tirai sur moi et l’empalai direct sur mon dard ! Elle poussa un "AAAH" de satisfaction.
Je me sentis buter contre son utérus et, mes mains fermement agrippées à ses hanches, je me mis à la besogner avec force ; elle se mit immédiatement à gueuler comme une femelle en manque. Sa chatte dégoulinait de mouille, qui sortait à chaque coup de pine et m’aspergeait les cuisses.Je sentais le gode-plug dans son rectum, à travers la mince paroi séparant les deux conduits, et ça devait décupler son plaisir, en lui ébranlant tout son bas-ventre.
" - Mmmmh," lui dis-je, "quelle bonne chienne ! On voit que votre grossesse ne vous ampute pas de votre libido. T’aimes ça, te faire baiser, hein ?!— Oh ouiii !— Tiens, prends ça dans ta chatte ! Je te bourre, salope !— Oh oui, baise-moi, baise-moi comme ça, baise-moi fort, j’aime ça...! J’aiiiiime !— On va voir si tu vas aimer le traitement que je vais t’infliger ensuite, petite chienne..."
Là-dessus, je continuai à la fourrer à un rythme soutenu pendant une bonne minute, et avant qu’elle ait eu le temps de prendre son pied, je déconnai et la laissai en plan. Je pris dans mon sac une laisse et refermai le mousqueton sur le petit anneau métallique de son collier, puis, me saisissant de deux belles pinces à tétons reliés à une chaînette je les plaçai sur chacun de ses délicats mamelons : elle poussa un cri quand les petites mâchoires mordirent la tendre extrémité du téton à peau brune si sensible.
J’avais fait en sorte que la chaînette passe par-dessus son dos, ainsi que je pouvais manœuvrer cette belle salope en la tenant par la laisse, ses longs cheveux, ou le bout de ses deux tétons. Pour tester l’efficacité du système, je me remis debout en face de sa tête, je saisis la chaînette et me mis à la tirer vers le haut afin qu’elle se redresse : elle se mit à hurler !
" - Eh bien, Stéphanie, vous devez comprendre rapidement ce qu’on attend de vous, même quand l’ordre n’est pas verbal..."
Elle avait fini par se redresser, la bouche ouverte sous la douleur vive à cause des pinces qui étiraient ses tétons : j’y enfournai ma queue gonflée comme jamais, et me mis à baiser sa bouche sans lâcher la chaînette et en la tenant par le collier. Elle suçait bien, avalant ses propres sécrétions intimes. J’étais aux anges, contemplant cette belle salope toujours en bas, escarpins et longs gants, sa robe de mariée bouchonnée sur son gros ventre :
" - Hummmm" murmurai-je," quelle bonne petite pute !"
Après m’être fait sucer quelques instants, je la lâchai brutalement, lui criai durement : "A quatre pattes !"
Elle se remit en position, maintenant bien conditionnée, et ayant compris, je pense, depuis un moment, que je ne la baiserai que dans cette position ou à genoux, étant donné qu’elle ne méritait pas autre chose !
" - On va passer aux choses sérieuses maintenant, Stéphanie. Votre cul va y passer, vous ne méritez que ça !"
Et tout en me penchant sur sa croupe, je ponctuais mes propos par deux belles claques sur ses deux fesses, qui retentirent dans la chambre, tant elles avaient été fortes et sèches. Stéphanie y répondit par un violent cri de surprise.
Je plongeai à nouveau deux doigts tout au fond de sa chatte, la branlant avec force, ce qui la fit gueuler son plaisir. Je m’arrêtai rapidement, avant qu’elle ait eu le temps de jouir.Je retirai lentement le plug de son cul, laissant son anus bien ouvert et bâillant comme l’entrée d’un petit tunnel, obscène. Je remis une dose de gel sur mon gland puis l’enfonçai immédiatement dans la petite bouche ronde et noire avant qu’elle ne se referme, tout en restant accroupi. Je la pénétrai profondément, ma queue plongea dans ses entrailles qui se resserrèrent sur moi : elle était brûlante et délicieusement serrée.En réponse, elle poussa des "OOHHH !" "AAHHH !" angoissés.
" - Hummm, il est bon ton cul ma petite Stéphanie ! Un régal, c’est délicieux de t’enculer !"
Et sur ce, je commençai à monter et descendre en rythme, plongeant à chaque fois jusqu’au tréfonds de ses intestins. Elle me faisait un effet monumental :
" - Ah que c’est bon ! Tu es brûlante comme l’enfer ! Et si serrée... Quel pied. Je vais t’en mettre plein ton trou de balle, tu vas en prendre plein ton cul, ma Stéphanie !"
Et continuant à l’embrocher, je me mis à la pilonner en cadence.Elle était complètement affalée, le ventre sur un coussin qu’elle m’avait réclamé, et se prenait mes coups de boutoir en les ponctuant de râles saccadés. Elle essayait de s’agripper au sol, de s’y accrocher pour ne pas glisser, pour ne pas que je la promène à coups de pine sur tout le parquet de la chambre.De mon côté, je la retenais par les cheveux et la laisse, comme une bonne chienne.
Elle encaissait bien, la salope. Et elle avait l’air d’apprécier le traitement, même si, objectivement, je lui défonçais le cul comme un malade !
Elle ponctuait mes coups de pine par des "Louis ! Louis ! Louis ! ..."
Elle m’excitait comme un dingue, et mes mains lui pelotaient les fesses, les malaxaient, les pinçaient durement... d’autant qu’elle avait fait quelques réserves depuis le début de sa grossesse.
J’arrêtai soudain car je sentais mon plaisir monter, et je ne voulais pas jouir déjà ; par ailleurs, son corps donnait lui aussi des signes avant-coureur de jouissance, et je n’étais pas décidé à ce qu’elle prenne son fade.
Je me levai et cette fois je pris un bandeau dans mon sac :
" - Je vais te bander les yeux, ma salope. Tu seras encore plus bandante les yeux bandés, si je puis dire."
Je l’aveuglai donc avec la pièce d’étoffe noire, et la tenant fermement par les cheveux, j’essuyai en frottant sur son visage, sa bouche, son menton, mon vit tout maculé de traces douteuses. Elle prit un air écœuré.
" - Ne te plains pas, petite salope ! Si je voulais je te la ferais sucer, ma queue, que je viens de sortir de ton cul merdeux !"
Les yeux masqués, elle ne put voir ainsi que je tenais dans la main droite un martinet à longues lanières.
Je retirai ma capote et lui fourrai ma pine dans sa bouche, l’enfonçant tout au fond de sa jolie petite gueule, et lui disant :
" - T’inquiète pas, ma petite pute, j’ai retiré le caoutchouc, vas-y, régale-toi, montre-moi tous tes talents de bouffeuse de queue ! Ah, t’as dû en bouffer des kilomètres de bites pour sucer comme ça... Une vraie putain !"
Je fis quelques allers-retours entre ses lèvres, la maintenant par la chaînette qui étirait cruellement le bout de ses nichons, puis je la lâchai brutalement :
" - A quatre pattes, putain ! Offre ton cul !"
Elle s’attendait certainement à ce que je l’enfile à nouveau ou que je lui prenne encore sauvagement le cul, mais cette fois j’attrapai la laisse de la main gauche pour la retenir et empêcher toute velléité de fuite de sa part, et de la main droite j’abattis le martinet sur ses fesses. Elle hurla, surprise !
" - Laisse-toi te fouetter le cul, petite salope, sinon je t’attache ! Tu ne reçois que ce que tu as mérité, et ne te plains pas, ça n’est qu’un banal martinet qui ne laissera aucune trace sur ta peau blanche et veloutée."
Elle ruait, se débattait comme une vraie chienne, mais les lanières, implacables et précises, cinglèrent ses douces fesses de jeune femme.
" - J’en ai maté d’autres, moi, des jeunes pouliches de ton espèce, et je vais te dresser, chiennasse !"
Elle poussait des petits cris, mais avait finalement accepté son sort, se rendant compte sans doute que le traitement n’était pas très douloureux. Elle était surtout humiliée, et pleurnichait à moitié, gémissait sous les coups de martinet.
" - J’ai remarqué que tu préférais les coups de pine dans ton cul que les coups de martinet, hein, petite catin ! Mais voilà, tu t’es trompée sur mon sort. Et les petites péteuses de ton genre, qui ne paient pas leurs fournisseurs et laissent des ardoises partout, elles ne méritent pas du plaisir ! Voilà comment je les traite, petite pute."
Je me penchai et lui enlevai les pinces à seins. Elle hurla, tant la sensation de morsure était exacerbée sur les mamelons délicats et à fleur de peau d’une femme enceinte ; le sang devait revenir au bout de ses tétons, en une brûlure pulsatile. Je l’attrapai par les cheveux, la forçant à se redresser, et je me mis à lui asséner quelques cinglées bien appliquées sur ses gros nichons. Elle beugla, demanda grâce. Je n’insistai pas. Je laissai tomber mon martinet et attrapai ces deux roploplos bien fermes, bien durs, bien globuleux et les pressai comme un dingue, les malaxai, comme si je voulais obtenir un jus de fruit pressé. Avec satisfaction, je vis quelques gouttes translucides perler du bout du mamelon.
Elle se mit à geindre, à haleter. Je recueillis sur mes doigts les gouttes avant qu’elles ne tombent et les suçai goulûment.
Puis je lui enfonçai à nouveau ma pine toute raide dans sa petite gueule de catin mariée :
" - Allez, suce-moi, salope !"
Et tandis qu’elle me prenait en bouche et aspirait ma queue, je me remis à lui délivrer lentement et avec application, d’une force modérée, des coups de martinet sur les fesses.Elle poussait un gémissement après chaque claquement sec des lanières qui mordaient la chair de ses demi-lunes, mais n’ouvrait pas la bouche, et en bonne suceuse docile, continuait sa besogne. Elle espérait sans doute me faire partir et mettre ainsi fin à sa séance, mais celle-ci n’était pas terminée.
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