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Max et la perversion de 2 familles

Chapitre 1

Inceste
Anne et Thierry vivent dans un joli pavillon de la banlieue d’une grande ville française avec leur fils Maxime qui a 19 ans et qui viens de rentrer en première année de BTS de commerce. Il suit en prenant cette voie les traces de son père qui est VRP pour une grande entreprise et qui passe toutes ses semaines à sillonner les routes françaises. Anne, jolie femme brune aux yeux verts de 42 ans, travaille à mi-temps pour une amie dans une boutique d’antiquité. Ce travail représente plus un passe-temps pour elle qu’un moyen de gagner sa vie. Le travail de Thierry rapporte suffisamment pour qu’ils vivent bien tous les trois mais les journées étaient trop longues pour elle, seule à la maison.Anne se comporte avec son fils plus comme une amie que comme une mère. Les longues absences de Thierry ont développé chez eux une grande complicité et il leur arrive souvent de passer de longs moments à discuter et Anne aime bien taquiner son fils au sujet de sa petite amie Julie. Parfois, il leur arrive de prendre ensemble un petit apéritif lorsqu’Anne rentre après son après-midi de travail. Depuis quelque temps, Max (comme sa mère l’appelle) regarde Anne d’une manière différente. Il se surprend à reluquer ses cuisses lorsque la jupe de son tailleur remonte quand elle s’assoie dans son fauteuil préférer pour siroter son apéritif ou pour regarder la télévision. Il apprécie tout particulièrement lorsqu’elle croise les jambes et qu’il peut deviner la naissance de ses bas qui flirte avec la chaire nue du haut de ses cuisses. Il ne fantasme pas vraiment sur sa mère mais Max aime regarder cette belle femme qu’est sa mère depuis qu’il passe un peu de temps sur des sites Internet qui présentent des femmes matures. Il est tombé un jour par hasard sur l’un de ces sites et bien qu’il apprécie les filles de son âge il trouve bien plus attirant les corps voluptueux de ces femmes plus âgées.Seule entre ses draps, il arrive souvent à Anne de se caresser et de se faire jouir toute seule. Les absences de son mari font qu’elle est en manque car, à son âge, sa libido est bien présente. Ce soir elle s’est mise nue entre ses draps de satin et en se caressant les seins d’une main elle repense à ces deux inconnus qu’elle a croisés ce matin dans un ascenseur et qui ont passé leur temps à la déshabiller du regard pendant qu’ils gravissaient étages. En descendant de l’ascenseur elle a senti que son entrejambe était humide, tout comme maintenant. Tout en caressant ses seins, sa main droite descend sur son ventre plat et glisse vers sa vulve toute lisse. Elle imagine maintenant que l’un des hommes a bloqué l’ascenseur entre deux étages. L’autre s’est placé derrière elle et celui qui vient d’arrêter l’ascenseur se place devant elle pour lui caresser les seins sans vergogne. A cette pensée elle glisse un doigt entre les lèvres humides de sa vulve et le remonte pour venir caresser son petit bouton qui ne tarde pas à sortir de sa gaine de chaire. L’homme derrière elle caresse ses fesses à deux mains et remonte lentement sa jupe pour faire apparaître son string en dentelle rouge et poser ses mains directement sur ses globes de chaire. Celui qui lui pétrit les seins a maintenant ouvert son chemisier et pince maintenant ses tétons qui dépassent de son soutien-gorge à balconnet assorti à son string. Elle proteste mollement car elle imagine qu’elle mouille abondamment, tout comme en ce moment. L’homme qui lui presse les mamelons a sorti sa queue de son pantalon et la prend par les cheveux pour amener sa bouche vers son chibre. Cette pensé a accéléré les mouvements de ses doigts sur son clitoris. Anne a maintenant envi d’une grosse queue dans sa chatte et sa main vole vers le tiroir de la table de nuit pour en sortir un god de bonne taille qu’elle vient planter directement entre les lèvres de sa vulve lubrifiée à souhait. Elle imagine que l’homme derrière elle, après avoir écarté son string, lui plante sans ménagement sa grosse queue dans la chatte comme elle vient de le faire avec son god. Les doigts qui lui trituraient les mamelons sont maintenant remontés vers sa bouche et c’est avec délectation qu’elle se suce trois doigts en gémissant des coups de god qu’elle se donne dans la chatte. Elle est enfin en phase avec son fantasme et se sent vraiment dans cet ascenseur en train de sucer un gros chibre et de se faire défoncer la chatte par une bite encore plus épaisse. Elle les sent juter dans ses orifices et c’est sans retenu qu’elle se met à jouir en gémissant très fort et en criant des mots cochons comme : « allez-y, prenez moi comme une chienne bande de salaud ! ». Puis, fourbue, elle s’endort sur ses draps, le god encore planté dans sa chatte. Elle est loin de se douter que dans la chambre au bout du couloir, max qu’elle croyait endormi a entendu pratiquement comme s’il y était le dernier épisode de son fantasme. Ce dernier n’en fit cependant pas trop de cas car ce n’était pas la première fois qu’il percevait des gémissements émanant de la chambre de sa mère mais cette fois il avait clairement entendu ce que sa mère réclamait pendant sa jouissance.Quelques jours après, Maxime rentre plus tôt chez lui car 3 heures de ses cours ont été annulées pour cause de prof malade. En arrivant près de chez lui, il croit reconnaître la voiture du père de Julie garée sur le trottoir en face de chez eux. Il se dit qu’il doit se tromper ne voyant pas ce qu’elle pouvait faire là. Il sort ses clefs, ouvre la porte de la maison et se dirige vers le séjour lorsqu’il entend du bruit à l’étage. N’étant pas très sûr, il tend l’oreille en entend, cette fois très nettement, des gémissements mais aussi une voix d’homme. Pour en avoir le cœur net, il monte doucement l’escalier en pierre et se dirige vers la porte de la chambre de sa mère d’où il l’entend dire : « oui, vas-y défonce moi bien, j’aime ça !! ». Curieux mais prudent, il s’approche doucement de la porte entrebâillée et découvre, lui tournant le dos, Anne en levrette sur le bout du lit prise par…… le père de sa petite amis. Il ne peut détacher son regard de sa mère qui se fait labourer le con vêtu seulement d’un porte-jarretelles noir en dentelle, de bas de soie noire et de ses escarpins à hauts talons qui lui font de si belles jambes. Pierre, le père de Julie, la tient fermement par les hanches et la pistonne copieusement. Cette vision et les mots crus qu’emploie Anne font leur petit effet dans le pantalon de Max et sa queue gonfle malgré lui. Pour la première fois, il a envie de cette femme qui pour lui n’est plus sa mère mais juste une femme terriblement désirable. Il caresse sa queue à travers l’étoffe de son pantalon en voyant ses seins encore bien fermes ballotter sous les coups de boutoir de Pierre alors qu’Anne glisse une main entre ses cuisses pour se caresser le bouton. Max profite encore quelques secondes du spectacle et s’éclipse ayant peur de jouir en entendant dire sa mère : « je veux que tu encules ta chienne comme la dernière fois, mon gros cochon !! ». Max ressort de la maison en prenant soin de refermer à clef et va faire un tour en ville avant de rentrer à l’heure habituelle chez lui. Il feint la surprise en voyant Anne assise dans son fauteuil au salon :— Tu es déjà rentré, maman ?— Oui, mon grand. Je ne sentais pas très bien au travail et je suis donc rentré plus tôt.— J’espère que ça va aller mieux, maman !— Ne t’en fais pas je suis maintenant très bien après avoir pris un bon bain.Max pense, en montant dans sa chambre, que cela va sûrement bien mais que ce n’est pas dû au bain. Ce soir-là, Maxime monte juste après dîner en prétextant une grosse fatigue. Mais plutôt que de rejoindre sa chambre, il s’installe dans la chambre d’amis qui jouxte celle de ses parents en espérant bien que, ce soir encore, sa mère se donne du plaisir. Son attente ne fut pas longue car un peu moins d’une après il entend la porte de la chambre de sa mère qui se ferme. Sans faire de bruit, il colle son oreille à la cloison et attend. Près d’un quart d’heure plus tard, il commence à percevoir des gémissements. Il se dit que sa mère est vraiment insatiable et qu’elle n’en a pas pris suffisamment cet après-midi. Puis il entend des chuchotements qui deviennent de plus en plus audibles : « la dernière fois…… deux……… maintenant……….trois, mmmh…. ». Quelle santé, pense Max en commençant à masser sa queue qu’il a sorti de son caleçon. « Non……..ascenseur………chez moi ». « si vous voulez, ici, oh ouiiiiiiii ! ». Les gémissements se font de plus en plus forts à mesure qu’Anne avance dans son fantasme. Max entend alors très clairement : « oui, prenez moi par tous les trous comme une petite pute ! ». Anne jouit dans un profond râle alors que Max se branle frénétiquement pour exploser en même temps que sa salope de mère.
Le lendemain après-midi, Max n’a pas cours et rentre très vite chez lui pour préparer une surprise à sa mère car il a maintenant fermement l’intention de profiter de ses petits jeux lubriques. Le souvenir de ce qu’il a entendu la veille fait encore de l’effet dans son pantalon car en entrant dans la maison son sexe entre en érection. Il décide d’aller inspecter la chambre de ses parents pour voir ce qu’il peut y trouver car il se doute que sa chère mère ne se donne pas du plaisir qu’avec ses doigts. Fébrilement, il entre dans la chambre parentale et commence une fouille en règle. Il regarde sous le lit, sous les oreillers sans rien trouver. Son regard se pose sur la table de nuit de sa mère et d’instinct il ouvre le tiroir : BINGO !! il trouve à l’intérieur une jolie petite collection de godemichet vaginal et anal et même un qui fait les deux. Eh bien, pense-t-il, je comprends pourquoi elle gémit aussi fort quand elle se masturbe seule entre ses draps. Il se dirige vers le tiroir du chevet de son père, et là il découvre quelques revues porno d’un genre un peu spécial. En soulevant les revues il tombe pêle-mêle sur une paire de menotte, une écharpe en soie et une petite cordelette. Il va de surprises en surprises en pensant que ses parents ne sont pas vraiment ce qu’il pensait qu’ils étaient. A l’instar de sa mère, il semblerait que son père soit porté sur des pratiques sexuelles hors du commun. Il entreprend maintenant de pousser ses investigations dans le dressing en commençant par la partie réservée à sa mère. Il regarde partout mais ne trouve rien de significatif quand, soudain, en glissant sa main sous une pile de pull il sent quelque chose. Il tire sur l’objet et sort un petit cahier sur lequel est écrit : mes petits secrets. Il parcourt quelques pages et découvre que c’est un cahier où Anne expose ses fantasmes dans les moindres détails. Sa lecture dévoile à quel point sa mère est lubrique et son érection qui s’était un peu calmée reprend soudain de la vigueur. Un passage, où sa mère se considère comme une pute qui se fait prendre par deux routiers sur une aire de repos, retient son attention. Ce soir, il va lui faire vivre ce fantasme mais le deuxième routier, ce sera lui.
Il est 20H lorsqu’Anne rentre de son travail car elle a fait quelques heures supplémentaires pour rattraper l’après-midi de la veille. Max l’attend dans le salon. Il a préparé deux cocktails et propose à sa mère de prendre un petit apéritif comme ça leur arrive parfois. Elle accepte avec joie et ils s’installent sur le canapé pour prendre ce verre tout en discutant de choses et d’autres. Au court de la discussion, Maxime dit à sa mère :— Pierre te fait passer le bonjour.Anne blêmit mais trouve la force de répondre.— Pierre, mais qui est-ce ?— Tu sais bien, le père de Julie, celui qui te baise !— Mais ça ne va pas Max ! Je ne te permets pas ! Où vas-tu chercher ça ?— Ne fais pas l’innocente, je vous ai surpris hier après-midi alors qu’il te prenait sur le lit conjugal et ça ne ressemblait pas à un viol, loin s’en faut !— Bien, j’avoue mais je t’en supplie, ne dis rien à ton père !!— Je n’en dirais rien à une seule condition : que tu fasses ce que je te demande !— Mais c’est du chantage, je ne peux pas accepter que tu me traites comme ça.— A ta guise, je vais simplement attendre que papa rentre ce week-end.— C’est bon, tu as gagné ! que veux-tu ? De l’argent, les vacances dont tu rêves…— Non, seulement que tu ailles prendre un bain avant que je t’emmène faire un petit tour !
Anne, soulagée par la demande de son fils, accepte avec entrain et file vers la salle de bain. Pendant ce temps, Max monte dans la chambre de sa mère pour lui préparer sa tenue de soirée. Il ouvre le dressing et en sort la jupe noire très courte que son père a offert à Anne et qu’elle n’a porté qu’une seul fois car elle la trouve vraiment trop courte. Il ajoute un chemisier en satin blanc, une parure porte-jarretelles string et soutien-gorge à balconnet en dentelle noire, et pour finir, une paire de bas résille qu’il avait repéré au fond d’un tiroir dans l’après-midi. Il ajoute enfin les petits escarpins à talons hauts qu’elle portait hier avec Pierre. Puis il part à la porte de la salle de bain et dit à sa mère à travers la porte :— Lorsque tu auras pris ton bain, tu iras dans ta chambre pour enfiler la tenue que je t’ai préparé sur ton lit.— Très bien, je sors dans cinq minutes.— Ok, je t’attendrai dans le salon !Anne sort de la salle de bain et entre dans sa chambre. Lorsqu’elle découvre ce que Maxime lui a préparé elle se dit : « mais, il me prend pour une pute ! ». Malgré elle, cette seule pensée déclenche une étrange chaleur dans son ventre. Et puis, après tout, elle a promis de faire ce qu’il lui demande ! Résignée, elle enfile sa tenue avec un frisson d’envie lorsqu’elle fait glisser ses bas sur ses jambes. Ainsi vêtue, elle descend lentement l’escalier et rejoint son fils dans le salon. Max la regarde admiratif et lui dit :— Ça te va bien maman, tu es ravissante !— C’est quand même un peu osé, tu ne crois pas ?— Ne t’inquiètes pas, nous n’allons pas dans un endroit extrêmement fréquenté. Allons-y !Rassurée, Anne suit son fils vers la voiture. Ce dernier, en galant homme, lui ouvre la portière et prend place au volant. Il commence à rouler et prend une voie express où il sait qu’il va trouver des poids lourds. A cette heure tardive il n’y a pas beaucoup de circulation. Au bout de quelques minutes, il aperçoit l’objectif qu’il cherchait. A plusieurs centaines de mètres devant eux, un gros camion se profile. Il regarde brièvement sa mère et lui dit :— Remonte ta jupe le plus haut possible.— Mais, tu n’es pas bien ! Jamais je ne ferais ça !— Ok, je rentre à la maison et on attend tranquillement le week-end !Un peu énervée par la réaction de son fils, elle s’exécute en serrant les dents. Max se rapproche du camion et lorsqu’il n’en est plus qu’à quelques dizaines de mètres, il demande à sa mère d’écarter largement les cuisses. Elle s’exécute sans rien dire car elle vient d’avoir un flash en repensant aux lignes qu’elle a écrites sur son petit cahier. En enclenchant son clignotant, Max demande à sa mère de glisser une main entre ses cuisses pour se caresser. Totalement immergée dans son fantasme, Anne obéit à son fils sans réfléchir. En commençant à doubler, Maxime donne un appel de phare et vient se porter à la hauteur de la cabine du poids lourd. Il sait que de cette façon le chauffeur a une vue imprenable sur les cuisses de sa mère et sur sa main qui s’active maintenant sur sa vulve. Il demande à Anne de regarder vers la cabine du camion. Elle lève la tête et aperçoit le visage du chauffeur qui la reluque. Elle garde sa tête tournée vers cet inconnu et trahit son excitation en accélérant les mouvements de ses doigts sur sa vulve. Tout en maintenant sa vitesse pour rester à la hauteur du camion, Max glisse une main sur la cuisse de sa mère et lui dit :— Ça a l’air de te plaire !— Mmmmh, oui. C’est trop bon.Un panneau annonce une aire de repos à 2Km. Max reste encore quelques temps près du camion puis le double en enclenchant ses warning quelques centaines de mètres avant de prendre la bretelle de l’aire de repos. Il regarde dans ses rétroviseurs et, comme il l’espérait, le chauffeur du poids lourd met son clignotant pour les suivre. Anne a fermé les yeux, et toujours dans son fantasme, et continue à se branler à côté de son fils. Naturellement, Max choisi le parking poids lourd et se gare dans un coin du parking très peu éclairé. Il verrouille les portières et n’ai pas surpris de voir le camion se ranger près de la voiture. Anne toute à sa masturbation sent à peine les mains de son fils qui déboutonne son chemisier. Puis il l’embrasse tendrement dans le cou et lui chuchote doucement à l’oreille :— Regarde maman, tu as de la visite !Anne ouvre les yeux et voit à hauteur de sa portière l’homme qui la regardait se branler ces dernières minutes. Max lui glisse alors à l’oreille :— Veux-tu qu’il te touche ?— Non ! Oui, si je veux ! Je suis trop excitée !!Max ouvre alors la vitre juste assez pour que l’homme puisse passer son bras et invite ce dernier à caresser les seins de sa mère. L’homme passe alors son bras et viens triturer les tétons d’Anne qui gémit en enfonçant deux doigts dans sa chatte. Max pose de nouveau une main sur la cuisse de sa mère et la remonte vers le haut de son bas, là où la chaire est nu, et lui murmure à l’oreille :— Tu as envi qu’il te prenne ?— Oh oui, je suis trop bien mmmh !Max s’adresse alors à l’inconnu :— Tu la veux ?— Oui, elle m’excite trop !— C’est 20€ la pipe et 80 l’amour.— Ok pour 80€Anne n’en croit pas ses oreilles. Son fils est en train de la vendre comme une pute ! Mais les paroles qu’elle vient d’entendre ne font qu’accroître son excitation, et sa chatte s’inonde de plus belle. Max demande à l’inconnu de ne pas bouger puis il déverrouille les portes, sort de la voiture et vient ouvrir la porte de sa mère. Il l’aide à sortir et lui dit :— Va avec lui dans la cabine, je vais essayer de te trouver un autre client !— Pour ce soir, un ce sera bien !— Pourquoi pas à deux, ce sera encore meilleur répond l’homme.— Vas-y ma belle, je sais que tu vas aimer ça dit Max à sa mère.L’homme ouvre la porte de sa cabine et aide Anne à monter en la poussant aux fesses. Anne est très excitée car elle réalise que son fils est sur le point d’assouvir l’un de ses fantasmes. L’inconnu la fait grimper sur sa couchette et lui demande de se placer en levrette. Il se glisse derrière elle et ferme les rideaux de la couchette. Il lui demande de se caresser le clito et plante deux doigts dans sa chatte trempée. Elle mouille tellement qu’il ne tarde pas à y mettre un troisième. Anne pousse de fort gémissement et demande à cet inconnu de la prendre comme une chienne. L’homme n’en demande pas temps et après avoir largement écarté le string de la cochonne maman, il plante sans ménagement son énorme chibre entre les lèvres gonflées de sa vulve. Anne pousse un râle de bonheur au moment où la porte du camion s’ouvre. C’est Max qui a attendu que sa mère soit en pleine action pour se manifester. Il dit en penchant la tête dans la cabine :— Je t’ai trouvé un autre client. Il a payé pour une pipe alors ne le déçois pas !Anne qui se fait pistonner le con est aux anges. Son fils lui a trouvé deux queues comme elle l’a souvent rêvé entre ses draps. La cabine bouge, l’autre inconnu est en train de monter et bientôt elle aura sa queue dans la bouche. Le rideau se soulève et une magnifique bite apparaît au niveau de son visage. Elle ne voit que cette grosse queue et le fait de ne pas voir le visage de son propriétaire l’excite encore plus. D’une main elle saisit le chibre et vient poser ses lèvres sur le gland. Une main apparaît sous le rideau et vient saisir ses cheveux pour l’obliger à avaler toute la hampe. Ce sexe lui remplit toute la bouche et elle entame des mouvements de va et vient pour sucer cette bite qui régale sa bouche. Elle remue frénétiquement son cul lorsque l’homme derrière elle glisse un doigt dans son anus. Cette triple pénétration déclenche en elle un énorme orgasme. Les deux hommes qui sentent ce corps de salope vibrer sur leurs queues jouissent quasiment simultanément dans ses orifices. L’homme derrière le rideau se retire et redescend de la cabine alors que le premier inconnu glisse des billets dans son soutien-gorge avant de l’aider à redescendre de la cabine du camion. Maxime attend Anne au volant de la voiture et c’est fourbu par tant de débauche qu’elle vient s’écrouler sur le siège passager. Sans dire un mot, Maxime redémarre pour reprendre la route de la maison. Il rompt le silence en demandant à sa mère de quitter sa jupe et de la glisser sous ses fesses pour éviter de tacher les sièges de la voiture. Anne, dans un état second, s’exécute. Tout en roulant, Max pose une main sur le haut de la cuisse de sa mère et lui dit :— J’espère que ça t’a plu maman !— Mmmmh, oui !— Je savais que tu en rêvais.— Comment ça ?— Tu sais, j’ai trouvé le cahier de tes petits secrets et j’ai pensé que ce pouvait être une bonne idée.— Tu as tout lu ? Tu connais donc tous mes fantasmes, dit-elle en écartant doucement les cuisses.— Non, seulement quelques passages mais suffisamment pour t’amener là ce soir.Max approche maintenant sa main de l’entrejambe de sa mère qui sans s’en rendre compte écarte de plus en plus les cuisses. Max reprend :— Tu as aimé te faire prendre par ces deux inconnus ? Max a glissé sa main dans le string de sa mère et lui caresse doucement la vulve.— Oh oui, surtout lorsqu’ils ont joui dans mes orifices, mmmh. Anne encore dans son fantasme enfin réalisé pousse son bassin vers l’avant en ouvrant largement les cuisses, facilitant ainsi la progression de la main de son fils vers sa vulve.— Alors tu as aimé mon jus dans ta bouche, dit Max en glissant deux doigts entre les lèvres intimes de sa mère.— Oh, c’était toi ? Encore plus excitée, Anne pousse son bassin plus en avant pour que les doigts de son fils la pénètre plus profond. Alors ce soir, je suis devenue ta petite pute, dit-elle en gémissant.— Oui, maintenant tu es ma petite chienne obéissante et tu feras tout ce que je te demande.— Mmmmh, oui tant que tu me feras vivre des soirées comme ce soir.— De plus, comme je suis devenu ton « mac », tu me dois 50% de ta passe !— Tiens, je te donne tout, tellement j’aime ce que tu me fais vivre ce soir dit-elle en tendant à Max les 80€ que le routier avait glissé entre ses jolis seins.— Dans ton cahier, j’ai lu un passage où tu faisais l’amour avec une jeune femme. A ces mots, Anne glisse un doigt entre ses lèvres et le lèche avec le bout de sa langue comme s’il s’agissait d’un clitoris. Les paroles de son fils semblent lui faire de l’effet. Maxime reprend : bizarrement, au travers de tes phrases, j’ai cru reconnaître Julie, ma petite amie.— Mmmmmh, oui c’est bien à elle que je pensais quand j’ai écrit ces lignes. Je n’ai fait l’amour qu’une fois avec une femme et, mmmmh, oui enfonce bien tes doigts….. j’ai eu envie d’elle dès la première fois que je l’ai vue.— C’est pour ça qu’elle m’a dit un jour qu’elle trouvait étrange que tu sois toujours très près d’elle au point de la toucher à la moindre occasion.— Elle est tellement belle, dit Anne en léchant de plus belle le doigt posé sur ses lèvres.— J’ai eu l’impression qu’elle n’était pas totalement indifférente à tes charmes ! Ca te plairait que je t’organise une petite partie avec elle, ma petite cochonne ?— Ohh, ouiiiii, tu serais un ange. Oui doigte moi, c’est trop bon !!!— Je le ferai, à une seule condition.— Tout ce que tu voudras. Maintenant, je suis ta petite pute. Max sort ses doigts de la chatte maternelle et les fait glisser vers la petite rosette de sa mère.— Si j’organise ton petit plaisir, je veux que tu la persuades de se laisser sodomiser. En disant cela, il glisse l’un de ses doigts dans l’anus de sa mère qui gémit de plus belle.— Ohh, oui, enfonce bien ton doigt mon cochon et je t’aiderai avec ta Julie. Ouiii….. défonce moi le cul !!— Très bien, maman ! Max viens de ranger la voiture devant la maison et agite de plus en plus vite son doigt dans la rosette d’Anne et cette dernière part dans une jouissance sans limite.Après cette explosion de bonheur, Maxime aide sa mère à descendre de la voiture et la conduit vers la salle de bain. Après avoir pris chacun une bonne douche, ils regagnent leur chambre respective pour sombrer dans un sommeil rempli des images de la soirée.
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