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Le mec de la librairie

Chapitre 1

Trash
Souvenirs... Sa queue glisse entre mes fesses ; mes muscles se sont relâchés, détendus. Il est en moi, entré complètement. Mon souffle se coupe une seconde ; je m’agrippe à la table.
Frissons... Il a laissé la fenêtre ouverte. Une brise : c’est le printemps. La salive coule entre mes fesses, le long de mes cuisses. Le vent souffle doucement dessus ; je ferme les yeux et m’abandonne à la douce sensation.
Il me possède.
Marc est un beau mec. Je suis tombé sous son charme de suite ; c’est rare. Il m’arrive de croiser de beaux mecs mais, de là à espérer qu’il me prenne... Mais là, c’était différent. Il débordait de charme : un physique parfait, viril, grand, mince. Il a des gestes assurés : il ne doute pas.
J’étais en train de regarder le rayon d’une quelconque littérature dans un grand magasin, accroupi pour mieux voir le rayon du bas. Un homme s’approche à ma gauche ; je lève les yeux et à hauteur, de ma tête, j’ai son paquet offert. Mon regard le détaille ; je prends mon temps. Mon regard croise alors le sien tandis que je finis de le détailler, et se perd dans son regard bleu acier. Moment de solitude ; je vire au rouge. Pris en flagrant délit de voyeurisme sur un inconnu.
Il soutient mon regard. Je suis comme hypnotisé ; mes genoux commencent à me faire mal. Il faut couper court ! Je tente de me relever, faisant fi de mes jambes qui s’ankylosent, mais la position inconfortable, trop longtemps tenue, trahit mon équilibre et j’ai la démarche d’un homme ivre. Il me rattrape par le bras ; sa poigne est rude, sans hésitation. Il me tient littéralement entre ses mains.
Dans un tout autre rayon, ce geste aurait pu apparaître anodin. J’aurais pu aussi être une petite minette adorable tombée sous le charme d’un bel inconnu ; mais nous étions devant des livres parlant d’amour entre hommes, et j’étais ce mec, celui qui drague d’habitude, qui mets en avant ses atouts, et qui se retrouvait là, rougissant, faible. Je baisse les yeux, mon regard tombe sur son entrejambe. Je me mets à fantasmer. J’ai envie de le sucer ; j’aimerais que le magasin dispose de toilettes, ou autre, peu importe… Il claquerait des doigts ; je fondrais dans l’instant.
Il me tient toujours le bras ; le moment semble interminable. Il cherche peut-être ses mots ; pourquoi ? Il n’a qu’à me cueillir : je lui serai dévoué cet après-midi.
La suite, c’est un échange de banalités. La raison reprend le dessus ; mon souffle se remet à fonctionner de manière cohérente. Je prends mon panier : mes achats trahissent mon attirance pour les hommes. Il n’est probablement pas aveugle. Sa belle gueule me toise ; je suis toujours sous son contrôle. Mais parle ! Invite-moi !
Ça y est ! Rendez-vous pour un verre, une fois passé les caisses. Il est à moi, enfin ! Ou tout du moins, je suis à lui !
Mojito. Il choisit le bar : il connaît déjà, et m’emmène au fond. L’établissement ne semblait pas grand par sa devanture, mais très profond. Dans le fond, la lumière est tamisée. Il s’assoit et m’invite à prendre un siège à côté de lui. Il est tactile, me touche l’épaule, me demande ce que je veux boire en posant la main sur ma cuisse. Chaque contact m’électrise ; je n’écoute pas. Il choisit pour moi.
Embrasse-moi… Nous parlons, de tout, de rien. Peu importe : il sait où je veux en venir ; il a pris l’ascendant. Mon cul me démange. L’idée de me faire prendre dans moins d’une heure m’excite énormément. J’ai chaud, je bande. Lui aussi, à n’en point douter. Il a une voix douce, et parle sans hausser le ton. Il glisse sa main le long de ma joue, puis dans mon cou.
– J’ai envie de te baiser.
Il me jette ça comme un amuse-gueule. Sa main glisse le long de mon torse jusqu’à mon intimité. Une fois, par une étreinte ferme, qu’il s’était assuré de mon état :– Allez, viens !
Escalier. Il paie. Je suis absent ; je le suis. Nous marchons quelques minutes ; je ne repère pas le chemin. Arrivés devant son immeuble, il ouvre ; nous rentrons. Dès la porte refermée, il me plaque contre le mur et m’embrasse à pleine bouche. Sa langue me viole ; son souffle chaud me transperce. Emmène-moi chez toi, vite ! Je sens son odeur : son parfum est masculin. Un vrai mec, ferme, sans être brutal. Ce contact attendu est une délivrance ; je soupire. Quelques secondes plus tard, sa porte s’ouvre ; nous entrons. Passons aux choses sérieuses !
A vos ordres. Marc est directif : il commence par me dire de me mettre à l’aise. J’enlève juste mon blouson léger. Lorsque je me tourne vers lui, son pantalon est baissé. J’avais déjà compris que j’aurais le rôle de la salope dans cette histoire.
– Non, mets-toi vraiment à l’aise !
Il se laisse tomber en arrière dans un fauteuil en toile. En quelques gestes rapides, je me débarrasse de mon haut et de mon pantalon. Je reste en caleçon, et m’approche de lui. Je me mets à genoux et penche la tête. Je prends son sexe dans la main, doucement, délicatement, comme une pièce de collection. Il est beau, droit, même s’il n’est pas encore complètement bandé. Son prépuce, court, laisse apparent un gland rose-brun. De mon autre main, je caresse ses cuisses, son vente. Il n’est pas poilu, et son pubis est épilé, mettant en valeur ses formes. Je rapproche ma tête. Marc attend patiemment que je me mette à l’œuvre. Il semble savourer ces premières caresses. Il glisse un peu plus dans le fauteuil, comme pour rapprocher sa verge dans ma bouche.
Je glisse ma langue de son scrotum jusqu’au gland ; le chemin me paraît long, presque sans fin. Puis j’ouvre la bouche, et introduis son gland entre mes lèvres. Il sanctionne l’agression en rejetant la tête en arrière et en soupirant. Il pose sa main sur ma tête. Le message est limpide : je commence à le sucer. Non ! Pas le pomper : le lécher, le sucer, doucement, sans serrer trop les lèvres, sans aspirer. Je me contente juste de le sucer, et sa queue achève de gonfler et de devenir bien dure.
Marc savoure le moment. Je le sens complètement détendu ; il s’abandonne à mes caresses. Son sexe est à moi. Sa main a glissé de ma tête à mon épaule. Je tente la gorge profonde : sa queue est trop longue pour moi, mais il gémit. J’insiste. La salive coule légèrement à la commissure de mes lèvres. J’entreprends un mouvement plus long, du gland jusqu’au plus profond. Marc soupire à nouveau puis s’interrompt, me plaque la main sur le front et se relève.
– Stop ! On fait une pause.
Chemise. Marc se lève. J’en reste pantois, coupé dans mon élan, les joues humides de ma salive. Je me sens ridicule. Marc est debout devant moi, presque absent, récupérant de cette montée orgasmique que j’aurais voulu lui offrir, et qu’il m’a refusée. Je reste figé, attendant les directives. Je n’ose le toucher. Il se retourne vers moi et me tends la main pour que je me relève. Il m’enlace et m’embrasse. Je m’abandonne. D’une main, il fait glisser mon caleçon ; je suis complètement nu. Il a gardé sa chemise. Je la déboutonne ; il se laisse faire. Je découvre un torse bien dessiné, sans excès. J’embrasse ses tétons. Je fais aller ma langue en cercle autour d’eux, puis je les mordille. La caresse semble lui convenir : il me laisse agir.
Mon mâle… Marc est actif, c’est évident. Il me saisit le sexe, crache dans une main et me branle vigoureusement. Il serre ma queue ; je me sens à lui. Chacune de ses caresses est ferme, forte, masculine. Il me fait mettre à quatre pattes. Je m’exécute sans broncher. J’aurais aimé qu’il me prenne en bouche. Il me tient pour le moment d’une main ferme, comme pour me faire comprendre sa domination. Je l’accepte, tant cette idée m’excite. Il m’ordonne de poser ma tête au sol et d’écarter mes fesses avec les mains. Ma docilité me surprend, mais j’obéis sans réfléchir, trop content de mon sort.
Je sens alors ses mains passer entre mes deux fesses. De ce simple contact, je sens d’un coup une chaleur m’envahir ; une sensation diffuse d’excitation et d’appréhension. Je me détends. Marc crache entre mes fesses et étale bien sa salive par de vigoureuses caresses. Il me prend les fesses, les malaxe, sans dire un mot. Je suis à lui : à quoi bon me convaincre ? Mes fesses sont maintenant brûlantes de son massage, et je sens déjà que ses gestes se recentrent vers le centre de la cible. Il continue avec les doigts à appuyer sur ma rondelle ; elle va bientôt céder. Enfin, un doigt se risque à forcer le muscle. J’ai un petit hoquet de surprise ; pourtant, je l’attendais. Son autre main continue à me branler, à me malaxer les couilles ; il crache dans sa main régulièrement. Je ne sais pas combien de temps il a pratiqué ce massage sur moi. Je commençais à sentir la salive séchée : mes cuisses et mon pubis en était recouverts. L’odeur me prenait les narines ; elle avait ce petit côté – si repoussant en temps normal – qui devenait excitant dès qu’on a la tête plaquée contre un tapis, les fesses écartées.
Supplice. Il a un doigt en moi. Ses mains sont longues et assez fines. Il ressort son doigt pour le remettre, juste le temps pour la corolle de se refermer, pour la violer à nouveau et m’arracher un gémissement. Mon trou commence à se faire à l’intrusion, et n’offre plus la même résistance : on pourrait même presque dire qu’il devient accueillant. Marc en a conscience également, puisqu’il tente le passage d’un second doigt. Son premier doigt me fouille le cul ; il élargit ma rondelle en faisant des cercles. Il le ressort en permanence puis, d’un coup, ce sont deux doigts qui me fouillent. Je me crispe légèrement, mais mon corps les appelle. Aa bout de quelques minutes, c’est un troisième doigt qui rejoint majeur et index. Le passage est un peu douloureux, mais il ne faudra pas plus de temps à Marc pour se rendre compte que je suis prêt à recevoir son sexe.
Marc me fait me mettre à genoux. Ses doigts ont abandonné mon anus, détendu, que je sens crier famine. Mes jambes sont ankylosées à nouveau, décidément... Il présente son sexe devant mon visage. Sage et docile, plus que demandeur, j’ouvre la bouche. Il me pénètre en me tenant la mâchoire.
– C’est bien !
Cette phrase sonne comme la pire des humiliations ! Salaud, je ne suis pas un trou que tu peux fourrer comme ça… Désire-moi un peu ! Il quitte la pièce ; je reste à genoux, terrassé. Il revient, capote et gel à la main.
– Mets-toi contre la table !
Je me lève. Devant la fenêtre, il y a un bureau ; pas de vis-à-vis. Je me penche en m’appuyant dessus. Marc ne me regarde pas et met son préservatif. J’écarte les jambes et me cambre. Il passe sa main entre mes fesses ; deux doigts entrent moi, comme pour vérifier que le trou est toujours là. Oui, il est bien là, béant, appelant sa queue pour le combler. Le massage anal et sa domination ont eu raison de mon érection, mais pas de mon excitation. Il retire ses doigts, puis les remet. Cette fois, ils sont froids ; glacés, même ! Il applique le gel autour de la rondelle, et également dedans. Sa main quitte mes fesses ; il se les essuie, puis attrape mes hanches. Je sens son sexe se présenter à mon anus. Il le frôle légèrement, comme pour faire durer un vain suspens. Première pression délicate. Le sexe force la corolle, puis s’enfonce doucement. Marc retient sa force ; il me tient fermement. Son sexe semble interminable… J’ai le souffle coupé. Enfin, il s’arrête ; je soupire. Que c’est bon !
Entre mes reins. Il commence un lent va-et-vient ; je m’accroche à la table. Je sens chaque millimètre de sa chair rentrer en moi, me posséder. Il me fait l’amour, me donne du plaisir. Mon cul est dilaté et n’offre aucune résistance. Pas de douleur ! La préparation était à la hauteur de mon excitation. Marc accélère la cadence. Ses coups deviennent plus secs, nerveux, presque brutaux ! Il se retire, pour mieux me casser le cul. Il varie les positions. Je le sens devenir frénétique : sa respiration s’accélère, ses mains qui me maintenaient fermement sont devenues moites et glissent sur mon corps.
Explosion. Il jouit. Marc jouit en moi... Le dernier coup fut fatal, digne d’une fessée administrée par le plus violent des sadiques. Il reste contre moi ; je sens ses couilles contre mes fesses : il est planté en moi, au plus profond. Il se retire ; je reste un moment sur la table pour reprendre mes esprits, puis me relève. Mes jambes flageolent. Marc me donne un bout de papier pour m’essuyer. Le gel colle, la salive a séché. Puis il me donne comme ultime tâche de nettoyer son sexe. Je m’exécute, incapable de moufter. Il sent mon cul, la salive, le latex, le sperme... ça pue. J’aime ça.
– OK ; maintenant, rhabille-toi et casse-toi !
Marc n’est pas un sentimental. Je suis profondément humilié, mais rassasié. Inutile de demander un numéro. Je me rhabille et prends la porte. Une heure de trajet ; mon cul fuit, béant, lubrifié : il pourrait accueillir une bande entière. Je devrais être mort de honte, mais ça m’excite.
Peggy92 peggy-liberal@hotmail.fr
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