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Mégas Aléxandros

Chapitre 2

Divers
Chapitre 2Résumé du chapitre 1. Né d’Olympia et de la cuisse de Jupiter, Alexandre, éduqué par Aristote, après l’assassinat de son père reprend son rêve, venger les Grecs de l’invasion de la Grèce par les Perses, mais il doit d’abord pacifier les récentes conquêtes de son père. Les villes soumises, pensant avoir affaire à un adolescent boutonneux et incapable se révoltèrent, mal leurs en pris, Thèbes la belle fut rasée en moins de temps qu’il faut pour le dire et sa population vendue en esclavage. Athènes eut la clémence, surtout due à sa flotte. La conquête de l’Asie Pendant qu’Alexandre soumettait la Grèce, à part Sparte qui faisait grise mine, ayant l’habitude de conduire les opérations et non pas de se laisser conduire, Parménion fût rappelé d’Asie Mineure où il conduisait une partie de l’armée pour aider les Grecs d’Asie à résister au Grand Roi perse. En passant par Delphes, il voulut connaître l’oracle à son sujet. Dans un premier temps, l’oracle refusa, prétextant être malade. Pas découragé, Alexandre se saisit de l’Oracle et la traîna devant son tréteau de divination. L’oracle furieux l’apostropha : – Vraiment jeune homme, rien ne vous résiste. – Cela me convient comme oracle, lui répond Alexandre en partant pour rentrer sur Pella.
Les préparatifs durèrent l’espace d’un mois en commençant par les bataillons d’infanterie lourdes, les pézétaires armés des longues sarisses de quelque 6 à 7 m ornées de pointes en bronze des deux cotés, le côté avant est classique comme un poignard, mais à l’arrière, elle est prévue pour être plantée dans le sol, en situation défensive pour supporter la charge adverse (cavalerie), autrement, le pézétaire était faiblement armé et l’attaque se faisait à la course pour augmenter la puissance par effet cinétique.Vient en suite les héraïroïs, la cavalerie, réservée à la noblesse, également armée légèrement, Sarisse courte et épées, ils montaient sans selle, car pas encore inventée.
Avec une certaine précipitation, avec seulement un mois de vivre, Alexandre et son armée s’élancèrent vers l’Hellespont sur la flotte conjointe d’Athène et de Macédoine, commandée par Néarque, un crétois robuste. Cette précipitation était la conséquence de Memnon, un mercenaire grec aux ordres du Roi perse. Alexandre savait qu’une confrontation risquait de mettre son plan à terre. Mais...Il y a une anecdote de la traversée, le chien d’Alexandre, qui avait été attaché lors de son départ, avait réussi à casser sa chaine et était parti à la nage pour rejoindre la flotte. Il fut repêché à la limite de survie. Il l’accompagnera pendant toute la campagne et même lui sauva une fois la vie.
L’Armada débarqua dans les environs des restes de Troie, qui n’était plus liée à la mer, le fleuve Scaramance ayant rempli l’estuaire pendant les presque milles ans qui séparaient l’époque de la guerre de Troie. Alexandre réserva sa première visite au temple d’Athéna pour obtenir ses bonnes grâces. En arrivant dans le temple, il rencontra une jeune fille, qu’il interrogea :
— Qui es-tu ? — Je suis Daunia, originaire de la Grèce de l’ouest, de Locres où son aristocratie était exclusivement féminine. Cette cité envoyait en pénitence à cause d’une faute commise il y a mille ans, Ajax, guerrier Grec avait violé Cassandre, qui avait été tellement choquée qu’elle avait reçu le don de voyance, mais personne ne la croyait. Elle eut beau avertir Agamemnon du sort qui l’attendait, il ne voulut pas la croire et tomba sous les coups de sa femme et de son amant. Depuis lors, les Locriens paient ce sacrilège en offrant 2 jeunes filles de la meilleure noblesse pour servir pendant un an dans le sanctuaire de la déesse.
Dans le sanctuaire, Alexandre admirait une magnifique armure, il posa la question au prêtre qui le gardait :
— Sais-tu qui je suis ?— Oui, Alexandre de Macédoine. — C’est juste et tu sais aussi que notre famille descend de Pyrrhos, fils d’Achille. Donc cette armure me revient, étant son descendant.

Le prêtre blêmit et commença à protester, mais coupant court à toute discussion, un des compagnons d’Alexandre lui dit :
— Tu en feras fabriquer une toute semblable, voilà une bourse qui te le permettra. — La visite est terminée annonça Alexandre on la placera en tête des troupes avant chaque bataille.
A ce moment-là, le prêtre s’approcha discrètement d’Alexandre et lui glissa :
— Tous les soirs, Daunia va se baigner dans la mer, à l’embouchure du Scaramande.
Alexandre la vit arriver au bord de la mer d’un pas décidé et ferme. Elle s’arrêta où le fleuve rejoint la mer et ôta ses vêtements et pénétra dans l’eau. À ce moment-là, Alexandre sortit de l’ombre :
— Tu es belle comme une déesse Daunia !
De peur ou de pudeur, la jeune fille se replongea dans le fleuve jusqu’au cou :
— Ne me faites pas de mal, je suis consacrée.— Pour expier un viol antique ? — Pour expier tous les viols que les femmes souvent subissent sans être d’accord.
Alexandre se déshabilla et entra dans l’eau :
— On dirait Aphrodite de Praxitèle. N’aie pas peur viens ! Conduis-moi jusqu’au tombeau d’Achille, mais je ne veux pas qu’on nous voie. — Suis-moi, j’espère que tu es bon nageur !— Je le suis !
Comme une nymphe, elle se glissa dans l’eau. La côte formait une large crique, éclairée par les feux du camp macédonien et à l’extrémité duquel se dressait un tertre.
— Tu sais bien nager, remarqua Alexandre. — Je suis née au bord de la mer.
Alexandre ne répondit pas et continua à nager jusqu’au tertre et ils sortirent de l’eau la main dans la main. Il respirait la magie de l’endroit et se sentait vraiment Achille et voyait dans Daunia une nouvelle Briseis .
— Seuls les Dieux peuvent jouir de tels moment, murmura-t-il dans la brise. — Alors tu es croyant, lui demanda Daunia— Oui— Mais alors, pourquoi dans le temple..... — Ici, c’est différent, on peut s’imprégner des voix anciennes qu’on pense éteintes pour toujours et en plus, tu resplendis devant moi sans voile. — Tu es vraiment Roi ? — Regarde-moi bien, qui crois-tu que je sois ?— Tu es un homme qui m’apparaît parfois en songe et que j’aurai voulu aimer. Sans transition elle posa sa tête sur la poitrine nue d’Alexandre .— Demain, je partirai et dans quelques jours, il y aura une grande bataille, que je gagnerai ou peut-être que je mourrai. — Alors, si tu le souhaites, aime-moi, ici sur le sable encore tiède, laisse-moi te serrer dans mes bras et goûter ta bouche. Peut-être qu’on le regrettera plus tard, mais je refuse de ne pas connaître le descendant d’un demi-dieu et un demi-dieu à en devenir.
Alexandre descendant sa tête, approche sa bouche de cette poitrine si fière et commence à absorber entre ses lèvres, le téton qui se dégage et durci. Daunia lui caresse la tête doucement, jouant avec les boucles blondes de ses cheveux.
— Seuls les dieux peuvent avoir pareille félicitée. Nous serons donc des dieux pendant cette nuit.
Sentant que ses baisers sur les seins de la belle la prédisposait à une suite gustative, Alexandre, la pine dans le sable chaud rampe entre les cuisses sculpturales pour arriver à l’embouchure du bonheur. Il lui lèche sa petite noisette entraînant un mouvement de plus en plus saccadé des anches de Daunia, puis il continue sa descente vers le puits de l’amour et commence à lécher son huître à la saveur de mer.
— Daunia, tu es vraiment une merveille, me permets-tu de pénétrer ton puits d’amour et te rendre femme ou tu préfères que je te fasse comme je le fais avec Patrocle. — Viens, d’un demi-dieu, une femme ne peut que souhaiter d’avoir une descendance de sa part.
Lentement Alexandre remonte son sexe vers celui bien prêt de Daunia.
— S’il te plaît, passe encore une fois dans l’eau, quand tu me buvais, tu avais le sable qui traînait dans le sable. Cela ne va pas être bon sans l’enlever. — Tu as raison, j’aimerai tant que ce soit mémorable pour toi.
Ce disant, il se replonge dans l’eau, ce qui ne diminue en rien son excitation de jouir d’une si belle vierge. Lentement, il ressort et cette fois, il présente son épée de chair devant le temple du plaisir de Daunia. Il l’introduit entre les lèvres bien huilées et sentant une petite résistance, il s’enfonce d’un coup pas sec jusqu’au fonds de la baie du plaisir.
— Aïe, continue, je ne sens plus rien.
Alexandre, avec application fait ses aller retour, plongeant avec une régularité de métronome sa bite dans cette grotte de corail. N’y tenant plus, Daunia lui prend la bouche et commence, bien que ce ne fût pas l’habitude, de lui bouffer le museau en accentuant les coups de rein en réponse aux pénétrations d’Alexandre et ce qui devait arriver, arriva, simultanément un orgasme divin les unis encore plus fort.
— Mon aimé, je n’aurai pas cru que ce fût si bon. Viens reposons-nous un peu le temps que la cavalerie retrouve son souffle. — Oui, Briseis. Belle comme l’aurore d’une nuit profonde, je me sens trop bien vers toi, mais je n’aurais pas la possibilité de rester vers toi demain. — Je sais, raison de plus pour faire des provisions d’amour, dit-elle en laissant traîner sa menotte vers ce sceptre qui n’a pas encore repris une forme olympienne, (avant d’être olympique)
Doucement elle se penche en avant et donne un baiser sur l’extrémité du sexe d’Alexandre qui commence à revenir à la vie.
— C’est pas mauvais de goûter nos deux essences mélangées, mais je vois que tu as repris de la forme, me permets-tu de t’aimer à la façon Andromaque. — Tout ce que tu veux, c’est ta nuit. Sans transition, comme le prétend PPDA quelques ou plutôt beaucoup de siècles plus tard, elle grimpe sur le ventre d’Alexandre et abaisse lentement son sexe vers le sceptre royal qui l’attend. Lentement elle commence à entrer et sortir, puis d’avoir un mouvement de balancier d’avant et en arrière, frottant son bouton contre la fourrure d’Alexandre. Le rythme s’accélère et Alexandre serre les dents pour ne pas rendre les armes le premier. Enfin après une chevauchée complètement débridée Daunia commence à couiner de manière très significative, annonçant un nouvel orgasme. Alexandre desserrant les dents, se laisse aller et tapisse à nouveau les ovaires à disposition d’une nouvelle ration de crème de banane. (petit anachronisme) Daunia bascule sur le côté et se couche sur le dos en prenant la main d’Alexandre.
— Regarde le ciel, comme c’est beau, surtout quand on a bien fait l’amour. Je me demande ce qu’en pense le vieux Zeus, lui qui courrait le gille-doux comme un satyre, en voyant notre félicité. Il doit être bien jaloux.
Le lendemain matin, juché sur Bucéphale, Alexandre passa en revue son armé qui était assez nombreuse et qui donnait des maux de tête à son intendant pour assurer la subsistance. Ensuite il donna le signe du départ et Daunia le regarda disparaître au loin en essuyant une larme. Elle s’enferma dans le temple pour cacher son émotion.
Pendant ce temps là, l’état major Perse discutait de la tactique à suivre. Mémnon en consultant ses cartes proposa le plan suivant : — L’armée d’Alexandre est légèrement plus forte que la nôtre, on va se retirer en pratiquant la terre brûlée, ne laissant pas d’eau avec une cavalerie légère qui va attaquer ceux qui vont au ravitaillement.
Le satrape qui n’arrêtait pas de s’attraper, s’isola un instant sur le balcon et après réflexion :— Non, je ne suis pas d’accord de laisser les Macédoniens saccager nos jardins, demeures — Mais les renforts demandés n’arriveront pas à temps pour nous aider. — C’est égal, nous allons les affronter, Alexandre n’est qu’un adolescent on devrait pouvoir l’avoir sans problème. — Tu connais son général ? — Non— C’est Parménion, un général qui n’a jamais perdu une bataille. Les Thébains ont été vaincus deux fois avec une maestria jamais vue. — Ce sont des racontars. Nos valeureux soldats n’en feront qu’une bouchée. Pour te rassurer, on va le rencontrer sur un terrain qui nous est favorable, sur le Granique, (NDR Fleuve connu pour avoir été également fatal à Frédéric barbe rousse, empereur romain-germanique en route pour la croisade) ... le terrain est argileux pas favorable à la phalange et sa cavalerie n’y sera pas à l’aise. C’est ainsi que l’armée Perse, dirigée par un mercenaire grec s’apprêtait à affronter Alexandre.
À ce moment, sous la tente d’Alexandre, se tient un conseil de guerre, étalée sur la table de campagne une grande carte établie par le cartographe royal sur les conseils avisés d’Aristote.
— A ton avis Le noir, si tu étais à la place de Memnon, que ferais-tu ? — À sa place, j’éviterai le combat et ferais la terre brûlée, mais comme c’est pas lui qui prend la décision finale, mais le satrape, je dirai que j’essayerai de te fixer sur les rives du Granique.— Si je comprends bien, notre chance, c’est de foncer avant qu’ils reçoivent des renforts. — Oui, mais ce qu’il faut savoir, c’est que les rives du Granique sont traîtres, formées d’une argile molle qui n’est pas favorable à notre armement. — Je viens de lire la retraite des dix-milles qui décrit bien l’endroit et les habitudes guerrières des Perses. On va attaquer au petit matin pour ne pas se laisser embourber, Je prendrai la pointe du combat. — Mais Alexandre, ce n’est pas raisonnable, tu vas te mettre en danger. — Je veux que chaque soldat voie qu’il n’y a pas que lui qui risque sa vie.
Sur ce Parménion lui conseilla de prendre le Noir pour le protéger.
— C’est bon, je ferai comme tu le dis. ... On envoie des espions en avant pour voir leurs préparatifs et les unités légères pour liquider leurs espions. On marchera ce soir jusqu’à proximité du guet et on campera là, demain avant l’aurore, on fonce avant qu’ils se réveillent.
Avant l’aube, Alexandre est réveillé par son esclave préférée qui l’adorait et qui voulait un petit câlin avant la bataille, mais Alexandre lui promis la primauté après la bataille, en se disant qu’un beau petit conin vaut mieux qu’un beau cul de prisonniers qui a encore toutes les souffrances du combat.
— Prépare-moi pour le retour. .
Il fait le tour de ses écuyers en leurs recommandant de préparer leurs bataillons pour l’assaut, de ne pas trop manger pour ne pas avoir le ventre trop plein. Lui-même va vers son bataillon, le bataillon de pointe où il retrouve Le Noir. À ce moment-là, les éclaireurs reviennent pour apporter des nouvelles :
— Mon roi, le camp adverse dort encore, mais il y a aussi sur l’autre rive un détachement d’espions. — Cela justifie d’autant plus mon plan. Faites moi savoir quand toutes les unités soient prêtes.
Dix minutes plus tard, on annonce que tout le monde est prêt. Alexandre prend la tête et s’approche de la rivière et fait le signe à son armée de franchir le Granique, lui-même lance son cheval, pas Bucéphale car le terrain ne s’y prêtait pas et Alexandre ne voulait pas abîmer son fabuleux cheval. À peine le bataillon de pointe dans l’eau, les espions envoient des flèches qui touchent certains, mais ne freine pas l’host et sitôt que le bataillon prend pieds sur la rive adverse, les espions sonnent l’alerte, mais trop tard. Sitôt la cavalerie ayant traversé, Alexandre se lance avec son bataillon à l’attaque du camp de Memnon, ce qui désorganise complètement l’armée adverse qui peine à se mettre en ligne, les premiers à arriver un semblant de cohésion, ce sont les mercenaires grecs, mais la phalange macédonienne n’émerge pas du sommeil et commence sérieusement à se battre contre. Alexandre emporté par sa fougue se trouve un peu isolé et en face du satrape, un colosse, il est en position très difficile et heureusement Le Noir lui sauve la vie. Qu’à cela ne tienne, il repart avec son bataillon, le reste de l’armée perse ayant pris la fuite, prendre le détachement de mercenaires à revers continuant le principe de l’enclume et du marteau. Il faut savoir que toutes les phalanges, grecs ou macédoniennes ont la fonction d’attaquer ou défendre que dans une direction et l’arrière et les côtés sont les points faibles de ce genre de formation. Les premiers ayant compris ceci furent les romains qui lors d’affrontement quelques siècles plus tard, systématiquement contournait la phalange qui contrairement à la phalange d’origine qui était pas trop équipée, si ce n’est de la sarise qui fut ramenée de 6m à 4m, avait perdu par un supplément d’équipement sa souplesse. Tout le corps de mercenaires est massacré sans prisonnier, si ce n’est que Memnon, fortement blessé s’est dissimulé sous un amoncellement de cadavres et réussit à l’occasion de la nuit à s’échapper pour retrouver sa famille et se faire soigner. Cette première bataille sur sol anatolien, commandée par Alexandre va lui tailler une réputation encore plus forte que précédemment. Après quelques jours passés à panser les plaies et à rechercher Memnon dont on a pas retrouvé le cadavre, à enterrer les morts, yc les ennemis, Alexandre envoie des émissaires vers les autres villes de l’Anatolie pour qu’elles acceptent sa suzeraineté. La plupart se soumettent volontairement, le sort de Thèbes étant connu, seul Milet, qui dans un premier temps accepte, puis refuse ainsi que Tyr.
C’est ainsi qu’Alexandre conquis les villes de l’ouest de l’Anatolie. Pour la suite de la campagne, notamment la prise de Milet et de Tyr fera l’objet d’un prochain chapitre.
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