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Ma meilleure amie Catarina et le lycée

Chapitre 7

Erotique
Chapitre 6 La soirée (Partie 2/2)

Je sors de l’armoire, penaud. Je m’apprête à sortir quand je remarque la deuxième porte de la chambre d’Enzo qui mène à la salle de bain...qui possède une porte menant à la chambre où les deux se sont enfermés ! Tout content, j’entre à pas silencieux dans la salle de bain et me baisse pour regarder par le trou de la serrure...J’aperçois un grand lit...c’est la chambre de ses parents !
J’entends les rires de Caterina et soudain elle s’écrase sur le lit violemment, comme si Enzo l’avait balancé dedans, il la retourne sur le ventre d’un coup et saisit ses jambes en dévorant du regard son cul parfait. Il relève la robe de Caterina jusqu’en haut de ses fesses et il fait glisser ses bas le long de ses cuisses en les caressant, Caterina au même moment, pudique, descend sa robe sur ses fesses pour ne pas rester en culotte.
Il se frotte les mains puis se met à masser les mollets de Caterina. Il remonte au niveau de ses cuisses et se met à les pétrir, il les écarte légèrement pour pouvoir en masser l’intérieur. Caterina pousse des longs soupirs de contentement et il remonte rapidement vers ses superbes fesses qu’il commence à malaxer. Il lui parle en portugais et je ne comprends pas ce qu’il lui dit mais ça doit être des compliments vu comment il tapote ses fesses rebondies à chaque phrase, Caterina répond en gloussant et en se cachant le visage avec les mains.Il retourne alors Caterina sur le dos en grognant.
— Passons aux choses sérieuses. Déclare-t-il avant de lui faire passer rapidement sa robe par dessus les épaules.
Caterina glousse et sa respiration s’accélère. Elle est maintenant en sous vêtement avec un mec à califourchon sur elle qui retire sa chemise. Elle porte un ensemble noir ultra sexy, un soutien gorge, qui épouse à merveilles les contours de sa poitrine enchanteresse et une petite culotte en dentelle noire.Il se penche vers elle et se met à l’embrasser dans le cou, elle gémit et il remonte vers sa bouche pour la faire taire.Elle se met à caresser son torse musclé en poussant des espèces de ronronnements d’excitation. Enzo s’assoit et la place à califourchon sur lui en la soulevant faisant remuer ses délicieux pare chocs. Il se met à lui embrasser le décolleté, et chaque centimètre carré de peau de ses seins en dehors de son soutien gorge, pendant qu’elle soupire en s’agrippant à sa tête, la serrant contre son cœur.
Enzo, n’en pouvant plus recule et retire son caleçon faisant apparaître un pénis court mais large qui jaillit d’un coup vers Caterina qui sursaute.
— Tu va passer une nuit de folie ma petite portugaise, s’exclame-t-il enfin en français.
Caterina se raidit soudain, les yeux fixés sur son pénis.
— Euh Enzo...Je...je l’ai jamais fait ça...Je pensais qu’on allait juste s’embrasser et s’amuser un peu...

Enzo la fixe, interdit pendant qu’elle baisse la tête, Il y’a un silence dans la pièce et pendant une seconde j’ai peur qu’ils entendent ma respiration.Le jeune homme soupire puis caresse la joue de Caterina.
— Bon OK...dommage j’était vraiment chaud, c’est pas tout les jours que j’ai une bombe pareil dans mon lit. Bon tu peux au moins me sucer ?
Caterina se dandine, gênée.
— Allez c’est facile, c’est comme avec une sucette ou une glace tu....
— Oui je sais, ça je peux essayer. Répond-elle d’une voix hésitante.
Enzo répond en souriant pendant qu’elle se met à quatre pattes pour saisir sa bite. J’admire sa patience, je sais que si ça avait était moi ou Antoine on n’aurait pas fait preuve de la même clémence...Caterina s’applique à le masturber et Enzo pousse un grognement de plaisir, il l’interrompt et change de position, se plaçant en 69, il veut retirer la culotte de Caterina mais celle ci l’arrête.
— Tu fais quoi là ?
— Je vais te faire ton premier cunnilingus ma petite cochonne.
— Hum...mais ça va me faire mal ? Demande-t-elle d’une voix naïve.
— Je ne vais pas te pénétrer juste te bouffer la chatte, t’inquiète tu va adorer...toi fais ton travail.
Caterina hoche la tête puis continue à lui branler la queue, en approchant ses lèvres pulpeuses auquel j’ai goûté il y’a moins d’une heure...De là ou je suis Antoine a les pieds tourné dans ma direction et j’ai une vue royale sur Caterina lorsqu’elle commence à le sucer, ses gros seins ballottant lorsqu’elle bouge la tête. Elle essaye de faire ça bien et Antoine pousse aussitôt des grognements de satisfaction.
— Oh ouais c’est bon ça salope continue !
— C’est vrai ?? tu aime ça ? Je...Glo,glo, slurropp, slurrpp, Essaye-t-elle d’articuler au moment ou il commence à onduler du bassin, enfonçant sa bite dans la gorge de la jeune fille.
J’entends Enzo baisser sa culotte mais de là ou je suis je ne vois rien ! Les fesses de Caterina et la tête d’Enzo juste en dessous étant orienté vers le mur opposé. Je rage silencieusement pendant que j’entends Enzo commencer à laper sa chatte.
— Hum j’aime quand c’est rasé, petite chienne va...
— Hum, ah, oh, oui ! glorp. Halète Caterina.
— Je vois que t’aime quand je te parle mal...tu mouille deux fois plus !
Caterina honteuse ne répond pas. Pendant les minutes suivantes, c’est presque un supplice pour moi, de voir ses belles lèvres glisser le long de sa verge, sa petite main essayait d’en faire le tour. Et le son...entendre, les bruits de Enzo en train de bouffer le clitoris de Caterina sans même pouvoir voir, au clapotis que j’entends lorsqu’il la doigte, elle est inondée de cyprine. Elle ne cesse de gémir et de gigoter comme si le contact de la langue d’Enzo la rendait folle.Soudain Caterina commence à remuer, elle se cambre, frappant le ventre d’Enzo avec le sien et ses jambes se mettent à trembler. Elle délaisse la bite d’Enzo et relève la tête...dans ma direction...et sans même se douter de ma présence elle se met à jouir pour la première fois de sa vie, poussant des petits couinements qui se transforment rapidement en hurlements, les yeux exorbités et le visage tordu par un rictus de pure extase.
— OH PUTAIN, OOUIIIII OH OH OH OH OH AH C’EST TROP BON !!!
Au bout d’une dizaine de secondes elle cesse de crier, mais on a déjà dû l’entendre dans toute la maison...Enzo se dégage de sous son corps pendant qu’elle remet sa culotte en tremblant.
— Ba putain, c’est l’orgasme le plus foudroyant que j’ai jamais vu, t’es du genre ultra sensible toi. Rigole-t-il en lui claquant les fesses.
— Oui...je...c’est la première fois que....encore...j’en veux encore ! Répond-elle, les yeux vitreux et un filet de bave aux lèvres.
— Ah si y’a que ça, j’attends que de pouvoir te baiser.
Elle le regarde puis marche à quatre pattes vers lui d’une démarche féline terriblement sexy. Puis elle semble reprendre conscience et rougit.
— Euh non, désolé pas maintenant...je...me sens pas prête pour ça et on se connaît que depuis quelques heures...mes parents me tueraient s’ils savaient.
— OK OK j’ai compris mais j’ai toujours les couilles pleines moi viens me finir chaudasse ! L’interrompt Enzo en s’asseyant au bord du lit.
Il la fait descendre, à genoux par terre, de là ou je suis, elle est à un mètre de moi, de dos, son cul posé sur ses pieds, dont la largeur contraste avec la finesse de sa taille et de son dos musclé...Bon sang si seulement elle n’avait pas remit sa culotte...Elle recommence à le branler puis engloutit à nouveau sa bite. Enzo caresse son dos puis saisit le fermoir de son soutien gorge, elle s’interrompt et lui demande ce qu’il fait.
— J’ai besoin d’un stimulus et t’as la deuxième plus belle paire de seins que j’ai vu de ma vie.
— Mais...
— Arrête un peu, t’es a moitié nue en train de me pomper le chibre tu peux bien me montrer tes nichons.
C’est marrant j’en suis à un point ou j’ai plus envie qu’elle accepte qu’elle ne refuse. Caterina reste silencieuse puis reprend la masturbation, Enzo interprète cela comme un accord et dégrafe son soutien gorge...
— Waw ils sont vraiment...Dit-il en passant la main dessus.
— C’était à qui les plus beaux seins que t’as vu ? L’interromps Caterina.
— Ha ha ha ta pote Alice...elle a vraiment des...AIE OK désolé j’ai rien dit t’es la plus bonne ha ha, Répond-il
Putain de merde JE VOIS RIEN MOI, de là ou je suis Caterina est de dos donc tout ce que je vois c’est les côtés de ses seins dépassant sur les côtés de son dos...Ces courbes harmonieuses, défiant la gravité en restant parfaitement droit et ferme malgré leurs tailles...FAIS CHIER. Je donnerai n’importe quoi pour qu’elle se tourne vers moi.Enzo continue à lui caresser les seins en soufflant de plus en plus fort. J’ai l’impression que le fait qu’une telle bonasse soit à la fois si proche et si loin décuple son excitation, le sentiment qu’on lui refuse quelque chose...Il pousse alors un râle et prévient Caterina qu’il va éjaculer. Celle ci se redresse d’un coup plaçant ses seins juste devant sa bite et en les secouant en gloussant. Enzo reste bouche bée puis après un autre râle j’entends le bruit des jets de sperme percutant les seins de Caterina.
— Aaahh prend ça putain t’es parfaite....Râle Enzo en s’effondrant dans le lit.
Caterina se relève, toujours dos à moi et me cachant toute la vue avec ses fesses, que je peux à présent admirer en culotte...Malheureusement dans la pénombre, et comme elle est face à la lumière (son derrière est donc plongé dans l’ombre), je ne vois pas grand chose.
— Waw tu m’as peint un tableau sur les lolos ! S’exclame Caterina en rigolant.
— C’est grâce à toi ma belle...tu peux aller te nettoyer et te rhabiller dans la salle de bain moi je vais reprendre des forces tu m’as vidé...
Merde ! Je recule à toute vitesse le plus silencieusement possible et referme la porte de la chambre d’Enzo au moment ou Caterina ouvre la porte de la chambre de ses parents (les portes menant à la salle de bain) Je sors rapidement de la chambre encore sonné par la scène que je viens de voir. C’est maintenant la deuxième fois que Caterina touche une bite et la première fois qu’elle en suce une toutefois elle ne semble pas encore prête à aller plus loin que ça...mais cela ne saurait plus tarder et j’ai malheureusement l’impression que je ne participerais pas à cet heureux événement....Dire que Enzo l’a vu entièrement nue et que à cause d’un putain de concours de circonstances je ne l’aurais vu qu’en sous vêtements.
Alors que je marche dans le couloir perdu dans mes sombres pensées je percute une imposante poitrine....Alice.La rousse à l’air fatiguée, elle cherche sans doute un endroit où dormir. Elle me lance un regard noir puis entre dans une chambre. Je la rattrape, voyant là une occasion de demander lui pardon (Quoique je n’ai rien fait de mal).
— Attend Alice, Dis-je.
— Quoi ? Répond-elle sèchement, en sortant sur le balcon donnant sur le jardin, elle titube encore, visiblement elle a encore bu.
Je la suis et referme la porte coulissante du balcon derrière moi, la lumière de la lune et des étoiles éclairent notre peau d’une curieuse manière, nous donnant l’air de deux fantômes.
— Ecoute je suis désolé d’être con, je n’aurais pas dû te repousser sans t’expliquer pourquoi comme ça à chaque fois et...
Je m’interromps en la fixant, Dieu qu’elle est belle.
— Je n’aurais pas du te repousser du tout en fait, j’avais aucune raison réel. Même si je ne suis pas amoureux de toi je peux te dire que tu me plais beaucoup, j’aurais dû accepter tes avances et voir comment aurait évolué les choses...j’ai l’impression d’avoir tout gâché.
Elle devient toute rouge et semble hésiter entre la colère, la joie, l’incompréhension et l’étonnement.
— Ah OK. Balbutie-t-elle en me dévisageant, les yeux dans le vague.
— OK ? Je me confie à toi et c’est tout ce que t’as à me répondre là ? Répond-je, je regrette aussitôt d’avoir haussé le ton, je sais qu’elle est beaucoup plus colérique quand elle est ivre...
Elle me fout soudain une gifle. Ah j’avais raison de m’inquiéter.
— ENFIN ENFOIRÉ, c’est quoi ton foutu problème ??? Hein ? Se met-elle à crier avant d’être interrompue par une crise de hoquet.
Elle s’approche de moi et m’attrape par les épaules avant de m’embrasser gauchement, puis de me remettre un coup de poing dans le ventre.Merde c’est quoi son délire. Elle s’arrête, m’embrasse à nouveau puis me pousse vers la rambarde, heureusement qu’elle est haute sinon c’était la chute assuré. Elle s’approche tout près puis s’arrête en souriant. J’ai déjà vu ce sourire, un sourire fourbe et machiavélique.Ah oui, c’est le mien.
— Quoi ?? Je regrette je t’ai dit !
— Tu crois peut être que je vais tomber dans tes bras pour te faire oublier que t’as perdu toute tes chances avec Caterina ? Oui parce que tout le monde l’a entendu se faire tringler comme une pute ! oh non mon coco tu va souffrir, je vais te montrer ce que t’aurais pu avoir mais que t’auras pas ! Tu va avoir un avant goût, un extrait de ce dont t’aurais pu profiter et là tu regretteras !
Je suis surpris de ce qu’elle dit sur Caterina avant de me remémorer son orgasme dévastateur.Elle fait alors passer son top par dessus ses épaules, dévoilant ses magnifiques seins emballés dans son soutien gorge bleu. Elle les colle contre moi et je manque de m’évanouir. Elle se retourne ensuite frotte son dos contre moi, et ma bite vient s’encastrer entre ses deux fesses bombés. Je passe mes bras autour d’elle pour saisir ses seins mais elle glisse contre moi et se retrouve à genoux par terre alors que mes bras se referment sur le vide.Elle se retourne, toujours à genoux devant moi et me baisse mon jean jusqu’au genoux. Ses gestes sont maladroits et sa tête dodeline de gauche à droite. Elle sort mon pénis et écarquille les yeux, surprise par la taille.
— Wow, je n’en avais pas vu d’aussi grosse depuis l’Afrique du Sud ! Daniel et Antoine seraient jaloux.
— QUOI ? Parce que t’as vu leurs...
Elle m’interrompt en embrassant mon gland, puis le tête quelques secondes, ça me suffit pour bander extrêmement dur.
— T’as de la chance que je sois déchirée sinon j’aurais jamais fait ça, Marmonne-t-elle.
Et elle engloutit ma bite d’un coup. Sa fellation est brutale, sauvage, affamée. Elle me suce goulûment et rapidement, alternant mouvements de têtes rapides et effrénés. J’essaye de lui caresser les cheveux mais elle me tape sur la main en m’insultant, enfin je crois que c’est ce qu’elle fait mais elle est difficilement compréhensible avec ma bite qui déforme sa joue. Elle continue à me pomper et avec elle le mot pomper prend tout son sens. Elle aspire de toutes ses forces avec une hâte impressionnante de faire jaillir mon sperme. Elle lève la tête vers moi et plante son regard dans le mien, ses yeux gris-verts luisants de provocation alors qu’elle se met à lécher ma bite tout en attrapant et en serrant mes couilles dans son autre main. Je ne peux plus résister très longtemps, ma bite commence à tressauter au moment où la porte du balcon s’ouvre sur Caterina.
— Alice, je te cherche depuis tout à l’heure, il est 2 heures mon père arrive nous cher....Commence Caterina avant de s’interrompre stupéfaite au moment ou ma bite se met à cracher une quantité abondante de sperme avec force, éclaboussant entièrement le visage de la belle rousse de sperme.
Alice s’essuie au niveau des yeux puis prend en bouche ma queue une dernière fois pour la nettoyer. Elle tourne alors la tête vers Caterina qui est toujours immobile, estomaquée, de voir sa meilleure amie recouverte du sperme de son meilleur ami.
— Pourquoi tu tire cette tronche Caterounette ? Demande Alice le plus naturellement du monde.
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