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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 2

Trash
Tête basse, Mélanie revint dans la cabine pour en ressortir cinq minutes plus tard, toujours aussi rouge, douloureusement consciente du regard de la dizaine d’hommes qui assistaient à la scène. Elle avait l’impression que tout le monde voyait son anus distendu par le gros œuf noir, que celui-ci allait tomber sur le carrelage ; alors elle serrait les fesses, essayant de contracter ses muscles anaux pour éviter ça.
— Alors, ça va ? se moqua la vendeuse. Tu n’es pas morte !— Non, mais c’est gros…— Chochotte ! se moqua-t-il. Bon, va passer la robe noire, on va ensuite choisir quelques autres articles pour toi, lança Lenoir.— … D’accord.
En fait, il prit une autre paire d’escarpins à talons hauts, deux autres plugs tellement gros que jamais elle ne pourrais les porter sans être déchirée, une ceinture de chasteté pourvue d’un gros cadenas ; c’était un modèle à l’intérieur duquel on pouvait fixer deux godes pour remplir les orifices de la femme qui le portait. Et de fait, il choisit deux godes assez volumineux à fixer sur la ceinture.
— Comme ça, je n’aurai pas à craindre que tu fasses des cochonneries quand tu n’es pas avec moi, expliqua-t-il à la jeune fille atterrée.
Lenoir paya en liquide à la caisse, sans broncher sur le montant de la facture, puis il poussa la blondinette devant lui et la fit monter dans sa voiture. Elle portait toujours la robe noire sur le mini-string blanc, et le plug était bien sûr fiché dans son anus. Elle le sentit s’enfoncer et remuer quand elle s’assit sur le siège en cuir.
— Alors, comment tu as trouvé ?— J’ai vu ce que vous avez dépensé : c’est fou !— Je vais te dresser, et tu vas être ma petite pute ; alors il te fallait des tenues de pute pour que tout le monde sache ce que tu es. Quand on te verra habillée comme ça, tous les hommes voudront te défoncer par tous les trous. Tu comprends ?— Alors les services dont vous parliez, c’est ça ? Je ne suis pas une pute, vous savez. Je suis étudiante. Ce n’est pas parce que je suis pauvre que vous avez tous les droits.— N’empêche que tu es dans ma voiture habillée en pute avec un plug dans le cul ! Enlève ton manteau, il ne fait pas froid ici.
Encore une fois, Mélanie faillit protester mais finit par ouvrir la ceinture de sécurité pour enlever son manteau. Gênée, elle déglutit et regarda fixement la route devant elle, les mains croisées sur les cuisses. Il quitta la route des yeux pour mater le spectacle, mais ne parut pas satisfait.
— Enlève les mains et écarte les cuisses, que je puisse voir ta petite chatte baveuse. Demain, c’est débroussaillage total. On n’a pas idée d’avoir des poils partout quand on est une pute obéissante. Ma copine m’a donné une adresse où on te fera ça gratis en échange de quelques services, comme tu dis.— Mais… je n’ai pas envie…— Tu n’as pas envie de faire plaisir à ton propriétaire, de lui obéir comme une petite chienne ? Tu as envie d’une bonne fessée, là, tout de suite, au bord de la route ?
Ils roulaient paisiblement dans une rue bien éclairée, et elle comprit qu’il était prêt à s’arrêter. Elle se tortilla, gênée par le plug envahissant ; les yeux troubles, le ventre lourd et chaud : elle était excitée malgré elle par la situation de plus en plus malsaine. Elle ne put que répondre :
— Non, c’est d’accord…— « Monsieur » ; quand tu me parles, c’est « Monsieur », par respect. Si tu l’oublies encore, tu seras punie. Compris ?— Oui, Monsieur…— Bonne fille. On va bien s’entendre, tous les deux. Tu veux faire quoi, quand tu auras ton diplôme ?— Je voudrais tenter l’École Nationale de la Magistrature, sinon devenir avocate.— L’ENM ? Ce soir, j’encule une future juge ! En arrivant, tu files dans le salon, tu enlèves ta robe, ton string, tu t’installes à genoux sur la table basse, la tête posée sur le plateau et la bouche ouverte, et tu écartes tes fesses à deux mains pour m’offrir ton cul, compris ?— Oui… Monsieur, répondit-elle d’une voix blanche.
En même temps, elle ne pouvait ignorer que sa poitrine était gonflée et dure et que ses aréoles avaient doublé de volume, tendant le fin tissu. Son ventre était sûrement trempé ; il allait la prendre pour une vicieuse s’il s’en rendait compte.
— Tu as l’air d’aimer ça, d’être enfin traitée comme la pute que tu es. Je vois tes petits tétons à travers la robe… Pince-les, fort.— Que je les… Oui, Monsieur.
Elle ne put retenir un gémissement quand elle s’infligea à elle-même cette douleur cuisante qui traversa sa poitrine. Puis elle hoqueta lorsqu’elle sentit deux doigts glisser sur sa fente pour vérifier qu’elle mouillait. Satisfait, le conducteur huma ses doigts avant de les lécher.
— Tu n’es qu’une chienne ; tu mouilles quand tu es avec un vrai mâle. Tu vas me donner ton cul, tout à l’heure ?— Oui, vous savez bien que oui, soupira-t-elle.— Et tu auras une bonne fessée, aussi.— Mais je… Pourquoi vous voulez me punir ? Je fais tout ce que vous voulez !— Tu oublies de m’appeler « Monsieur ». Tu ne crois pas que ça mérite une bonne punition ? Pour la vilaine fille que tu es ?— Euh… Si, vous avez raison, Monsieur.
Mélanie était fataliste ; elle comprenait qu’elle avait intérêt à être docile avec cet homme qui la logeait gratuitement. Mais il exigeait d’elle bien plus qu’elle ne le croyait de prime abord. La voiture s’arrêta dans le garage de la maison, le portail comme la porte se refermant automatiquement. Mélanie frissonna en sortant du véhicule, peu protégée par sa robe. Elle se hâta d’entrer dans le salon, aussi vite que le lui permettaient ses talons trop hauts.
— Monsieur, je peux aller aux toilettes ? S’il vous plaît.— D’accord ; mais tu nettoies bien le plug, puis tu le remets en place et tu reviens ici à poil, juste en talons aiguille.
La jeune fille s’enferma donc quelques minutes aux toilettes. Quand elle revint dans le séjour, elle se figea un instant : il était nu lui aussi. Elle savait qu’il avait cinquante ans, ce qui était sacrément vieux pour elle, mais il était impressionnant de carrure. À peine enrobé, il présentait une musculature bien entretenue. Sa peau mate et pas très velue était ornée de nombreux tatouages militaires, tribaux, animaux ou végétaux. Mais ce qui l’impressionna et lui fit même peur, c’était sa gigantesque verge. Sa matraque noueuse sillonnée de veines sombres possédait une longueur et une épaisseur qu’elle jugea inquiétante. Il allait la déchirer s’il la sodomisait, elle qui n’avait jamais accepté cela précédemment.
Il la toisa, retenant un sourire de triomphe : elle avait un corps superbe, menu mais avec de jolies hanches bien marquées sous une taille très fine dont il devait pouvoir faire le tour avec ses deux mains, et une poitrine arrogante et bien pleine aux tétons roses dardés. Il lui tendit un tube de lubrifiant et lui montra le sol du pouce. Obéissante, elle s’agenouilla devant lui, ses yeux se trouvant à hauteur de l’énorme engin qui se balançait de manière menaçante. Le gland était presque entièrement recouvert d’un prépuce épais, et son premier geste fut de décalotter la bête.
Appliquée, se mordant la lèvre inférieure, elle appliqua le lubrifiant sur toute la longueur de la colonne qui gagna encore en épaisseur et en fermeté. Luisante et formidable, elle hypnotisait presque Mélanie de son œil noir. Puis elle comprit qu’il était temps et elle s’agenouilla sur la table basse, cuisses écartées au maximum. Posant la joue sur le bois, elle saisit ses fesses et les écarta de son mieux, humiliée et surtout immensément troublée de s’exposer ainsi.
Il manipula le plug et joua avec, le retirant à moitié, complètement, le renfonçant lentement, arrachant des hoquets à la jeune blonde. Puis il l’enleva et pesa de son gland. Il n’avait rien perdu de sa vigueur ni de sa taille ; pourtant Mélanie n’eut pas le temps de se crisper que déjà il était en elle. Son anus tenta alors de se refermer sans y parvenir, et Mélanie supplia son bourreau de faire attention. Bien sûr il n’en fit rien et s’enfonça au contraire plus avant.
— Oh mon dieu que vous êtes gros, je vous en supplie, doucement... Oh mon dieu !— Tais-toi un peu, le plus dur est fait !— Peut-être, mais j’ai mal, vous allez me déchirer !
Pour toute réponse, il donna un violent coup de reins qui propulsa son engin presque à fond dans l’anus distendu. Elle poussa un cri de douleur, mais constata aussi que celle-ci diminuait rapidement. Aussi incroyable que cela paraisse, elle s’habituait peu à peu à être empalée par le monstrueux engin. Elle frémit quand il passa deux doigts dans sa fente et la trouva trempée. Il ricana, certain d’avoir gagné.
— Alors, petite pute, tu aimes ça maintenant ? Tu vois que ce n’est pas si terrible... Allez, dis-le, que tu aimes...— Non ! Vous me faites mal !
Il poussa et se cala complètement enfoncé dans le ventre. Son épieu avait disparu entre les petites fesses de la blondinette qui gémissait sans arrêt. Il se retira lentement, et il vit le corps mince trembler et se tendre involontairement vers lui, pour qu’il revienne.
— Dis-moi que tu veux être enculée : tu n’attends que ça, je le vois bien. Ou tu préfères une bonne fessée, avec la ceinture, pour t’apprendre à mentir ?— Hein ? Non, revenez, enculez-moi, s’il vous plaît... Oh !
Il la prit en force et la pilonna sans se retenir, cette fois. Le frêle corps tremblait et se tordait alors qu’il accélérait encore, sentant sa délivrance approcher. Sa queue se raidit et déversa des flots de sperme dans les intestins vaincus. Il grogna et s’immobilisa enfin, reprenant son souffle, toujours fiché au fond du ventre de la jeune fille. Elle soupira et gémit quand il se retira ; il lui donna une solide claque sur les fesses qui laissa une empreinte rouge de main.
— Va te laver ! On mange dans dix minutes ; ne t’attends pas à un repas de gala ! Tiens, c’est un gel décontractant et antiseptique miracle.
Mélanie prit une longue douche et badigeonna son anus avec la pommade. À sa sortie, elle trouva sur son lit une chemise de nuit blanche à boutonner sur le devant et le plug posé à côté. Elle poussa un gros soupir, comprenant que la soirée n’était pas finie. Une fois le sextoy lubrifié avec la pommade en place, elle se glissa dans la chemise, constatant aussitôt que le tissu était très fin et qu’elle couvrait à peine ses fesses en plus d’être de deux tailles trop petite. Elle haussa les épaules et regagna la salle de bain pour peigner sa longue chevelure et la nouer en queue-de-cheval.
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