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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 5

Trash
— Bon, j’ai réfléchi à ta punition. Ce n’est pas facile. Il est presque 4 heures ; si tu veux, tu plies tes affaires et tu fous le camp.— Mais... Vous me mettez dehors ? C’est ça, la punition ?— Non. C’est la porte de sortie pour toi si tu le veux. Si tu choisis de rester, tu subiras l’entièreté de ton châtiment, et je ne te cache pas que ce sera long et sévère. — Long ? Vous voulez parler de combien de temps ?— Tu serais privée de chambre plusieurs semaines, jusqu’à nouvel ordre en fait. Tu dormirais dans la cave à partir de ce soir.— Oh ! Ce ne sera pas agréable du tout, mais je suis d’accord. Je reste, si vous m’acceptez toujours.— Bien. Tu te mets à genoux mais tu enlèves d’abord ta robe. Tu as encore oublié de m’appeler « Monsieur ».— Pardon, Monsieur.
Elle s’agenouilla face à lui, et il la guida, la corrigeant par de petite tapes : le dos bien droit et les mains croisées dans le dos ; tête baissée, elle attendit. Il rectifia sa position jusqu’à ce qu’il fût satisfait, puis commença.
— Ceci est la position numéro un. Tout à l’heure, tu m’as humilié devant des tierces personnes ; c’est la pire offense qu’on m’ait jamais faite. La punition... Je préférais te chasser car tu es encore jeune et innocente, et je pensais à des punitions vraiment vicieuses et cruelles. Tes cours reprennent demain ?— Oui, Monsieur.— Alors je ne peux pas fouetter ton cul, tu auras besoin de t’asseoir. J’ai appelé Freddy, il aura peut-être des idées.
Le carillon retentit peu après. Freddy entra et se pencha sur Mélanie qui n’en menait pas large. Il releva son menton pour la fusiller de son regard le plus glacial.
— Alors tu n’es pas capable d’obéir à un ordre simple, et en plus tu fais ça devant d’autres personnes pour enfoncer mon ami.— Je crois que c’est ça le plus dur, renchérit Lenoir d’une voix sombre. Elle m’a fait passer pour un faible, un moins que rien.— Oui, c’était méchant et stupide. Or tu n’es pas stupide, non ? Tu savais ce que tu faisais, mais ça ne t’a pas empêchée de désobéir.— Je me suis senti humilié, et j’ai été très déçu. Je lui ai proposé de partir pour échapper à sa punition, mais elle veut rester.— Tu as prévu quoi comme punition ? demanda Freddy.— Je ne sais pas. Elle dormira à la cave à partir de ce soir, mais en vérité je ne sais pas.
Mélanie écoutait leur échange surréaliste sans intervenir, comme si ça ne la concernait pas. Elle avait à nouveau baissé la tête et se demandait si elle n’aurait pas dû partir quand monsieur Lenoir le lui avait proposé. Mais son corps en avait décidé autrement : elle était prête à accepter la sentence quand ils auraient décidé de son ampleur.

— J’ai quelques amis dans le monde du X, tu le sais, lança Freddy. Je reçois souvent des acteurs chez moi ; et en ce moment j’ai la crème du black porno US : Michael Neass, Little Gonnesexe, Don Minga et Marc Surm profitent de ma piscine couverte et de mes grands crus.— Ils vont la démolir ! Si je me rappelle bien, ils sont membrés comme des bourricots, et pas spécialement tendres. D’accord, tu les appelles ?— Pas la peine : on leur amène la minette et ils s’occuperont de tout. Ce matin, ils réclamaient des filles parce qu’ils sont en manque ; ils seront ravis.— Mais pas question qu’ils lui fourrent la chatte, hein ! Juste le cul et la bouche. Pour Mélanie, c’est une punition, pas une partie fine.
Ils sont donc partis chez Freddy qui habitait une luxueuse villa à Caudéran. Lenoir gara sa berline derrière le coupé sportif de Freddy et se tourna vers Mélanie, vêtue de sa robe rouge sans rien dessous, hormis le plug dans ses reins.
— Tu as intérêt à te montrer polie et docile ; je ne tolèrerai pas que tu me fasses honte une nouvelle fois.— Bien, Monsieur. Je ne vous décevrai pas.
La blondinette frissonna en remontant l’allée, sa minuscule robe ne la protégeant en rien du froid humide de saison. La maison était bien chauffée, heureusement. Ils suivirent Freddy jusqu’au pool house et sa piscine d’intérieur. Les quatre acteurs sortirent de l’eau pour les saluer, et Mélanie se retrouva entourée de géants blacks vêtus de caleçons de bain. Leur musculature puissante était mise en valeur par les gouttelettes ruisselant sur leur peau d’ébène, les rendant particulièrement impressionnants aux yeux timides de la petite blonde.
Freddy leur expliqua la situation en anglais, et Mélanie capta quelques mots, « just ass and mouth, no pussy », et aussi « you have the slut four hours ». Quatre heures à se faire prendre par ces colosses blacks, la jeune fille comprit qu’elle allait déguster. Fataliste, elle enleva sa robe et, sur une impulsion, plongea dans la piscine. Elle nageait depuis sa plus tendre enfance, et l’eau était son second élément. Elle eut le temps de faire deux longueurs avant d’entendre plonger plusieurs personnes, et en un instant elle fut entourée par les hardeurs américains. Ils la coincèrent, et leurs mains la caressèrent rudement, s’insinuant entre ses jambes. Ils découvrirent rapidement la présence du plug et s’excitèrent encore plus.
Une minute plus tard, Mélanie était à genoux sur un tapis de sol et un black la sodomisait. Malgré elle, des larmes coulaient sur ses joues car il était pourvu d’une queue énorme dont l’épaisseur malmenait ses muscles anaux distendus. C’était Don qui défonçait son anus, et il n’était pas tendre. Il s’enfonçait lentement dans les entrailles malgré l’étroitesse du conduit qu’il empruntait, indifférent aux couinements de douleur de la jeune fille. Michael la fit taire en engouffrant son gland dans la bouche ouverte ; il saisit la nuque de Mélanie à deux mains pour lui imposer peu à peu la totalité de la colonne. Le visage de la blonde prit rapidement une couleur rouge car elle ne pouvait pas respirer. Levant la tête, elle supplia l’homme du regard. Il apprécia de voir les lèvres distendues par sa bite et recula pour laisser respirer la jolie blonde.
Après avoir longuement pilonné son anus vaincu, Don se retira et laissa place à Little, qui n’avait rien de petit. Surtout pas sa queue, dont le diamètre et la longueur auraient fait peur à Mélanie si elle avait pu la voir. Il remplaça son ami en enfonçant son engin lubrifié d’une seule poussée qui arracha un nouveau cri à la pauvre jeune fille. Se raisonnant, elle se cambra pour s’offrir à son suborneur. Il la posséda à une cadence infernale, séduit par l’étroitesse et la chaleur de l’anus encore vierge la veille.
Marc remplaça Michael et obligea aussitôt Mélanie à accepter toute sa longueur dans sa gorge qu’il commença à prendre en allers-retours rapides. Les joues humides et en feu, la jeune fille tentait de rester calme malgré les coups de boutoir qui projetaient son corps frêle en avant, l’embrochant sur la verge de Marc.
Ils tournaient régulièrement pour ne pas jouir trop vite, et au bout d’une vingtaine de minutes Mélanie n’en pouvait plus. La douleur initiale avait disparu, remplacée par une sensation bizarre faite de plénitude glauque et d’assuétude à ces épieux qui la prenaient avec régularité et puissance. Couverte de sueur, elle poussait des cris de gorge accompagnant les assauts dans ses reins dilacérés, les mains posées sur les hanches de l’homme qui usait de sa bouche.
Ils éjaculèrent ensemble ou presque sur son visage et dans sa bouche grande ouverte, Mélanie avala toute la semence sans protester avant de lécher et nettoyer de sa langue les verges à peine débandées. Tout le monde but ensuite un excellent Sauternes servi par Freddy tout en se relayant sous la douche. Les hommes riaient et commentaient leurs exploits alors que la jeune fille, épuisée, s’était assise et s’endormait presque, un verre vide à la main.
— Allez, réveille-toi, c’est reparti ! lui annonça monsieur Lenoir en la secouant.
Mélanie ouvrit les yeux et vit autour d’elle six braquemarts dressés, tous congestionnés et prêts à l’embrocher. Comprenant qu’il ne servait à rien de protester, elle se redressa et tenta de sourire, puis grimaça car son anus était douloureux. Passant une main précautionneuse entre ses fesses, elle sentit que ses sphincters étaient boursouflés et hypersensibles.
— S’il vous plaît, je pourrais avoir du lubrifiant ? — Tu le mérites, tu crois ?— Non, bien sûr. Pardon Monsieur.— Je ne veux pas non plus que tu sois déchirée. Alors tu prends la position numéro deux, je m’en occupe.
Mélanie dut chercher un instant dans le chaos de ses pensées avant de se souvenir de cette position, celle qui lui faisait tant honte. En même temps, tous les hommes présents l’avaient déjà sodomisée, alors… Elle s’agenouilla, posa sa tête sur le tapis épais et écarta ses fesses. Bouche ouverte et les yeux fermés de honte, elle rougit sous les quolibets qui fusaient.
— Freddy, tes potes ont explosé le cul de cette pute !— Elle aura du mal à s’asseoir dans les jours à venir, jugea Freddy en ricanant.— Son cul ressemble à un cratère, tu as vu ?— Ouais, bien ouvert ; on pourra bientôt la fister !
Mélanie entendait cela sans réagir, atterrée. Sa honte fur à son comble quand, après l’avoir copieusement lubrifiée en faisant pénétrer l’embout d’un gros bidon de lubrifiant dans son anus, monsieur Lenoir enfonça trois doigts joints dans son vagin trempé. Elle ne put s’empêcher de soupirer et de se tendre vers les intrus qui se retirèrent aussitôt, la laissant à sa frustration.
— Les gars, c’est parti ! Défoncez bien cette pute et remplissez son cul de sperme. Je l’essaie en premier, cette fois… Putain, elle est bien élargie maintenant. Mais toujours aussi chaude !
Il s’était introduit d’une seule poussée, bien à fond, et donnait de furieux coups de boutoir qui secouaient Mélanie comme un prunier. Elle glissa sur le ventre mais eut la présence d’esprit de rester bien cambrée, offerte à l’éprouvante pénétration. Il se laissa tomber sur elle de toute sa masse, se tenant sur ses bras tendus à hauteur des épaules de la blondinette, et reprit ses va-et-vient rapides dans les reins distendus. Elle hoquetait et bredouillait des mots sans suite, le ventre bouillonnant, et s’affola quand elle comprit qu’elle était tout près de jouir. Il comprit la situation et la prévint :
— Attention à toi, petite chienne : si tu jouis, je te fouette la chatte à coups de ceinture.— Mais…
Elle se mordit la lèvre jusqu’au sang, se pinça les avant-bras, ses ongles mordant cruellement la peau qui forma plusieurs hématomes. Le plaisir reflua un peu et elle réussit à tenir bon jusqu’à ce que l’homme se vide en elle. Il se retira, claqua violemment les fesses encore bien marquées de la veille et la désigna aux hardeurs blacks :
— Allez, défoncez-la encore plus fort que tout à l’heure ; vous avez jusqu’à minuit pour détruire son cul !
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