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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 6

Trash
Pendant trois heures, sans relâche – du moins pour Mélanie – les quatre blacks plus Freddy se relayèrent dans l’anus de la pauvre jeune fille. Si au début elle poussa quelques couinement, rapidement elle tomba dans un état d’hébétude, son corps épuisé ne réagissant plus. Ce que voyant, ils recoururent aux stimulis tels que claques sèches sur les fesses, torsions des aréoles qui prirent une teinte violacée et gonflèrent encore plus sous l’afflux de sang.
Dans un premier temps, elle réagissait en se cabrant et en protestant, mais rapidement elle atteignit un point où rien ne la touchait plus. Ce que voyant, Marc la souleva et la jeta dans la piscine. Elle cria en entrant dans l’eau, but la tasse et se mit à tousser, puis elle nagea sur place en regardant autour d’elle, les yeux encore voilés. Les six hommes étaient alignés devant elle, nus et sexe dressé. Elle déglutit, comprenant que la soirée était loin d’être finie, et gagna un endroit où elle avait pied. Là, elle dénoua sa queue-de-cheval et plongea un instant la tête dans l’eau pour s’éclaircir les idées.
— Alors, ça va mieux ? Tu es prête à continuer ? demanda Freddy en caressant lentement sa bite noueuse.
Pour toute réponse, Mélanie gravit les marches et sortit de la piscine. En grimaçant, car son bas-ventre la lançait terriblement. Monsieur Lenoir s’en aperçut et leva le bidon de lubrifiant sans rien dire ; elle lui sourit, reconnaissante, et prit à nouveau la position deux, lui permettant de déverser directement le lubrifiant dans l’anus encore béant malgré le plongeon dans la piscine. Cela fait, il enfonça quatre doigts jusqu’à la jointure du pouce sans problème autre qu’une crispation chez la blondinette.
— Allez, les gars, à fond maintenant !
Ils se ruèrent sur elle comme des morts de faim, et c’est Marc qui fut le premier à la sodomiser ; l’anus reçut la totalité de la gigantesque bite sans broncher, et il le pilonna dix bonnes minutes avant de laisser sa place. Les cris de gorge de Mélanie électrisaient les hommes qui se bousculaient presque pour prendre leur tour dans les reins dociles. Souvent, entre deux, ils présentaient leur engin devant la bouche purpurine de la jeune fille qui les suçait et leur ouvrait sa gorge, ils pouvaient alors la prendre à leur guise, lui arrachant parfois des larmes sous la brutalité de leurs assauts.
Quand ils arrêtèrent la bacchanale, il était presque minuit. Mélanie gisait amorphe sur le tapis, couverte de sperme et de sueur ; la respiration lourde, elle était dans un état second et semblait totalement incapable de bouger. Les hommes se douchèrent et s’habillèrent, puis deux blacks soulevèrent le tapis de bain par les extrémités et posèrent Mélanie dans le coffre de la berline de Lenoir. Elle fit le voyage de retour ainsi, reprenant ses esprits dans la fraîcheur et le noir.
C’est donc nue qu’elle dut sortir péniblement du coffre dans le garage ; elle tenta en vain de retenir des gémissements sous la douleur qui poignardait ses reins à chaque pas, mais Lenoir refusa de lui donner la pommade apaisante.
— Non, ça fait partie de ta punition ; je ne veux plus t’entendre. Tu vas dans ta cellule, tu te doucheras demain. Tu es répugnante et tu pues, mais je t’installe et je vais me coucher.
Il prit néanmoins le temps de refermer les menottes sur ses poignets avant de l’abandonner à son sort, et elle sombra dans un sommeil agité dès qu’elle eut remonté la couverture sur son corps fourbu.
Mélanie dormait profondément quand Lenoir entra bruyamment dans la pièce ; elle émergea difficilement et s’assit en fourrageant dans ses cheveux collés.
— Oh mon Dieu, je suis cassée, se plaignit-elle.— Tu commences mal la journée en étant impolie...— Pardon ; bonjour, Monsieur.
— Allez, debout ! Tu files te doucher : tu pues et tu es couverte de plaques séchées. Tu as cours ce matin ?— Oui, à 9 heures.— Alors grouille-toi, il est presque 8 heures.
Mélanie eut du mal à se lever, et encore plus à se déplacer : tous les muscles de son bas-ventre semblaient en feu. La douche bien chaude lui donna un peu de courage, puis elle utilisa son séchoir pour sa longue chevelure qu’elle noua rapidement avec un chouchou noir. En robe de chambre, elle prit son petit déjeuner en face de monsieur Lenoir, qui ne lui parla que quand elle eût terminé.
— Tu finis à quelle heure ?— Pas avant 17 heures : c’est une longue journée, Monsieur.— Alors je ne te mets pas la ceinture de chasteté, tu ne pourrais pas la garder si longtemps.— Merci, Monsieur.— Voici un onguent apaisant, analgésique et désinfectant. Et un nouveau plug. Plus gros que le précédent, mais tu devrais y arriver sans problème. Je te demande de le porter tout le temps, et si tu dois l’enlever, de me le dire.— Euh… d’accord, Monsieur.— Pour la tenue, tu t’habilles comme tu veux. Je t’interdis d’avoir une relation quelle qu’elle soit à la fac, spécialement sexuelle. — J’ai le droit de discuter avec mes copines, quand même ! s’insurgea Mélanie.— Hé, baisse d’un ton ! Tu oublies à qui tu parles !— Pardon, Monsieur. J’ai des copines depuis l’an dernier… Je veux juste continuer à les voir.— Oui, à la fac. Non en dehors, c’est clair ?— Oui, oui Monsieur.
Mélanie arriva largement à l’heure à son premier cours, ravie que son trajet en bus Corol soit direct et rapide. Ses copines étaient au courant de sa séparation d’avec Kévin et voulurent savoir où elle logeait ; cependant, Mélanie sut rester vague à ce sujet. Malgré l’onguent, son ventre restait douloureux ; en outre elle avait constamment peur que quelqu’un aperçoive la protubérance du plug sur son jean slim. À midi, elle l’enleva et le nettoya soigneusement avant de le ranger au fond de son sac. Pour autant, elle fut ensuite gênée car son anus restait béant, ses muscles anaux douloureux étant gonflés et d’une vilaine couleur rouge, comme elle le constata avec son miroir de poche.
Mais elle était soulagée de ne plus porter le sextoy et passa un bon après-midi, entre bibli et cours. Elle arrivait à l’arrêt de bus quand une grosse berline aux vitres fumées s’arrêta près d’elle. La vitre passager se baissa et elle reconnut Michael Neass ; les quatre Américains avaient l’air de l’avoir attendue.
— Yo, slut. Come in !
Mélanie hésita un peu, mais ce devait être monsieur Lenoir qui les avait envoyés pour la chercher. Elle hocha la tête, la portière arrière s’ouvrit et Marc sortit pour la faire entrer. Elle se retrouva donc assise au milieu de la banquette arrière entre lui et Little. Aussitôt ils entreprirent de la déshabiller alors que le conducteur démarrait lentement. Résignée, la jeune fille se laissa faire, et les aida même à enlever son soutien-gorge. Quand elle fut nue, les hommes qui l’encadraient prirent chacun une de ses cuisses pour l’ouvrir largement et ils commencèrent à la caresser rudement, malaxant sa poitrine, faisant rouler ses tétons avant de les pincer, plongeant des doigts fureteurs indifféremment dans son sexe mouillé et dans son anus.
À ce manège, Mélanie fut vite en émoi, les clapotis des doigts dans son vagin annonçant assez son état. Elle réussit à repousser les mains qui allaient la conduire à l’orgasme en bredouillant, mais ils revinrent à la charge. Comme elle regimbait toujours, ils la basculèrent en avant et menottèrent ses poignets dans son dos.
— Les gars, protesta-t-elle, vous n’êtes pas sport ! — Shut up, slut ! Tu refuses ?— Non, vous savez bien que non, répondit-elle en se laissant menoter, vaincue.
Dès lors, elle se retrouva à leur merci, même si elle tenta de serrer les jambes. La torsion simultanée de ses mamelons durement pincés l’incita à ne pas se rebeller.
— You wet slut !— C’est votre faute, aussi ! Vous essayez de me faire désobéir à monsieur Lenoir, je le vois bien !
Les pénétrations reprirent, trois doigts plongeant dans son vagin liquéfié et deux autres jouant avec son clitoris, le titillant et le faisant rouler sans relâche, d’autres mains s’occupant de sa poitrine dardée. Mélanie respirait bouche ouverte et poussait des cris aigus, son ventre se creusait et tremblait alors que la vague de jouissance approchait. La tête jetée en arrière, elle hurla, emportée par un orgasme puissant, inondant les doigts qui la fouillaient de jets de cyprine. Mais les deux hommes ne s’arrêtèrent pas en si bon chemin et continuèrent à fouailler sa grotte en fusion, chacun tordant vicieusement un mamelon en prime. Douleur et plaisir mélangés, Mélanie, son corps frêle agité de convulsions, jouit une nouvelle fois en criant.
Elle redescendait à peine de son dernier orgasme que la voiture freinait brusquement dans l’allée de la villa d’Arnaud Lenoir ; elle fut brutalement poussée hors du véhicule, entièrement nue et les mains toujours attachées dans le dos. La voiture fit marche arrière et partit, emportant les vêtements et les cours de Droit. Hébétée, Mélanie resta un instant immobile, vacillant sur ses jambes tremblantes, puis elle alla sonner tant bien que mal, redoutant ce qui allait suivre.
Monsieur Lenoir lui ouvrit après plusieurs minutes d’attente et la considéra, nue et tremblant de froid sur le pas de la porte.
— Tu es vraiment une pute. Je te laisse aller en cours et tu te démerdes pour revenir à poil.— Mais…— Tais-toi, je ne veux rien entendre. Tu réponds juste oui ou non. Tu as joui ?— … Oui, mais…— Ta gueule, je t’ai dit ! hurla-t-il, ses yeux lançant des éclairs. Un ordre, un ordre simple, et tu n’es pas capable d’obéir. Entre, tu vas attraper la crève dehors. Dans le salon, position numéro un : ça ira avec les menottes que tu portes.
Sans demander son reste, Mélanie trottina dans le couloir et s’agenouilla, le dos bien droit. Du coin de l’œil, elle vit monsieur Lenoir entrer pour venir s’asseoir dans son fauteuil en face d’elle.
— Tu vois, Mélanie, tu es jolie comme un cœur et intelligente. Je t’aime bien, mais tu ne respectes pas mon autorité, ce qui n’est pas tolérable. Alors dans ces conditions, je pense qu’il est préférable que tu partes : tu ne supporterais pas tout ce qui t’attend si tu restes.
La pauvre Mélanie se décomposait à vue d’œil, de grosses larmes coulant sur ses joues pâles. Elle ouvrit la bouche pour répondre mais monsieur Lenoir lui fit signe de se taire.
— Avec ce qui s’est passé, je ne pourrais plus tolérer que tu ailles à nouveau à la fac, du moins sans la ceinture de chasteté. Et même là je n’aurais plus confiance en toi. Je ne peux pas te fouetter comme tu le mériterais, car ensuite tu ne pourrais plus suivre les cours normalement tellement tu serais brisée. Tu vois, tu ne me laisses pas beaucoup de choix.— S’il vous plaît… supplia Mélanie, la voix entrecoupée de sanglots. Ne me rejetez pas, Monsieur. Je ferai tout ce que vous voulez, tout, Monsieur. Mais ne me chassez pas. Tant pis pour la fac, j’apprendrai à vous servir, je serai votre chienne, votre pute, votre esclave, ce que vous voulez, je vous en supplie.
Suivit un instant de silence, juste troublé par la respiration oppressée de la jeune fille et par ses sanglots. Lenoir reconsidéra la situation froidement, ses yeux inquisiteurs braqués sur le doux visage de Mélanie.
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