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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 8

Trash
Il se mit à rire et lui caressa les cheveux, comme on le ferait d’un chien.
— Je te rassure : je veux que tu portes ma marque, mais pas que tu sois enlaidie. Tu seras marquée à des endroits moins visibles, voilà tout. Les piercings, ce sera une surprise. Allez, au lit. Enfin, à la cave.
Mélanie prit donc le TGV de Bordeaux Saint-Jean pour la gare Montparnasse. Elle passa le trajet à regarder par la fenêtre, le visage blafard et figé. Elle resta emmitouflée dans son vieux manteau ; et pour cause, ce manteau était son seul vêtement. Le matin, avant de l’accompagner à la gare, monsieur Lenoir avait fouetté ses fesses jusqu’au sang avant de la sodomiser de toute sa puissance et elle souffrait le martyre, assise sur son fondement massacré. Pourtant elle l’avait embrassé avec dévotion quand il l’avait laissée embarquer dans son wagon.
Elle passa le trajet à réfléchir à son avenir, à ce qu’elle acceptait pour Arnaud. Oui, Arnaud, même si elle n’oserait jamais prononcer son prénom à voix haute. Il était et resterait pour toujours « Monsieur ».
À Montparnasse, elle prit le Transilien pour Rambouillet ; un homme l’attendait devant le hall de la gare. Grand, basané et chauve, il la repéra dans le maigre flot de voyageurs descendant sur le quai et s’approcha.
— Mélanie ? Je m’appelle Vlad Chiano. Tu n’as pas de bagages ?— Bonjour Monsieur. Non, juste mon sac à main.— Parfait. Suis-moi.
Il conduisit la jeune fille dans un parking voisin ; arrivé à une berline noire qui a clignoté à son approche, il a ouvert le coffre et l’a montré :
— Donne ton sac et tes vêtements.— …Ah ! Bon, oui Monsieur…
Elle ne put s’empêcher de regarder autour d’elle : le parking était désert. Rougissante, elle baissa la tête tout en déboutonnant son manteau. Quand il vit qu’elle était nue dessous, Vlad siffla entre ses dents. Il prit le manteau qu’elle lui tendait et désigna ses chaussures de tennis.
— Ça aussi, vite. Tu es très belle... J’espère que ton Maître n’a pas prévu de gâcher la marchandise. Allez, dans le coffre ! Putain, tes fesses… tu dois déguster !
Il rabattit la porte du coffre et laissa Mélanie dans le noir complet avant de prendre le volant. Enfermée ainsi, le trajet lui sembla long alors qu’il n’avait duré qu’un quart d’heure. La jeune fille cligna des yeux quand il ouvrit le coffre ; se redressant, une main posée sur la poitrine, elle vit qu’ils étaient garés devant une bâtisse blanche de deux niveaux semblant en parfait état. Elle frissonna et sortit du coffre, posant précautionneusement ses pieds nus sur le gravier gelé de l’allée. La peau couverte de chair de poule, elle suivit Vlad à l’intérieur.
Le service d’accueil comptait en tout et pour tout une jeune femme brune en blouse blanche qui sourit à Vlad et ignora Mélanie.
— C’est la fille de Bordeaux ? Conduis-la au premier, chambre trois. Les docteurs arrivent dans une heure.— J’ai le temps pour une bonne pipe, alors ! Tu as envie ?— Oui, tu le sais bien ; mais je travaille, moi ! se plaignit la brune.
De fait, la première chose que fit Vlad en arrivant dans la chambre fut d’ouvrir sa braguette et d’extraire un membre brun et noueux qu’il agita. Mélanie s’agenouilla et goba le gland qui sentait la sueur et l’urine. Elle comptait le sucer doucement et à son rythme, mais il saisit sa nuque et s’enfonça aussitôt à fond, l’obligeant à déglutir et avaler la totalité de la bite qui durcit et prit de l’ampleur rapidement. Surprise, elle toussa et s’étouffa presque ; il recula en comprenant qu’elle était mal, et elle vomit presque sur ses chaussures le peu qu’elle avait dans l’estomac, de l’eau surtout. Ce qui ne l’empêcha pas de se mettre en colère, et il envoya une bonne gifle à Mélanie comme elle se redressait, l’envoyant rouler en arrière. En larmes, la joue droite ornée d’une marque rouge vif, elle tenta de s’excuser en se redressant.
— Imbécile ! Tu as failli salir mes pompes.— Pardon, Monsieur. C’est ma faute, je me suis étouffée, et…— Tais-toi ! Recommence à sucer !
Les docteurs sont entrés alors que Mélanie déglutissait pour avaler la semence abondante dont Vlad avait rempli sa bouche. Sans faire de remarques, ils demandèrent à Mélanie de se lever. Ils l’examinèrent en tournant autour d’elle. Eux non plus ne dirent rien sur l’état de ses fesses lacérées par le fouet et maculées de sang coagulé. Puis un des docteurs, le plus âgé des deux, ayant la soixantaine bien tassée, expliqua :
— Ton Maître, Arnaud Lenoir, nous a demandé de procéder à des modifications corporelles bénignes. Augmentation mammaire, piercings et tatouages, à ce que j’ai compris. En échange du coût malgré tout élevé des opérations, tu seras louée à des clients tout le temps de ton séjour ici. Demain, tu passes sur le billard.
Puis tout le monde quitta la chambre, laissant Mélanie seule. La pièce était minuscule, peinte en blanc du sol au plafond. Le lit médical sur roulettes en occupait une bonne partie. Mélanie reçut peu après un plateau repas, et elle s’endormit dès qu’elle eut fini de manger.
À son réveil, elle comprit qu’elle avait été opérée : une transfusion était reliée à la pliure de son bras droit et un moniteur bipait régulièrement à côté du lit.
Elle ne vit le résultat des opérations que le surlendemain. Sa poitrine avait reçu des injections et évolué de bonnets B à bonnets D, paraissant disproportionnée sur son torse menu. Un traitement hormonal devait lui permettre de se développer encore un peu. Les mamelons étaient percés de gros barbelés en acier ressemblant à des haltères. Ses grandes lèvres vaginales portaient d’impressionnants tunnels en métal noir de 9 mm. Elle découvrit le dernier piercing, qu’elle avait senti dès son réveil, sur sa langue ; c’est aussi celui qui la gêna le plus, au début du moins.
Pour les tatouages, à hauteur du pubis était gravé en noir ESCLAVE 32 ; le même nombre était tatoué sur ses biceps, et c’était tout. Les lettres majuscules étaient hautes de quatre centimètres environ, mais l’inscription principale ne serait donc lisible que quand elle serait nue. Mélanie fut rassurée d’une certaine façon de ne pas avoir d’autres tatoos à des endroits trop apparents. Les jours suivants furent consacrés aux soins, mais de toute manière la cicatrisation et la surveillance prendraient plusieurs mois.
Puis, quinze jours après son arrivée, Mélanie commença à être louée à des clients. Il s’agissait au début de personnes capables de retenue car de nombreuses parties de son corps nécessitaient des soins et des égards. Ces clients avaient donc le droit de la sodomiser en position de levrette, et c’était tout. Bien sûr, les clients furent autorisés à utiliser sa bouche en plus de ses reins. Puis la fréquence de ces clients augmenta rapidement pour atteindre cinq ou six par soirée quand il fut constaté que la cicatrisation se déroulait parfaitement. Un mois après son arrivée, Vlad vint la voir dans la salle de sport où elle passait deux heures par jour et lui annonça son départ.
— Je t’ai réservé une place de train pour demain. Je te conduirai à la gare de Rambouillet à 8 heures après t’avoir préparée. Ta tenue de route a été décidée par ton Maître ; tu seras surprise.
Mélanie ne répondit pas, mais elle était heureuse d’avoir fini son séjour à la clinique qui n’était plus pour elle qu’un lupanar dans lequel elle offrait sa bouche et son cul à des clients. Et elle était impatiente de retrouver monsieur Lenoir et de lui montrer les modifications corporelles, sa poitrine voluptueuse qui l’obligeait à porter des soutiens-gorge renforcés, ses piercings, et son beau tatouage.
Au matin donc, Vlad la rejoignit en poussant un chariot métallique à roulettes supportant plusieurs articles.
— Regarde un peu ce que j’ai pour toi, petite veinarde ! Avant que je commence, tu vas aux toilettes : tu n’en auras plus l’occasion ensuite.— Ah ! Oui, merci Monsieur…
À son retour, Mélanie eut droit à un gode de bonne épaisseur qui eut du mal à entrer dans son anus, un gros et lourd cadenas qui passait juste dans les deux tunnels, et une ceinture de chasteté en sus. Puis un bâillon boule cadenassé sur la nuque. Des gants noirs en tissu épais montant au-dessus du coude, des bas de contention noir, et une burka par dessus le tout. Rien d’autre : ni sous-vêtements ni chaussures. Avant de lui laisser passer la burka, Vlad avait joui sur les lourdes mamelles de la jeune fille sans l’autoriser à se laver ensuite.
Mélanie se retrouva donc sur le quai de la gare dans cette tenue, les billets de transport dans une poche latérale. Elle n’en menait pas large dans le wagon et se tassait sur son siège. Le changement de train fut un calvaire car elle dut marcher au milieu de la foule dans la gare Montparnasse. Puis elle s’installa dans le TGV et somnola pendant tout le trajet. Quand elle descendit sur le quai, elle fut surprise d’être accueillie par Freddy et les quatre blacks.
— Bonjour, tu as fait bon voyage ? C’est impoli de ne pas répondre. Tu vas avoir droit à une bonne fessée. Depuis le temps que j’en ai envie… Bon, on va chez moi ; Arnaud est absent, et il m’a demandé de t’héberger. Et mes amis et moi avons les couilles bien pleines…
N’ayant pas trop le choix, Mélanie a suivi le mouvement ; elle s’est retrouvée à l’arrière sur les genoux de Little, et en un instant s’est retrouvée nue. Les hommes ont sifflé en apercevant sa nouvelle poitrine un peu lourde aux seins en poire et aux aréoles gonflées. La petite blonde suivait un traitement hormonal depuis un mois en plus des injections initiales, et leur volume augmentait encore un peu jour après jour. Ils avaient la clé du bâillon et celle de la ceinture, mais pas celle du gros cadenas qui condamnait son vagin.
Quand elle put enfin s’exprimer après avoir fait jouer sa mâchoire douloureuse, Mélanie remercia Little en se coulant à ses pieds et en le prenant en bouche. S’étranglant presque, elle avala la longue colonne d’ébène qui grossit et s’allongea rapidement, obligeant la jeune fille à des prouesses techniques. En apnée, elle lécha et pompa tout en caressant les bites des deux voisins de Little qui avaient sorti leurs énormes engins.
Ils arrivèrent chez Freddy et sortirent du véhicule, les hommes prenant à peine le temps de cacher leur virilité, Mélanie les suivant, seulement vêtue des bas et gants noirs.
— Petite pute, tu vas avoir droit à un démontage en règle. Tous les cinq, on va te défoncer tellement le cul que tu ne pourras plus marcher après !
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