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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 11

Trash
Malgré tout, Alban préféra attendre en se masturbant lentement, admirant le corps frêle et souple de Mélanie se tendre et se cambrer pour accueillir les assauts fougueux du hardeur devenu chocolatier qui ne la ménageait pas. Elle gémissait et poussait de petits cris rauques qui faisaient bouillir leur sang. Il faut dire que Richard avait plongé sa main droite sous le ventre de la jeune fille et accompagnait sa cavalcade de caresses appuyées sur le clitoris percé et engorgé de la demoiselle.
En vieux routier, il l’amena à la jouissance en même temps qu’il se répandait dans son ventre, et Alban faillit exploser en la voyant se pâmer, les joues délicieusement rouges et les membres frissonnants. Puis à son tour il investit rudement l’anus libéré encore béant. Sans temps mort, il se déchaîna dans un galop frénétique, se ruant aussi loin qu’il pouvait dans les reins dociles et claquant les fesses fermes en cadence.
Grisé par les pitoyables geignements de sa victime consentante, il lui crocha les hanches à deux mains pour mieux la maîtriser et entreprit de la pilonner à coups furieux qui eurent vite raison de la jolie blonde. Les mains crispées sur le drap qu’elle mordait pour étouffer ses hurlements, elle succomba et fut emportée par un orgasme plus puissant encore que le premier. Il ne cessa que quand son amant, planté en elle comme s’il voulait s’y perdre, poussa un cri et se vida dans ses reins en lourdes rasades de semence.
Exténués tous trois, ils prirent une douche rapide et se couchèrent en plaçant Mélanie au milieu du lit. Pour s’endormir presque aussitôt, les membres emmêlés.
Le lendemain après-midi, les quatre Américains étaient de retour et « s’occupèrent » de Mélanie à leur façon : brutale et méthodique. Ils se relayèrent dans les reins et la gorge de l’infortunée jeune fille pendant des heures, s’arrêtant seulement une demi-heure pour le dîner. De 16 heures à minuit, la tournante qu’ils organisèrent eut raison de sa résistance ; à compter de 22 heures, malgré leurs efforts redoublés, les quatre blacks n’arrivaient plus à tirer ni pleurs ni orgasmes du frêle corps brisé et souillé de la petite blonde.
Elle dormit d’un sommeil comateux, recroquevillée dans un grand lit aux draps empesés de semence et de sueur qui lui collaient à la peau à son réveil. Elle gémit en s’étirant car son ventre n’était que douleur. Elle s’accroupit sous la douche et resta plusieurs minutes sous le jet d’eau un peu trop chaude qui délassa ses muscles. Puis, comme d’habitude, elle se tartina généreusement d’onguent entre ses fesses. Ce faisant, elle fut horrifiée de l’état de ses muscles anaux, boursouflés et hypersensibles, aussi prit-elle deux Doliprane avec un grand verre de jus de fruits.
Les jours et les nuits suivants furent un peu plus calmes, un peu moins éprouvants pour la jeune fille. Elle nagea beaucoup et fit du vélo d’appartement ; le temps sur Bordeaux était maussade, et elle répugnait à faire du jogging dans ces conditions. De toute manière, elle n’avait pas encore de soutien-gorge adapté à sa nouvelle poitrine, et il lui était donc impossible de courir. En plus, le cadenas qu’elle portait en permanence n’était franchement pas facile à oublier.
Le jour du retour de son Maître, Mélanie considéra son sein gauche sur lequel Freddy avait tenu à marquer sous forme de barrettes noires le nombre d’orgasmes recensés depuis son retour de la clinique : treize barres alignées, regroupées par cinq comme il se doit.
Quand monsieur Lenoir sonna à la porte d’entrée, il était déjà 17 heures ; la jeune fille bouillait d’impatience, et en même temps une profonde angoisse la gagnait. Elle avait peur de la réaction de son Maître quand il saurait qu’elle lui avait encore désobéi et joui treize fois. Nue, elle attendait en position n° 1 dans le salon, essayant de faire le vide dans son esprit.
À sa surprise, monsieur Lenoir n’était pas seul : un autre homme suivait Freddy, un jeune homme aux cheveux noirs et à la barbe de trois jours qui mangeait son visage de pirate. Monsieur Lenoir s’approcha de lui pour lui passer un bras autour du cou, et Mélanie se rendit compte que le nouvel arrivant était plus grand que lui qui avoisinait déjà les deux mètres.Elle comprit alors : bien sûr, c’était le fils du Maître. Un bel homme assurément, au visage taillé à la serpe, éclairé par des yeux brillants et pétillants d’intelligence. Mais un visage de prédateur aussi, au nez d’aigle et à la bouche dure. Mélanie déglutit et resta sagement immobile ; tout au plus sa respiration accéléra, soulevant sa poitrine opulente en cadence.
— Voici Mélanie. Elle a dix-huit ans, est étudiante en Droit et soumise, comme tu le vois.— Elle est magnifique, papa. Elle est intelligente ?— J’ai cherché un peu ; elle a eu le bac avec mention bien, et sa première année de Droit aussi. Elle te plaît, donc ?— Il faudrait être aveugle, dis !
— Lève-toi, 32. Jambes écartées, plus que ça. Sur la pointe des pieds. Mains sur la nuque, coudes écartés, voilà. Bouche ouverte ; plus... Voilà, Thomas, tu peux même toucher.
Ledit Thomas ne répondit pas mais tourna lentement autour de Mélanie qui resta immobile, tremblant un peu et respirant un peu trop fort.
— Elle est superbe ! Un corps de rêve. Je ne suis pas fana de tatouages et de piercings, ni même de grosses poitrines d’ailleurs, mais ça lui convient à merveille.— Pour les piercings, tu sais qu’en enlevant les tiges métallique, les orifices se referment, complètement ou non. Pour les tatoos, c’est effaçable, mais excessivement douloureux. Et ça lui rappelle ce qu’elle est. Pour la poitrine, elle suit un traitement hormonal ; donc, en l’arrêtant, sa poitrine diminuera un peu.— Pourquoi tu m’expliques tout ça ?— Eh bien, j’ai vu ta réaction. Elle te plaît, et tu es seul à nouveau. Tu auras vingt-cinq ans dans trois jours : j’ai pensé te l’offrir pour ton anniversaire.— Tu sais ce que je pense des relations à court terme, papa...— Oui, mais quand je parle de te l’offrir, c’est sans limite de temps.— Ah... Mais je ne sais pas ce qu’elle en pense. Elle ne me connaît pas, et....— Thomas, je ne sais pas, moi ! Faites connaissance, baise-la, allez au resto ensemble, au ciné, en boîte de nuit, en voyage aux Seychelles.
Thomas se plaça juste en face de Mélanie, à un mètre seulement d’elle qui ne put faire autrement que de plonger son regard d’émeraude dans les yeux gris acier du jeune homme. Nerveuse, elle ferma la bouche pour déglutir et faillit détourner le regard, tellement elle ressentait profondément son magnétisme de mâle alpha.
— Alors, Mélanie, tu as envie que je te baise ? Ou tu préfères aller au restaurant avec moi ?— Euh... Joker. Je ne sais pas, c’est vous qui décidez.— Non non, je te demande ton avis : alors réponds-moi honnêtement.— Bon, vous l’aurez voulu : j’aimerais aller au restaurant, plutôt.— D’accord. Va te préparer.— Attends, 32 ! intervint monsieur Lenoir. Je n’en ai pas fini avec toi. J’apprécie ta nouvelle poitrine et tout, mais c’est quoi, ces barres sur ton sein ? Treize barres...— Oui, Monsieur, pardon. J’ai joui treize fois depuis mon retour... Je suis désolée, vraiment.— Treize fois en cinq jours ? Tu es la plus mauvaise soumise que j’aie jamais vue. Pas fichue d’obéir à un ordre simple... Je vais te punir, mais pas comme je voudrais, vu que tu sors avec mon fils. Suis-moi !
Mélanie crut revivre son dernier châtiment, plus d’un mois avant, quand elle se retrouva avec son Maître dans une chambre qu’elle ne connaissait pas. Freddy, qui avait suivi, proposa à son ami une longue cravache noire à l’air menaçant avant de se retirer. Suspendue et bâillonnée, la jolie blonde reçut pas moins de trente coups de cravache portés avec force sur les fesses et le haut des cuisses. Malgré les ondes de douleur fulgurante qui traversaient son corps, elle ne lâcha pas le tube d’acier qu’elle serrait convulsivement. Puis elle remercia son Maître en le suçant, avalant l’épaisse colonne de chair et l’inondant de larmes. Mais elle trouva la force de pomper et de lécher suffisamment bien pour qu’il se déclare satisfait après avoir éjaculé. Pleurant toujours, Mélanie nettoya soigneusement la verge ramollie et remercia son Maître pour sa punition.
Elle eut ensuite l’autorisation de se préparer : douche, onguent réparateur sur ses fesses meurtries mais qui ne présentaient pas de coupures, maquillage, string vaporeux et robe noire. Elle choisit de nouer sa longue chevelure blonde en chignon, ce qui la vieillissait un peu mais dégageait son cou gracile. Maquillée avec légèreté, Mélanie était à croquer. Thomas se leva en la voyant arriver dans le salon, juchée sur des escarpins noirs à talon aiguille et s’exclama :
— Mademoiselle, vous êtes belle à damner un saint ! Venez, je suis ravi de vous extraire de cette tanière.
Il lui tendit la main et Mélanie se sentit gauche soudain, d’être à nouveau traitée comme une jeune fille normale et non comme une esclave. Elle jeta un coup d’œil furtif sur les deux chiffres ornant ses biceps avant d’accepter la main tendue, non sans un salut nerveux à son Maître. Qui hocha simplement la tête pour lui signifier son agrément.
Thomas ouvrit la portière passager de la berline de son père et aida la jeune fille à s’installer avant de prendre le volant. Ils roulèrent en silence, et Mélanie se laissa bercer par le ronronnement du moteur, malgré la gêne provoquée par le contact de ses fesses douloureuses avec le siège. Le restaurant s’appelait La Grand’ Vigne, à Martillac, soit environ une dizaine de kilomètres de la maison de Freddy. Ils furent accueillis chaleureusement par le patron qui avait l’air de bien connaître Thomas et leur avait réservé une table dans une alcôve à l’écart de la salle.
Rendue confiante par l’attitude amicale du jeune homme, Mélanie se décontracta assez pour apprécier les mets succulents, un pigeon en particulier accompagné d’un excellent Pessac-Léognan blanc.
— Vous n’auriez pas dû prendre la bouteille, vous savez. Il faudra revenir, et après le champagne de l’entrée... Elle s’interrompit en rougissant terriblement.— Qu’y a-t-il ? Vous avez un souci ?— C’est le mot « champagne »... C’est... mon mot de sécurité. Et puis, vous me vouvoyez.— Mélanie, nous passons tous deux au tutoiement si vous êtes d’accord.— Mmmm... D’accord ; mais ton père...— Tu es avec moi, loin de lui. Tu le regrettes ?— Non, je suis bien, l’endroit est charmant.— Tant mieux, car j’y ai réservé une chambre.— Ici ? — Il se trouve que c’est aussi un hôtel, « Les Sources de Caudalie ». Et j’ai quelque chose pour toi. Tiens...
Il tendit une clé de sûreté à Mélanie ébahie, qui comprit aussitôt de quoi il s’agissait : celle du cadenas que son mini-string ne pouvait contenir. Elle prit la clé et la serra dans son poing tout en interrogeant Thomas du regard. Il lui donna son accord et elle quitta la table pour s’éloigner d’une démarche sautillante. Quand elle revint cinq minutes plus tard, ses yeux pétillaient de joie, et son petit sac à main était alourdi du cadenas.
— Tu te sens mieux ? demanda le jeune homme.— Oui, merci. C’est lourd et disgracieux.— Et puis, si tu envisages de rester avec moi, je préfère te savoir disponible pour faire l’amour quand nous en avons envie.
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