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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 12

Trash
Mélanie se figea, incapable de croire ce qu’elle avait entendu. Cet homme beau et riche qui parlait d’une relation durable avec elle... Les larmes lui vinrent aux yeux et elle rougit jusqu’aux oreilles.
— Tu ne sais rien de moi, sinon que j’ai accepté de devenir la soumise et l’esclave de ton père.— Je sais ce que tu as vécu, tes déboires sentimentaux, ta situation financière... Tu as été très courageuse pour accepter ça.— Courageuse ? ironisa Mélanie. Désespérée, plutôt. Et maintenant, j’ai raté plus d’un mois de cours sans aucune garantie de recommencer un jour. J’ai plongé trop vite et trop profond.— Écoute. Je vis à Paris, pas très loin de la Sorbonne ; tu crois que tu pourrais rattacher les wagons si je te trouve une place ?
Il s’interrompit, inquiet, quand il vit les larmes couler silencieusement des yeux de la jeune fille. Elle ne paraissait même pas s’en rendre compte, d’ailleurs. Délicatement, il sortit un mouchoir en papier et lui tamponna les joues sans qu’elle bouge d’un millimètre.
— Je crois, oui, en mettant les bouchées doubles. J’ai toujours bien bossé...— Bien, c’est réglé. Tu remontes avec moi à Paris, donc. Tu seras mon amie, ma compagne et ma partenaire sexuelle, et plus si affinités. Tu crois au coup de foudre ?— Non, pas tellement ; désolée, avoua-t-elle.— Eh bien, moi non plus, en fait. Mais je sais qu’entre nous le courant passe. Alors on va y aller jour après jour. — Et... le fait que je sois la soumise de ton père...— N’oublie pas que tu es mon cadeau d’anniversaire. Et je peux affirmer que tu es le plus beau cadeau qu’on m’ait jamais fait.
Ils s’interrompirent pour manger leur dessert ; ils avaient choisi le même, ananas et combava. Mélanie ferma les yeux en gémissant tellement elle l’apprécia, ce qui fit rire son compagnon de table.
— Tu as l’air d’apprécier, dis-moi.— C’est un’ tuerie, man ! renvoya-t-elle, aux anges.— Et tu pousses le même genre de cris quand tu jouis ?
Mélanie pouffa et rougit en même temps, puis s’étouffa avec un morceau d’ananas. Un verre d’eau plus tard, elle reprit son souffle et fusilla Thomas du regard avant de rire devant sa mine sérieuse. Elle se leva et tira sur le bas de sa robe qui peinait à recouvrir ses fesses, puis elle fit un battement de cils digne de Betty Boop avant de tendre la main, paume vers le haut et pouce écarté.
— Tu viens ? Tu auras ta réponse, comme ça !
— Touché, rétorqua-t-il, fair-play, en se levant à son tour. Je n’ai envie ni de café ni de digestif ; je n’ai envie que de toi. Faut dire, on n’a pas idée de porter une robe si sexy.— C’est ton père qui l’a choisie, si tu tiens à le savoir. Elle ne te plaît pas ?— Si, mais pour ce que j’ai en tête, elle n’a aucun intérêt.— Tes vêtements non plus, mais tu as un avantage : je ne t’ai encore jamais vu sans.
Thomas récupéra la carte magnétique d’accès à la chambre, en fait une suite somptueuse meublée et décorée avec goût. Mélanie lança :
— Le dernier à poil est fan de Phil Collins !— Hé, tu triches, tu n’as presque rien à enlever !
Mélodie, toute nue, commença à onduler sur ses talons hauts en susurrant « I can’t dance , I can’t dance... » Les yeux de Thomas s’assombrirent alors qu’il finissait de déboutonner sa chemise, exposant un torse particulièrement musclé et glabre. Seule une fine bande de poils noirs partait de son nombril pour se perdre dans son jean déformé par une bosse si énorme qu’elle devait être douloureuse. Il envoya valser ses mocassins et baissa en même temps pantalon et caleçon. Quand il se redressa, Mélanie arrêta un instant de danser, le regard scotché sur la virilité congestionnée du jeune homme.
Il n’avait rien à envier aux quatre hardeurs blacks : sa bite semblait aussi longue, et sûrement plus épaisse, jugea Mélanie en se mordant la lèvre inférieure. Son ventre lui sembla soudain plus lourd et brûlant ; elle savait qu’il était trempé de désir. Elle songea que son vagin était sevré d’amour depuis plus d’un mois. Elle savait qu’elle souffrirait lors de l’intromission d’un tel engin, mais elle s’en fichait ; elle en avait trop envie, trop besoin. Son corps était en feu, ses aréoles roses dardaient outrageusement, alors elle se précipita dans les bras de Thomas et s’y enfouit en soupirant et en gémissant de bonheur.
Blottie contre lui, malgré ses talons de dix centimètres, la jolie blonde se trouvait à peine contre son épaule. Elle leva la tête, curieuse.
— Tu es plus grand que ton père, non ?— Une paille : je mesure deux mètres et six centimètres... Et non, je n’aime pas le basket. Ici, j’ai joué au rugby, et quand j’étais aux USA, au foot américain.— Je comprends pourquoi tu es si musclé. Et costaud de partout, aussi...— Tu as vu ma queue et tu n’as pas peur ? Il y a des filles qui sont parties au galop en me voyant à poil.— C’est vrai que tu es bien monté, mais tu feras attention, c’est tout. Et je suis prête à t’accueillir dans tous mes orifices.
Mélanie avait glissé une main entre leurs deux corps et caressait doucement l’épieu de chair qui lui semblait encore plus impressionnant. Puis, sans effort apparent, Thomas la souleva et l’embrassa sur la bouche, tendrement d’abord, puis il devint de plus en plus possessif, sa langue épaisse fouillant profondément la bouche offerte et s’entremêlant avec la langue agile de la petite blonde.
Il posa ensuite Mélanie sur le grand lit et descendit sur son corps frémissant, tétant d’abord les aréoles dardées avant de glisser sur le nombril puis plus bas, titillant le bouton percé aussi gros et long qu’une phalange. La jeune fille écarta largement ses cuisses et les remonta le long de son torse, s’offrant complètement. Il plongea deux doigts joints dans le cloaque de son vagin avant de les insérer dans son anus qui s’ouvrit aisément. Il passait d’un orifice à l’autre tout en aspirant petites lèvres et clitoris, ravi de sentir son amante frémir et gémir crescendo, décollant dans un orgasme qui la fit hurler, mordant son poignet pour ne pas déranger tout l’hôtel.
Elle sursauta lorsque, très vite, Thomas se présenta devant son vagin trempé et pesa.
— Ta jolie chatte est en manque, on dirait ; tu ruisselles et inonde ma queue.— Viens, je t’en supplie, baise-moi fort... Oh ! Putain, que c’est bon ! Doucement, tu es si gros...— Et toi si serrée… On dirait que tu t’ouvres lentement rien que pour moi.
Il sentit qu’il était tout au fond, tutoyant le col de l’utérus et exerçant une délicieuse pression. Mélanie poussait de petits cris de gorge ; les ongles plantés dans les hanches musculeuses, elle tentait de forcer Thomas à s’enfoncer plus loin. Il résista et entama de lents va-et-vient qui lui faisaient ressentir toute l’étroitesse et la chaleur du fourreau de soie qui gainait son épieu. Elle s’arqua et cria, tête rejetée en arrière, inondant de cyprine brûlante la verge turgescente qui la taraudait, et jouit une nouvelle fois. Ce qui précipita la perte de Thomas qui poussa un grognement frustré en se répandant en rasades tumultueuses dans la matrice accueillante.
Essoufflé, il glissa sur le côté, entraînant dans le mouvement Mélanie qui se retrouva juchée sur son torse, toujours intimement emboîtée sur la verge qui ne perdait rien de sa tumescence. Elle se pencha pour embrasser gaiment son prévenant amant.
— Merci, tu as été génial, Thomas. J’ai joui divinement grâce à toi...— Tu as joui treize fois divinement, ces jours-ci ? la taquina-t-il.— Ne te moque pas de moi, s’il te plaît. C’est trop dur de résister quand des hommes sont décidés à me faire jouir par tous les moyens... En parlant de ça, tu n’as pas envie de me sodomiser ?— Si, bien sûr. Mais tu as vu ma queue ? Tu vas avoir mal.— Oui ; ça te gêne ?— Pas du tout. Tu veux qu’on la joue comment, tendre ou sévère ?— Comme tu aimes. Mais j’aimerais bien sévère, si ça te va.— Je ne suis pas comme mon père, mais j’aimerais t’attacher, te bâillonner et te démolir le cul.— Ah, je me demandais quand on y arriverait ! Avec joie, Monsieur. Je suis toute à vous, maintenant.— Ton mot de sécurité, c’est « champagne » ?— Oui, Monsieur. Mais si je suis bâillonnée...— Tu ne pourras pas le prononcer, en effet. Tu ne me fais pas confiance ? Si c’est le cas, dis-le tout de suite et on arrête tout.— Si, complètement, Monsieur.
Thomas n’avait rien pour attacher Mélanie, aussi il appela le service de nuit et exigea de la corde épaisse et un cutter. Aussi étrange que cela paraisse, une jeune employée sonna cinq minutes après et remit à Thomas vêtu d’une robe de chambre un long rouleau de corde neuve, une corde épaisse et un peu rêche en coton écru. Il la déroula, satisfait, et la découpa en tronçons de deux mètres environ.Assise sur le lit, Mélanie le regardait s’activer en se caressant lentement, trois doigts plongés profondément dans son sexe trempé et le pouce sur son clito gonflé. Quand il eut fini, il se tourna vers elle et sourit avant de prendre un air sévère.
— Allez, viens ici et tourne-moi le dos. Je vais m’occuper de ton cas.
Le jeune homme s’y connaissait en bondage ; il attacha les poignets de Mélanie en les retournant et les relevant vers sa nuque ; la corde enserra ensuite sa poitrine, la faisant saillir encore plus. Puis il la bâillonna avec son string maintenu par des cordes qui tiraient sa tête en arrière. Enfin il lui noua sa cravate sur les yeux, occultant sa vision.
— Alors, petite pute, ça va toujours bien ?
Mélanie poussa un grognement ressemblant à un oui. Thomas alla donc retirer sa ceinture de cuir tressée des passants de son pantalon et revint vers la jeune fille toujours debout au milieu de la chambre. Il la saisit par la boucle et la doubla, la faisant claquer doucement dans sa main gauche pour en éprouver la souplesse. Puis il fit siffler le cuir dans l’air, et Mélanie sursauta comme s’il l’avait frappée. Il poussa la blondinette et la fit s’agenouiller devant le lit, tête posée sur le drap froissé. Et sans attendre, il frappa au-dessus des reins. Un coup sec et puissant qui fit se cabrer Mélanie, mais il la maintint facilement en place de sa main gauche. Pour frapper à nouveau, juste à côté de la première marque qui apparaissait.
— Ta peau marque bien. Tes fesses sont couvertes de jolies marques violacées : mon père ne t’a pas loupée, au moins. Je vais donc m’occuper de tes reins et tes cuisses, puis peut-être ton ventre et de tes seins, si tu es courageuse. Ça te va ? Pas de « champagne » encore ?
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