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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 13

Trash
Malgré les larmes emplissant ses yeux masqués, Mélanie secoua furieusement la tête en signe de dénégation. Thomas sourit et recommença à frapper, un peu plus fort encore, sur les cuisses et même les fesses qu’il avait épargnées car elles étaient déjà bien marquées. Les sanglots déchirants de la jeune blonde le firent stopper, mais il comprit qu’elle ne cèderait pas encore malgré la souffrance évidente qu’elle éprouvait.Il la souleva et la retourna sur le dos un peu plus haut sur le lit, appuyant une main entre ses seins pour la positionner comme il le souhaitait.
— Je vais frapper ton ventre et tes seins, d’accord ? N’oublie pas, j’arrête quand tu le demandes. OK ?
Elle hocha la tête comme elle pouvait, déterminée à ne pas lâcher. Il posa sa main libre sur son ventre plat, et instantanément elle écarta largement les cuisses, lui offrant son intimité. Néanmoins, elle frémit quand il plongea trois doigts dans son vagin liquide et les poussa profondément. Sans transition, la ceinture s’abattit au niveau du nombril, et Mélanie hoqueta sous son bâillon, se soulevant pour retomber en arrière comme la ceinture frappait à nouveau.
— Tu chatte serre mes doigts, mais tu mouilles comme une chienne, 32 ! Tu aime être battue ? Prends ça !
Il porta trois coups rapprochés sur les globes somptueux, évitant les aréoles percées, et fut récompensé par un hurlement étouffé et une élévation de température soudaine autour de ses doigts enfouis dans le vagin offert. Il n’en pouvait plus, tellement sa verge était gonflée douloureusement, mais il porta encore une dizaine de coups secs sur le torse et le ventre de la jolie blonde. Puis il la retourna et prit quelques secondes pour verser du lubrifiant sur le joli cul bien rond et musclé qui lui était promis.
Mélanie comprit en sentant un liquide froid couler dans la raie de ses fesses et tenta de se décontracter ; elle savait qu’elle aurait mal de toute manière, mais nettement moins si son corps acceptait l’intrusion. Pourtant elle fut surprise par la taille et la dureté du membre viril qui la forçait. La gigantesque bite de Thomas était dure comme l’acier et distendait les sphincters à la limite de la rupture. La jeune fille dut lutter pour se relâcher, ordonnant à ses muscles intimes de ne pas se contracter, se cambrant pour prouver sa bonne volonté.
— Petite pute, ton cul est serré comme celui d’une pucelle. Ou je suis trop gros pour toi... Tu veux que je me retire ?
Elle gémit de dépit en le sentant reculer et libérer ses reins, le gland s’extrayant avec un léger bruit. Thomas, émerveillé, vit l’anus se refermer peu à peu, comme à regret, alors que Mélanie poussait des grognements de frustration. Il plongea à nouveau trois doigts dans le vagin délaissé et le trouva toujours aussi trempé et torride. Il commença à défaire quelques nœuds de l’autre main, libérant la bouche de la petite blonde qui recracha son bâillon.
— Tu ne préfères pas que je prenne cette délicieuse chatte affamée ?— Non, s’il te plaît, sodomise-moi encore... Aïe !— Attention, coupa Thomas en donnant de violentes claques sur les fesses déjà bien marquée. Ici, tu n’es que 32, la petite pute.— Oui, pardon Monsieur... Aïe ! Enculez votre pute, Monsieur, je vous en supplie.— Et tu veux de la tendresse, ou de la brutalité ?— Ce que vous préférez, Monsieur.— Alors ce sera brutal.— Ah ! Oh, mon Dieu...

Il s’était enfoncé d’une seule poussée, faisant trembler tout le frêle corps de la jeune fille. D’où il était, il regardait son gigantesque épieu brun disparaître entre les globes roses et musclés des fesses de Mélanie. Il semblait bien trop épais pour s’être enfoui à cet endroit, et quand il recula un peu il vit distinctement les muscles anaux, blanchis à force d’être distendus, suivre la colonne qu’ils enserraient trop étroitement.
Mélanie sanglotait, submergée par la douleur provenant de son ventre. Mais cette douleur si vive s’accordait avec celle occasionnée par les coups de ceinture et la rendait si diffuse qu’elle avait l’impression d’avoir mal partout. Alors elle mordait le drap qu’elle inondait de ses larmes. Ses épaules tressautaient et tremblaient, sa respiration hachée témoignait de sa souffrance extrême. Mais elle refusa d’utiliser son safe word et se laissa submerger par les sensations.
Thomas prit ses hanches et les releva un peu ; instinctivement, Mélanie se cambra et s’offrit au monstrueux pal qui dilacérait ses chairs. Et elle attendit, tremblante et soumise.
— C’est bien, petite pute. Rares sont les femmes qui ont accepté de recevoir ma bite dans leur cul ; plus rares sont celles qui sont allées jusqu’au bout. Tu es bien ?— J’ai mal, Monsieur. Mais je ne voudrais être nulle par ailleurs.— Alors je peux finir de te démolir le cul, je comprends ?— Oui, Monsieur, il vous appartient. Oh ! Oh !
Thomas avait presque ressorti sa bite pour la replonger d’un coup furieux qui écrasa Mélanie sur le lit. Et sans temps de pause il entama un va-et-vient furieux qui arrachait des cris désespérés à 32. Les larmes ruisselant à nouveau de ses yeux qui n’accommodaient plus, elle mordit à nouveau le drap pour ne pas déranger le voisinage.
Le colosse brun avait entrepris de briser toute résistance anale, et ses coups de boutoir ravageaient les entrailles vaincues, se taillant une place très loin dans le ventre de sa soumise. Il ruisselait de sueur, et sa sueur tombant sur la peau si pâle de la blonde la couvrait d’un voile luisant. Sans sortir un instant des reins de Mélanie, il libéra ses bras et ses poignets cruellement marqués par la corde et ankylosés.
La jeune fille était dans un état second ; la souffrance avait largement reculé, remplacée par une plénitude comme elle n’en avait jamais connue. Elle posa ses mains sur ses fesses rouges et entoura l’épaisse base de la verge de son amant, s’émerveillant de pouvoir l’accueillir toute en elle. Se cambrant, elle réussit à l’entourer de ses deux mains, la serrant aussi fort qu’elle pouvait. Thomas grogna et protesta.
— Petite pute, tu me fais durcir encore plus. Et tu m’empêches de t’enculer à ma guise. Alors si tu veux te rendre utile, écarte tes fesses à deux mains.— Oui, Monsieur...
Elle s’exécuta en tremblant un peu, d’appréhension et de plaisir anticipé mélangés : il allait la prendre encore plus fort, encore plus profondément si c’était possible. Elle ne put retenir un hurlement quand il donna un violent coup de boutoir. Il la défonçait avec la brutalité et la régularité d’un marteau-pilon broyant du métal, s’enfouissant à chaque poussée et repoussant ses organes pour se faire la place. Le jeune homme avait du mal à retenir sa jouissance qui montait dans sa colossale queue et la rendait encore plus raide et encore plus épaisse.
Mélanie poussait des cris rauques accompagnant chaque furieuse ruée, sentant un orgasme terrible monter dans ses reins, un orgasme qui la faucha un instant avant que de longues rasades de semence l’emplissent. Soudé à elle, en effet Thomas jouissait en criant aussi, sa verge tressautant sans fin dans le ventre serré et brûlant de sa soumise comblée. Il tomba, comme fauché, et eut la délicatesse de se laisser glisser à côté de la jeune fille pour ne pas l’écraser.Repus et satisfaits, ils reprirent leur souffle lentement en s’embrassant et en se caressant. Les mains enserrant la base des volumineux seins de Mélanie, Thomas demanda enfin :
— Alors, ça t’a plu ?— Champagne... Non, j’ai adoré chaque seconde de ce que tu m’as fait subir. Mais je prendrais bien aussi une coupe de champagne, tu sais...— Très bonne idée, mais j’y ai pensé, figure-toi !
Thomas se leva et ouvrit un petit frigo masqué dans un meuble en chêne clair pour en sortir une bouteille de Cristal brut.
— Je vais faire couler un bain et te donner un baume apaisant. Je pense que tu en auras besoin, je ne t’ai pas ménagée.
Mélanie savait qu’il avait raison ; elle n’osait pas bouger ni toucher son anus qui devait être dans un sale état. De fait, Thomas dut la soulever et la porter dans le bain à l’eau un peu fraîche qui eut un effet apaisant sur sa peau irritée.Plus tard, dûment badigeonnée d’onguent aux endroits stratégiques, la jeune fille put enfin apprécier une coupe de champagne, lovée contre le torse musclé de son amant.
— Nous partons dimanche pour Paris, en train. Ça te va ?— Mmm, disons que j’ai un souvenir mitigé de mon dernier trajet dans ce train ; mais oui, ça me va.— Paris te plaira, j’en suis sûr. J’ai un bel appartement dans le Marais ; ta fac ne sera pas trop loin non plus.— Tu sais, j’avais mis une croix sur mes études. Et puis tu m’offres une seconde chance... Tu sais que ton père voulait organiser un week-end spécial pour mon anniversaire ? Pour mes dix-neuf ans, me donner en pâture à dix-neuf types en rut...— Et tu en avais envie ?— Je ne sais pas. En fait, je n’avais pas trop le choix, et ça me faisait peur. Tu aimerais que je le fasse ? — Je ne suis pas jaloux ni exclusif ; je veux bien te partager quand je l’ai décidé, et si tu es d’accord seulement. Mais là, je réserve mon opinion. Vivons déjà ensemble quelque temps ; apprenons à nous connaître et à nous aimer avant tout.— Tu penses qu’une relation comme la nôtre peut déboucher sur l’amour ?— J’en suis sûr, Mélanie. Tu me plais énormément ; au plumard, tu es une bombe atomique. Le secret du bonheur, pour moi : une jolie fille qui m’obéisse de temps en temps, qui me tienne tête aussi, qui s’exprime et défend ses idées. Qui aime faire l’amour avec moi, qui accepte de devenir ma soumise sexuelle de temps en temps... Tu vois, je ne suis pas difficile.
Mélanie rit, un peu émue malgré tout, et un peu pompette après deux coupes de champagne et le vin bu à table.
— Oui, et moi, je cherchais un beau mec, baraqué et bad boy, intelligent et drôle. Un mec qui soit un bon coup au lit, qui me comble en me faisant l’amour du matin au soir. À propos, tu parlais d’apprendre à nous connaître...— Et alors ? demanda Thomas, interloqué.— Tu as essayé ma chatte et mon cul, tu as encore des forces ? Je pense que tu n’as pas encore tout essayé. Heureusement que je suis là, tu vois…
En riant, Mélanie prit un oreiller, le jeta sur le parquet et s’agenouilla dessus en ouvrant grand la bouche.
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