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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 14

Trash
Bordeaux, 31 janvier, 17 heures.
Le taxi se gara devant le pavillon de banlieue ; la lumière était allumée sur le perron car la nuit commençait déjà à tomber. Mélanie paya et récupéra sa grande valise à roulettes, remercia le chauffeur, puis marcha jusqu’à la porte d’entrée en tirant son lourd bagage.
Sans qu’elle ait à sonner, la porte s’ouvrit et Arnaud Lenoir s’avança, obstruant l’entrée de sa carrure puissante.
— Bonjour, 32.
Bien sûr. C’était son numéro d’esclave. Comment aurait-elle pu l’oublier ? Il était gravé dans sa chair depuis bientôt quatre ans, et il s’en servait déjà pour la mettre dans l’ambiance.
— Bonjour, Monsieur.— Alors, tu as réfléchi, dans le train ?— Oui, Monsieur. Thomas, votre fils, me laisse entièrement libre de mes choix. J’accepte de vous servir et d’être votre esclave pendant toute la durée de ma scolarité à Bordeaux, sous certaines limites.— D’accord, vas-y...— Mais... Nous ne pouvons pas entrer ? Il fait froid et il bruine.— Je m’en fous, je suis à l’abri. Donne ton manteau, puisque tu commences déjà à couiner.
La jeune femme baissa les yeux, troublée. Ça y était, ça recommençait. Elle sentit son ventre se nouer, d’appréhension et d’autre chose de plus trouble. Se mordillant la lèvre inférieure, elle déboutonna son gros manteau et le tendit à l’homme qui grimaça en découvrant ses vêtements.
— Bravo ! Un jean, un pull informe... Enlève tout, et vite !— Bien Monsieur. Tout ? hasarda-t-elle.— Tu m’as entendu.
Crispée, les joues brûlantes, Mélanie hocha la tête. Les yeux baissés, elle se déshabilla lentement, posant ses vêtements sur sa valise. Une fois nue, naturellement, elle prit la position d’attente, pieds écartés d’un mètre ou presque, mains dans le dos. Ses épaules se couvrirent aussitôt de chair de poule sous les assauts de la bise chargée d’humidité.
— Tu es toujours aussi belle, petite pute, avec tes gros nichons de salope et ta bouche de suceuse. — Merci, Monsieur.— Bon, alors, c’est quoi tes limites ?— Oui, Monsieur... Pas de marque visible, pas de blessure occasionnant un arrêt de travail. Tout le temps nécessaire pour travailler, accès illimité à Internet, tenues neutres pour aller en cours. J’aurai bientôt un stage de plus de cinq mois chez un avocat Bordelais, mais d’abord j’ai mes cours qui commencent ce lundi à l’école de la Magistrature. Je dois acheter une petite moto ou un scooter pour circuler dans Bordeaux, il faudra une place pour l’abriter. Et... Thomas ne veut pas que vous preniez mon vagin. J’ai remis les tunnels, j’ai un cadenas dans mon sac, à votre convenance.— Bien. Entre, pose tes affaires dans ta chambre, puis va dans le salon, position numéro deux.— Oui, Monsieur.
Mélanie tira sa valise dans la chambre qu’elle partageait avec Thomas quand ils descendaient ensemble de Paris, plia ses vêtements sur une chaise avant de descendre dans le salon. Elle prit aussitôt la position demandée, frissonnant encore malgré la douce chaleur de la pièce. Elle attendit longtemps, essayant de rester immobile malgré la douleur croissante dans ses genoux.
Son cœur battait sourdement dans sa poitrine même si sa respiration s’était calmée. Puis la jeune femme comprit qu’il était arrivé silencieusement et qu’il avait une vue imprenable sur ses orifices présentés impudiquement. Pensant à l’image qu’elle donnait, Mélanie gémit sourdement ; mais en même temps son vagin suintait, et elle savait qu’il s’en était rendu compte.
Un sifflement lui apprit qu’il tenait une cravache et qu’il avait l’intention de s’en servir. Elle soupira, prête à recevoir une punition sans aucun motif, sinon d’être là, offerte et soumise.
— Alors, ça fait quatre ans que tu es partie à Paris. Tu es revenue souvent ici avec mon fils, mais sans jamais m’offrir ton cul. Et maintenant que tu as eu ton concours, tu reviens chez moi en rampant. Je vais te punir pour toutes ces années, tu vas souffrir pour te faire pardonner. D’abord, ton cadenas. J’en ai un particulièrement lourd, tu le porteras dès que tu seras ici.
Il se pencha et glissa dans les tunnels d’acier anodisé le jonc d’un gros cadenas en métal. Mélanie tressaillit quand il le lâcha et que ses lèvres intimes se déformèrent, tirées inexorablement vers le sol.
— Lève-toi et pose les mains sur la table basse. Jambes tendues écartées, dos cambré. Tu te rappelles ton mot de sécurité ?— Oui, Monsieur, c’est « champagne ».— Bien. Tu as quelques marques, mais pas récentes. Mon fils ne te bat pas souvent ?— Seulement une fois par semaine, Monsieur. Parfois moins.— Ici, tu seras battue au moins une fois par jour, tu le sais.— Oui Monsieur. Je vous en remercie.
Sans préavis, Lenoir frappa. Mélanie retint un cri, il avait appuyé son coup et la douleur avait traversé son corps, une longue marque devait déjà se former sur ses fesses. La jeune femme crispa ses doigts sur le bord de la table et tenta de retenir le tremblement qui agitait ses genoux. Les coups commencèrent à pleuvoir sur un rythme soutenu mais irrégulier, l’empêchant d’anticiper. Les larmes ruisselaient sur ses joues, des grognements échappaient à ses dents serrées, mais elle refusait de s’avouer vaincue.
— Tu ne veux pas que j’arrête ?— Monsieur, faites comme vous le souhaitez, articula-t-elle d’une voix hachée de sanglots.— Parfait, je vais frapper plus fort, pour te rappeler le bon vieux temps... Voyons ça... Tu es trempée, petite salope.
Il avait glissé deux doigts dans la fente entrebâillée et constaté la réaction corporelle de Mélanie ; à sa grande honte, elle mouillait comme une folle.
Lenoir lança son bras armé, à nouveau, et eut la joie de voir sa jolie bru se tordre de douleur avant de reprendre la position en tremblant. Ses fesses et le haut de ses cuisses se couvraient de longues boursouflures virant au violacé, de petites coupures laissaient même sourdre un peu de sang. Après dix coups, il jugea que la punition était suffisante ; jetant sa cravache sur la table, il baissa son pantalon et sortit sa verge douloureuse à force d’être dure et gonflée.
— Tourne-toi, à genoux et suce ma bite, petite chienne. Et couvre-la de salive, c’est le seul lubrifiant que tu auras pour ton cul.— Oui Monsieur.
Elle s’exécuta rapidement. Lenoir faillit éjaculer prématurément quand Mélanie engloutit sa volumineuse bite jusqu’à la garde et qu’elle leva les yeux vers lui. Des yeux noyés de larmes mais comblés. La bouche démesurément ouverte, les lèvres plongées dans les poils pubiens, elle pompait et déglutissait pour masser l’épais engin. Proche de la jouissance, celui-ci gonflait encore et surtout gagnait encore en raideur, obstruant complètement la gorge de la jeune fille dont le visage se cyanosait. Ce que voyant, Lenoir plaça ses deux mains sur la nuque et interdit tout retrait.
— Les mains croisées dans le dos, tu me laisses baiser la bouche. Bave bien, après, c’est pour ton cul.
Obéissante, Mélanie contint sa volonté de retrait et se laissa aller, privée d’oxygène jusqu’au moment où sa vision s’est obscurcie. Puis son beau-père l’a libérée et elle s’est écroulée, aspirant une énorme goulée d’air, suffoquant et pleurant. Mais déjà l’homme la bousculait vers l’avant et forçait ses reins. Bien que Mélanie soit coutumière des sodomies avec Thomas, elle cria quand le puissant rostre la transperça.
Bien vite, alors que Lenoir s’était planté au plus profond, la douleur initiale fut remplacée par une sensation de plénitude. Le jolie blonde se cambra et s’offrit, bras tendus devant elle, joue sur le sol ; Lenoir empoigna ses seins et les tordit cruellement, arrachant une long gémissement à sa proie. Mais il n’aurait su dire si ce gémissement prenait sa source dans la douleur ou bien dans le plaisir. Un peu des deux, sans nul doute.
Dès lors, il la pilonna en l’insultant et en la rabaissant, sa verge épaisse coulissant aisément dans l’anus complaisant. Quand il éjacula à grosses rasades dans les intestins de la belle, elle fut parcourue de spasmes de plaisir qui lui arrachèrent gémissements et cris. Ils s’écroulèrent sur le sol, essoufflés, couverts de sueur ; il l’écrasait de son poids mais elle ne s’en plaignait pas, au contraire elle le surprit en prenant la parole quand il se souleva.
— Je vous remercie, Monsieur. Vous m’acceptez chez vous après tout ce temps, vous prenez la peine de me dresser et de me punir. J’essaierai d’être digne de vous, de vous servir et vous obéir de mon mieux.
L’homme se releva, respirant encore un peu vite, et considéra la jeune femme prostrée à ses pieds. Le dos luisant de sueur, les fesses méchamment striées de bistre, les cheveux emmêlés, les yeux injectés de sang et le visage rouge et souillé, les lèvres gonflées et tremblantes, elle était magnifique.
— Je vais me doucher. Nettoie les saletés que tu as faites et tu te laveras après.— Bien Monsieur.
En serrant les dents, Mélanie se redressa et se rendit dans la buanderie. Armée d’une serpillière et d’un seau d’eau, elle entreprit de nettoyer soigneusement le sol, à genoux et toujours nue. Après sa douche, Lenoir passa pour vérifier qu’elle avait obéi. Satisfait, il lui lança :
— Allez, c’est bon, file te doucher. Tu trouveras sur le lavabo un onguent pour tes fesses, cicatrisant et antiseptique. Tu boiras le contenu du verre, c’est un antalgique.— Merci Monsieur.
Après une bonne douche et quelques soins sur son postérieur, la jolie blonde regagna le séjour toujours nue, une serviette enroulée sur la tête. Lenoir lisait, confortablement installé sur son fauteuil préféré. Il l’autorisa à manger avec lui, mais durant le diner Mélanie préférant rester silencieuse ; elle chargea ensuite le lave-vaisselle, nettoya table et évier avant de rejoindre Lenoir dans le salon.
— Monsieur, je suis fatiguée ; m’autorisez-vous à regagner ma chambre ?— D’accord. Demain soir, j’ai invité quelques personnes. Tu assureras le service dans une tenue que j’ai choisie spécialement pour toi.
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