Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 56 J'aime
  • 4 Commentaires

Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 15

Trash
Le samedi matin, Lenoir déposa Mélanie rue Francis Garnier devant Décibel, le garage Yamaha Motos. La jeune femme se décida très vite pour un scooter présent dans le magasin, un X-Max 250 gris métal et noir ; elle choisit un casque assorti, des gants et un blouson gris et rose – on est fille ou on ne l’est pas -. Puis elle regagna la maison de son beau-père après un crochet rue Bonie pour passer devant l’ENM.
Maniable, léger et facile à garer, ce scooter était idéal pour une ville comme Bordeaux. Mélanie avait le permis moto depuis plus d’un an mais n’avait pas le droit de conduire la Triumph Daytona 675 de Thomas car elle n’avait qu’un permis A2. Aussi son scooter la comblait particulièrement. Ce malgré ses fesses à vifs qui lançaient terriblement au contact de la selle.
Lenoir ne la toucha pas de la journée, la laissant seule une bonne partie de l’après-midi, avec pour mission de faire le ménage. Mélanie s’activa donc à passer l’aspirateur puis la serpillière dans toutes les pièces, tellement qu’à la fin elle était épuisée et en sueur, bien qu’elle travaillât nue. Elle finissait de se doucher quand Lenoir est revenu, peu après 18 heures.
Il agita sous le nez de la jolie blonde un sac noir qui paraissait assez lourd.
— Voici ta tenue. Je l’avais choisie il y a quelques jours en prévision de ton arrivée, mais tout n’a été livré qu’aujourd’hui.
Sous les yeux curieux et inquiets de la jeune femme, il déposa un à un les articles sur la table du salon, en commentant au fur et à mesure.
— Collier de contrainte, cagoule, écarteur buccal réglable, lunettes fumées, quatre bracelets, les chaînes en acier, le gode et sa ceinture de fixation, de nouveaux anneaux pour tes mamelons... Tout y est. Je vais pouvoir t’équiper. Mais auparavant, noue tes cheveux en chignon.
Il fixa tout d’abord les quatre bracelets, des articles en cuir noir et acier larges et lourds fermés par des cadenas. Puis il lubrifia le gode, un engin long mais surtout particulièrement épais, qui perturbait Mélanie. La suite lui donna raison ; malgré la souplesse de son anus souvent sollicité, l’intromission s’avéra éprouvante. Enfin ses muscles lâchèrent et le massif sextoy s’enfonça dans les intestins distendus. Mélanie ne put retenir un gros soupir, mais elle resta stoïque et endura en silence.
Un large ceinturon en cuir noir étrangla ensuite la taille de Mélanie, là encore Lenoir le sécurisa avec un cadenas. Deux sangles descendaient à l’avant, encerclant le pubis et le tatouage « esclave 32 », passaient dans le jonc du gros cadenas condamnant l’accès vaginal, et se rejoignaient dans le dos. Bien sûr, un autre cadenas les fixa au ceinturon. Ainsi, le gode ne pouvait plus être expulsé, seule sa large base plate dépassant un peu.
— Voilà pour ça. Tu le trouves comment, ce gode ?— Un peu épais, mais parfait, Monsieur. Idéal pour dilater le cul de votre petite salope.— Tu mériterais une punition, pour te montrer sarcastique.— Comme il vous plaira, Monsieur.— J’en aviserai les invités, on verra si tu fais autant la maligne. Le collier, maintenant.
Mélanie pesta intérieurement, elle n’avait pas envie de servir de punching-ball public. Lenoir installa ensuite le collier, le bouclant avec un cadenas de plus, avant de lui faire enfiler la cagoule, un modèle en cuir noir qui recouvrait toute la tête de Mélanie, là encore un énième cadenas se fermait sur la nuque. Seuls restaient visibles les yeux et la bouche.

— Pour tes nichons, j’ai prévu des anneaux d’acier, ce sera plus tendance que les trucs en or que tu portes.
Il remplaça donc les deux anneaux puis recula pour examiner son oeuvre. Satisfait, il prit l’écarteur buccal, un appareil d’acier comportant des molettes de réglages de chaque côté. Mélanie ouvrit la bouche sans attendre d’ordre et il inséra les demi-cercles dans la bouche entre lèvres et dents. Puis il écarta, d’abord à la main, puis avec les molettes, jusqu’à provoquer des gémissements plaintifs chez sa cobaye.
— Oui, je sais, mais je pense que tu peux ouvrir encore un peu... Je veux voir ta luette à trois mètres...
Mélanie s’affolait car ses mâchoires se retrouvaient douloureusement écartées, elle salivait de plus en plus et ne pouvait plus avaler convenablement.
— Tu vas te baver sur les nichons toute la soirée, c’est parfait, petite pute. Allez, les lunettes... Ce sont des lunettes de motard vintage, tu as de la chance...
En effet, une sangle réglable les retenait solidement en place ; les verres fumés verts assombrirent d’un coup la vision de la jeune femme. Il ne restait plus à Lenoir qu’à fixer les deux courtes chaînes, à peine trente centimètres pour celle entre les chevilles, l’autre un peu plus longue entre les poignets mais reliée à la ceinture.
— Parfait, tu es parfaite. Nue, enchaînée, mystérieuse.
Mélanie déglutissait de plus en plus vite, en proie à une gêne croissante. Elle gémit, tenta d’articuler une plainte, mais Lenoir claqua ses seins d’un revers de main, aller-retour, et elle se le tint pour dit.
— Je ne veux pas que tu te plaignes ; pour ça aussi tu seras punie. Les invités vont arriver et je leur demanderai de te juger puis de te punir.
Sur l’ordre de son beau-père, la jeune femme alla dans le séjour à tout petits pas, la chaîne entre ses cheville ne permettait pas plus. Il lui incombait de dresser la table, servir les plats préparés par un traiteur, remplir les verres de vins sélectionnés par Lenoir, être à la disposition des convives.
La table mise, Mélanie était revenue dans la cuisine et attendait, à genoux dans un coin, les mains posées à plat sur les cuisses. Bien cambrée, elle avait appuyé le front contre le mur en essayant de faire abstraction de la honte qui l’envahissait à l’idée d’être exposée devant des inconnus. Quatre assiettes, trois invités plus monsieur Lenoir, quatre regards concupiscents, méprisants sur son corps, sur ses fesses marquées, sur ses gros seins.
Depuis l’augmentation mammaire quatre ans plus tôt, sa poitrine était devenue – et restée – plus qu’imposante, contrastant avec la finesse de sa taille. Mais Thomas en raffolait et adorait se perdre entre ses globes moelleux. Mélanie fut tirée de ses pensée par la sonnerie du carillon. Les invités étaient arrivés.
Elle soupira en reconnaissant aussitôt le timbre de Freddy Sirocco, puis une voix féminine la fit frémir d’horreur, une voix qu’elle reconnaîtrait entre mille : sa mère faisait partie des convives !
Elle se rappela qu’elle l’avait elle-même invitée au restaurant avec monsieur Lenoir l’été dernier. Mais ce repas, à l’initiative de Thomas, avait été froid et presque lugubre tellement sa mère était restée renfermée et glaciale avec elle.
— Ma chère Sandrine, je suis heureux que tu sois venue. Ta chambre est prête, je monte ton bagage pendant que Freddy te fait les honneurs de ma modeste demeure.— Merci, Arnaud, mais je ne sais pas si je vais arriver à vous tutoyer, vous m’impressionnez trop.— Mademoiselle, Arnaud, bonsoir, lance une autre voix que Mélanie pensa connaître.— Don ! Sandrine, je te présente Don Minga ; il est moitié Français, moitié Ivoirien, et moitié Américain, pour faire bonne mesure. Il est acteur à Hollywood.— Bonsoir monsieur ; je suis désolée mais je ne crois pas vous connaître. Vous avez joué dans quel film ?— Des films pour adultes, ma jolie. Je tournerais avec plaisir avec toi. Tu as un corps parfait : petite, menue, blonde et un visage de collégienne !— Je viens d’avoir quarante ans, vous savez. Je crois avoir passé l’âge pour tourner dans ce genre de films.
Mélanie se rappelait à présent de Don, un des quatre hardeurs qui l’avaient défoncée sans pitié quelques années plus tôt. Elle le croyait Américain, et le voilà qui parlait français avec sa mère... Ils approchaient de la cuisine en badinant gaiment.
— Détrompe-toi, ma toute belle. Ce qui compte, c’est d’avoir un corps entretenu, une chatte épilée, des seins fermes. Et d’être ouverte d’esprit et d’ailleurs, d’avoir tous tes orifices accueillants. Tiens, qui est cette minette ?— Oh ! s’exclama Sandrine en apercevant Mélanie agenouillée. Mais... Que fait cette femme ici ? Monsieur Lenoir ! appela-t-elle.
Il entra dans la cuisine à son tour et désigna Mélanie.
— C’est 32, mon esclave. Allez, debout, 32. Et vite, si tu ne veux pas que je tanne ton cul une nouvelle fois.
Sandrine semblait sur le point de partir en courant, et il s’empressa d’expliquer :
— 32 est mon esclave, mais c’est purement consenti. Si elle souhaite partir et renoncer à son rôle, il lui suffit de le dire. N’est-ce pas, 32 ?
Mélanie hocha la tête pour approuver, mortifiée de se retrouver nue et harnachée devant sa mère. À l’abri derrière ses verres fumés, elle en profita pour examiner cette dernière. Sandrine ne faisait pas son âge ; svelte et délicate, elle portait une petite robe noire qui soulignait la finesse de sa taille, et dévoilait ses attaches fines et ses cuisses fuselées. Pour l’heure, son visage exprimait la stupéfaction en découvrant 32. Ses yeux bleus s’agrandissaient de surprise en découvrant l’étendue de la soumission manifestée par la jolie esclave devant elle.
— Tu veux que je te libère ? demanda Lenoir à 32.
La jeune femme secoua la tête négativement, effrayée à la pensée qu’il enlève son masque et que son identité soit dévoilée. Voyant cela, sa mère s’approcha d’elle ; malgré ses escarpins à talons hauts, elle était un peu plus petite que Mélanie pieds nus.
— Si tu veux, tu peux toucher ses nichons, intervint Lenoir. Tu peux même les tordre, 32 aime ça ! Tu vois ?
Il montra l’exemple en empoignant le mamelon gauche qu’il pinça en tournant les doigts d’un demi-tour, arrachant un râle de douleur à sa soumise. Un sourire rêveur aux lèvres, Sandrine planta ses ongles au vernis noir dans l’aréole droite et tourna progressivement ; Mélanie hoqueta et gémit, ses yeux se brouillèrent de larmes. Quand sa mère recula, le bout de sein était gonflé et des demi-cercles rouges les ornaient.
Diffuse en direct !
Regarder son live