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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 18

Trash
Cette nuit-là Sandrine jouit plusieurs fois, bien plus qu’elle ne s’en croyait capable, bien plus qu’elle n’avait joui ces dernières années. Elle pleura aussi, quand pour la troisième fois il prit sans pitié son anus meurtri et le pilonna avec la vigueur et la puissance d’un marteau-piqueur.
Mais elle ne se dérobait jamais, au contraire elle allait au devant de ses coups de boutoir et offrait son corps menu au colosse qui la possédait. Il semblait pris d’une frénésie sexuelle ; et surtout, il semblait inépuisable, sa queue épaisse débandant tout au plus quelques minutes après chaque éjaculation.
Après qu’il se fut vidé la première fois dans sa gorge, il la fit se coucher sur le dos et releva ses genoux pour les coller à ses épaules ; pliée en deux, Sandrine lui offrait sa vulve détrempée au-dessus de la large base noire du plug. Il se pencha sur elle et la goûta, les yeux rivés dans ceux embués de son amante. Sa langue épaisse glissa entre les lèvres de bas en haut, de nombreuses fois. Il se délectait autant de ses sucs enivrants que des râles de plaisir de Sandrine.
— Tu es prête, je vois. Tu as envie de moi ?— Oui, s’il vous plaît ! Prenez-moi, baisez-moi, je n’en peux plus !— D’accord. Tu veux que j’y aille doucement, ou fort ?
Sandrine se rappela la taille redoutable de sa bite, mais elle n’en avait cure, elle la voulait en elle, qu’importe le prix à payer.
— Comme vous le souhaitez, je vous veux en moi, c’est tout. Alors baisez-moi aussi fort que vous le pouvez... Oh ! Mon dieu... Mmm...
En un instant il s’était repositionné au-dessus d’elle et son épieu s’était enfoncé dans le pertuis torride, le distendant à son calibre.
— Tu es serrée, mais trempée, ma petite pute. Je vais bien t’élargir avant de m’attaquer à ton cul.
Rendue folle par les coups de boutoir qui pilonnaient son entrejambe, Sandrine poussait des cris rauques au rythme de son suborneur. Les yeux révulsés de plaisir, elle se cambra et hurla sans retenue, submergée par un orgasme foudroyant qui la laissa pantelante, tous ses muscles relâchés. Mais lui n’avait pas joui, il ne ralentit pas le moins du monde sa cadence infernale.
La sueur ruisselait sur son torse velu, se mêlant à celle de la petite blonde. Le choc des pelvis s’accompagnait d’un claquement liquide, en écho aux gémissements continus de Sandrine et aux grognements de Lenoir qui tentait de retenir sa jouissance.
Puis il n’y tint plus, le spectacle de cette jolie femme transportée de plaisir par ses oeuvres eut raison de lui : sur un ultime coup de reins qui le propulsa plus loin encore dans sa matrice, il éjacula, les mains crochées aux hanches de son amante. Celle-ci, bouche ouverte sur un cri qui n’en finissait plus, était balayée par un nouvel orgasme ravageur.
Lenoir s’écroula en avant, l’ensevelissant de sa masse sans qu’elle se plaigne, au contraire elle noua ses chevilles et ses mains dans son dos pour coller plus étroitement leurs corps trempés de sueur. Elle savourait cet instant, comblée et repue, le vagin toujours empli d’une verge en érection qui faiblissait à peine et palpitait en elle.

Puis Lenoir s’écarta et se laissa glisser à côté de Sandrine qui gémit quand son ventre fut libéré. Il écarta une mèche blonde qui mangeait son visage puis souffla sur ses cheveux emmêlés et collants.
— Alors, pas traumatisée, au moins ?— Non, bien sûr que non ! s’exclama-t-elle. Vous avez été parfait, vous m’avez donné plus de plaisir que quiconque avant vous.— Tu veux prendre une douche, boire un verre ?— Mmm... Oui, si ça vous convient, je suis partante !
Une douche à deux, ça dure souvent plus longtemps que deux douches consécutives. À son retour dans la chambre, Sandrine serrait les cuisses tellement elle avait envie d’être prise. Son vagin ruisselait et sa petite poitrine se dressait insolemment. Quant à Lenoir, son énorme verge congestionnée le précédait, disant assez son état d’excitation. Il tira la jolie blonde à lui et releva son menton d’un doigt, plongeant ses yeux dans les iris bleus pétillants de son amante.
Il y lut ce qu’il espérait : dévotion, confiance sans faille, désir.
— Je vais prendre ton cul, petite pute. Tu le sais ?— Oui, oui, Monsieur. J’ai un peu peur parce que vous êtes... bien monté. Mais j’en ai envie, surtout.— Avant, je vais te donner quelques coups de cravache. J’allais les oublier, alors que je te les avais promis. Tu es OK ?
Elle sourit bravement, et hocha la tête en déglutissant.
— Oui, Monsieur. Je sais que vous en avez envie.— Combien ?
Sandrine réfléchit un instant, puis secoua la tête.
— Qu’importe ? C’est vous qui décidez...— Tu n’as pas bien compris, mais je ne te punirai pas pour cette fois. Quand je te demande quelque chose, tu réponds. Tu n’as pas le droit de te défausser sur moi. Et puis tu as oublié « Monsieur »...— Merde ! Oh, je suis désolée, Monsieur... Alors... Dix coups de cravache ?— Tu en auras quinze, pour ton oubli. Et je frappe où ? Tes fesses sont bien marquées, déjà...— Ah... Je ne...— Attention à toi, petite pute !— Sur le ventre, Monsieur ! lança-t-elle vivement.— Tu es sûre ? Tu vas avoir mal.— Oui Monsieur.
En réalité, Sandrine voulait voir les marques dans son miroir, chez elle, quand Arnaud Lenoir l’aurait chassée, l’aurait renvoyée à sa morne existence. Pour se rappeler ces moments intenses où elle avait vécu pleinement ses fantasmes de soumission totale. Car elle était sûre qu’il allait la rejeter, et qu’elle allait retourner à sa vie terne et grise. Elle en avait les larmes aux yeux rien que d’y penser.
À nouveau Lenoir souleva son menton et aperçut les perles brillantes qui sourdaient au coin des yeux de Sandrine ; il se pencha et les but délicatement avant de se reculer, obligeant toujours la petite blonde à le regarder.
— Pourquoi pleures-tu ? Tu as peur de cette punition ? Si tu veux, je...— Non, non ! Ce n’est pas ça, Monsieur... C’est juste...
Elle se tut et tenta de baisser la tête, mais Lenoir ne la laissa pas s’écarter et elle dut soutenir son regard scrutateur.
— Eh bien, parle, enfin ! Tu sais que tu dois tout me dire !— Demain, je vais revenir chez moi, puis reprendre mon travail comme avant. Et vous m’aurez vite oubliée, avec votre esclave, 32, et... Pardonnez-moi, Monsieur.— Je te pardonne, petite pute. Mais si tu veux devenir mon esclave, il te faudra me le demander...— Monsieur, je...— Silence ! Tu viens de m’interrompre, c’est bien le signe que tu n’es pas prête à te soumettre : tu n’es même pas capable de me laisser m’exprimer.— Je vous demande pardon, Monsieur. Je croyais...— Demain, tu vas rentrer chez toi. Tu prendras le temps de réfléchir à ce que je vais te dire. Mais d’abord, cravache. Quinze coups. Tu te places comme tout à l’heure quand tu m’attendais, jambes écartées et mains sur la nuque.
Sans attendre, Sandrine obéit et s’immobilisa en position. Lenoir tourna autour d’elle, rectifiant la posture à petits coups de cravache. Jambes plus écartées, reins cambrés, menton relevé, coudes en arrière.
— Tu es prête ?— Oui Monsieur...
Elle reconnut à peine sa voix, rauque et un peu chevrotante. La cravache siffla et frappa au niveau du nombril ; Sandrine frémit, réprimant un cri pour exprimer seulement un grognement sourd. Mais elle bougea à peine, ce dont se félicita Lenoir, attentif à ses réactions. Il avait retenu son coup, mais une longue marque carminée zébrait à présent la douce peau du ventre.
Il leva le bras, attendant que Sandrine visualise son geste avant de porter un nouveau coup, un peu plus fort cette fois. Une nouvelle fois il fut satisfait de sa réaction : tout son corps trembla, ses coudes se resserrèrent brièvement avant qu’elle reprenne parfaitement sa position. Sandrine respirait par saccades, les ailes du nez frémissant et témoignant de ses efforts pour maîtriser sa souffrance.
Lenoir frappa à nouveau, comptant mentalement jusqu’à dix, puis il recula d’un pas et observa la jolie blonde. Sa verge lui faisait mal tellement elle était gonflée et dure, il dut se retenir de se caresser, certain d’éjaculer en quelques instants. Or il voulait d’abord sodomiser Sandrine, la faire jouir encore une fois sous ses assauts.
Elle s’était redressée, mais les muscles de ses jambes tressautaient, sa peau fine s’était couvert de sueur et elle n’essayait plus de retenir ses larmes.
— Tu te rappelles de ton mot de sécurité ? C’est ananas. Tu peux le dire, je ne t’en tiendrai pas rigueur.— Dans vos rêves, Monsieur... Pas question ! répliqua-t-elle à voix basse, les mâchoires crispées.— Je passe sur ta manière de répondre. Bien, encore cinq coups, je vais frapper plus haut, tu es bien marquée sur le ventre. Sur ta poitrine donc.
Sandrine frémit mais s’abstint de répondre, elle tenta au contraire de se relâcher dans l’attente des coups. Cinq seulement, elle s’en savait capable. Elle se savait capable d’endurer bien plus en fait, rien que pour cet homme. Prenant sa respiration, elle gonfla ses poumons et s’offrit bravement.
Une minute trente plus tard, elle sanglotait mais ressentait une fierté sans borne d’avoir passé l’épreuve ; ses mamelons se dressaient outrageusement, témoignant de son émoi. L’intérieur de ses cuisses était trempé de cyprine, mais elle savait que cette fois son vagin serait ignoré. Elle gémit quand les doigts de Lenoir plongèrent en elle et la barattèrent rudement.
— Tu es complètement liquide, bon sang ! J’ai l’impression que tu aimes être cravachée !— Par vous, oui Monsieur...— Allez, vite, à genoux sur le lit, écarte bien tes fesses à deux mains que je puisse défoncer ton petit cul !
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