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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 19

Trash
Sandrine détala et se positionna rapidement, exposant sans pudeur son entrejambe recouvert d’une fine toison dorée. Lenoir extirpa lentement le plug qui emplissait toujours son anus ; celui-ci resta entrebaîllé suffisamment longtemps pour que le colosse présente son gland surgonflé et l’enfonce d’un puissant coup de reins.
La jolie blonde mordit le drap pour retenir ses cris mais ne bougea pas, tentant au contraire de relâcher ses muscles intimes mis à rude épreuve. Encerclant la taille fine de Sandrine dans ses battoirs, Lenoir se fraya un chemin en elle en deux puissants coups de boutoir. Il s’immobilisa alors, complètement enfoui dans le ventre de son amante, dont la sveltesse contrastait avec le diamètre inusité de son engin. Au premier abord, il se demanda comment il avait pu pénétrer dans un corps si frêle d’aspect.
Les sphincters enserraient la base de sa verge, l’étranglant et provoquant une érection encore plus imposante. Il caressa alors le dos frémissant, Sandrine renifla et tourna vers lui un regard trouble, noyé de larmes. Mais elle lui adressa aussitôt un sourire comblé qui le rassura. Elle aimait être possédée de cette manière, et ça tombait bien car lui-même adorait sodomiser ses partenaires.
Il la prit lentement, sans à-coup, ressortant parfois complètement avant de revenir posément. Il s’immobilisait ensuite, son pelvis épousant les fesses fermes de Sandrine. Ce qui lui permettait de retarder le moment où il allait se vider : ses couilles lui faisaient mal tellement il se retenait. Puis il n’y tint plus ; Il se lança dans une cavalcade frénétique, défonçant les reins de la petite blonde de plus en plus fort.
Sandrine, les reins dévastés, sentait monter un elle un orgasme monstrueux qui inondait son ventre en feu. Elle se cambra encore plus, s’offrant aux violents assauts qui ravageaient son anus. Puis Lenoir se ficha profondément en elle et poussa un râle de jouissance tout en déchargeant des flots de sperme ; Sandrine cria, fauchée par un nouvel orgasme si fort qu’elle eut un long moment d’absence. Quand elle ouvrit les yeux, elle était dans le lit, sous la couette, blottie contre le corps massif du propriétaire des lieux.
— Alors, ça va ? demanda Lenoir. Tu m’as fait peur, quand tu es tombée en avant.— Oui, merci... Je me suis évanouie ? Je veux dire, Monsieur ?— Il semblerait, oui. Je vais chercher une pommade apaisante, tu dois avoir quelques endroits sensibles, non ?— Oui, c’est vrai. Merci, Monsieur...
Lenoir se leva et revint avec un gros tube d’onguent dont il enduisit généreusement la poitrine menue de Sandrine, puis son ventre. Il lui demanda ensuite de se retourner et il appliqua soigneusement le produit sur les fesses marquées, caressant et massant lentement. Sandrine comprit rapidement où cela les menait : elle se cambra et écarta les jambes largement. Le colosse plongea deux doigts joints dans l’anus aux chairs tuméfiées.
Bien lubrifiés ses doigts pénétrèrent aisément, bientôt rejoints par un troisième qui arracha un gémissement à sa proie, gémissement qui n’avait rien d’une plainte. Il fouailla longuement les reins, accompagnant ses actes de commentaires salaces.
— Petite pute, tu n’es décidément qu’une chienne lubrique, prête à se faire défoncer par tous ses trous. Ton cul est un délice, je vais en faire mon vide-couilles personnel. Et celui de mes amis aussi. L’amitié, c’est sacré !
Puis, bien sûr, il la couvrit et remplaça ses doigts par sa verge monstrueusement érigée. Cette petite femme si menue et si docile lui faisait un effet dingue, il avait une envie folle de la défoncer à nouveau. Surexcité par les râles de plaisir qu’il lui arrachait, il la pilonna à sa guise, sans se soucier de la ménager. Il avait l’impression de pouvoir lui faire subir les derniers outrages sans crainte de la briser : elle était minuscule par rapport à lui, mais sa souplesse et sa résilience lui semblaient infinies.
Au petit matin, Lenoir se réveilla avec une sensation délicieuse : Sandrine s’était glissée sous la couette et le suçait façon gorge profonde, ses mouvements de déglutition entraînant une érection phénoménale. Il écarta le tissu et découvrit la petite blonde dont les yeux pétillaient de plaisir. Elle recula et libéra sa verge en reprenant sa respiration.
— Bonjour Monsieur. Vous allez bien ?— Très bien, ma petite pute. Tu as passé une bonne nuit ?— Géniale, Monsieur.— Viens m’embrasser, vite.
Aussitôt elle bondit sur lui et lui offrit sa bouche aux lèvres gonflées de désir. Il empoigna ses fesses dans ses mains et les malaxa rudement, puis repoussa la petite blonde.
— Tu as ton train à quelle heure ?— Onze heures, Monsieur.— Je vais démolir ton cul sans préparation. Comme ça, tu auras un souvenir de moi pendant quelques heures. Mets-toi à genoux, bien cambrée, et écarte tes fesses que je puisse t’enculer. Là, comme ça ; tu es parfaite ainsi, petite pute. Je vais te défoncer... — Ooh mon dieu... C’est trop gros, je...— Tu veux que j’arrête ?— Non, Monsieur. Continuez... Mais vous êtes si épais...
Lenoir avait saisi les hanches de la blonde et forcé l’anus de sa matraque de chair. Sans lubrifiant, il peinait à s’imposer, mais ses violents coups de boutoir eurent raison de la résistance des sphincters. Dès lors, il glissa dans l’étroit fourreau et s’enfonça jusqu’à ce que ses couilles battent contre le vagin délaissé.
Il était tellement serré dans le ventre de son amante que l’engorgement sanguin dans sa verge provoquait un accroissement de taille et une raideur extrêmes. La blonde suffoquait sous ses assauts virils, pleurant et mordant son poignet pour retenir ses cris, mais elle ne protesta jamais. Totalement offerte, elle gémissait et secouait sa blonde chevelure emmêlée, savourant chaque seconde de cet accouplement violent.
L’orgasme qui la faucha, entraînant celui de son cavalier, lui fit presque perdre connaissance, tellement qu’elle ne réalisa pas que Lenoir s’était effondré sur elle et l’écrasait de sa masse. Quand il se laissa tomber à son côté, respirant lourdement, il soupira en caressant le flanc de Sandrine.
— File te laver, et dépêche-toi ; j’arrive dans cinq minutes et je veux avoir la douche pour moi. Nous aurons à discuter tous les deux.
Sandrine trotta et prit donc une douche express, ce qui lui convenait tout à fait. Elle grimaça en se lavant car son anus était en feu. Quand elle passa un doigt prudent sur lui, elle le sentit boursouflé et hyper-sensible. Mais elle savait qu’elle n’aurait pas droit à un baume apaisant, pas cette fois. Elle n’en avait nulle envie, d’ailleurs : elle voulait garder sa douleur ainsi que les marques sur son corps le plus longtemps possible. En souvenir de cette nuit.
Pendant que Lenoir se douchait, elle s’habilla simplement : sous-vêtements en coton simples et confortables, jean et tee-shirt. Quelques coups de brosse domestiquèrent sa chevelure avant qu’elle descende à la cuisine pour boire quelque chose. Préparer du café ou du thé, le cas échéant. Elle eut deux surprises en entrant dans la cuisine : un arôme puissant d’arabica, et surtout sa fille, Mélanie, assise un mug de breuvage fumant à la main.
— Bonjour maman, lança la jeune fille d’une voix lasse.— Bonjour, ma fille. Tu es arrivée cette nuit ?
Avant que sa fille réponde, Sandrine comprit. Elle s’approcha et souleva la manche du chemisier de sa fille, découvrant le tatouage 32.
— Mélanie, mon dieu...— Eh oui. Je suis désolée, maman. Je ne voulais pas que ça se passe comme ça, je ne savais pas que tu viendrais chez Monsieur Lenoir.— Mon dieu, répéta Sandrine, bouleversée. Et ça fait longtemps que... — Quelle importance ? La vraie question, c’est de me demander si je suis heureuse ainsi. Et la réponse, c’est oui. J’aime Thomas, il m’aime, et je suis son esclave.
Sandrine ne répondit pas tout de suite, son cerveau était en ébullition ; elle était abasourdie par la découverte de la situation : sa fille, si brillante, si indépendante, si volontaire, était 32. Une simple esclave, percée et tatouée de marques infamantes. Et elle se prétendait heureuse ?
Désorientée, elle scruta vainement des signes de déchéance ou d’abjection dans le tendre ovale du visage de sa fille. Elle n’y lut que fatigue et sérénité.
— Comment peux-tu être heureuse à être traitée plus mal que du bétail ? Tu trompes ton petit-ami, en te prêtant à ces manigances.— Thomas est au courant de tout, maman. Je n’accepterais rien s’il n’était pas au courant, s’il n’était pas d’accord pour tout.
Pour se donner le temps de réfléchir, Sandrine se servit un grand mug de café fumant, y ajouta deux morceaux de sucre roux et remua lentement, appuyée contre l’évier. Peu après, Lenoir entra dans la pièce, les cheveux humides collés sur le crâne, vêtu d’un survêtement bleu nuit. À son tour il se servit un café dans une tasse et but lentement, examinant les deux femmes tour à tour sans rien dire.
— Bonjour Monsieur, lança Mélanie. Bien dormi ?— Très bien, merci, Mélanie. Et toi, tu as passé une bonne nuit ?— Excellente, Monsieur. Vos amis ont été à la hauteur, et même plus.— Parfait alors, je suis heureux que tu aies aimé. Malgré le fait que ton sexe leur soit interdit.— Oui, Thomas se le réserve.
Puis Lenoir se tourna vers Sandrine et lui tendit une grande enveloppe en papier kraft, qu’elle saisit en manifestant sa surprise d’un haussement de sourcil.
— J’ai réfléchi et préparé ça, c’est plus simple pour tous les deux. Je t’ai appelé un taxi, il devrait arriver d’un instant à l’autre. Tu liras tout ça à tête reposée, et tu réfléchiras. Maintenant, file te préparer. Non, ne dis rien. S’il te plaît.
Si elle parut étonnée par ses derniers mots à la limite de la supplication, Sandrine n’en laissa rien paraître ; elle posa son mug presque vide et quitta la cuisine à grand pas. Dans sa chambre, elle s’assit sur le coin du lit et se rendit alors compte que ses yeux étaient emplis de larmes qui commençaient à couler sur ses joues. Elle les essuya rageusement en se traitant d’idiote.
Qu’avait-elle à attendre de cet homme ? Il était comme les autres, à profiter d’elle et à la jeter ensuite comme une vieille chaussette. Il avait Mélanie à sa botte et devait bien se moquer d’elle, avec ses quarante ans, son absence de poitrine. Elle faillit laisser l’enveloppe sur le lit, mais la glissa malgré tout dans la poche avant de sa valise.
Elle se leva et, portant son bagage, descendit l’escalier, traversa le hall et sortit du pavillon. Le taxi était là, elle grimpa à l’arrière sans se retourner, sans un adieu.
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