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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 22

Trash
— Tes ballerines, tu comptes les garder longtemps ? Je t’ai ordonnée de te mettre nue, je n’ai pas été assez clair ?— Pardon, Monsieur, je suis désolée...— Tu vas l’être encore plus quand je te punirai.
Elle s’abstint de répondre, se maudissant de son étourderie. Lenoir tourna autour d’elle sans rien dire, rectifiant sa position par de petites claques du plat de la main. Il jubila intérieurement en glissant ses doigts dans l’entrejambe offert, remuant la base du gros plug avant de les plonger entre les plis soyeux de la vulve.
— Tu es trempée, petite pute. Tu as si envie que ça d’être punie ? — Monsieur, je vous appartiens...— Tu es incorrigible. Ce n’est pas ce que je t’ai demandé, il me semble. Je vais encore devoir sévir ?— Comme vous le souhaitez, Monsieur. J’aime tout ce que vous me faites.— Tu me fais confiance à ce point ?— Sûrement plus que vous ne croyez, Monsieur.— Allons à la cave, tu vas recevoir une deuxième correction, mais tu es déjà bien marquée et je ne vais pas pouvoir te punir autant que je le voudrais.
En effet, Lenoir dut retenir ses coups car le corps de Sandrine n’était qu’un lacis d’ecchymoses mauves. Suspendue par les poignets, elle supporta bravement les coups de cravache sur ses cuisses et ses fesses. À la fin, il l’embrassa et elle lui répondit fougueusement, gémissant quand il se recula. Il ne la libéra qu’après avoir soulagé les cuisantes marques avec sa pommade apaisante, puis il la conduisit dans une minuscule cellule.
— Tu passeras la nuit ici, petite pute. Tourne-toi, que je te mette les menottes. Je ne veux pas que tu te caresses une fois que tu seras enfermée. Voilà... À genoux, tu vas me tailler une pipe. Et applique-toi, sinon...
Pour ça, il n’avait rien à craindre : Sandrine se jeta sur sa verge prodigieusement érigée et l’engloutit sans délai. Il ne put retenir un gémissement quand elle commença à pomper comme si sa vie en dépendait. Prenant sur lui pour ne pas éjaculer trop vite, il empoigna la chevelure blonde pour imprimer des mouvements de pénétration, allant et venant entre les lèvres veloutées.
Puis, n’y tenant plus, il s’enfonça jusqu’au couilles dans la gorge offerte et expulsa sa semence en jets puissants. Un peu essoufflé, il recula et flatta la tête de sa soumise qui reprenait sa respiration, le visage rougi par manque d’oxygène. Elle leva la tête et déglutit avant d’aspirer une nouvelle fois le gland luisant et de le nettoyer de toute trace de sperme.
— Parfait, petite pute ; tu es décidément une excellente suceuse ; je pense que mes amis seront très satisfaits de tes talents. Là-dessus, je monte regarder la télé. Je préfèrerais t’avoir contre moi mais tu dois apprendre ce que seras ta nouvelle vie. Demain, quand j’ouvrirai cette porte, je te veux à genoux et le cul offert. Tu devras donc enlever le plug juste avant que j’entre. Compris ?— Oui Monsieur. Bonne nuit, Monsieur.
Lenoir savait que Sandrine était très déçue et humiliée de devoir passer la nuit dans la cave, mais il était surpris qu’elle ne manifeste aucun signe de mauvaise humeur ou de dépit. Il était ravi d’avoir déniché cette perle si avide de le combler en tout point.
— Demain à 10 heures, tu as rendez-vous pour une épilation dans un institut spécialisé. Et dans l’après-midi, mon ami Freddy t’attend chez lui avec quelques potes. Tu es prévenue, ils ne seront pas tendres.
Sur ces mots, il ferma la porte au verrou et éteignit la lumière ; seule une minuscule veilleuse fixée au plafond diffusait une maigre lumière, perçant à peine l’obscurité de la cellule. Sandrine aperçut un seau pour ses besoins, une large écuelle pleine d’eau, un minuscule matelas posé à même le sol de terre aussi dure que du béton. La petite blonde s’installa comme elle put, et malgré la gêne occasionnée par les menottes elle s’endormit d’un sommeil lourd. Son réveil fut plus difficile car elle émergea brutalement sous la lumière brutale des spots fixés aux quatre coins de la pièce.
Entendant le verrou tourner, elle réussit à extirper difficilement le plug de son anus qui resta largement béant ; elle se positionna rapidement comme son maître l’avait exigé, consciente de l’abjection de sa posture. Un coup de cravache sur ses fesses déjà bien marquées lui fit rectifier la position. Bien cambrée, elle s’offrit à Lenoir qui s’enfonça d’un puissant coup de boutoir tout au fond de ses reins.
— Bonjour, petite pute. Tu es parfaite ainsi, bien ouverte, à peine serrée et brûlante... Tu aimes te faire défoncer le cul par ma grosse bite ?— Oui Monsieur, j’adore vous sentir en moi, si gros, si dur...
Attentif à ne pas jouir trop vite, il pilonna longuement le fondement qui l’enserrait étroitement dans un fourreau accueillant. Quand il sentit monter la sève dans son membre engorgé, il se planta aussi loin qu’il put pour éjaculer. Il eut alors la satisfaction d’entendre crier Sandrine : il avait réussi à la faire jouir sous ses assauts virils.
Plus tard, il conduisit Sandrine au salon de l’esthéticienne qui allait procéder à son épilation. En la déposant, il lui donna ses dernières consignes.
— Tu en as pour un moment ici, tu appelleras ce numéro quand ce sera fini : Freddy viendra te chercher, j’ai à faire pour ton rendez-vous chez le tatoueur. J’ai l’adresse de quelqu’un ici qui doit te tatouer et te percer. Obéis à Freddy, je passerai dans la soirée te chercher et j’espère que tu ne me feras pas honte auprès de mon ami ni auprès des siens ; compris ?— Oui Monsieur. J’aurai droit aux codes de sécurité, chez votre ami ?— Oui, mais ils ne sont pas sensés te punir non plus. Tout au plus te claquer s’ils te jugent trop molle.
Lenoir n’arriva chez Freddy qu’un peu après 22 heures. Il entra sans sonner chez son ami, comme souvent ; sans vouloir se l’avouer, il était un peu inquiet pour sa nouvelle soumise. Freddy et ses potes acteurs pornos étaient tout sauf des tendres ; et puis Sandrine était si petite, si menue... Il soupira, songeant qu’il vieillissait, pour s’attendrir comme il le faisait pour une soumise. À croire qu’il tenait à elle... Il commença à sourire à cette idée, puis ne la trouva pas spécialement drôle.
Le spectacle qu’il découvrit dans le salon l’arrêta net : Sandrine, Freddy, Don et un autre homme étaient assis à une table carrée et jouaient au poker. Et le tas de jetons devant Sandrine montrait qu’elle était en train de les ratisser.
— Ah, mon ami ! lança Freddy. Il était temps que tu arrives. Ta copine allait nous prendre jusqu’à nos chemises ! Dire que j’ai dû lui apprendre les règles du Texas Hold’em...— Mais justement, vos chemises, vous ne devriez pas les avoir enlevées ? Vous étiez sensés sauter ma soumise à couilles rabattues...— Ma qué ! Crois-moi, mon ami, nous l’avons fait ! Mais cette petite souris est chaude comme la braise et elle nous a essorés tous les trois. Tu me connais, Arnaud, j’ai une certaine expérience des femmes, avec tous les film que j’ai tournés. Tu vois, ce monsieur au crâne rasé, c’est Alberto Moréno, mon poulain dans le ciné porno...— Hé, un poulain, ma avec une bite de cheval ! intervint Alberto avec un accent italien prononcé.— Nous l’avons baisée par tous les trous, cette petite. On a commencé à 2 heures et on n’a pas arrêté avant 7 heures. Puis on a mangé un peu et on a recommencé.— Moi, c’est bien simple, renchérit Don. Mes couilles sont vides ; il y a deux heures ta diablesse m’a pompé le dard et a réussi à me faire bander une dernière fois, je l’ai enculée et elle m’a finie en bouche comme une vorace.
Haussant un sourcil, Lenoir examina la petite blonde ; elle paraissait épuisée, ses traits étaient tirés et ses yeux brillaient trop. Les cheveux ramenés en un petit chignon dégageaient son cou gracile qu’il avait soudain envie de mordiller.
Sandrine lui adressa un petit sourire qui n’alla pas jusqu’à ses yeux, car elle ne savait quelle attitude adopter. S’agenouiller devant lui ? Se déshabiller ? Lui demander pardon, si elle l’avait déçu ? Elle griffa nerveusement le dos de sa main droite et se mordit la lèvre jusqu’au sang, désemparée. Ses yeux se remplirent de larmes qu’elle chassa rageusement d’un revers de la main.
— Viens ici, Sandrine, ordonna Lenoir de sa voix basse.
Quand elle fut devant lui, il souleva son menton et l’obligea à croiser son regard. Elle faillit refuser, certaine qu’il était fâché contre elle, qu’il allait la chasser. C’était bien plus qu’elle ne pourrait en supporter, et elle ne voulait pas craquer ainsi devant lui, devant les autres. Sa seule porte de sortie, soudain, devenait son mot de sécurité ultime, ananas. Ses yeux s’emplirent de larmes quand elle ouvrit la bouche et prononça, d’une voix brisée :
— Ana...— Shhh, ma petite pute, shhhh... Ne le dis surtout pas. Approche...
Il la serra dans ses bras, la pressant contre son corps si massif et si grand, elle ferma les yeux et appuya sa joue humide contre son torse. Elle ravala ses sanglots et soupira, ne sachant plus où elle en était.
— Sandrine, je t’en prie, parle-moi, explique-moi ce qui ne va pas. Je ne te laisserai pas partir sans que tu m’aie tout dit. Tu es blessée ? Ils t’ont fait mal ? Je suis désolé...— Je... Je pensais que vous alliez me dire de partir... Je ne le supporterais pas...— Sandrine, il n’en est pas question. Tu es ma soumise et ma compagne maintenant, tu as fait aujourd’hui exactement ce que j’avais exigé. Et je suis fier de toi, fier que tu aies réussi à épuiser ces trois queutards. Et pourtant ce sont des pros. Alors reste, je t’en prie.
Pour toute réponse, Sandrine se hissa à la force des bras pour venir embrasser Lenoir. Celui-ci glissa les mains sous les fesses de la petite blonde et répondit à son baiser avec empressement. Sa langue impérieuse envahit la bouche offerte, arrachant un gémissement de plaisir à sa soumise.
Les trois hommes assis à la table de jeu se levèrent en ricanant pour aller boire une bière en cuisine, laissant la place au couple. Sans attendre, Lenoir libéra sa verge douloureusement comprimée dans son pantalon et la guida prestement au centre de la féminité. Sandrine se laissa glisser et s’empala en grimaçant. Certes elle était humide, mais son sexe avait été soumis à rude épreuve pendant plusieurs heures, et la voie était endolorie.
Qu’importe, elle avait besoin encore plus qu’envie de sentir le membre d’Arnaud en elle, l’emplissant et la possédant.
— Pourquoi t’es-tu mise dans cet état, ma Sandrine ? Tu m’as fait flipper.— Je suis désolée, Monsieur. J’ai toujours peur que vous me chassiez, que vous en ayez assez de moi.— Mais bon sang, quand je te dis que je souhaite te garder près de moi, ce ne sont pas des paroles en l’air, tu sais. Et si c’est comme ça, je ne vois qu’une solution. Je sais que c’est prématuré, nous nous connaissons à peine, mais... Veux-tu m’épouser, Sandrine ?— Oh merde... Je veux dire... Si vous voulez bien de moi, ce sera le plus beau jour de ma vie, Monsieur.— Si nous le pouvons, nous nous marierons en même temps que nos enfants, ça t’irait ?— Tout m’ira, à condition que ce soit avec vous.
FIN
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