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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 26

Trash
Anita passa une bonne partie de son après-midi chez l’esthéticienne ; celle-ci détruisit au laser les racines des poils, depuis les cuisses jusqu’aux avant-bras en passant par l’entrejambe, les aisselles et le visage. À la fin des opérations, la peau de la jeune fille était légèrement brûlée. De nombreuses zones douloureuses présentaient même de petites cloques ou des rougeurs ; Anita se retrouva badigeonnée avec un onguent gras, antiseptique et analgésique. Elle grimaça en passant sa robe car elle savait que celle-ci serait bonne pour un lavage dès son retour.
Lors du dîner, Lenoir aborda sa situation sans détour.
— Anita m’a demandé de la prendre en main ; vous êtes au courant toutes les deux. Ce matin, je lui ai donné un aperçu du monde de la soumission : positions et punitions. Elle a été à la hauteur, je trouve. Cet après-midi, elle a été épilée intégralement et définitivement à l’institut.— Ouais ! rétorqua Mélanie en rigolant. Définitivement, mon œil ! Et je suis polie. Il faudra plusieurs séances. C’est comme la peinture monocouche blanche que tu as achetée pour refaire ma chambre : en deux fois, ça va presque.— Et... tu as pris ça comment ? demanda Sandrine.— Ce n’était pas évident pour moi d’être nue devant papa. Un vieux fond de pudeur. Je ne suis jamais à l’aise quand je dois me déshabiller, même chez le gynécologue. Alors...— J’ai cru que tu n’y arriverais pas, avoua Lenoir. Mais tu as de la volonté, et du caractère.— Ce doit être mes origines basques, hasarda la jeune fille en riant.— L’épilation ne t’a pas secouée ? questionna Mélanie. Moi, je n’ai pas aimé.— Menteuse ! ricana Lenoir. Les filles l’ont fait jouir une dizaine de fois à ce que j’ai su.
Mélanie ne put se retenir de rougir à ce souvenir. En effet, les employées du salon l’avaient caressée et léchée pendant presque une heure. Malgré l’interdiction de jouir édictée par Lenoir, elle n’avait pu empêcher son corps d’exulter à de nombreuses reprises.
— Ah ? s’étonna la petite Basque. Je n’ai pas eu droit au même traitement. J’envisage de me plaindre. Je n’ai ressenti que picotements et brûlures, en fait.— Le résultat te plaît ?— Oui, je crois ; je n’ai pas eu trop le temps d’apprécier le résultat. Mais une chose est sûre : je ressemblais à un homard au sortir du court-bouillon. Au niveau esthétique, ce n’est pas le top. En plus, j’ai des marques un peu partout dues aux leçons de papa...— Ne t’en fais pas, Anita, expliqua Lenoir. Demain matin, c’est révision des positions et cours particulier de fellation, et l’après-midi, achat de vêtements sexy dans un magasin spécialisé. Ça va ?
Anita était devenue rouge vif en entendant le programme du matin. Cours de fellation ? Elle n’allait quand même pas sucer son père, non ? Ses oreilles brûlaient ; elle ressemblait à un lapin pris dans les phares d’une voiture.
— C’est l’idée de me sucer qui te perturbe ? demanda Lenoir. En fait, j’ai prévu de recevoir deux amis qui s’occuperont de toi. Ils arriveront un peu avant 10 heures. Tu as déjà été sodomisée ?
Anita ne savait pas s’il était possible de mourir de honte, mais une chose était certaine : ses joues en feu avaient pris une couleur carminée du plus bel effet. Elle essaya de répondre mais sa gorge était serrée et elle ne put émettre qu’un faible coassement. Deux hommes ? Deux inconnus, qui plus est ? Et ils allaient la sodomiser ?

— Mais... réussit-elle à articuler. Non, jamais ; tu crois que je dois... Je ne sais plus où j’en suis.
Elle se tourna vers les deux femmes et chercha dans leurs yeux du réconfort. Sandrine lui prit affectueusement une main et la caressa ; Mélanie fit de même avec son autre main et lui sourit avec un brin d’ironie à la commissure de ses lèvres.
— Bienvenue au club des esclaves sexuelles, Anita. Oui, nous sommes passées par là, et même plus. Ce n’est pas le bagne, tu sais. Si tu ne veux pas quelque chose, tu refuses et personne ne t’en tiendra rigueur.— Vous savez, je n’ai pas une grande expérience des choses de l’amour. Du sexe, quoi. Alors faire l’amour avec deux hommes, me faire sodomiser... je ne sais pas si je pourrai. — Bien sûr que tu pourras, expliqua Sandrine. Tu en as sûrement envie, quelque part au fond de toi. Tu n’as aucune expérience ? D’ici quinze jours tu seras fière d’avoir surmonté ta peur, d’avoir dépassé tes limites.— Vous croyez vraiment ? J’ai une trouille bleue, en attendant.— Pour te préparer, ajouta Lenoir, tu dormiras avec un plug anal. Je te le donnerai à la fin du repas, Mél t’aidera à le mettre.— Bien chef, oui chef ! plaisanta Mélanie. Tu as raison : si c’est Freddy qui vient demain, il vaut mieux préparer le terrain. Don est encore à Bordeaux ?— Oui, ils viennent tous les deux, comme tu l’as deviné.
Cette nuit-là, dire qu’Anita dormit bien serait un gros mensonge. Entre l’appréhension de ce qui l’attendait au matin et la présence du plug anal qui ne se faisait pas oublier, la jeune fille ne s’endormit qu’au petit matin. Elle fut réveillée par la lumière du jour : un inconnu ouvrait les volets en sifflotant. Clignant des yeux, agressée par la vive lumière du soleil levant, elle poussa un petit cri de frayeur en apercevant, assis sur le bord du lit, un autre homme qui se déshabillait en silence. Tout ce qu’elle en voyait, c’était son dos musclé, ses larges épaules et sa peau d’un noir profond.
— Ma, ce n’est rien, petite. C’est juste mon ami Don. Il est impressionnant comme ça, mais il est doux comme un agneau. Ah ! Bonjour, moi c’est Freddy.— Euh... oui, enchantée. Anita. La fille d’Arnaud.— Bonjour ; Don, pour te servir, ajouta d’une voix de basse l’homme assis près d’elle.
Un grand sourire rassurant, des yeux pétillants, il faisait tout pour ne pas faire fuir la petite brune. Mais quand il se leva, uniquement vêtu d’un caleçon moulant une virilité semblant imposante, Anita fut troublée, pas habituée à voir dans sa chambre un gigantesque Noir à peine vêtu. Et voilà que Freddy se déshabillait à son tour, jetant ses vêtements sans égard.
— Tu devrais nous montrer tes trésors, chérie. — Mais... Quelle heure est-il ?— Arnaud t’a laissée dormir, il est déjà 10 heures. Allez, sors de la couette...
Embarrassée, Anita se redressa et s’assit en tailleur au milieu du lit ; les joues rouges, elle fixa néanmoins Freddy dans les yeux. Bravement, ce jusqu’au moment où il baissa son slip bleu et que sa bite se dressa. Éberluée, la jeune fille resta bouche bée en découvrant la taille de l’engin, bien plus volumineux que tout ce qu’elle avait pu apercevoir jusqu’ici. Ce fut pire encore quand Don se leva et exhiba une matraque noire d’une taille comparable, voire plus imposante.
— Alors, qu’en dis-tu ? questionna Freddy en se masturbant lentement.— De... de quoi, coassa la jeune fille, de plus en plus rouge.— De nos bites ; elles te plaisent ?— Elles sont.... si grosses. Je n’ai pas l’habitude...— C’est pour ça qu’on est ici. On va te faire aimer la bite. Tu n’as jamais été enculée, donc ?— Non...
La voix d’Anita était si faible qu’ils entendirent à peine ; ils sourirent et cognèrent leurs poings à cet aveu. Il sembla à la jeune fille que leurs verges durcirent et se gonflèrent encore plus à cette annonce.
— Tu vas sucer mon ami pendant que je te lèche, expliqua Freddy. Sans me vanter, je suis assez doué pour ça. Allez, enlève ton pyjama, déballe la marchandise.— Oui, d’accord, tout de suite.
Pendant presque une heure, Anita suça Don ; sa verge était trop longue pour qu’elle l’avale entièrement, mais ce ne fut pas faute d’essayer. Le grand Black la conseillait et elle faisait de son mieux pour apprendre. Anita avait toujours été une élève studieuse ; elle s’appliquait à maîtriser les nausées et remontées de salive, à retenir sa respiration et déglutir au franchissement de la luette, à orienter sa gorge sous le bon angle.
Puis Freddy la fit allonger sur le dos, la tête pendant en dehors du lit. Don, à genoux devant elle, commença à pénétrer sa bouche de plus en plus profondément, sans trop forcer. Freddy, pendant ce temps, se coula entre les cuisses d’Anita et lui administra un cunnilingus tout en pénétrant son vagin de trois doigts joints. Concentrée sur la jouissance qui montait doucement, la jeune fille en oublia ses réticences et Don put glisser toute sa verge dans la gorge. Quand les lèvres douces de la petite brune plongèrent dans la fine toison de son pubis, il saisit les aréoles bistres entre ses doigts et les malaxa rudement, précipitant sa victime dans un orgasme dévastateur.
Peu après, libérée, Anita dut se rendre aux toilettes pour enlever le plug, nettoyer et lubrifier son orifice anal. Elle n’avait pas l’habitude, mais en plus ça la gênait horriblement de pratiquer ces opérations, surtout sachant la finalité... Aussi était-elle perturbée en revenant dans la chambre, d’autant que Freddy était en train de masturber sa bite qui atteignait des dimensions redoutables. Il se montra directif, comme à son habitude.
— Allez, il faut en profiter tout de suite tant que ton cul est ouvert. Ma queue va entrer comme dans du beurre si tu ne te crispes pas.— Eh bien justement, vous me faites peur avec votre grosse verge. On n’a pas idée !— Tu préfères que ce soit Don ? Tu ne vas pas y gagner au change. Allez, à genoux sur le lit, écarte bien les cuisses et cambre-toi... Là, tu es bien ! Place la tête sur le drap ; comme ça tu peux poser les mains sur tes fesses et les écarter encore plus. Comme ça, tu ressembles vraiment à une salope, prête à te faire défoncer le cul...
Anita, mortifiée par les paroles de Freddy, ferma les yeux et mordit le drap en attendant la pénétration. Elle avait peur mais était excitée aussi ; son vagin trempé en attestait. Freddy y plongea d’ailleurs trois doigts joints et baratta furieusement le conduit un peu étroit mais élastique. Puis il guida sa queue épaisse sur le trou rose et gonflé et pesa de tout son poids. La colonne de chair s’enfonça de moitié avant que la jeune fille réagisse en se crispant. Affolée par la douleur due à la distension soudaine de ses muscles anaux, elle poussa un cri aigu et tenta de se soustraire à la pénétration. Mais l’homme, qui s’attendait à cette réaction, bloqua ses hanches et s’astreignit à l’immobilité.
— Ce n’est rien. Tu es étroite, c’est normal.— Vous me faites mal ! Sortez votre verge, elle est trop grosse.— Calme-toi, je ne sors rien du tout. La douleur va passer. Tu es jeune et souple ; et bien lubrifiée, aussi.
Vaincue, Anita se laissa retomber en avant mais resta cambrée et offerte. Don s’assit au bord du lit et caressa la chevelure brune de la jeune fille, essuya quelques larmes aussi. Elle le remercia d’un pauvre sourire, mais le cœur n’y était pas.
— Je vais m’installer devant toi ; tu me suceras, et comme ça tu oublieras un peu que mon pote t’encule.— D’accord. Ça fait toujours aussi mal ?— Toujours un peu, au début. Bientôt, tu vas me réclamer dans ton cul tellement tu aimeras.
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