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Mélissa monte au ciel ou Les aventures spatiales d’une astronaute courageuse.

Chapitre 1

Gay
I - Bites en orbite
La WOSPAPRO était une société mixte qui gérait, en ce début de XXIIIème Siècle l’ensemble du projet spatial mondial. Elle était née de la volonté de relancer la conquête de l’espace qui avait été abandonnée il y a plus d’un siècle du fait de son coût énergétique prohibitif. Mais en cent cinquante ans, les techniques avaient évoluées et ce qui était impensable ou de l’ordre du fantasme autrefois était maintenant possible et tout à fait envisageable. Elle était parfaitement autonome dans ses décisions et son fonctionnement. Crée dès les premiers moments de l’Unité, elle bénéficiait de ressources considérables. Les accords qui avaient été signés avec le gouvernement prévoyaient le reversement, à son profit, de l’intégralité des crédits militaires, de recherche, de transports aériens, de communication des états aujourd’hui rassemblés dans l’Unité Planétaire. En contrepartie, elle assurait la défense planétaire, la gestion et l’entretien de l’ensemble des réseaux de communication et d’émission de tout type, le financement et le suivi de l’intégralité des programmes de recherche et enfin tout le transport aérien dépendait d’elle. Son budget annuel était considérable et son pouvoir bien supérieur à celui du pouvoir central. Le président du directoire de la WOSPAPRO était, sans conteste, la personne la plus puissante au monde.
L’objectif à moyen et long terme de cette entreprise était de se développer en implantant sur d’autres planètes, des colonies humaines. Bien entendu, Mars était la première planète visée car elle présentait des intérêts en matière d’exploitation minérale. D’autres étaient étudiées du fait de leur potentielle aptitude à la terraformation (comme Venus, avec sa taille proche de celle de la Terre, ou certaines lunes de Saturne et de Jupiter). La conquête d’autres systèmes était également envisagée uniquement sur le plus long terme. Dans tous les cas, il fallait disposer d’un nombre suffisant d’astronautes et de volontaires passionnés qui acceptent de tout abandonner, et notamment leur famille, pour risquer leur vie dans de tels projets.

Tanguy et Melissa avaient tous deux rêvé, dès leur plus jeune âge, de devenir des astronautes et d’évoluer un jour en apesanteur. Ils avaient, l’un comme l’autre effectués des études poussées, elle en sciences (biologie et physiologie) et lui en psychiatrie, psychologie. Il avait soutenu un doctorat en études sociales sur les comportements en espaces clos. Suite à quoi, ils avaient passé, l’un et l’autre, le concours de l’école européenne de l’air et de l’espace où il s’étaient rencontrés. C’était, à condition d’être dans les meilleurs, la première marche vers les étoiles et le « vide » spatial. Ils avaient intégré le prestigieux institut la même année. Le hasard les avait assis côte à cote dès leur première heure. Ils s’étaient plu instantanément et s’étaient mis à travailler en binôme. Ils se motivaient l’un l’autre pour les examens et ainsi, majorèrent leur promotion, elle première et lui deuxième. Ils furent donc directement reçus au sein du corps d’élite de l’astronautique mondiale : les astronautes d’active de la WOSPAPRO.
La WOSPAPRO exigeait de ses astronautes, comme de l’ensemble de ses agents et employés de la base spatial de Cabo Kennedy, d’y rester toute l’année. Ce centre était une véritable ville autonome avec différents quartiers résidentiels, administratifs, techniques, son hôpital, ses écoles, ses centres de loisirs, etc.... Les astronautes partageaient leur temps entre le centre d’entraînement et leurs emplois respectifs. En effet, ils avaient tous une fonction « secondaire », un métier qu’ils exerçaient dans l’un ou l’autre des organes techniques, technologiques, de santé ou de recherche du centre. Melissa participait, en temps que chercheuse, au projet d’étude et recherche sur les mécanismes de terraformation. Tanguy, travaillait au service psychiatrique et psychologique de l’hôpital et continuait à étudier les comportements en espace clos et plus exactement ceux de ses collègues en situation réelle. Les astronautes étaient tous logés dans le grand complexe hôtelier de Cosmopalace. Les célibataires comme les couples (une dizaine au total) occupaient des suites luxueuses, notamment équipées d’un salon leur permettant de recevoir, mais ne pouvaient prendre aucun repas « chez eux ». Ils prenaient tous leurs repas au Ritz de Cosmopalace. En fait, les seuls moments où ils n’étaient pas ensemble, c’était pendant leur temps de travail personnel et la nuit. Pour le reste, ils mangeaient ensemble, s’entraînaient ensemble et prenaient leurs congés en même temps au Spaciobeach Resort, en bordure de la mer Caraïbe. Ce régime de « claustration » était maintenu obligatoire jusqu’à leur première mission spatiale. À la suite de quoi, ils pouvaient prétendre à une sorte d’externat. Comme peu d’entre eux auraient la chance de faire une deuxième mission expérimentale, ils pouvaient alors se consacrer uniquement à leurs travaux au sein des services techniques, scientifiques ou médicaux de la WOSPAPRO. Il pouvaient aussi participer à la formation et à la programmation des missions des nouvelles recrues. Ils étaient également incorporés d’office aux listes d’équipages des éventuelles missions habitées de précolonisation et de colonisation, ce qu’ils avait le droit de refuser.
Les astronautes étaient tenu au secret le plus absolu concernant leurs travaux et surtout leur « mission ». Cette mission qu’ils attendaient tous et qui glorifierait leurs années de souffrance, de privation et d’entraînement. Qu’elle qu’elle soit, ils devaient l’accepter. Officiellement, une mission pouvait être refusée mais si un astraunaute le faisait, ses chances de partir un jour étaient nulles. Il était tout « officiellement » expulsé. Certains disaient même que celui ou celle qui refuserait une mission serait purement et simplement « supprimé ». Bien sûr, il ne s’agissait que de on-dit car aucun astronaute n’avait encore refusé de mission. La seule raison valable pour ne pas partir sur une mission était la maladie. Tout astronaute tombant malade pendant le temps de préparation de sa mission en était automatiquement retiré et remplacé. Il restait alors disponible pour une autre mission après complète guérison.

Depuis quelques temps, Tanguy s’était intéressé aux problèmes posés par l’absence de relations sexuelles durant les missions de moyennes et longues durées (supérieures à 30 jours). Il avait pu démontrer que, rapidement, apparaissaient des comportements de crypto-agressivité et d’énervement chez les astronautes des deux sexes, mêmes si les femmes semblaient plus résistantes. Il naissait des tension généralement contenues qui s’accompagnaient d’une succession de symptômes secondaires et de pertes sensibles de rentabilité, d’efficacité et surtout d’attention. Cette étude portait sur les soixante dernières missions de plus d’un mois et ses résultats étaient sans appel. Il avait remis un rapport préliminaire sur le sujet au Président du directoire de la WOSPAPRO. Quelques jours plus tard, il était convoqué pour une « mission spéciale d’expérimentation spatiale ». Son heure était venue !
— Monsieur Chott, votre rapport préliminaire sur « Les conséquences de l’abstinence sexuelle chez les sujets humains en état d’apesanteur » a attiré fortement notre attention. Vos estimations du coût engendré par les pertes observées d’attention et d’efficacité des astronautes ont été revues et corrigées par nos services et il apparaît que vous les avez sous-estimées d’au moins trente pour cent. Il nous semble donc qu’une action pour enrayer ce problème doit être menée au plus vite ! Par contre, votre conclusion manque cruellement de proposition de solution.— Et bien, c’est à dire que je me suis dit qu’elles étaient évidentes, mais si ce n’est pas le cas, je veux bien, Mesdames, messieurs, vous détailler ce que j’imagine.— Nous vous écoutons.— Bon, comme vous avez pu le lire, l’utilisation d’inhibiteurs de libido par les astronautes, comme c’est pratiqué aujourd’hui, n’a aucun effet positif sur le maintient d’une productivité optimum par les équipes spatiales. Sans compter que ceux-ci ont, à la longues, des effets secondaires dépresseurs assez inquiétants. Aussi, il semble qu’il serait préférable de permettre aux astronautes d’avoir des rapports sexuels au sein de la station orbitale. Comme cela ne peut, pour plusieurs raisons se faire dans les modules technique et module de vie actuels, je pense que l’on pourrait ajouter une extension « spéciale » destinée uniquement aux plaisirs sexuels des occupants de la station. Ce module, compte tenu de la vaste étendue de la libido humaine, doit être le plus complet possible pour remplir efficacement sa fonction. Pour le réaliser, il faudrait connaître, d’abord, les fantasmes, penchants, orientations et pratiques sexuelles de tous les astronautes. Après, en travaillant avec les laboratoires d’ergonomie et d’architecture spatiale, nous pourrions concevoir un module « parfait ». Ensuite, peut-être, mais il ne m’appartient pas d’en juger complètement, faudrait-il modifier les politiques de recrutement des astronautes pour équilibrer le rapport hommes-femmes et le rapprocher, tant que possible de 1. Bien sûr, il faudra supprimer les inhibiteurs de libido des rations alimentaires de mission et les remplacer, peut-être, par des aphrodisiaques efficaces pour que les membres de l’équipes ne soient pas bloqués par des problèmes mineurs d’attirance.— Nous sommes donc sur la même longueur d’onde, Monsieur Chott, car c’est à peu près comme ça que nous voyons les choses. Nous souhaitions surtout vous l’entendre dire car, il me semble que ça aurait du être écrit en toutes lettres dans la conclusion de votre rapport. Vous veillerez donc à la compléter pour la version définitive, sans manquer d’inclure les estimations faites par nos services. Nous voulons le rapport final demain matin.— Entendu, Monsieur le Président, vous pouvez compter sur moi.— Maintenant, abordons la raison exacte de votre convocation. Tout se trouve dans ce dossier. Etudiez le en détail, inutile de dire que vous ne devez dévoiler à personne ni son contenu, ni de l’objet de votre mission. Quand je dis « personne », cela comprend bien évidemment Madame Chott ! Est-ce clair ?— Parfaitement clair, Monsieur le Président.— Vous trouverez, en première page, la liste complète des collaborateurs et interlocuteurs autorisés pour cette mission. Cette liste précise également la limite de leurs compétences, tâchez d’y faire attention. En temps que responsable, ne tardez pas à organiser une première réunion. Je serais vous, je lancerais une convocation pour demain soir au plus tard. Vous verrez ça avec Madame Bond au secrétariat des missions. Elle vous aidera dans toutes ces petites démarches. Ne lui transmettez pas l’objet de votre mission, mais uniquement son matricule et celui des membres et collaborateurs. Compris ?
— Oui, Monsieur.— Vous êtes donc chargé de concevoir, en collaboration avec les laboratoires d’ergonomie et d’architecture spatiale un module « spécial » adapté aux plaisirs sexuels des équipes de la station orbitale. Votre mission s’étend bien sûr à la livraison et à la connexion dudit module, ainsi qu’a son essai. Votre mission spatiale sera cependant de très courte durée, mais, ne sera pas prise en compte dans votre parcours d’astronaute. Vous resterez inscrit dans la liste des astronautes « en attente » d’une mission. Ce la signifie qu’un deuxième « voyage » est déjà prévu pour vous.— Merci Monsieur.— C’est normal, votre parcours et vos compétences méritent sans aucun doute plus de trois jours en apesanteur. La première étape de votre mission sera de prendre en considération les penchants et attirances de l’ensemble des astronautes. Une fiche d’étude est jointe au dossier pour votre approbation et vous pouvez donc y apporter toutes les corrections qui vous sembleraient utiles. C’est la direction du suivi psychologique qui s’occupera de l’enquête et vous n’aurez accès qu’à des résultats synthétiques et analytiques et en aucun cas aux fiches individuelles.— C’est logique.— Quand vous en serez à l’élaboration du module, vous penserez qu’il existe des contraintes de masse et de volume à respecter. Là aussi, je vous encourage à commander la construction de la superstructure le plus rapidement possible. Vous et le module devriez être près à décoller avec la navette du 5 avril prochain, c’est à dire dans cinq mois exactement. Nous ne pourrions tolérer de retard.— C’est,... C’est très court, non ?— Nous sommes une usine, Monsieur Chott, il faut que ça tourne ! Rassurez-vous, vous n’êtes pas seul et vos équipes sont déjà à pied d’œuvre. Vous respecterez ce délai, nous en somme certain. Bien entendu, vous ne pouvez plus vous rendre à votre service à l’hôpital et vous prendrez cette tâche à plein temps
Tanguy quitta le conseil et se mit tout de suite à sa nouvelle tâche. L’aide de Madame Bond s’avéra très efficace. Il obtint de réunir le soir même les différents acteurs. Une fiche d’enquête définitive fut vite établie et remise à la direction des suivis psychologiques. En moins de quinze jours, il recevait sous pli confidentiel les résultats des études statistiques des orientations, fantasmes et pratiques sexuelles établies pour l’ensemble des astronautes de l’escadron :

Individus spécifiquement hétérosexuels :(Hommes + Femmes) 45 % ; 27 astronautes sur 60(Hommes seuls) 35 % ; 14 astronautes sur 40(Femmes seules) 65 % ; 13 astronautes sur 20
Individus spécifiquement homosexuels :(Hommes + Femmes) 15 % ; 9 astronautes sur 60(Hommes seuls) 15 % ; 6 astronautes sur 40(Femmes seules) 15 % ; 3 astronautes sur 20
Individus bisexuels :(Hommes + Femmes) 40 % ; 24 astronautes sur 60(Hommes seuls) 50 % ; 20 astronautes sur 40(Femmes seules) 20 % ; 4 astronautes sur 20

Tanguy était un peu surpris par ces statistiques, mais il se rappelait qu’il avait lui même coché « oui » à la question « avez vous déjà eu un ou plusieurs rapport(s) homosexuel(s) ? ». Il avait également répondu « oui » à la question « y avez vous pris du plaisir ? » Mais il n’imaginait pas qu’ils seraient autant à avoir répondu « oui » à ces deux questions ! Il se replongea ensuite dans les résultat de l’analyse qui rentrait en suite dans les détails. Il s’attarda sur les pratiques homosexuelles chez les astronautes bisexuels masculins.

Pratiques homosexuelles chez les sujets bisexuels masculins.
Masturbation active ou passive : 100%Masturbation du partenaire : 80% ; 16 astronautes sur 20Masturbation par le partenaire : 100% ; 20 astronautes sur 20
Fellation active ou passive : 100%Fellation du partenaire : 80% ; 16 astronautes sur 20Fellation par le partenaire : 100% ; 20 astronautes sur 20
Sodomie active ou passive : 100%Sodomie, dite « active » : 95% ; 19 astronautes sur 20Sodomie, dite « passive » : 40% ; 8 astronautes sur 20
Ils n’étaient que 8 sur les 20 à avoir déjà pratiqué la sodomie « passive » mais il était le seul à ne jamais l’avoir pratiquée « activement » avec un homme. Plus loin le rapport abordait des fantasmes du type :

Rapports pluriels :Un homme et plusieurs femmes Hommes : 75 %Femmes : 20 %Une femme et plusieurs hommesHommes : 75 % ;Femmes : 80 %
Domination, SM : Domination masculine :Hommes 40 %Femmes 25 %Domination féminine :Hommes 25 %Femmes 30 %
Watersports (douche dorée,...)Hommes 30 %Femmes 20 %
Le rapport était extrêmement complet et il était surpris de voir à quel point, toutes et tous s’étaient prêtés sans pudeur et sans honte, à cet interrogatoire en règle, permettant de connaître avec précision les goûts des astronautes de la WOSPAPRO. Tanguy se dit qu’ils étaient vraiment une bande de « cochons » et que le module devrait être solide car il allait s’en passer de belle en orbite... Il avait donc toutes les informations nécessaires pour peaufiner « son » module. Celui-ci fut vite construit. Il était composé de deux parties. La première comprenait un vestiaire et trois cabines de douche étudiées pour fonctionner en apesanteur. Chaque douche se trouvait dans un bloc étanche dans lequel entrait l’astronaute et qui projetait d’abord un mélange d’eau et de savon sous pression puis de l’eau pure pour le rinçage. Un système d’aspiration efficace récupérait l’eau en suspension et l’acheminait vers le module automatisé de purification et de recyclage. La deuxième partie, beaucoup plus vaste était destinée aux plaisirs. C’était un cylindre de 4 mètres sur 10 entièrement capitonné et équipé de tout ce qui avait pu paraître utile. Il y avait de quoi projeter des films, pleins de poignées rétractables pour se tenir ou s’accrocher, divers gadget du type menottes, vibromasseurs de toutes formes et dimensions, etc... Le module était équipé d’un système automatique de nettoyage et désinfection qui se mettait en route après chaque utilisation. Il n’avait évidemment rien dit à Melissa de sa mission et elle savait qu’elle ne pouvait lui poser aucune question. Plus le temps passait et plus Tanguy était nerveux. Il allait enfin décoller, quitter le plancher des vaches pour les hautes sphères, à la frontière de l’espace. Il lui restait un mois avant le décollage et tout était prêt. Il se consacra donc entièrement à sa préparation physique. Il veillait constamment à ne pas prendre froid et évitait tout ce qui risquait de le rendre malade. Il allait bientôt prendre place avec trois autres astronautes dans la navette de transfert. Les astronautes qui l’accompagnaient avaient pour mission de relever l’équipe de maintenance en place jusqu’à la prochaine mission expérimentale qui, à sa connaissance n’était pas encore programmée. Lui redescendrait avec l’ancienne équipe après l’installation du module et de son essai. Il réalisa alors que ni l’équipe en place ni celle qui l’accompagnait ne contenait de femme. Ils allaient se retrouver à sept hommes dans l’espace. Il se dit que l’essayage du nouveau module se bornerait donc aux seules vérifications techniques (fonctionnement des douches et des systèmes de nettoyage ou vérification des équipement de projection vidéo). En fait il n’avait, personnellement, jamais envisagé de l’essayer « vraiment ». Il devait s’assurer simplement du bon fonctionnement de tous les gadgets et que rien n’aient pas souffert du transport et de l’arrimage. Bien sûr les tests au sol étaient positifs mais on ne savait jamais ce qui pouvait se produire lors de la phase de décollage et durant le trajet vers la station. Il n’avait pas vraiment envie de « niquer » avec une autre astronaute, même s’il s’agissait d’une mission, il se disait que Mélissa aurait sans doute à en souffrir...

Le voyage de Tanguy se passa bien. Il fut quand même impressionné par les forces qui l’écrasèrent durant la phase de décollage. Ils avaient beau avoir des simulateurs efficaces, ca n’avait quand même rien à voir. L’accrochage du module ne présenta pas de complication importante. La nouvelle programmation du système informatique de sécurité qui prennait en compte ce nouvel espace fut rapide également. Tanguy procéda à une série de tests sur les douches, l’écran, etc... Tout fonctionnait à merveille. En plus du nouveau module qu’il avait apporté, ,le vaisseau navette transportait également tout un tas de matériel pour la maintenance et les rations alimentaires des équipes de maintenance. Ce stock était d’autant plus important que toutes les anciennes rations devaient être recyclées. En les transportant du vaisseau à la station, ils découvrirent un « Kit festif » destiné à célébrer l’extension nouvelle de la station et la relève de l’ancienne équipe. Il s’agissait de sept rations spéciales. Au menu, il y avait fois gras, rôti d’autruche et bavarois au cassis en tubes et vins en sachets. Ils discutaient, s’amusaient et pensaient à ce qui pourrait se passer dans le module. Tanguy commençait à se sentir un peu bizarre. Il se dit que certainement, comme il en avait conseillé la pratique, un aphrodisiaque puissant avait été introduit dans l’un ou l’autre des plats du « Kit festif ». Il pouvait sentir qu’une certaine tension montait aussi chez ses collègues. Soudain, l’un d’entre eux suggéra d’aller mater un ou deux films de boules dans le module. L’idée fit instantanément l’unanimité. Ils entrèrent tous les sept dans le vestiaire ou un panneau indiquait que l’accès à la deuxième partie se faisait uniquement après déshabillage complet. Ils se dévêtirent donc tous les sept. Tanguy jeta un coup d’œil à ses compagnons ; ils étaient, comme lui, déjà légèrement excités et certains montraient un début d’érection « prometteur ». Ils lancèrent un premier film X qu’ils eurent un peu de mal à choisir dans la vaste vidéothèque pornographique du module. Ils blaguaient et rigolaient mais les sexes trahissaient leur véritable état. Les verges étaient tendues à l’extrême. Il semblait à Tanguy que la pression légèrement réduite de la station renforçait encore l’effet de l’excitation et que sa bite, en particulier, était plus grosse que sur terre. Il commença à se masturber et son regard s’attardait sur les sexes de ses compagnons qui eux aussi se branlaient. Tanguy avait de plus en plus envie de sucer ces belles queues. Il proposa donc son « aide » à l’un des gars qui l’accepta avec plaisir. Il se pencha vers la bite tendue de Bob, un métis au membre impressionnant et entrepris une fellation profonde qui fut accueillie par des « Ooooh putain ! Ouaihh ! » de son compagnon. Un autre, Michael, imita Tanguy et entrepris de sucer alternativement deux autres astronautes. En flottant doucement dans le module, Tanguy se rapprocha de lui et tous les deux s’occupèrent des cinq bites qui se tenaient fièrement tendues devant eux. Bientôt, il sentit une main lui caresser les fesses, puis une deuxième. Tanguy se laissait faire. Deux doigts lui préparaient consciencieusement l’anus pendant qu’il continuait à s’activer avec attention et gourmandise sur trois bites merveilleuses. Mais la préparation ne fut pas longue. Bientôt, Tanguy sentit la rondeur d’un gland appuyer sur sa pastille. Comme il était détendu et attendait ça depuis un moment maintenant, son sphincter n’opposa aucune résistance à cette pénétration. Il y avait longtemps qu’il ne s’était pas fait enculer et il en avait presque oublié le plaisir que cela lui procurait. Il se sentait rempli par un sexe puissant. Ses allées et venues lui massait l’intérieur et lui procurait une sensation étrange de plénitude. Il adorait ça, il en gémissait de bonheur et en réclamait d’avantage.
— Ooooooh ! Oh ouihh, c’est trop bon...— T’a l’air d’aimer ça mon salaud !— Ooooooooooooh ! J’aaah... dooore, Aaaaaaaaaah.— Oooh oui cochon ! J’vais te baiser, aaah— Tous, ouh, baisez-moi tous, Oooh ! Enculez-moi !— Oooh oui ne t’inquiète pas, on va t’en mettre plein le cul !— Oooh ! Aaah ! Oooh oui ! Ooooooooh
Michael, de son côté en réclama autant que Tanguy. Lui aussi voulait être baisé comme une « salope » et les deux furent honorés convenablement. Ceux qui avaient joui, regardaient les autres prendre leur pied dans ces deux petits culs accueillants. Était-ce l’effet des aphrodisiaques puissants du « Kit festif » personne ne pourrait l’affirmer mais l’excitation les regagnaient vite et après quelques minutes de voyeurisme, ils étaient de nouveau opérationnels. Après sa troisième sodomie, l’anus de Tanguy mettait du temps à se refermer et un filet de sperme s’en écoulait. Cette vision les excita tous. Tanguy bavait. Il avait joui de se faire enculer et son sperme s’épanchait de son sexe ramolli. Il en voulait encore. Il se tenait accroché à deux poignées, son cul tendu vers les autres. La dernière bite qui était sortie de son cul lui avait laissé une impression de vide qu’il devait combler.
— Bourrez moi encore le cul ! Baiser moi tous, remplissez mon cul !— Avec plaisir mon cochon, on est tous prêt à t’en remettre un coup je pense.— Oh ouihh ! Tous ! J’vous veux tous dans mon cul, baisez-moi, baisez-moi...
Et se fut pour Tanguy une nouvelle série de bites qui lui perforèrent les entrailles. Les sexes turgescents le prenaient comme une pute, le remplissaient, le défonçaient. Quand l’un se retirait, un autre prenait sa place et Tanguy gémissait de plus belle et suppliait de le baiser et de jouir dans son cul, de lui remplir le cul. Lequel a commencé à lui pisser dessus ? Il n’en savait rien mais bientôt ils lui pissèrent tous dessus. L’un d’entre eux l’a même fait dans sa bouche et il en but un peu. La pisse remplissait le module de millions de gouttelettes et Tanguy lui même relâcha sa vessie et rajouta sa pisse à la nébulosité ambiante. Il n’en pouvait plus. Peu à peu, leur excitation retomba et ils prirent un a un le chemin de la douche et du vestiaire. Tanguy resta seul un moment à réaliser ce qui venait de se passer. Il n’en revenait pas. Il avait parcouru 30.000 km pour se faire baiser par sept mecs en rut. Sa mission était finie ; le succès était complet sans aucun doute. Ils n’avaient pas essayé les gadgets mais d’autres s’en chargeraient. Il quitta le module pour rejoindre les autres. Le lendemain, il était dans la navette de retours, en compagnie de l’ancienne équipe. Michael et Bob restaient sur la station et Tanguy se dit que Michael allait sans doute connaître une mission très active... S’il devait retourner dans l’espace, il souhaitait que Mélissa l’accompagne.
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